Scar ♧ Les blessures se cicatrisent, mais les cicatrices continuent de grandir avec nous.

Scar Walker

Que vos choix reflètent vos espoirs et non vos peurs.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ ♧ Il a toujours détesté son prénom, en partie parce qu’il a reçu pas mal de moquerie à cause de ça. Alors il a décidé de se trouver un surnom, parce qu’il en pouvait plus de l’entendre à longueur de journée. Alors il a choisi Scar, en référence au Roi Lion. Il n’aime pas spécialement disney mais il trouvait que ça collait bien avec sa personnalité. Aujourd’hui, les habitants le connaissent uniquement sous ce nom. A part si vous lui volez sa carte d’identité, vous ne saurez jamais qu’il se prénomme «  Siegfried ». Et si par malheur vous osez le prononcer devant lui, vous en subirez les conséquences. Il n’est pas connu comme étant quelqu’un sachant garder son sang-froid. ♧ Certaines personnes se sont tatoués ou se sont fait des piercings. Lui possède une imposante cicatrice qui recouvre toute la longueur de son dos. Elle n’est visible que s’il se met torse nu. C’est dû à un accident de moto lors d’une course qui a bien faillit lui coûter la vie. C’est à partir de ce moment-là que son surnom a pris tout son sens. ♧ Depuis son accident, malgré sa passion pour la vitesse et toute la bonne volonté du monde, il est effrayé à l’idée de monter dans un engin qui roule. Que ce soit une voiture, un camion, un simple bus et particulièrement la moto. Peut-être qu’il n’aura jamais la force de remonter sur un deux-roues. Cependant, il tolère le train, l’avion et le bateau. Même s’il préfère avoir les pieds sur terre. ♧ Si l’école ne lui a jamais réussi, il est particulièrement habile de ses mains. Il s’amusait à bidouiller un peu sa bécane pour qu’elle soit plus rapide ou pour qu’elle soit plus classe. Et il faut dire qu’il était doué. Sauf qu’il ne lui est jamais venu à l’esprit de faire des études pour devenir mécano. Il a juste continuer à construire ou transformer des objets dans son propre intérêt. ♧ Personne n’était là pour le surveiller durant son adolescent, pour contrôler ses fréquentations ou le mettre en garde face à certains comportements. Il s’est rapidement fait influencé par les mauvaises personnes. Il s’est mit à fumer très tôt, vers l’âge de douze ans, parce que c’était à la mode et que ça faisait « cool ». Lorsque l’on commence, il est difficile de s’arrêter. Seulement a-t-il seulement envie de le faire ? Pour le moment, mourir d’un cancer ne lui fait pas particulièrement peur. Il a juste envie de profiter. Mais s’il ne fumait que de la nicotine ce serait pas si problématique. Parfois le matin ça lui arrive de prendre un pétard, sans raison particulière. Parce qu’il n’a rien d’autre à faire et ça lui permet de voir la vie avec un peu plus de gaieté durant quelques instants. ♧ Il y a eut une période où il adorait faire des paris. Sur le foot principalement. Il avait mit une technique en place pour gagner plus qu’il ne perdait. Mais ce n’était pas avec ça qu’il arrivait à subvenir à ses besoins. En arrivant à Island Bay, il a un peu ralentit, il n’y va plus tous les jours. Une fois ou deux dans la semaine, pas plus. ♧ Il arrive à en agacer plus d’un avant même d’ouvrir sa bouche à cause de son petit air hautain et sûr de lui. Et ça ne s’arrange pas lorsqu’il parle. Il peut se montrer particulièrement insolent. ♧ Au fil des années, et après avoir été lui-même une victime, il est passé maître dans la manipulation et n’hésite pas à user de sa petite bouille d’ange pour obtenir ce qu’il veut. Bien qu’il ait l’apparence de quelqu’un de flemmard, il peut se montrer redoutable lorsqu’il a une idée en tête. ♧ C'est quelqu'un de très impulsif, qui ne va pas forcément réfléchir aux conséquences et va littéralement foncé tête baissé. De plus, il préfère user de ses poings plutôt que de se fatiguer à essayer d'argumenter. Cela lui évite d'utiliser trop de salive. ♧ Scar avec le temps il s’est forgé une carapace, Scar préfère mettre des barrières plutôt que d’apprendre à connaître les autres, Scar il ne s’attache pas. Son comportement envers les autres s’explique peut-être par le fait que dans le passé il a été abandonné par ses parents. D’abord par son père puis plus tard par sa mère. Il essaye surement de se protéger pour éviter de souffrir une nouvelle fois. L’attachement est pour lui synonyme de faiblesse.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ Cole Sprouse </pris> scar walker

