contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Que vous soyez un cordon bleu ou inexpérimenté, vous serez capable de concocter un dîner romantique de l'entrée au dessert avec cet atelier de cuisine D'autant qu'entre la nourriture et l'érotisme, il n'y a qu'un pas A croire qu'il faut être un vrai petit sorcier pour emballer quelqu'un avec un repas Dans tous les cas, la cuisine n'aura plus de secrets pour vous grâce à un chef pour vous aider
L'ordre du sujet commun est totalement libre. Privilégiez les réponses courtes pour faire avancer au mieux le groupe.
tes doigts liés à ceux de galaad, tu souris un peu bêtement. tu ne sais pas pourquoi ni comment vous avez terminé à cet atelier de cuisine pour la saint-valentin, mais t'aimes bien. ça change. tu te mords l'intérieur de la joue et tu retiens le brun avant d'entrer dans le bâtiment, sortant une clope pour la glisser entre tes lèvres. tu lui offres un petit sourire désolé avant de tirer doucement sur le tube de goudron. quelques minutes te suffisent et tu termines par écraser le mégot au sol, le jetant à la poubelle par la suite. tu voles un baiser à galaad, du bout des lèvres quand ce que tu sais qu'il n'aime pas l'odeur de la cigarette. vous entrez dans le bâtiment et être rapidement accueilli par celui qui sera votre chef. tu troques ta veste légère contre un tablier qu'on t'a tendu. tu termines de nouer le tissu autour de ta taille. bon bah, plus qu'à attendre. tu souffles au brun, riant doucement, tes doigts glissant dans tes cheveux et ta joue, tu commences à observer distraitement tous les ustensile présents dans la pièce. tu n'as jamais été un grand cuisiner, mais tu penses te débrouiller assez bien. personne ne s'est jamais réellement plaint de ta cuisine et jusqu'à présent, personne n'est mort après avoir mangé chez vous. c'est sans doute un bon signe.
Tu avais un cours de cuisine aujourd’hui. D’accord, tu te demandais encore quel imbécile avait décider de t’y inscrire. Certes, tu avais voulu faire quelque chose pour la Saint Valentin, fête idiote à tes yeux. Tu n’étais pas en couple et tu serais probablement loin de l’être. Tu ne comprenais donc pas ce qu’on pouvait trouver à cela. En plus de ça, tu n’étais pas une grande cuisinière. Tu n’étais carrément pas douée dans ce domaine. Si, douée à griller ce que tu pourrais cuisiner. Tu savais que d’autres personnes se trouveraient là et, heureusement d’ailleurs. Tu ne sais pas comment tu aurais fait le cas contraire. Tu avais fouillé dans ta garde-robe une tenue à mettre pour l’occasion. Tu préférais choisir des vêtements dont tu ne tenais pas trop. Des vêtements que tu pouvais salir sans problème. C’était préférable. Tu avais enfilé un pantalon ainsi qu’un haut et avait attaché tes cheveux. En général, tu n’aimais pas cela, tu préférais les laisser détacher. Seulement, tu n’avais pas trop envie qu’ils trempent dans la farine ou autre chose. Tu ne savais pas vraiment ce que vous alliez faire pour le moment. De ce fait, tu enfilais également ton tablier par-dessus tes vêtements. Tu savais que tu allais quand même te salir mais bon. Tu t’installais devant une table, attendant que cela commence. Tu te demandais à quelle sauce tu allais être manger.
La blague, grosse blague. Toi, dans un cours de cuisine. Enfiler un tablier pour toi, c'est un peu comme tenter le diable, mais cela ne pouvait pas faire grand mal après tout. Non, tu n'es pas un cordon-bleu, bien au contraire. T'as pas encore oublié la fois où ta gazinière entière a rendu l'âme quand ton instinct de survie se voulait de ne pas finir par foutre le feu dans tout l'immeuble. Alors tu te complais du strict minimum ; pâtes, pizzas, surgelé en abondance, junkfood ; encore heureux que tu ne sois ni sédentaire, ni diabétique. Pourtant, tu avais sauté sur l'occasion pour cet atelier, comme un air de défi dans une ambiance poétique et romantique ; voilà comment se vendait le programme sur la brochure que tu avais daigné ramasser. Comme tu portes la Saint-Valentin et tout ses fantasmes en horreur, autant la fêter utilement et sans coup de foudre, dans un domaine que tu maîtrises, mais alors pas du tout. Pour l'opération commando, un simple t-shirt blanc et un jean sombre feront l'affaire ; tu ne sais absolument pas à quoi t'attendre alors autant jouer sur la prévention. Tu te sens déjà con avec ce tablier, encore heureux qu'on ne vous ait pas offert la charlotte. Tu t'installes à ton poste, regarde furtivement les alentours, les profils.La fille à ta gauche est mignonne ; un peu enceinte aussi. Tant pis, tu prendras le risque de t'intoxiquer tout seul quand viendra le temps de goûter à tes talents.
