William Allen ~ La vie ne vaut pas la peine d'être vécue sans amour...

William Allen

Let it Rock !

les informations en vrac

la partie anecdotes ○

~ William est un garçon timide, réservé, presque insociable. Il est gentil, trop sans doute et ne se fait jamais remarquer, presque un fantôme. Il est sensible et en recherche d'affection, en recherche d'approbation plus exactement.

~ Il n'a pas beaucoup d'amis, peut-être même aucun en réalité. Il est très renfermé sur lui-même et s'est d'abord échappé de la vie réelle à travers les jeux-vidéos avant de s'enfoncer de plus en plus dans le sport, ayant commencé par des simples footings avant de se mettre au rugby.

~ William est un enfant précoce, diagnostiqué dès le plus jeune âge, relevant un QI supérieur en comparaisons aux enfants de son âge. Il est curieux et entend tout, retient beaucoup de choses, même des choses dont il ne devrait pas être au courant car il a toujours l'oreille qui traîne. Il se montre attentionné et à l'écoute, en tout cas quand il avait encore quelqu'un de proche de lui.  

~ Il est solitaire et n'a jamais été invité aux soirées quand il était enfant et aujourd'hui encore il ne sors guère de chez lui le soir, n'allant que peu souvent dans un bar ou à une fête, déclinant l'invitation. Il lui arrive donc rarement de boire et n'a jamais fini bourré, incapable de se remémorer une soirée.

~ Il n'a jamais été populaire et encore aujourd'hui il ne s'imagine pas l'être davantage, ne se rendant pas totalement compte de ses transformations et qu'il commence à être attirant et ce même si ses camarades de l'équipe essayent de lui ouvrir les yeux sur ce nouveau phénomène en lui disant qu'il faisait craquer les filles.

~ Il a un complexe d'infériorité par rapport à la gente féminine et n'ose pas aller vers une fille, sachant bien qu'il est incapable de conserver son calme, de ne pas stresser et ne voulant pas être une nouvelle fois humilier devant un public. Il n'ose pas avoir un contact visuel direct et regarder une fille dans les yeux, se sentant comme inférieur.  

~ C'est un élève studieux et très travailleur. Il est passionné par l'histoire depuis son plus jeune âge et travaille en vue d'obtenir un diplôme dans le but de devenir égyptologue. Il peut tenir une longue conversation et débattre histoire avec plaisir, aimant même casser les clichés véhiculés dans la culture populaire.

~ William cache son mal-être au plus profond de lui-même et ne montre pas ce qu'il ressent. Il se dissimule sous un masque avec un sourire de façade et son sourire masque sa lassitude et son épuisement davantage moral que physique.

~ Il fait souvent du jogging nocturne, quand il en ressent le besoin, l'aidant à se vider l'esprit et à se reposer. C'est son psychologue qui lui a conseillé de se mettre au sport et si il n'y a pas crût au début, il a rapidement lâché console de jeu pour se développer physiquement, le geek frêle et fragile étant devenu un garçon insouciant de son attirance et en recherche d'une approbation. Il joue ailier dans l'équipe et a longtemps été simple remplaçant avant de devenir titulaire. Il se souvenait des moments passés avec sa famille d’accueil à regarder les matchs à la télévision, loin de l'ambiance d'un stade ou d'un bar plein à craquer et il n'est aller qu'une fois voir un match en vrai, il y a de cela plusieurs années.

~ Sous ce visage doux et gentil, se cache des défauts. Rarement pourtant, William fait des crises de colères, à tel point qu'il est dur de s'arrêter, de se contrôler et devenant particulièrement impulsif. Il peut frapper dans un mur jusqu'à s'ouvrir les phalanges et ne plus ressentir de douleur et pour perdre connaissance sans se rappeler de ses excès.

~ William est également maladroit, du genre à souvent casser des choses et le métier de serveur n'est vraiment pas fait pour lui. Il n'a que peu de confiance en lui et est incapable de trouver du bon en lui, des qualités, ayant l'impression d'avoir davantage de défauts que de qualité.

~ L'écriture, c'est une de ses autres passions, accompagnés de la lecture, quand il se plonge dans un livre il peut ne pas en sortir pendant plusieurs heures et est un grand dévoreur, insatiable qui à toujours besoin d'un nouveau livre à lire. C'est une des choses qui lui permettait de fuir la vie réelle, autrement qu'à travers les jeux vidéos, d'être quelqu'un d'autre, le temps d'une histoire. Il est sur plusieurs projets d'écritures, ayant des thèmes bien différents, du thème historique à la fantaisie dont il est un grand adepte et il écrit des petites fanfictions sur le thème d'Harry Potter notamment, trouvant l'univers riche en possibilité.