l'histoire de ma vie

Pour toi j'ai toujours de l'appétit, pour une nuit ou pour l'apéritif.

Des petits cris aigus raisonnent dans les couloirs de l’hôpital, un bébé vient de naître. C’est un jour ensoleillé et il n’y a pas l’ombre d’un nuage. Rien ne peut présager de mauvaises nouvelles en cette belle journée de mai. Seulement, cet enfant n’a pas été désiré et n’a pas été conçu par un couple qui s’aime bien au contraire. La mère est une prostitué, immigré clandestine, elle n’a pas réussis à trouver mieux comme boulot. Sans papier, un homme lui a promis monde et merveille, notamment d’avoir la nationalité rapidement. Elle qui pensait mener une vie meilleure en Nouvelle-Zélande, elle se retrouve malheureusement en train de faire le trottoir. Aussi surprenant que cela puisse paraître, elle n’est pas tombée enceinte d’un de ses clients. Elle a rencontré un homme quelques mois auparavant, dont elle est sincèrement tombée amoureuse. Elle pensait enfin que la chance avait tourné, qu’elle sortirait de la galère et qu’elle pourrait être heureuse. Mais, depuis qu’elle a vu que le test était positif, sa vie a de nouveau basculé. Le père a dû prendre peur, trouvant certainement que les choses allaient beaucoup trop vite entre eux et ne se sentait pas capable de devenir père dans l’immédiat. Il l’a quitté, ne lui laissant aucune nouvelle et la possibilité de le contacter. Il s’est hâté de quitter la ville pour ne pas avoir à assumer l’enfant. La jeune femme regarde le petit être que les médecins ont déposé dans ses bras, se demandant comment elle pourrait l’élever convenablement.




Depuis qu’il est tout petit, il passe dans le bureau d’un juge pour enfant accompagné de sa mère. Au départ, il s’amusait avec les jouets à disposition dans la pièce puisqu’il n’avait pas encore l’âge pour comprendre. Peu à peu, il s’est rendu compte du but de tous ses rendez-vous. Le magistrat cherchait à savoir si sa mère était en capacité de s’occuper de lui. Après sa naissance, elle a dû continuer ce qu’elle faisait, mais en plus de ça elle a commencé à boire. Dans ces placards, elle a toujours une bouteille de whisky, pour lui permettre d’oublier et de s’évader l’espace de quelques heures. A chaque fois qu’elle se trouvait devant la personne en charge du dossier, elle s’engageait à arrêter l’alcool, à subvenir à ses besoins et lui apprendre à bien se comporter avec les autres. Sauf qu’au bout d’un moment, le juge a pris une décision radicale. Même si ça peut être un changement traumatisant, cette femme ne pouvait pas correctement élever son fils. Il y avait même des risques pour qu’elle soit un danger pour lui. Alors qu’il était tranquillement dans sa chambre, des personnes sont venues le chercher. Etant un enfant très têtu, il n’a pas voulu les suivre préférant continuer ce qu’il était en train de faire. Ils ont dû utiliser la manière forte. Puisqu’il ne voulait pas marcher, ils l’ont pris dans leurs bras. Il a pleuré, s’est débattu et a crié à l’intention de sa mère de l’aider. Elle n’a même pas tenté de s’opposer, de le récupérer, de frapper ces hommes… Non elle est restée en retrait et n’a absolument rien fait. Au fond, elle le pensait peut-être responsable du départ de son ancien amant. Celui qui aurait pu changer sa vie. A la place, elle a eu un gosse turbulent, difficile à canaliser. C’est la dernière image qu’il a eu de sa mère, elle l’a abandonné.