Dernière édition par Dwight Ashmore le Jeu 8 Fév - 23:17, édité 2 fois
Première célébration de la Saint Valentin depuis bien des années. Cela fait bizarre. Même si Dean ne sait pas vraiment si leur couple est vrai ou non. En fait, tout est étrange depuis le réveillon du nouvel an, célébré à Paris. En proposant cette idée comme ça, Wilkerson ne s'attendait pas à ce que Chloé lui dise oui. Atelier cuisine. Voilà qui pouvait être très intéressant, pour lui comme pour elle ! Pour l'occasion, Dean était habillé d'un t-shirt et d'un pantalon en toile, sombres. Ils avaient fait le trajet en moto et avaient donc une veste en cuir et un casque, pour se protéger en cas de chute. Ils n'étaient pas seuls. D'autres personnes se trouvaient là aussi, seules ou en couple. Ils s'installèrent. Dean regarda attentivement autour d'eux. Il repéra un couple d'hommes et ne put s'empêcher de se dire que Chloé faisait un travail formidable au sein de son association. Après tout, l'amour n'avait pas de frontière et personne ne devait être jugé ou exclus pour son orientation sexuelle. Son attention se posa ensuite sur les nombreux ustensiles et ingrédients posés sur la table. D'un geste doux et tendre, il effleura le bras de sa colocataire, qui n'était plus que ça désormais, et il lui dit, en riant :
- Regarde, Madame @Chloé Wells ! Les couteaux sont de mon côté ! Au cas où tu aies envie de m'assassiner parce que je cuisine mieux que toi ! Hahaha !
On était arrivé ensemble. Les doigts liés et surtout un amour plus fort et soudé que jamais. Maintenant que nos doigts étaient ornés d'une bague de fiançailles. On avait voulu sortir de la traditionnelle soirée romantique de la Saint-Valentin. Faire quelque chose de plus original. Et on avait vu ce cours de cuisine. on n'était pas nuls en cuisine tous les deux, mais j'avais trouvé l'idée de partager cet atelier intriguant, surtout que rien n'était dévoilé dans ce que l'on allait cuisiné. Et j'adorais l'occasion de pouvoir te taquiner en cuisine. Je passais un peu moins de temps à l'appartement depuis que j'avais retrouvé un travail dans un salon de thé. Je te laisse fumer ta cigarette, je déteste l'odeur. J'en profite pour prendre les devants en entrant dans l'atelier où on avait rendez-vous. J'enfile le tablier que l'on me tend, regardant tout autour de moi. Je salue d'un signe de tête les deux homme et la femme déjà présent dedans, avant que tu ne me rejoins. Je cherche à savoir ce que l'on va cuisiner, mais il n'y a que très peu d'indices, finalement. Je sens tes bras autour de moi, ce qui m'arrache un sourire. "Vous avez une idée de ce que l'on va faire ?" Finalement, peut-être que j'en repartirais avec des idées pour le salon de thé. Je me retourne pour susurrer à l'oreille d'Hélios. "J'espère que ce ne sera pas trop long..." J'embrasse ta joue. D'autres arrivent et je me détache de mon homme. Je n'ai pas honte d'être homosexuel, mais on ne sait jamais trop comment ça sera perçu, et je préfère ne pas créer de froid, pas dès le début. Pour autant je ne lâche pas la main d'Hélios.