~ La musique, une de ses autres passions. Il n'est pas mélomane, peut-être pas mais en tout cas, il a toujours une chanson en tête, selon le moment, selon son humeur. La vie à ses yeux serait bien morne et triste sans musique.
Il écoute un peu de tout bien que ce qu'il préfère reste le rock, déviant sur le hard-rock et le métal. Il aimerait jouer de la batterie mais il n'en à pas les moyens. Il apprécie également la musique classique, sa référence étant Wagner avec la chevauchée des Valkyries.

~ Il refoule ses désirs, ses envies, ses pulsions. Comme son attirance pour sa sœur, enfin sa sœur adoptive si on peut dire, la fille avec qui il vivait en famille d’accueil. Les deux jeunes ont toujours été très proches, peut-être trop et Will a manifesté une certaine attirance qu'il a toujours caché, ne savant pas si cette attirance était réciproque. De peur d'être mal vu, il à quitté Christchurch à 21 ans et est partit pour Island Bay, comme destination finale, laissant juste un petit mot de remerciement. Il ne sait pas si il reverra cette fille mais elle était la seule à parvenir à calmer ses crises de colère et la seule en qui il avait confiance. Il rejette également cette nouvelle attirance pour les garçons qui le travaille de plus en plus et essaye de la dépasser dans le sport, faisant plus de musculation et d'effort mais rien n'y faisait. Il serrait les dents dans les vestiaires, alors que tous les gars de son équipe étaient beaux et musclés et très attirants alors il faisait en sorte de se changer rapidement, ne prenant jamais sa douche dans les vestiaires.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ Dane Dehaan</pris> william allen

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

William est né à Christchurch, en Nouvelle-Zélande. Enfant unique, sa famille était modeste mais il avait un toit au-dessus de sa tête et pouvait manger à sa faim. William était un enfant précoce, au QI légèrement supérieure en comparaison avec les enfants de son âge. Il ne resta pas plus de quelques années à Christchurch avec sa famille, son père militaire, la famille le suivit lorsqu'il fut assigné dans une nouvelle ville et la famille s'installa à Wellington. La famille acheta une petite maison, avec un tout petit jardin et sa mère s'occupait de lui, de son éducation. Son père n'était pratiquement jamais à la maison, toujours en déplacement, loin, dans des pays étrangers, comme l'Afghanistan. Et le jeune enfant ne pût que constater que son père changeait, avait changé à son retour. Il avait rendu les armes et passait tout son temps à la maison, sans rien y faire, se noyant dans l’alcool, tenant toujours les mêmes propos par rapport au fait que leur pays et les politiciens les avaient abandonnés, et il était inapte à la vie civile. Il passait ses journées sur le canapé, une bière à la main. Il en était devenu violent, colérique. Ce n'était plus du tout le même homme que William avait connût. Et pourtant sa mère ne le quittait pas mais elle vivait mal cette situation et essayait au mieux de s'occuper du jeune enfant. En tout cas jusqu'au décès de son père, qui ivre, eut un accident de la route, mourant sans honneur. Le jeune David ne parvenait à se souvenir d'un moment heureux en compagnie de son père. Sa mère vivait très mal, pleurait, elle tomba lentement en dépression, elle travaillait, souvent jusqu'à tard le soir et un soir, elle n'est pas revenue...C'est les voisins qui se chargèrent dans un premier temps du jeune garçon, ayant remarquer l'absence de la mère et que l'enfant était seul à la maison. Alors il attendit avec eux, plusieurs jours, plusieurs semaines...Mais sa mère ne revint jamais et il n'avait même aucune idée encore aujourd'hui de ce qui lui était advenu.

Il erra ensuite, durant plusieurs années entre différentes familles d’accueils, ne parvenant à s'adapter à aucune. Il passa de mains en mains, sans parvenir à s'attacher, sans avoir de repères fixes, stables. Enfin, un jour il tomba sur une famille charmante qui l'adopta, se montrant chaleureux avec lui comme s'il était leur propre fils alors David faisait de son mieux pour s'intégrer même si il se voyait comme un fardeau pour la famille et qu'il cachait son mal-être au plus profond de lui. Heureusement, il y avait leur fille, elle était un peu plus jeune que lui et elle était la seule amie du jeune garçon. Il n'aimait guère l'école, parce que chaque jour était le même supplice, entre moquerie et humiliations et diverses méchancetés, allant du simple croche-patte à des choses bien pires. Il avait honte, parce qu'il était un garçon et qu'il était incapable de réagir alors que la jeune fille le défendait et il ne savait pas comment s'y prendre. Il se sentait faible et particulièrement impuissant. Les autres l'appelaient "Monsieur je-sais-tout", ou encore "le chouchou des professeurs" voir même le "binoclard" en raison de ses petites lunettes rondes et rouges. Il était d'une certaine manière le bouc-émissaire, le souffre-douleur et la victime favorite des petites brutes. Tout le monde se moquait de lui, personne ne l'appréciait, il n'avait que sa sœur d'adoption à qui se confier. Et le soir, il mentait sur sa journée, prétextant parfois se cogner, avoir glissé et être tombé parce que si quelqu'un savait ce qu'il vivait ça serait pire encore alors il suppliait sans cesse la jeune fille de ne rien dire à ses parents.