Aujourd’hui, c’est son premier jour dans le centre. Il est encore tout chamboulé par ce qui vient de se passer et ne sait pas quel comportement il doit adopter ici. Il y a des enfants de tous les âges, certains sont plus jeunes que lui et d’autres beaucoup plus vieux. Il est d’ailleurs assez impressionné par la carrure imposante de certaines personnes. Il préfère d’ailleurs les éviter un maximum, ils n’ont pas l’air très commode. Alors, il ne s’approche d’aucun individu de la communauté et préfère rester dans son coin ne voulant pas de problème. Le seul trajet qu’il fait, c’est de sa chambre jusqu’à la cantine ou l’inverse. Histoire de ne pas mourir de faim. Le reste du temps, il demeure dans sa chambre et passe le temps comme il peut. Cependant, un groupe d’adolescent n’a pas l’attention de le laisser mener sa petite vie tranquille. Pendant que le petit Siegfried prend le chemin qui mène à sa chambre, cinq garçons âgés plus ou moins de seize ans le coince au détour d’un couloir. Il se retrouve rapidement piégé contre un mur, il n’a aucune possibilité de s’enfuir. Un des hommes prends la parole, il doit très certainement être la tête pensante du noyau.

- C’est toi le nouveau ? Tu veux déjà nous fausser compagnie ?

Aucun son ne sort de sa bouche. Il est tout simplement tétanisé. Il sait qu’il ne fera pas le poids contre eux, ils doivent faire le double de sa taille. Au final, les éviter était une mauvaise idée ou alors ils font ça à tous les nouveaux arrivants. C’est en quelque sorte un passage obligé, pour montrer qui commande en ce lieu.

- Tu apprendras qu’ici tu ne fais pas ce que tu veux. On fait les lois et toi, tu obéis c’est simple.

Sur ces mots, il reçoit des coups de toutes parts. Dans le ventre, au visage, aux bras, aux jambes… Il essaye tant bien que mal de se défendre mais c’est peine perdu. Il tombe rapidement au sol et essaye de se protéger avec ses bras. Il attend simplement que son supplice se termine. Même après leur départ, il reste recroqueviller sur le sol, sans bouger, durant plusieurs minutes. Il s’est déjà battu à l’école, mais c’était contre des enfants de son âge, là il n’a eut aucune chance. Cette entrevue lui a quand même appris une leçon importante : s’il veut survivre dans cet endroit, il doit s’endurcir. Il doit apprendre à se battre, se muscler parce qu’il ne peut pas rester un petit ficello, avec des bras qui font à peine vingt centimètres de diamètre. Et surtout, il ne doit faire confiance à personne et se forger une carapace. Ce moment marque la fin de son véritable prénom, Siegfried. Dorénavant il veut qu’on l’appelle Scar. Et ce n’est absolument pas négociable.




Les années sont passées, le petit garçon est devenu un homme. Sa musculature s’est développé, son caractère aussi. Il n’est plus peureux comme il avait pu l’être à son arrivée au centre. De victime il est passé à bourreau, c’était la loi du plus fort qui régnait dans ce milieu. Il fallait choisir entre être celui qui subit et celui qui fait subir. Il a fait son choix. Aucune famille ne l’avait pris, le trouvant trop violent, trop difficile à gérer. Il est resté dans cet endroit jusqu’à sa majorité, ensuite, il a été livré à lui-même. Il n’était pas bon à l’école, ne réussissant pas à s’adapter. Il séchait la plupart du temps, se retrouvant plus en colle que dans une salle de cours. Personne n’a réussit à l’intéresser et à le pousser à étudier. Lorsqu’il a eut l’occasion d’arrêter, il l’a fait, ne continuant pas ses études. N’ayant aucune qualification particulière, il est tombé dans l’argent facile. Il devait bien gagner sa vie non ? Vendre de la drogue ça l’a jamais beaucoup amusé, attendre dans le froid que le toxico pointe le bout de son nez ça le fait plus chier qu’autre chose. Mais il est vrai qu’il a rapidement pris goût aux paris, aux vols et surtout aux courses illégales de moto. Chacune de ces activités lui provoquent une certaine adrénaline. C’est un peu comme sa drogue, il ne peut plus s’en passer.