Un atelier cuisine était prévu et on pouvait y aller en couple. Au départ, je me demandais avec qui je pouvais bien y aller parce qu’on avait pas vraiment parlé de notre relation avec Allan. Et contre toute attente, ce dernier m’avait proposé d’y aller ensemble. C’était la toute première sortie qu’on faisait tous les deux depuis nos retrouvailles et je devais avouer que l’idée de pouvoir cuisiner avec l’homme que j’aimais ainsi que d’autres personnes m’enchantait. Après tout, peut être qu’il était meilleur cuisinier qu’à l’époque du lycée ? D’ailleurs, cette sortie tous les deux sonnait presque comme un avant goût de la Saint Valentin qui approchait à grands pas malgré tout. Et pour tout cela, je devais reconnaître qu'il avait mis les petits plats dans les grands pour m'impressionner et passer du temps avec moi, j'aimais ce genre d'attention et Allan ne l'avait pas oublié de toute évidence. Du coup, j’avais décidée de m’habiller simplement, un simple jean et un tee-shirt bleu feront très bien l’affaire. Surtout que nous ne sommes pas à l’abri d’une bataille de farine alors pourquoi s’habiller d’une robe classe alors qu’on allait forcément se salir ? On avait convenus de se retrouver directement sur place et visiblement j’étais la première arrivée de nous deux. Je décidais alors de venir lui envoyer un SMS afin de m’assurer qu’il n’avait pas oublié. « Allan, tu n’as pas oublié l’atelier cuisine ? Je t’attends sur place. A toute de suite bébé, je t’aime. Leanne », venais je d’écrire sur mon téléphone avant de venir l’envoyer à l’homme que j’aimais. J’étais excitée à l’idée de cuisiner avec lui et de pouvoir rencontrer de nouvelles personnes aussi. Je décidais alors d’entrer et vit quelques personnes déjà arrivées. Je n’avais pas encore mon binôme et je devais être la seule sans mon partenaire mais je pris la décision de m’installer à une table, espérant qu’Allan allait très rapidement arrivé. Parce que cet atelier n’aurait pas la même saveur sans lui, et ce malgré la présence des autres personnes qui m’avaient l’air fortement sympathiques.
Chloé n'était pas mauvaise cuisinière, elle savait se débrouiller devant une plaque de cuisson mais par contre dès qu'une recette devenait un peu trop technique la jeune femme se sentait très vite dépassée et ne mettait donc pas longtemps avant de jeter l'éponge..... L'idée de participer à un atelier cuisine l'avait donc séduite d'où l'accord qu'elle avait donné quand son meilleur ami le lui avait proposé....
Depuis leur voyage à Paris, ces deux là ne savaient plus trop sur quel pied danser, le fait d'avoir couché ensemble après une soirée trop arrosée n'était évidemment pas rester sans conséquences pour autant on ne pouvait pas qualifier leur relation de relation de couple.... Des amis, des sex-friends ? Même eux n'avaient pas la réponse...
''Et moi j'ai le chalumeau.... Alors si j'ai envie de voir tes collègues musclés rappliqués en deux secondes je sais exactement quoi faire...'' dit-elle non sans vouloir le taquiner. Oui depuis cette virée Parisienne, elle s'amusait très souvent à souffler le chaud et le froid.
En attendant que le cours commence, la demoiselle ne pouvait s’empêcher de regarder les autres participants et c'est avec beaucoup de tendresse qu'elle observait ce couple homosexuel, l'un de deux lui disait quelque chose, possible que le plus petit des deux soit déjà passé à son association. ''A ton avis on va nous apprendre quoi ? Saucisse, purée ?.''
Pour la Saint Valentin, Spencer avait décidé de s’inscrire à un atelier culinaire. Histoire de savoir préparer comme il se doit un repas aux chandelles pour sa dulcinée le quatorze février au soir. Et pour que cela soit non seulement une activité ludique mais aussi un nouveau moment de complicité dans son couple, il avait aussi noté sa moitié à ce cours.
