Je rodais autour de toi te demandant sans intérêt comment tu allais.

Kaleb Steadworthy

I've become so numb I can't feel you there

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ + T’es pas le genre de gars qu’on veut comme ami,  encore moins le gars avec qui on a envie et on devrait trainer. Tu attires les ennuis, mais t’es aussi capable de les créer – c’est bien ça le problème. Si tu ne faisais que les attirer on pourrait te laisser le bénéfice du tout, mais vu que t’es loin d’être un ange, on se tient loin de toi.  Encore on peut te fréquenter, mais pas pour les bonnes raisons.

+ Tu as cette colère, cette agressivité qui fait partie de toi. Personne ne comprend comment cela se fait que t’es aussi débile. Sauf que toi, tu  le sais que c’est à cause de ton père. II est violent avec toi et ne manque surtout pas une occasion pour te taper dessus. Quand il a fini, il se fait une joie de te dire que ça forge le caractère.  S’il n’était pas aussi fou, peut-être serais-tu un peu moins troublé par la vie toi aussi ?

+ Ta mère est décédée d’un accident de voiture. Un mec ivre a heurté sa voiture de plein fouet et elle est décédée sur le coup. Tu as du mal à t’en remettre et ce même si ça fait plus de deux ans.  Tu aimerais passer à autre chose mais tu y arrive pas, disons-le avec ton père qui te tape dessus te rappelant chaque soir qu’il en veut au monde entier parce qu’elle est décédée – bah c’est assez difficile.

+  Depuis le décès de ta mère t’as légèrement dérapé. T’as commencé à consommer, de la drogue, de l’alcool voir même du sexe. Bah ouais, tu t’amuses à  faire des visites rapides dans plusieurs lits. Apparemment ça te fait oublier à quel point ta vie c’est de la merde – enfin c’est ce que tu penses parce qu’au fond de toi tu le sais, t’as cette plaie qui ne s’est toujours pas changée en cicatrice, elle est infecté jusqu’au plus profond de ton âme.  

+ Tu aimes les mecs et ça tu le sais depuis que t’es tout jeune. Tu t’es longtemps demandé s’il y avait un truc qui clochait avec toi, mais t’as rapidement compris que t’en avais rien à foutre des filles alors que les autres gars oui.  Sauf que ce petit détail-là, mise à part tes divers amants tous aussi secret les uns que les autres – personne ne le sait.  Tu ne t’en vente pas, tu ne le démontre pas tout simplement parce que t’as peur que ça vienne aux oreilles de ton père.  

+ Tu travailles pour ton père dans son garage mais tu deal aussi de la drogue juste pour te faire un peu plus de fric, de tout façon ton père il te paie mais en claque sur la gueule.

+ T’es tombé amoureux qu’une seule fois dans ta vie et t’as eut le coeur brisé. C’était un mec et il s’est suicidé parce que t’as pas été gentil avec lui. T’as refuser son amour et t’es sorti avec une fille. À l’époque tu ne voulais pas qu’on  te sache homo.

+ Ça l’air de rien, mais tu adore la mécanique et la musique. Tu t’amuse même à réparer une vieille bécane dans le garage de ton père.

+ T’as toujours voulu voyager, mais t’es jamais sorti de la ville. De toute façon avec ton dossier gros comme le bras, tu ne peux pas sortir du pays sans demande de pardon.