Il fait les derniers réglages sur sa moto et en profiter pour la nettoyer un coup. Il est assez maniaque quand il s’agit d’elle, il déteste lorsqu’elle est sale. D’habitude, il se fout pas mal de la propreté, mais c’est un peu comme son bébé. Il fait tout son possible pour bien s’en occuper. Il vérifie si tout est en ordre, il doit bientôt rentrer sur la piste. Il se relève avant de voir une fille s’approcher de lui. Y a pas mal de bimbo dans le coin, qui ont qu’un seul but dans la soirée : se taper un des participants. Faut croire que les mecs un peu bad boy ça attire. Elle se colle à lui et l’aguiche ouvertement. Il lui fait son plus beau sourire avant de lui lancer.

- T’inquiète pas poupée, après la course on ira s’amuser tout les deux.

Sauf s’il trouve mieux. Bien qu’elle ne soit pas désagréable à regarder, mais il y a toujours mieux ailleurs. Par contre, elle fait une action qui le met hors de lui, elle pose l’une de ses mains sur sa moto. Non mais elle se prend pour qui ? Il ne préfère même pas imaginer où elle a fourré ses mains juste avant de venir ici. Il la pousse sans essayer de retenir sa force. Personne ne touche à sa bécane.

- Vires de là ! Elle vaut bien plus chère que ton cul refait.

Son comportement et son propos ne lui ont certainement pas plu puisqu’elle se casse en l’insultant au passage. Bon débarras. Il regarde sa montre et se rend compte que c’est à son tour. Il amène son véhicule jusqu’au lieu prévu et se positionne sur la ligne de départ. Il a bidouillé un peu sa moto pour la rendre plus performante. Elle est plus rapide, il va gagner des secondes en plus cependant cela veut dire aussi qu’elle sera plus difficile à conduire. Il faut qu’il fasse attention aux virages pour éviter une sortie de piste. Il met son casque et jauge ses adversaires. Ils en ont déjà rencontré certains. Dont un en particulier qui a tendance à ne pas respecter le règlement. Normalement, il ne faut pas de quelques manières que ce soit, provoquer l’élimination d’un opposant par accident. En le poussant par exemple. Il doit redoubler de prudence et éviter de trop s’approcher de lui. Tous les candidats font vrombir leurs véhicules et partent comme des furies lorsque le départ est lancé. Il se place en seconde position dès le départ, mais son objectif n’est pas de finir deuxième, il est là pour gagner. C’est lors du second tour qu’il décide d’attaquer pour passer devant le vainqueur provisoire, qui n’est autre que le mec dont il se méfie. Malgré le danger qu’il encourt en s’installant à côté de lui, il prend le risque. Son âme de compétiteur prend nettement le dessus. Il regarde droit devant lui, sauf qu’il sent quelque chose le percuter. Il tourne la tête et voit que son concurrent tape contre sa moto à l’aide de la sienne. Il lui lance un regard, il va le défoncer s’il s’aperçoit qu’il a fait ne serait-ce qu’une rayure. Ces quelques secondes d’inattention lui font perdre le contrôle de son engin et il s’écarte de la piste. Il se retrouve propulser de son véhicule et roule sur plusieurs mètres. Il sent une vive douleur dans son dos et à la tête. Il essaye de se redresser mais n’arrive même pas à remuer un orteil. Il n’a plus de force et ses paupières se ferment contre sa volonté. C’est le noir total.