Le jour J, le beau brun avait longuement hésité avant de finalement se décider à venir. A son arrivée, il se présenta à l’accueil. Il signa sa présence et l’hôtesse lui demanda quand allait arriver sa petite amie. « Talia ne viendra pas. » Il avait l’air triste. Et pour cause… Miss Peñali avait rompu avec lui. Leur aventure avait été une erreur. Spencer regrettait amèrement cette décision. Lui qui au contraire souhaitait la demander en mariage durant la fête des amoureux, il allait finalement la passer seul comme toutes les autres années. Sauf que cette année, il déprimerait sous la couette en mangeant de la glace à la vanille tout en regardant les films de Bridget Jones. Et surtout à pleurer son amour perdu. Il avait découvert auprès de la jolie brunette les joies d’être en couple. Lui qui voulait tant qu’elle rencontre ses quelques rares amis, elle avait mis un terme à leur idylle avant que cela ne se fasse. « Oh je suis désolée de l’apprendre. Une rupture ça fait toujours mal. Mais vous savez, il n’y a pas que des couples qui viennent à cet atelier. Peut-être que vous trouverez chaussure à votre pied et que vous aurez une nouvelle partenaire pour le soir de la Saint Valentin. » Lui lança l’hôtesse en concluant par un clin d’œil. « Je ne suis pas venu dans l’idée de la remplacer. Mais merci pour le renseignement. » Spencer s’éclipsa pour se rendre en cuisine, là où avait lieu l’atelier. Il était rassuré de n’être pas le seul à venir en tant que célibataire. Il se trouvait moins minable pour le coup. Intimidé par les gens déjà présents dans cette pièce, il alla s’installer dans un coin afin de se faire tout petit.
Il eut un petit sourire en voyant son pote Dean un peu plus loin. Il était accompagné d’une charmante fille. Etait-ce elle cette fameuse Chloé dont son ami lui avait déjà parlé lors de leurs répétitions ? Il semblait y avoir beaucoup d’affection entre eux. Quoiqu’il en soit, Cooper se sentit honteux d’avoir abandonné Dean ces dernières semaines. Depuis que Talia l’avait largué, le dj ne sortait plus. Il était en arrêt maladie pour dépression. L’atelier cuisine était une première tentative vers la reprise d’une vie en société.
Dean esquissa un sourire mi-amusé, mi-faussement méfiant. Le naturel avec lequel elle venait de lui balancer qu'elle le brûlerait volontier au chalumeau avait de quoi effrayer quiconque l'entendrait et ne la connaissait pas. Il savait que sa colocataire plaisantait. Ils se connaissaient depuis suffisamment longtemps pour ne pas s'offusquer des sarcasmes. Et la belle Wells possédait un talent énorme pour placer des phrases éclairs incisives et excessives drôles. Une qualité que Wilkerson adorait. Elle en avait bien d'autres, évidemment, à ses yeux. Sinon, ils n'auraient pas ce lien et cette relation depuis de longues années. Aujourd'hui, les choses semblaient plus complexes à aborder. Leur partie de jambes en l'air restait un imprévu. Ni elle, ni lui, n'étaient clairs. L'alcool avait beaucoup aidé et depuis, ils essayaient de mener une vie "normale", sans trop remettre le sujet sur la table. Pouvait-on parler de couple ? Il n'arrivait pas à répondre à cette question. Il ne sentait pas prêt à une histoire sérieuse, et puis elle était sa meilleure amie. Il valait mieux éviter tout drame sur ce plan. Sauf que l'étape supérieure avait été franchie, rien ne pourrait plus jamais être comme avant. Comme il s'y attendait, Chloé semblait fascinée par le couple homosexuel qui se tenait près d'eux. Il l'aimait aussi pour ça, elle faisait preuve d'une telle tolérance envers tout le monde... à part les nains ! Mais bon personne ne peut être parfait, hein ! Elle se mit à parler de saucisse et de purée et Dean ne put s'empêcher de pouffer de rire.
- Hahaha ! Mais non, c'est un atelier cuisine ! Pas un atelier pornographie, allons !
Limite ? Oui possible, elle était venue du coeur en tout cas, cette blague. Leur complicité ne pouvait pas échapper à grand monde en tout cas. A un moment, en parcourant la salle du regard, il tomba sur Spencer et donna un coup de coude à Chloé :
- Eh mais attends ! Je le connais lui là-bas ! Viens, on se décalle, la place à côté est libre !
Il n'attendit pas qu'elle valide et la prit par la main. En ce moment, il le faisait de plus en plus, sans s'en rendre compte. Il n'était pas avare de contacts, de câlins, il en réclamait même, il allait les chercher. Il ne saurait trop comment expliquer ça. Son corps les réclamaient, son esprit les désirait. De là à penser qu'il s'agissait... d'amour ? Ils s'installèrent à la table juste à côté de Spencer et Dean s'approcha de lui pour l'enlacer chaleureusement.