Il avait sans cesse les idées sombres, pensant souvent à se suicider, pensant que tout le monde serait content ainsi et que de toute façon personne ne viendrait pleurer sur sa tombe, alors il commençait à s'auto-mutiler, multipliant les cicatrices sur ses avants-bras et sur ses poignets. Il se sentait brisé, drainé, épuisé. Il voulait juste que ça s'arrête, en venant véritablement à se détester, n'aimant rien en lui, mal dans sa peau, déchiré par ce mal-être. Quand il rentrait de l'école, il faisait comme si tout allait bien, et cachait son mal-être sous un masque. Et puis un soir, il fut surpris par la jeune fille alors qu'il se mutilait une nouvelle fois physiquement. Ce qui ne l'empêchait pas de s'auto-mutiler mentalement. Il lui arrivait de pleurer le soir, d'enfouir sa tête dans son oreiller pour pouvoir déverser tout ce qu'il retenait au plus profond de lui. Cette fois, sa sœur intervient et en parla à ses parents et il fut poussé à être suivit par un psychologue, d'abord réticent, il finit par se confier, expliquer ses craintes, ses peurs et ses angoisses. Il trouva un moyen d'expression avec l'écriture. Ses parents adoptif lui avaient offert un carnet en cuir relié dans lequel il écrivait tout mais jamais il ne parlait de journal intime. Il y notait ses envies, ses rêves, ses problèmes, ses souffrances, tout ce qui lui passait par la tête, en venant même à écrire des histoires, comme des fanfictions d'Harry Potter. Oui, il avait toujours adoré Harry Potter, ce monde magique. Malgré tout, il était toujours mal dans sa peau et il cessa peu à peu de détruire son corps à petit feu et ses avants-bras et poignets portaient encore les stigmates de ces fresques passés, de nombreuses années plus tard.

C'est ce même assistant, ce psychologue qui lui avait conseiller de se mettre au sport, ce qu'il fit. Il a commencé par du simple footing dans la forêt, se vidant la tête et devenant de plus en plus endurant. Son physique commençait à changer et il se mit davantage au sport, faisant de la musculation, jouant au rugby avant d'enfin réussir à entrer dans l'équipe de l'université, ce qui est une de ses plus grande fierté. C'était comme si la vie lui offrait une seconde chance, la possibilité de réussir, d'être enfin quelqu'un. Il était loin d'être populaire mais il était un peu plus ouvert sur les autres et le regard des autres avaient changé, en tout cas il n'était plus victime de moquerie et d'humiliation comme quand il était plus jeune. Il n'avait pas davantage d'amis mais il avait constater un léger changement. Il était devenu loin du jeune William, frêle et fragile.

Il commençait même à être attirant, même si il ne s'en rendait pas compte les premiers temps avant que ses coéquipiers lui ouvrent les yeux et qu'il était un vrai aimant à nanas, selon leurs mots, son côté innocent et timide jouant en sa faveur. Il sortit avec plusieurs filles, bien que ça ne durait jamais très longtemps. Et puis, il commença à être attirer par les hommes et cette pensée le dégoûtait, il n'osait imaginer ce qu'il se passerait si quelqu'un l'apprenait. Surtout quand il était dans les vestiaires, tous ses coéquipiers étaient super bien taillés et il ressentais du désir qu'il refoulait au plus profond de lui-même. Il s'est plongé davantage dans le sport et la musculation pour essayer de faire disparaître ce qu'il voyait comme une tare, parce qu'il ne voulait pas que ça s'apprenne et passait de nombreuses heures en salle de musculation. Il en vint même à commencer à fumer, pour se détendre...

C'est à partir de la fin du lycée qu'il se rendit compte que sa sœur adoptive l'attirait, plus qu'il n'avait été attiré par d'autres filles, plus qu'il ne l'aurait dût tout simplement. Les deux jeunes étaient très proches, et elle représentait beaucoup pour lui, elle était la seule capable de l'apaiser lorsqu'il était en colère, la seule en qui il avait pleinement confiance. Partir fut un choix difficile mais il ne pouvait pas assumer qu'il pouvait ressentir des choses à l'égard de cette fille, craignant les réactions et les pluies d'insulte, craignant le scandale d'inceste même si elle n'était pas sa sœur de sang. Il décida de partir à Island Bay, laissant simplement un mot en guise de remerciement mais très peu d'informations. Depuis son départ, il accumule les petits emplois, jusqu'à ce qu'il ait pût reprendre les études, une nouvelle fois viré, cette fois, il est prêt à tout pour trouver un travail, prêt même à faire n'importe quoi du moment qu'il puisse continuer de payer ses études.