Passion beyond reason

James Meyer

Passion beyond reason

les informations en vrac

la partie anecdotes ○

• Passionné par son métier, James est aussi passionné en amour. Même s'il souhaite réussir, sa quête de l'amour est toujours d'actualité, même si son métier n'est pas le plus simple pour entretenir une vie sociale.
  
• Ayant grandi dans un environnement familial très sain et encourageant,
  il a besoin de sentir la reconnaissance des gens qui l'entoure.
  
• Il n'a jamais retrouvé de relation aussi fort que celle qu'il a eu avec son premier amour qui l'a délaissé pour partir en France. Il est toutefois prêt à rencontrer quelqu'un d'autre.
  
• Sa plus grande phobie est surement la solitude.
  
• Positif et aimant sont deux qualificatifs qui collent parfaitement à James. Toujours là pour servir, il est un mec que l'on apprécie côtoyer.
  
• Au delà de la pâtisserie, il aime s'entretenir en faisant du sport pour se défouler. Cela lui permet d'entretenir un physique qui a tendance à en faire craquer plus d'un.
  
• Il est parfaitement bilingue anglais / français du fait de ses origines franco américaines.
  
• Le nom de famille Winters est très réputé dans le monde de la pâtisserie et il redoute une chose, ne pas être digne du nom qu'il porte et du talent de son grand père.
  
• Il rêve de partir découvrir Paris, la ville où a grandi son grand père et où il n'a jamais mit les pieds.
  
• Il rêve de se marier et d'avoir des enfants avec l'homme qui fera battre son coeur.
  

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ chris wood</pris> james meyer

l'histoire de ma vie

Bake your own destiny

Croire en ses rêves est une phrase que l’on assimile beaucoup trop au ridicule, voir même à l’utopie. Ce pourrait être la morale finale d’un très mauvais film de Noël mais pourtant, c’est devenu pour James Meyer un crédo, un état d’esprit.
Les doigts tout dégoulinants de chocolat, il découvrait les joies de l’or en barre dès son plus jeune âge aux côtés de son grand père. Edgar Meyer. Si son nom vous dit quelque chose, c’est surement que vous êtes allé faire un tour du côté de La Nouvelle Orléans, vous perdre dans les petites rues du French Quarter de la ville. Situé à l’angle de la rue Chartres Street et Bienville Street, Edgar Winters avait ouvert une petite chocolaterie qui avait eu un grand succès au niveau local. Son succès était en parti dû à son savoir-faire 100% made in France. En effet, Edgar Meyer est né à Paris et à grandi au sein de la capitale Française. Il y a appris la pâtisserie et plus particulièrement, le métier de chocolatier. Tout le prédestinait à entamer sa vie professionnelle en France mais c’était sans compter sur la rencontre de sa vie, Cindy, une jeune américaine de passage à Paris originaire de la Louisiane. Le coup de foudre fut instantané et plusieurs mois plus tard, il quittait tout par pure folie, pour rejoindre sa bien aimée aux Etats Unis. Vous l’aurez compris, Cindy Basset devenue Winters n’est autre que la grand mère de James. Une femme formidable qui a su convaincre son grand père de se lancer corps et âmes dans sa passion au sein de ce nouveau pays qui lui tendait les bras. Quelques années plus tard, la chocolaterie familiale Edgar & family ouvrait ses portes. Cindy et Edgar ont eu deux enfants, Joshua et Elias, ce dernier étant le père de James.

Elias, désespéré à l’idée de devoir vivre dans l’ombre de son père a décidé de ne pas suivre la voie familiale et de s’orienter dans une voie bien différente, quitte à s’attirer les foudres de son propre père dans un premier temps. Un choix assez risqué qui a tendu les relations père / fils les premières années, mais les tensions ont su s’apaiser très rapidement, surtout lorsqu’ Elias a rencontré sa femme, Elena. Une belle brune à l’allure élancée qui avait su conquérir son coeur dès le premier soir. C’est avec elle qu’ils ont eu leur premier fils: James.
Le fait d’avoir grandi à la Nouvelle Orléans auprès d’une famille mi américaine mi française fut une aubaine pour lui. Immergé ans ce mélange de culture, James a réussi à s’intégré parfaitement entre la population aux origines Française et celle pour qui l’Amérique est bien plus qu’un simple lieu de vie.
James Meyer a su transmettre à son petit fils deux héritages: celui du Français et celui de la pâtisserie. Deux passions qui savent se compléter l’une et l’autre lorsqu’on y réfléchit bien.
Dès sa plus tendre enfance, James se rendait après l’école, directement à la chocolaterie familiale où il travaillait ses devoirs dans l’arrière boutique. Enfin, c’était le cas lorsqu’il ne se trouvait pas dans l’atelier au sein duquel son grand père lui faisait découvrir les plaisirs de manier cette or en barre. Dès qu’il atteignit l’âge de travailler en boutique, Charlie venait rejoindre son grand père pour l’aider à vendre dans la boutique. Un vrai bonheur pour lui, petit homme de 8/9 ans qui voyait déjà dans cette passion, un destin qui lui tendait les bras. Cette ambition d’enfant ravissait son grand père et à sa grande surprise, son père aussi. Il entreprit alors dès son adolescent, des études de pâtisserie au sein même de la Nouvelle Orléans. C’est au sein de ces années d’études qu’il rencontra son premier amour, un garçon nommé Joe. Un jeune américain étudiant en Français avec qui il vécu une belle histoire qui prit fin lorsque ce dernier décida de partir à Paris pour quelques temps.


Au plus profond de son coeur, Edgar Meyer espérait une seule chose, que son petit fils reprenne le flambeau ce qui serait une véritable aubaine pour lui qui envisageait partir à la retraite. Toutefois, James avait mûri au fond de lui une ambition bien différente, celle d’ouvrir sa propre pâtisserie. Le nom Meyer était connu dans le milieu de la pâtisserie et, pas peu fier de le porter, il souhaitait néanmoins bâtir sa propre réputation grâce à son talent et sa passion. Bien que la famille ait une place très importante dans la ville de James, une opportunité bien spécifique qui lui fit reconsidérer les choses. Lors d’un de ses stages, il fit la rencontre d’un pâtissier de renom. Il possédait une pâtisserie en Nouvelle Zélande dans la petite ville d’Island Bay. De par sa renommée, il était convié à entreprendre un tour du monde des écoles de pâtisserie et dans ce cadre, il souhaitait un homme talentueux pour le seconder au sein de sa pâtisserie. Ayant craqué pour les réalisations de James lors de son passage à La Nouvelle Orléans, il lui proposait ce poste avec comme opportunité de prendre la relève si tout se passait à merveille. Malgré les doutes, c’est sa famille qui réussit à le convaincre, lui adressant un soutien sans failles. « Crois en tes rêves et ils se réaliseront ! ». Pour James, cette opportunité ressemblait drôlement à une première étape vers ses rêves ! L’occasion était trop bonne et puis, si ça ne marchait pas, il aurait l’opportunité de revenir sur sa terre natale pour accomplir sa destinée.