- Eh bien ça alors ! Spencer ! Ca me fait plaisir de te voir ! Mais dis donc, je ne savais pas que la cuisine t'intéressait ! En voilà un scoop ! Hahaha ! Comment tu vas vieille branche ? Oh, j'oublie de faire les présentations.
Il se tourna vers Chloé :
- Chloé, je te présente Spencer, le seul l'unique, le maestro de la musique ! Toi qui te plaignais que je parle beaucoup de mon pote d'enfance sans te le présenter... c'est chose faite ! Hahaha ! Spencer, je te présente Chloé, ma... cop... colocataire.
Ses joues rosirent légèrement. Il avait failli prononcer le mot "copine" mais il s'était rattrapé. Il ne savait plus trop ce qu'ils étaient maintenant. Ca l'embrouillait.
Lorsque Chloé faisait face à une situation qui la mettait mal à l'aise son humour était toujours au rendez-vous sauf que ce dernier était beaucoup plus sarcastique qu'en temps normal ! Ses plaisanteries pouvaient donc choquées voir parfois blesser les personnes auxquelles elles étaient destinées..... Ce qui la gênait actuellement s'était le fait de ne pas arriver ni même à comprendre ses émotions envers le pompier. Pour autant Dean la faisait toujours rire aux éclats.
''Qui t'as parlé de porno ? Les mecs vous ne pensez vraiment qu'à ça...''
Son meilleur ami venait de reconnaître un autre membre de l'atelier si bien qu'il ne lui laissa même pas le tempe de réagir avant de l'emmener à sa rencontrer.
''Colocataire mais surtout meilleure amie.... Ravis de te rencontrer @Spencer Cooper.... Dean ne m'a pas dit que son pote d'enfance était aussi mignon.... Le look intello sexy j'aime beaucoup''
Elle savait que ce n'était pas très joli de faire ça mais encore une fois elle perdait tous ses moyens quitte à passer pour la pire des connasses.
galaad t'abandonne du temps que tu fumes. évidemment qu'il le fait. tu te mords l'intérieur de la joue et te dépêches de le rejoindre à l'intérieur, troquant ta veste légère contre le tablier qu'on te tend. tu remercies la personne avec un grand sourire, avant de rejoindre galaad et de l'enlacer rapidement. vous avez une idée de ce que l'on va faire ? qu'il demande. pour ta part, tu hausses les épaules et observes les ingrédients présents sur la table. farine, œuf, lait ... tu fronces légèrement les sourcils. on dirait les ingrédients d'une pâte à crêpe. tu pouffes doucement de rire et te tournes à peine quand tu sens ton homme contre toi, son souffle ricochant contre ton oreille. j'espère que ce ne sera pas trop long... tu arques légèrement un sourcil et quand il vient pour embrasser la joue, tu tournes la tête pour embrasser chastement ses lèvres. pourquoi ? t'as déjà envie de m'avoir pour toi tout seul ? tu souffles à voix basse, riant doucement, le laissant s'éloigner un peu, mais sans lâcher ta main. bague qui y trône depuis quelques jours maintenant, un mois déjà. le temps passe bien trop rapidement. un sourire se dessine sur tes lèvres à cette simple pensée. tu te mords l'intérieur de la joue. tu reviens contre galaad. enfin, pas trop près non plus, mais assez pour que tu te sens bien. tu penses que ça va terminer en bataille de farine comme dans les films ? tu demandes en riant un peu, étant déjà tenté de recouvrir ton homme de farine. ça fera toujours une excuse pour pouvoir le déshabiller.
