Time is running out.

solal larsen strömsaalt

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 1) Solal a des orgines sahariennes de sa mère et Danois de son père, il a vécu toute son enfance en Nouvelle-Zélande, il a passé un an au Maroc et deux ans en Angleterre avant de revenir chez lui. Il aime voyager pendant les vacances, mais son endroit favori reste la Nouvelle-Zélande 2) Il est devenu compositeur un peu par hasard, à l’école un groupe de musique se faisait-il a proposé des lyrics a un pote ainsi que des arrangements, ils ont bien bossé ceux-ci ont eu une renommée internationale grâce à internet et de là, il a commencé a écrire pour d’autre groupe. Il a maintenant son studio d’enregistrement et il travaille à la création d’un label indépendant. 3) Il est tatoué à divers endroits du corps ce qui n’est pas vraiment au goût de ses parents qui sont plutôt traditionalistes et contre les modifications corporelles importantes.   4) Il a eu des relations assez néfastes avec des membres de groupes dont il a aimé faire la mélodie et placer les mots. Les amitiés déchirées lui ont laissé des marques. Il est plus sélectif dans son travail maintenant et sépare sa vie privée de son job autant qu’il peut. 5) Les valeurs qu’on  lui a inculquées ils les appliquent tous les jours, la politesse, le respect. Les accrochages avec son père ont été nombreux tout simplement, car Monsieur Strömsaalt ne s’est jamais reconnu des traits de son fils. 6)  Petit, il s’imaginait adopté ou alors la fantaisie était que son père était un agent secret décédé et que Strömsaalt le remplaçait pour ne pas éveiller les suspicions. 7) Il est végan et, si on le titille sur son choix de vie, il peut devenir hargneux. Il va essayer sans doute de vous convertir pour vous faire réduire votre consommation de viande. 8) Il est maniaque à cause de son petit frère. Son frère s’amusait à salir toutes ses affaires enfants alors il est devenu un tyran avec un spray. Il ne déconne pas avec les chaussures sales. Il aime que ça soit propre et se sentir bien chez lui. C’est important d’être bien chez soi, sans doute parce qu’il a eu du mal à avoir un chez lui aussi. Il est très soigneux car on lui a appris les valeurs des choses. 9) Il fait du skate depuis toujours et il continu d'en faire ça l'éclate. Il aime les sensations de liberté. 10 ) La nature est pour lui un berceau qu'il explore avec le plus grand des plaisirs.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ samuel larsen </pris> solal strömsaalt

l'histoire de ma vie

Enfance remplie de simplcitié d’un côté et de l’autre, des privilèges aberrant. Une mère simple, issue d’un petit village avec les valeurs du coeur et un père bourgeois, cérébral à souhait. Dans cette éducation vallonnée de montage, j’ai un gamin heureux, fou de la vie, totalement adorateur de la nature. On avait une cabane dans un arbre, on formait des clubs et on écoutait des cassettes audio. On jouait a la gamme boy pendant des heures, ainsi, qu’a le séga; non il y a pas à dire. Mon enfance et le début de mon adolescence ç’a été les plus beaux instants d’innocence de toute ma vie.

Devenir un homme, prendre ses responsabilités, adolescent, je n’avais qu’une seule envie c’est de flâner. L’école, ce n’était pas mon truc, ça n’a jamais été mon fort d’être comprimé dans une salle de cours. J’étais anxieux d’être entre quatre murs. J’avais besoin d’aller voir la nature. «  Travail, c’est quoi les notes que tu me rapportes là . On va prendre un professeur particulier pour que tu t’améliores » lui, mon père est un homme érudit depuis l’enfance ses facilités intellectuelles on était des atouts, mais jamais je n’étais assez bien pour lui parce que oui je n’allais pas devenir chirurgien cardiaque comme lui, c’était sur et certain.  «  J’y arrive pas » je n’y arrivais pas et je n’en avais pas l’envie non plus. Les hormones travaillaient bien assez dans mon corps pour me tourner l’esprit vers d’autre préoccupation qui me semblait plus importante. Je n’y arrivais pas et pourtant j’ai dû me battre contre l’ombre paternelle afin d’y arriver. Avoir ce fichu diplôme qui ne me sert absolument à rien aujourd’hui. Il voulait que je continue. Il voulait a tout pris que je continu mes études, mais moi, je voulais pas alors je suis partie.

Extradé dans la famille de ma mère j’ai découvert de nouvelle saveur plus simple et qui au final pour moi était les plus importantes. Je me suis ressourcé dans les rayons du soleil et puis je me suis trouvé à Londres. J’ai fait des petits jobs pour avoir un loyer et un de mes amis de lycée m’a contacté. Ce que je faisais en loisir au lycée est devenu en quelques mois mon travail, et tout ça grâce à internet. Les chansons que j’avais écrites étaient écoutées et appréciées.  Il y a dix ans cet univers n’aurait pas été accessible pour moi et pourtant j’étais dedans avec mes potes.  «  Allo, papa, ouais. Je te laisse un message pour te dire que tout va bien. J’ai un contraste. » Et puis tout ce qu’il a réussi a me sortir «  Envoie le-moi » méfiant et d’un autre siècle il a compris que ce qu’il m’arrivait, c’était pas du pipo. Des histoires compliquées sentimentalement parlant se sont enchaînées,  les soucis avec divers groupes ont montré le bout de leur nez. J’ai préféré rentrer chez moi.

Island Bay, je m’y sens bien l’inspiration vient naturellement non loin de ma famille également et puis j’ai mon appartement, mon studio d’enregistrement. La jeunesse est toujours dans mes reins me laisse aller a profiter de la vie tout simplement.