Rose - Everywhere I'm looking now, I'm surrounded by your embrace

Rose Napolitano

Beauty queen of only eighteen she had some trouble with herself

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 01. Rose et née et a grandi à Wellington auprès de ses parents et de ses frères et sœurs. Ses parents se sont rencontrés à l’aéroport JFK aux Etats-Unis avant de se marier deux ans plus tard. Le pilote et l’hôtesse de l’air, quel cliché et pourtant leur histoire d’amour dure depuis trente ans. 02. Elle parle couramment italien. Depuis toute petite, la brune passe ses vacances à Naples pour retrouver ses cousins. 03. Lorsqu’elle s’énerve, Rose jure en italien pensant que les mots sont plus forts que l’anglais. 04. Très proche de son frère et de sa sœur, la jeune femme n’hésite pas à se sacrifier pour leur bien-être. Très protectrice envers son cadet Ares, il lui arrive de constamment le surveiller même s’ils n’habitent plus ensemble. 05. Élève moyen à l’école, Rose n’était pas le genre de camarade à aider pour les devoirs ou bien à préparer les prochains cours. 06. La brune a de nombreuses connaissances mais très peu d’amis. Elle a toujours aimé se rendre dans des bars pour décompresser ou discuter avec ses copains, dans des soirées universitaires alors qu’elle n’avait que seize ans. Bref, une jeunesse de débauche. 07. Elle aime se servir un verre de vin rouge en rentrant de son travail avant même de se déchausser. 08. Très loyale envers ses proches, fidèle en amour et hautaine envers ses ennemis, Rose s’est forgée un caractère bien trempé en grandissant. Elle est néanmoins très généreuse, sociable, avenante, souriante mais très bavarde, têtue, maladroite et légèrement capricieuse. 09. Elle vit dans un appartement avec son berger australien Django. Rose a quitté la demeure familiale à l’âge de vingt ans, très désireuse d’indépendance elle a décidé de sauter le pas après avoir économisé depuis ses dix-huit ans en travaillant dans la boutique de surf de la ville. 10. Elle ne jure que par les robes et les jupes sauf le dimanche où elle troque ses tenues féminines pour de vieux joggings. 11. Petite elle rêvait d’être infirmière, soigner et s’occuper de personnes malades était quelque chose qu’elle aurait aimé entreprendre. 12. Rose mange de tout et ne fait pas la difficile malgré que les cerises lui donnent la nausée. 13. La jeune femme a pratiqué du surf de ses sept à quinze ans. Sa mère lui a donné le goût de glisser sur les vagues les cheveux au vent. 14. Elle adore passer son samedi soir en compagnie de ses amis lorsque la ville organise une séance de cinéma en plein air. 15. Son désir de tomber amoureuse se fait de plus en plus pressant malgré son emploi du temps plus que chargé. Elle n’est pas contre l’idée de se mettre en couple.

les indiscrétions sur le joueur

  

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<pris>○ kendall jenner</pris> rose napolitano

l'histoire de ma vie

I don't mind spending everyday out on your corner in the pouring rain

Dix huit ans. « Enfin dix huit ans. » se disait-elle en ouvrant ses paupières encore engourdies par le peu de sommeil qu’elle subissait ces derniers jours. Après avoir fêté comme il se devait sur la plage en compagnie de ses plus proches amis la veille, Rose regrettait amèrement d’avoir abusé de tequila alors qu’elle s’était jurée d’arrêter ce genre de folie. Ce n’était pas tous les jours qu’on avait dix huit ans, cet âge si attendu par la jeune femme, signe qu’elle allait sûrement quitter le cocon familial très prochainement. La brune se décida de retirer sa couette si chaude de son corps avant de poser ses pieds au sol. « Bon d’accord je me suis levée trop vite. » murmura-t-elle en s’asseyant sur le coin de son lit double.
« JOYEUX ANNIVERSAIRE ! » s’écria sa mère en lui lançant des boules en papier rose alors qu’elle descendait à peine les escaliers blancs qui menaient dans le salon. « Mon bébé est majeure, il était temps ! » ajoutait son père en la prenant dans ses bras. Rose souriait avec douceur en le serrant un peu plus. « Merci maman. Et… Merci papa. » soufflait la jeune femme ironiquement. « Bon ça fait deux heures qu’on attendait que tu te réveilles, ils m’ont forcé à porter ce stupide cône sur la tête donc viens me faire un câlin. » La brune posait ses yeux sur son petit frère allongé sur le canapé le corps recouvert d’un plaid brun. Il avait encore les joues roses, son rhume ne s’était pas encore envolé et, malgré elle, Rose s’approchait de lui pour déposer un baiser contre son front. « T’es le meilleur. »