Il se réveille dans une salle blanche qui l’éblouit. Il cligne plusieurs fois des yeux avant de reconnaître l’endroit où il se trouve. A l’hôpital, lieu qui est loin d’être inconnu pour lui. Bras, jambes cassés, le personnel médical le connaît bien. Sauf que cette fois-ci il n’est pas là pour les mêmes raisons. Tout lui revient en mémoire, la course, l’adrénaline, la chute. Il essaye de bouger mais il a très mal au niveau du dos. Il réprime un juron, qu’est-ce qu’il a pour souffrir autant ? Il regarde autour de lui et ne voit personne à son chevet. Ce n’est pas une grande surprise. Il n’a aucun contact avec sa mère, il n’a même pas tenté de la retrouver. Elle l’a trahi, elle ne mérite pas son attention. Il n’y a pas non plus d’amis tout simplement parce qu’il n’en a pas. Il n’a jamais essayé de faire d’effort pour se lier d’amitié avec qui que ce soit. Il n’a pas envie de s’attacher.




Après l’accident, il a eu besoin de changement, sa ville natale lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Il a entrepris de déménager enfin, comme il n’a jamais pris d’appartement on ne peut pas vraiment appeler cela un déménagement. Il a entendu parler d’une petite ville près de la capitale, où il fait bon de vivre : Island Bay. Peut-être que ça va lui donner un nouveau départ et qu’il va enfin pouvoir être heureux ? Avant de partir, il a pris le temps de rendre visite à sa bécane, à la casse. Il la regarde, l’effleure, mais il n’a pas la force de monter dessus. Faut dire que de toute façon elle est en très mauvais état, elle aussi n’a pas bien vécu la chute. Il se sent minable, minable de ne pas pouvoir rouler avec elle. Il est faible, comme lorsqu’il avait huit ans et qu’il n’a pas su faire face à ses agresseurs. Il a l’impression de régresser et ça le ronge. Il la laisse à contrecœur, sachant pertinemment qu’elle allait être détruite.

Il a voyagé en train, un des rares moyens de transport qu’il arrive encore à prendre. Arrivé dans sa nouvelle ville, les mauvaises habitudes sont réapparues, elles doivent être profondément ancrées en lui. En cinq ans, il n’a pas eu beaucoup de relations positives avec les habitants. Il les fuit comme la peste. Au final cette atmosphère de bien-être, de calme le fait flipper. C’est trop parfait, ça cache forcément quelque chose. Il doit y avoir des espèces magiques par exemple des loups garous comme dans les films et séries. Il a peur de se faire bouffer dans son sommeil. Il ne voit que cette explication pour expliquer que cette ville semble si parfaite. Dans tous les cas, il n’a pas jugé utile de louer ou s’acheter un appartement. Il préfère squatter au port. Un endroit qu’il affectionne tout particulièrement et qui lui permet de faire de grandes économies.

Cependant, depuis quelques mois un gars a décidé de l’aider, de le prendre sous ail, de devenir son mentor en quelque sorte. Au début, il était particulièrement réticent à l’idée qu’une personne essaye de s’introduire dans la bulle qu’il s’est forgé pour se protéger. Mais petit à petit, il a baissé sa garde. Il n’en comprend pas les raisons exactes. C’est comme ci ce mec savait parfaitement ce qu’il vivait et que grâce à cela il savait comment l’apprivoiser. Leur relation s’est faite tout naturellement et Scar commence même à lui faire confiance. Il l’accueil, lui donne à manger, le sauve de situations périlleuses. En contrepartie, il doit simplement venir lui donner un coup de main au port avec les bateaux. Seulement, la peur de se faire rejeter une nouvelle fois est très présente. Parfois sans raison particulière, il se renferme et ne le laisse plus rentrer dans sa carapace. Il reste encore un long chemin à parcourir avant qu’il ne s’ouvre totalement.