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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 (cleo) let's figure you out

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MessageSujet: (cleo) let's figure you out (#)   (cleo) let's figure you out EmptyMer 7 Fév - 7:08

let's figure you out
cleo & ryan

holly braxton a écrit:
Il y a un petit contretemps qui m’est tombé dessus, j’aurais un petit peu de retard, attend moi.

Les yeux posés sur son téléphone, Ryan avait relu une troisième fois le message de sa mère, comme si ça pouvait miraculeusement la faire arriver plus vite à l’hôpital. La fin du SMS avait au moins eu le mérite de le faire rire. Qu’il l’attende ? Oui, enfin ce n’était pas non plus comme si il avait quinze autres solutions. Depuis qu’il ne pouvait plus faire usage de ses jambes proprement, Ryan était assez limité dans ses déplacements. Si le fait de devoir se servir de ses proches comme taxis ne lui plaisait pas forcément, ça restait pour l’instant la meilleure option. Et en toute vérité ça ne le dérangeait pas tant que ça d’attendre, ce n’était pas non plus comme si son programme chez lui donnait beaucoup plus envie.

Ryan s’était donc installé non loin du hall d’une des entrées de l’hôpital, son portable dans une main et un café dans l’autre. Le décor était plus que familier. Que ce soit au cours des derniers mois ou dans sa vie (notamment le cancer de son père ou à divers occasions pour son métier aves les visites de témoins, suspects et collègues), l’ainé des Braxton avait eu le droit à son lot de visites au Wellington Hospital. Il avait dépensé tellement d’argent dans la machine à café et le distributeur de nourriture qu’il pouvait sans doute mériter un free pass de remerciement de la part de la société qui s’en occupait.

Lassé par le manque d’activité sur son téléphone, l’inspecteur de police en arrêt s’était mis à observer ce qui l’entourait, laissant son intérêt être captivé par le moindre détail. Il y a maintenant plus de dix ans de ça il avait appris à évoluer le contenu et les potentiels dangers d’un lieu en l’espace de quelques secondes, aujourd’hui il fallait tuer le temps.

Cela devait faire une bonne dizaine de minutes qu’il attendait quand son attention s’arrête plus longtemps sur un visage en particulier. Une jeune femme, brune, caucasienne, probablement la trentaine, un café à la main, se tenait debout figé à peine à quelques mètres du distributeur. D’abord dans l’incompréhension, Ryan suivit le regard de l’inconnue et tomba sur deux policiers en uniforme qu’il n’avait pas l’air de connaitre, ou que sa mémoire ne resituait pas, en tout cas. Les deux hommes passèrent rapidement leur chemin et la jeune femme finit par se détendre pour finalement venir s’asseoir à deux sièges de Ryan. Ce dernier resta à l’observer un instant, l’analysant de la plus discrète des manières. Il n’y avait pas quinze types de personnes qui se braquaient à la vue d’un insigne de police. Dans son expérience, dans la majorité des cas les individus avaient quelque chose à se reprocher. Le reste du temps… C’était une autre histoire.  Est-ce-qu’il avait envie de savoir ce qu’il en était aujourd’hui ? Ryan jeta un coup d’œil à son téléphone avec de tourner on corps en direction de la jeune femme. « Vous savez, en général ils ne mordent pas. Sauf si ils sont américains et qu’ils n’ont pas eu leur quota de sucre le matin, mais là je pense que vous êtes plutôt safe. » Après tout, ce n’était pas comme si il avait mieux à faire que de comprendre les intentions de son inconnue.

☆☆☆ Beerus
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highlander
Cleo Carter
Cleo Carter
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○ âge : 36 (05.01)
○ statut : mariée
○ métier : perchiste, productrice de films x également
○ quartier : east bay, #133
○ orientation sexuelle : hétéro
○ informations en vrac :
née mcleod ❋ petite fumeuse ❋ mariée depuis novembre 2017 ❋ à seth qu'elle connaît depuis la mi-octobre de cette même année ❋ devenue copine avec les pompiers du coin à force de mettre le feu à sa cuisine en tentant de... ben cuisiner ❋ calamité derrière les fourneaux ❋ a la main verte par contre ❋ aime la déco ❋ super danseuse ❋ a remporté des prix au swing, au rock acrobatique et au lindy hop dans sa jeunesse ❋ orpheline, ses parents sont morts dans un accident de voiture quand elle avait dix ans ❋ fan de muse et de musique alternative ❋ scottish pride ❋ a un bébé corgi portant le doux nom de cher ❋ les responsabilités et autre trucs chiants d'adultes, c'est pas trop sa tasse de thé ❋ carbure au café et au thé justement ❋ pourrait passer des nuits entières à jouer à l.a. noire ❋ accro à buzzfeed unsolved, friends et westworld ❋ adore les films d'horreur ainsi que ceux de tarantino et l'âge d'or du cinéma ❋ pleure trop souvent devant les films ❋ a une aversion pour les dindes depuis far cry 5 ❋ n'a temporairement plus le permis et se balade à bicyclette mais participe parfois à des courses de rue ❋ fashion victim
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MessageSujet: Re: (cleo) let's figure you out (#)   (cleo) let's figure you out EmptyDim 11 Fév - 3:15