Pourquoi-a-t-elle joué à Pierre-feuille-ciseaux avec Hunter ?! Quelle poisse, résultat c'est elle qui se retrouve à l'atelier cuisine le jour de la St Valentin en solo. Evie ne vit absolument pas mal le fait d'être célibataire, au contraire, elle se sent prête à élever des chats (et un bébé) en regardant amour gloire et beauté jusqu'à la fin de sa vie sans crainte, alors la St Valentin elle s'en moque. Mais elle sait que d'autres y attachent de l'importance, elle a perdu, elle doit participer à cet atelier, elle ne va quand même pas gâcher le plaisir de ceux qui y viennent pas pur plaisir, même s'ils sont masochistes. Évidemment, elle est en retard, heureusement elle est enceinte, ça lui donne toujours une bonne excuse, y a pas de rapport mais ça fonctionne quand même... Mais il y a pire que de se faire remarquer par son manque de ponctualité, il y a l'entrée fracassante en prime... Car arrivée devant la salle Evie tire sur la poignée, elle pense d'abord que la porte est bloquée, elle réessaye, râle puis finit par débouler un peu trop vivement dans la pièce. "Ah... fallait pousser." elle vérifie... ouf, ce n'était pas écrit sur la porte c'est déjà ça. Elle adresse un sourire poli à toutes les personnes déjà présentes. Même si elle n'est pas venue pour s'asseoir dans le fond de la salle et se cacher derrière son sweat à capuche, elle a passé l'âge de jouer l'ado rebelle en manque d'affection qui déteste ses parents parce qu'ils comprennent rien à la vie et refusent de lui offrir la dernière paire de basket à deux cents balles... et dire qu'un jour elle devra gérer ce genre de crise, bref malgré ça, elle s'installe quand même à une paillasse seule... et alors qu'elle espère que quelqu'un viendra se joindre à elle, un nouvel arrivant prend place à sa droite, alléluia elle ne sera pas la personne qu'on choisit en dernier comme à la balle aux prisonniers au collège. "Salut, moi c'est Evie." se présente-t-elle en nouant son tablier derrière son dos... enfin en essayant, car avec son ventre qui commence à pointer, s'accentuant de jour en jour d'avantage, elle galère bien plus que prévu et une fois qu'elle y parvient elle serre beaucoup trop le nœud dans son dos, elle tente de le dénouer mais sans savoir comment elle parvient surtout à s'emmêler bien plus les pinceaux. Elle jette un regard désespéré à son voisin qui a forcément remarqué son incapacité. "Désolée... Tu t'es installé à côté de l'empotée de service, tu veux bien m'aider ?" rit-elle en lui désignant le bordel qu'elle a foutu avec le tablier dans le bas de son dos. Plus loin elle entend distinctement les mots, chalumeau, porno et bataille de farine... tout à l'air normal ici.
Les ingrédients présents sur toutes les tables semblaient intriguer plus d’une personne. Spencer espérait n’être pas venu jusqu’ici pour apprendre à faire des vulgaires crêpes. Ca il était capable de les faire tout seul. Il n’y avait rien de bien compliqué ! Cet atelier était censé être prévu pour faire un repas pour la fête des amoureux et non la chandeleur. Certes les deux évènements étaient assez rapprochés dans le temps mais quand même…
Spencer fut soudainement sorti de ses pensées à cause du bruit qu’il entendit non loin de lui. Une personne marmonnait dans ses dents. Visiblement cette dernière avait du mal à ouvrir la porte. Mais réussi finalement. C’était une femme enceinte qui s’installa à la table devant lui. Le jeune homme d’à côté qui aida la fille à mettre son tablier devait être le papa de l’enfant qu’elle porte. Ou pas. Bref ! quoiqu’il en soit, ce n’était pas le problème du dj. Il regardait une nouvelle fois son téléphone. Pas de message. Son ex ne lui répondait pas. Talia devait en avoir marre que Cooper la supplie de le reprendre. Le pire c’est qu’il ne savait pas pourquoi ils s’étaient séparés. Peut être que la brunette s’était rendue compte qu’elle aimait toujours le mec qu’elle a eu avant Spencer. Ils ont eu une relation longue et elle était célibataire depuis peu quand ils se sont rencontrés. Pour le dj cela ne pouvait être que cela. Ce qui était dommage dans cette histoire, c’était que le pauvre était encore tombé amoureux d’une fille qui n’était pas faite pour lui et que du coup il en payait les pots cassés.