+ Tu as toujours été très proche de ta cousine. Vous vous entendiez bien, mais aujourd’hui c’est bien différent. Vous vous êtes éloigné et avec raison t’es devenu de plus en plus méchant

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ K.J. Apa</pris> kaleb steadworthy

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

I’m still breathing... T’as la gueule en sang, tu lui en veux mais surtout tu ne comprends pas comment il peut être capable de passer sa colère sur toi.  Tu l’as peut-être cherché un peu. T’arrives pas à garder ton opinion pour toi, t’es vraiment un casse pied au point ou ton père il n’en peut plus.  Enfin, tu le fais exprès de le chercher, tu détestes le voir dans cet état. Il est saoul chaque soir et il t’oublis. Vous qui étiez si proche l’un de l’autre avant le décès de ta mère, maintenant vous ne vous connaissez plus. Tu fais ta vie de ton côté et ton père il fait la sienne. C’est assez minable comme relation père fils, mais vous n’êtes plus capable de vous regarder en face toi et lui. Surtout parce que ton père croit dur comme fer que c’est ta faute si ta mère est décédée. Sauf que tu y es absolument pour rien. Ce n’est pas ta faute et ce même si c’est toi qu’elle allait chercher au poste  de police – tard la nuit, pour une autre de tes conneries. T’arrive pas toi-même à te convaincre que ce n’est pas ta faute. Si t’étais pas sortit avec tes amis peu fréquentable, elle ne serait pas sortie et surtout elle ne serait pas décédée à cause de ce chauffard. Ton corps sur le sol, ta lèvre en sang, t’as du mal à te relever puisque t’as mal aux côtes. Il t’a frappé un peu partout sur le corps sans trop savoir ou il frappait. T’as rien dit, t’as l’habitude mais tu ne le déteste pas moins. T’arrive donc à te relever et disparait dans ta chambre. T’as prévu le coup, tu le sais qu’il reviendra pour t’en coller une autre – il est saoul. Tu dépose donc une chaise dessous ta poignée de porte et te laisse tomber sur ton lit. « Qu’est-ce tu fous p’tit merdeux ! » Te cri t’il de l’autre côté de la porte. Tu ne réponds pas, tu déposes ton oreiller sur tes oreilles, tu le sais la crise va passer. « Ouvres cette foutu porte, ou j’la défonce ! » Tu soupire puis ferme les yeux en espérant qu’il n’arrive à rien. T’as pas envie de voir plus de sang sur ton visage.  Tout ce que tu veux c’est la paix.

I Can’t Feel Your Face ..Du respect à la maison tu n’en a pas, mais une fois sortie de ta maison, c’est toi le patron. T’es comme le roi de la jungle. T’es comme un fauve sournois – on te déteste ou ton t’apprécie pour les mauvaises raisons.  T’es le genre à  rugir mais à agir  aussi, t’es bien le fils à ton père. Tu ne portes pas le nom de Steadworthy pour rien. Ça t’amuse de taper sur les plus jeunes que toi, t’aime faire les choses comme ton père. T’as cette envie folle de faire savoir à tout le monde à quel point la vie peut être injuste, qu’il n’y a rien de rose et que la violence peut facilement faire partie d’une vie – comme dans la tienne. L’histoire c’est que t’as bien l’intension de te faire respecter. Tu fais peur pour qu’il ait peur de toi et ça fonctionne. T’es fou, mais surtout perturbant. T’es là pour être certain que t’es encré dans l’esprit des plus faibles que toi. T’as un problème, mais t’es pas prêt de le changer. Disons que les circonstances dans ta vie en générale font en sorte que t’es comme tu es.  T’es le genre à te pavané dans les couloirs comme si tu mesurais six pieds et pesait trois-cent livres. T’es pas un colosse, loin de là mais t’es tellement intimidant que c’est tout comme. Face à ton copain, tu rigoles sans te soucier des autres, tu déranges mais t’en a rien à faire. Le problème c’est que toi.. t’es sur le point de te faire déranger.  Y’a ce gars qui vient te heurté, t’es tellement surpris que tu ne dis rien. T’écoute ce qu’il a dire mais en réalité ses excuses t’en à rien à foutre. T’as mémorisé son visage, puis t’éclate de rire. « Bordel, va t’chercher des lunettes le nerds .. » Dis-tu en te retournant vers tes copains et riant aux éclats. Lui, il ne sait pas à qui il a affaire.  