« Rose ? Balaye l’entrée, on ne peut pas avoir d’avis négatifs de la part de nos clients. » râlait Henry son supérieur. « Ce n’est qu’un simple boulot à mi-temps, calme toi Rose, calme toi. » pensait-elle en se redressant du comptoir. Les jambes lourdes et l’esprit ailleurs, la brune attrapa un balai en se dirigeant vers l’entrée de la boutique de surf. Ils n’étaient que deux aujourd’hui et bien sûr, Henry refusait toujours de faire les corvées pour discuter avec de jeunes surfeuses qui avaient l’âge d’être ses filles. Après tout il ne lui restait que quelques mois avant de quitter son poste de vendeuse. La jeune femme travaillait ici après ses cours afin d’économiser pour un appartement. Elle ne demandait rien, juste un modeste logement pour s’émanciper et prouver à ses parents qu’elle pouvait se débrouiller seule sans l’aide de sa sœur. Les parents de la brune étaient peu présents et Bella son aînée s’occupait d’elle alors qu’elles n’avaient que deux ans d’écarts. Ridicule. « Rose ! » s’écriait Eleanor sa meilleure amie en ouvrant la porte de la boutique. La jeune femme releva ses yeux bruns fatigués alors que son sourire s’étendait de plus en plus en voyant ce visage familier. « Après avoir fait ta Cendrillon tu crois que tu pourrais prendre ta pause ? J’ai trop de trucs à te raconter ! » ajoutait la blonde avant de déposer un baiser contre sa joue. « Je sais pas, Henry est de mauvaise humeur aujourd’hui. Je crois qu’il s’est fait recaler par la cliente d’hier. » La jeune femme détournait son regard pour observer son patron râler sur son smartphone. « C’est pas un boulot pour toi. Je t’ai déjà dit que mon cousin tenait une boutique de vêtements juste au coin de la rue. Je lui parle de toi encore une fois ? » « Non non ! » s’exclamait Rose en fronçant des sourcils qui n’avait pas manqué d’interpeller sa meilleure amie. « Mais pourquoi tu refuses tout le temps ? » Les images encore fraîches de Kyle lui murmurant des mots doux pendant qu’ils s’amusaient tous les deux dans la voiture du jeune homme après une séance de cinéma lui traversaient l’esprit aussi brutalement que leur rencontre le matin même il y a quelques mois de cela. « C’est temporaire, j’ai bientôt mon stage ce qui veut dire que je vais quitter ce job pour faire ce que j’aime. Ne t’inquiète pas pour moi ça ira. » lui souriait-elle nerveusement avant de pincer ses lèvres entre elles. « Rose va prendre ta pause, t’as trente minutes pas plus. T’as perdu les autres minutes en parlant avec ta copine. » disait Henry d’un ton ferme et froid. Inutile de répliquer, la jeune vendeuse posa le balai dans un coin de la boutique et sortit de celle-ci en murmurant en italien. « Petit con. »


Ce n’était pas comme si sa vie était compliquée, comme si sa vie d’adulte avait mal commencée bien au contraire, tout lui souriait. Elle travaillait depuis deux ans dans l’entreprise d’événementiel Magic Event auprès de Camilla, devenue une de ses plus proches amies. Son poste lui plaisait énormément et la jeune femme s’était découvert une réelle passion pour l’organisation d’évenements. Il lui arrivait, parfois, de quitter le bureau très tard afin de peaufiner les quelques details avec les différents préstataires. Le plus difficile n’était pas d’organiser un événement, la chose qu’elle redoutait tous les jours était l’abandon de certains prestataires tells que le traiteur, les musiciens, les décorateurs etc. La pression était intense mais c’est ce qui la nourrissait et lui permettait de s’évader. Rose n’avait plus le temps pour ses propres loisirs, elle avait tiré un trait sur le sport, le cinema et toutes les activités lui permettant de se reposer. Elle ne regrettait en aucun cas ce train de vie et était même reconnaissante de la chance qui s’offrait à elle. Cependant, malgré le confort de son travail et la merveilleuse entente avec ses collègues, quelque chose tracassait la jeune femme alors qu'elle s'empêchait constamment d'y penser. Edwy, son collègue était en quelque sorte un ami de longue date. Ils ne s'aimaient pas au départ, loin de s'apprécier et encore moins de se regarder. Mais, depuis quelques temps leur relation avait évolué en quelque chose d'étrange, impossible à déchiffrer leur comportement respectif lorsqu'ils étaient ensemble au bureau. Lorsqu'elle appris le décès de la mère d'Edwy, Rose sentit son coeur se serrer et l'envie de prendre soin de lui la hantait. Elle avait baissé ses gardes, mis sa fierté de côté et leurs nombreux différends lorsqu'ils étaient au lycée afin d'être présente pour l'homme qu'elle avait autrefois détesté. Ils avaient grandi tous les deux malgré leurs forts caractères respectifs. Plus le temps passait, plus la jeune femme appréciait sa compagnie en se rendant compte à quel point ces années de bagarres n'étaient que des gamineries. Elle avait trouvé en lui quelque chose qu'elle avait longtemps cherché dans le sexe opposé : la confiance. Oui, elle avait une confiance absolue envers Edwy. Il était devenu son pilier et provoquait ses sourires lorsqu'elle l'apercevait à travers les vitres du bureau. Elle ne savait pas encore à quel point la place qu'il tenait dans sa vie augmentait au fur et à mesure du temps.