Heureusement qu’il pouvait compter sur Dean, son ami d’enfance. Le pompier le remarqua aussi et vint le voir en l’enlaçant chaleureusement dans ses bras. Spencer répondit volontiers à cette étreinte bien trop brève à son goût. Il avait besoin de réconfort plus que jamais. Depuis que Kim est décédée, il n’avait plus personne à qui se confier. Et il sentait comme un froid avec sa coloc ces derniers temps. Dean se faisait bien bavard en présence de la fameuse Chloé. Le dj n’avait même pas le temps de répondre à aucune de ses questions que son ami enchaina direct sur les présentations. « Tu exagères Dean. On s’éclate juste à faire de la musique mais toi comme moi, nous ne sommes en aucun cas des pros. » Spencer remarqua que son pote avait trébuché sur le mot copine avant de se ressaisir et définir la fille autrement. Cette dernière ne manqua pas de le reprendre d’ailleurs pour donner un autre terme à leur relation. Le beau brun sourit. Au moins Dean semblait heureux avec Chloé et c’était tout le bonheur qu’il leur souhaitait. « Enchanté Chloé. Ravi de faire enfin ta connaissance. Tu sais Dean me parle souvent de toi. Il n’a d’yeux que pour toi. Et Chloé par ci et Chloé par là. » Spencer fit un clin d’œil à son pote. Espérant secrètement l’avoir aidé dans sa relation avec la demoiselle. A première vue ces deux là formeraient un très beau couple.
« J’ai beau avoir le look, quoique là tu viens de me l’apprendre, je ne suis en rien un intello tu sais Chloé. » Il n’avait pas fait d’études et n’était même pas diplômé. « Ca fait longtemps que vous vous connaissez ? » Son téléphone vibra sur la table. Il était posé devant Dean qui put voir comme Spencer la réponse de Talia. « Arrête Spencer, oublie moi. Trouve toi… » Le reste du texto ne s’afficha pas. Mais il devina sans problème qu’elle lui demanda de se trouver une autre petite amie. Le cœur gros, il prit son GSM et le glissa dans la poche de son jean sans prendre le soin de lire la suite des mots de son ex.
Contrairement à ce que l'on pourrait attendre de ta part, tu te retrouves subitement concentré, peut-être même un peu trop sérieux, regard rivé sur les quelques ingrédients en face de toi. Des crêpes. Ouais, des crêpes. Ou une pâte à pizza non autorisée aux intolérants au lactose, mais tu es quasiment sûr que le lait est proscrit dans cette recette. «Dwight, cauchemar en cuisine, enchanté. » En voilà une avancée ; toi qui t'attendais à concocter un dîner sur-mesure pour un vieux couple qui essaierait de recoller les morceaux ou deux novices qui nous sortirait les violons pour le cliché de la demande en mariage. Non, des crêpes, c'est bien, atypique, mais sympathique, sûrement simple pour l'ensemble des personnes présentes dans cet atelier, mais la vérité, c'est que toi, tu sais que tu vas t'afficher. Du moins, c'est ce que tu pensais, avant de voir que la galère commençait de façon précoce chez d'autres sujets, en l’occurrence ta pauvre voisine en galère avec son tablier, mendiant presque pour ton aide. Tu te retiens de rire, non, tu vas pas te moquer, être compatissant oui, tu lâches quand même un petit sourire dans l'engouement de la situation, pour combler le stress du syndrome post traumatique de ta défunte gazinière surtout. Alors que tu t'avances vers la jeune femme pour t'occuper de son nœud, les bribes de la conversation de derrière font échos, de quoi te rassurer encore plus. Un plausible ménage à trois peut-être ? Pourquoi pas, après tout ? Tu aimes le cosmopolitisme de cette salle ; des couples, hétérosexuels, homosexuels, célibataires, heureux ou malheureux, tout types, tout profils, au moins, tu ne te feras pas remarquer sur ce point, si ce n'est peut-être de passer pour le copain goujat qui amènerait sa partenaire fécondée dans un atelier crêpe pour une dernière saint-valentin en duo, le romantisme à son paroxysme. « C'est bon comme ça ? » Que tu tentes. La galanterie, ça te va tellement pas. « Ils sont chauds autour, va falloir qu'on envisage à un moyen d'extraction si ça dégénère. » En vérité, tu serais sûrement le premier à prendre part à la fête. T'es comme un gamin qui ferait sa première rentrée des classes, un peu perdu, pas du tout dans son élément, mais emballé, ça oui.