Ah, les hôpitaux, qui aiment ça ? Personne sans doute ; c’est tout sauf accueillant, ça sent bizarre et ça fourmille de gens dans tous les coins. Mais ce qu’on aime le moins dans les hôpitaux, c’est surtout que quand quelqu’un y est, ça signifie que cette personne ne va pas bien, ça représente un potentiel danger alors quoi de plus normal que de fuir ces endroits comme la peste ? Du moins, c’est l’avis de Cleo. Si ça ne tenait qu’à elle, jamais elle ne mettrait les pieds dans un hôpital de sa vie, d’ailleurs, elle avait les médecins carrément en horreur et ce pour une excellente raison : ils vous annoncent rarement de bonnes nouvelles alors peut-être vaut-il mieux rester dans l’ignorance dans certains cas ? Quoi qu’il en soit, si elle visitait pour la toute première fois l’hôpital de Wellington, ce n’était pas pour elle, Dieu l’en garde, elle ne faisait qu’accompagner une connaissance. Qui, pour ce qu’elle en savait, n’avait rien de grave, juste une élongation qui s’éternisait un peu. Tout comme cette visite. La jeune femme avait l’impression que ça faisait des heures qu’elle était là, à attendre que son amie revienne alors que, lorsqu’elle consulta sa montre, elle se rendit compte que ça ne faisait que dix minutes. Très bien, dix longues minutes dans ce cas.

Histoire de tuer le temps, elle avait pris de la lecture avec elle mais il y avait tellement de bruit dans cette salle d’attente qu’il lui était impossible de se concentrer sur le texte et elle relisait la même phrase sans cesse. Ce qui la poussa à ranger Le Dahlia Noir dans son sac à main. Vint alors l’ennui et le seul remède à ça était de partir se dégourdir un peu les jambes. Il lui semblait bien avoir vu machine à café et autres distributeurs non loin du hall d’entrée. Les cafés sortant d’une de ces machines de l’enfer étaient réputés pour être quasiment imbuvables mais qui sait, peut-être qu’il en était autrement ici et puis de toute façon, ça ferait bien l’affaire, personne ne jugeait un hôpital d’après son café, heureusement. La rouquine demanda un homme âgé qui se trouvait là s’il ne voulait pas prévenir son amie qu’elle l’attendait à la machine à café si elle sortait un jour du cabinet du docteur, ce qu’il accepta très volontiers, puis elle se dirigea vers le hall d’entrée.

Sa pièce tomba dans le réceptacle de la machine, elle appuya sur la touche correspondant au cappuccino avec supplément mousse de lait et la machine ne lui rendit pas sa monnaie… ben tiens. Pour la forme, elle tapa à trois reprises du plat de la main contre le distributeur pour qu’il recrache ses quelques pièces mais ce fut comme s’il les avait déjà digérées. Tant pis, Cleo haussa les épaules et se brûla un peu les lèvres en les trempant dans son cappuccino. « Imbuvable » était un terme un peu exagéré… et puis ils arrivèrent. Et comme à son habitude, la jeune femme se raidit, tâcha de se faire aussi petite que possible du haut de son mètre quatre-vingts et fuit leur regard. Au fil des années, c’était devenu un vrai réflexe. Il n’y avait pas d’autre raison à cela que le fait qu’elle ait commencé à travailler dans le milieu pornographique à l’âge de quinze ans seulement mais elle en avait gardé une certaine répulsion. De plus, elle trouvait la police assez inutile, ces gens s’amusaient à vous coller des PVs si vous étiez mal stationnés au lieu d’aller emmerder de vrais criminels alors bon…

Toute à ses pensées, c’est un jeune homme en fauteuil roulant qui la sortit de sa rêverie en s’adressant à elle une fois qu’ils furent partis. Qui ? Que ? Quoi ? La rouquine ne saisit pas tout de suite où il voulait en venir, persuadée qu’elle s’était montrée très discrète un peu plus tôt, en compagnie des agents de police.

    « Hum… je vous demande pardon ? »


Ils ne mordent pas sauf les américains qui n’ont pas eu leur dose de sucre ? Ah ! Les donuts, la lumière se fit enfin dans sa petite tête mais elle était pour le moins surprise que ce jeune homme ait remarqué ce très léger bug.

    « Oh ! Mais vous savez comment ça se passe avec la police, ils sont tellement mal dépeints par les médias que même si on n’a rien à se reprocher, on ne peut s’empêcher de se sentir coupable en leur présence, haha. »


Excuse bidon mais qui aurait tout à fait pu tenir la route avec toutes ces histoires de flics ripoux et ainsi de suite, quelque chose lui disait que ce jeune homme comprendrait très bien de quoi elle voulait parler. A moins que ses lectures ne soient un peu trop montées à la tête, pas impossible non plus.

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Listen to the wind blow, down comes the night. Running in the shadows, damn your love, damn your lies. Break the silence, damn the dark, damn the light.


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