Hate my life.. T’en avais marre de l’entendre gueuler. De toute façon tu ne peux pas avoir une discussion avec lui il passe son temps saoul. Le seul temps où il est lucide, ce le matin avant son café. Tu le déteste. Tu l’as vu s’approché de toi pour t’en foutre une sur la gueule, mais tu t’es reculé, les poings serrés prêts à répliquer pour cette fois. Ne t’avais pas l’air sérieux à ses yeux puisqu’il s’est mis à rire en voyant ta réaction. Offusqué, t’es parti en claquant la porte la maison. T’as fouillé dans tes poches puis tu t’es trouvé un joint. Tu l’as allumé et a savouré cette fumée qui s’est glissée dans tes poumons, en silence. Tu étais bien là dans le parc, mais tu t’es rapidement ennuyant. Il manquait de vie pour toi, alors t’as marché jusqu’au centre-ville ton joint entre les doigts. Un délit de plus dans ton dossier, qu’est-ce que t’en à foutre. De toute façon c’est pas comme si ton père s’occupait réellement de toi. D’ailleurs, il ne se souvient même pas à cette heure-là que t’es sorti. Tu arpentes donc la ville, puis tu le vois au loin. Oui, tu la reconnu. Tu le reconnaitrais même dans une foule. Tu te souviens même très bien ce qu’il a fait, rien de grave mais pour toi c’est tout comme. Tu accélère donc le pas et arrive à sa hauteur. Derrière lui sournoisement, tu le tire par le collet et l’attire avec toi – à l’abri des regards dans la ruelle tout près de vous. « À s’t’heure là, les gamins c’est supposé être au lit .. » Les sourcils froncés, le regard vilain tu t’approches de lui comme un prédateur. « T’sais qu’aussi tard la nuit on sait jamais sur qui on peut tomber.. » Tu te mordille la lèvre, puis agrippe son menton. « T’sais que tes excuses bidons j’en ai rien à foutre.. faut regarder ou on va ou on le trouve son homme.. » Tu lui donne une claque sur le front et le pousse sur l’un des murs de briques qui vous entourent. « Sauf que toi.. t’es clairement mal tombé. S’tu savais pas ce à quoi pouvait ressemblé le diable, ouvre grand tes yeux. » T’es en colère contre père, pas contre ce gamin qui t’as heurté plus tôt dans la journée. En vrai t’en à rien à foutre de lui, mais ça t’amuse de le torturer.. Tu vas jouer avec lui, maintenant il est devenu ton nouveau jouet – sauf qu’il ne le sait pas encore. « J’vais faire de ton existence un enfer.. » Ça tu te l’étais promis ce matin quand il a osé te percuté, sauf que lui il ne pouvait pas savoir. Puis quelle chance que t’as eut de le croiser ce soir. Il baisse les yeux, alors tu remonte son menton et lui donne une petite fessé juste pour le ressaisir. « Tu vas pisser dans ton pantalon ? T'as perdu ta langue ? J'te trouve bien silencieux .. Faut pas tu t'en fasse tu sais.. j’vais bien m’occuper de toi. » Dis-tu avec un rire limite machiavélique. Bien décidé à lui en faire voir de toute les couleurs, cette fois tu t’approches de lui et t’agrippe à son jeans. Tu l’embrasse fougueusement et le repousse au point ou il manque pied et se retrouve sur le sol. Qu’est-ce qui t’as pris, tu ne comprends plus rien. T’avais dans l’idée de lui faire mal pas de l’embrasser.. « Bah dis donc j’croyais pas que j’allais t’faire autant d’effet. » Tu t’accroupie devant lui, les deux mains sur tes genoux. « J’te préviens garde-là dans ton froc ! Sinon j'vais faire en sorte que tu te transformes en fille ! » Dis-tu avant de te relever et lui donner léger coup de pied sur un tibia. T’es fou. T’es intimidant et on te déteste.