contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: i don't know where we are going - ft. Nathanaël (#) Ven 23 Fév - 22:53
I don’t know where we are going
Nathanaël & Silas
Aujourd’hui, je ne travaillais pas. Et les journées sans travail étaient devenues une véritable torture pour moi. Je tournais en rond. J’allais faire mes courses. Je rentrais. Je rangeais. Je mangeais. Et je me retrouvais de nouveau à être un lion en cage dans mon propre appartement. L’endroit que j’avais choisis, que j’avais décorée, que j’avais modelée pour qu’il me ressemble. Je ne m’y retrouvais plus. J’y étais complètement perdue. Et ce téléphone, qui me faisait de l’œil. J’avais l’impression qu’il me parlait, qu’il me hurlait « Appelle-le ! », tout le temps, même quand je le retournais, même quand je l’éteignais. J’avais besoin de prendre l’air, de m’aérer l’esprit. D’aller dans un endroit qui me faisait du bien. Le parc m’était tout de suite venu à l’esprit. Mais pas n’importe quel coin du parc, non. Ce petit banc, un peu isolé des autres, caché par un buisson énorme, et pas du tout entretenu. Quand j’y étais assise, j’avais l’impression d’être dans un autre monde, loin de tout, loin de la civilisation, et de mes problèmes. Ça m’aidait toujours à réfléchir, à faire le point sur ma vie. Et surtout à calmer ces pensées noires qui pouvaient m’assaillir. J’avais enfilée quelque chose de simple avant de sortir. Un jogging et un t-shirt. Une petite veste par-dessus pour ne pas attraper froid. C’était le matin, il faisait encore frais. Du moins pour moi, qui avait toujours vécue ici, et qui était presque prête à enfiler un pull quand la température venait à descendre en dessous de vingt-cinq degrés. Mes cheveux relevés en chignon, mon visage dépourvu de maquillage. C’était rare de me voir sortir comme ça. Mais ça arrivait. Ça me faisait du bien, de temps en temps. Et puis, ce n’était pas comme si quelqu’un allait venir me rejoindre ici. Du moins, c’était ce que je pensais. Je me trompais. Ça ne faisait que quelques minutes que j’étais assise là. Les mains dans les poches, je regardais un petit oiseau qui picorait dans l’herbe à la recherche de son repas. J’avais fini par relever les yeux, parce que je sentais qu’un regard était posé sur moi. Au fond, je savais que c’était lui. Je n’avais même pas besoin de le regarder pour en être certaine. J’étais tellement habituée à sa présence qu’à chaque fois qu’il n’était pas là, ça me faisait comme un vide. Et pourtant, j’avais toujours aussi peur de m’ouvrir à lui. Je ne comprenais pas. Je ne me comprenais pas. J’étais idiote, je le savais. « Salut… » Je lui souriais un peu, légèrement, avant de me lever. J’avais envie de fuir, mais je savais que ça ne servirait à rien. Et puis, une autre part de moi avait aussi envie de le prendre dans mes bras. Mais je me contentais de m’approcher de quelques pas, et de restée là, debout devant lui. Les yeux baissés sur mes pieds qui pouvaient rapidement devenir intéressants quand j’étais mal à l’aise. Je ne savais surtout pas quoi lui dire. La dernière fois que nous nous étions vus, j’avais fuis. Et peut-être qu’il me détestait maintenant pour ça. Je ne l’espérais pas, parce que je ne savais pas si je serais capable d’y survivre. Il était devenu mon pilier, peu importe ce que je pouvais en dire, peu importe le comportement que je pouvais avoir. Mes sentiments me faisaient délirer, et j’arrêtais pas de faire des conneries. J’étais comme ça. Je voulais changer, mais c’était compliqué. J’avais toujours peur, et la peur, ça pouvait me paralyser. J’avais l’impression d’être une enfant, alors que je ne l’étais plus depuis longtemps.
made by black arrow
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: i don't know where we are going - ft. Nathanaël (#) Mer 28 Fév - 17:14
I don’t know where we are going
Nathanaël & Silas
Tout était devenu difficile depuis que et bien que j'ai encore jouer au con. Comment je fais pour faire fuir tout le monde ? En ce moment j'ai ma mère qui ne va pas bien, je me bats avec mon père pour qu'il puisse la laisser sous ma tutelle, puis toi. Depuis la dernière soirée qu'on a faite, qu'on sait embrasse mais le truc le débile que j'ai pu faire c'est te dire se que je ressens pour toi, donc avoir des sentiments pour toi. Ouais, je pense que c'est le truc le plus débile au monde. Après Camille c'est toi. J'ai l'impression d'être maudit, ou bien j'aurais du fermer ma gueule, mais l'alcool me fait bien trop parler en ce moment. Alors oui, je sais que tu es refermer comme une huître depuis ta dernière relation, mais là.... Je pensais bien faire, puis je ne sais pas, je ne suis pas le genre de mec a devoir te cacher tout ça, non, bien sûr que non. Tu aurais vite vue que quelque chose n'allait pas chez moi quand on allait se voir, que j'allais être différent, mais surtout que j'allais être assez pensif. Aujourd'hui, j'avais finis mon boulot, puis au lieu de rentré directement chez moi, j'ai préféré partir me balader tranquillement au parc. Pourquoi ? Je ne sais pas du tout. Les mains dans mes poches de ma veste, le visage assez baisser tout en marchant tranquillement. Alors que je laisse mes jambes me guider tout en ayant mon regard déposer au sol. J'avais l'impression que tu étais là, pas loin. Je relève doucement mon visage pour regarder au alentours et secoue doucement ma tête de gauche à droite. Je suis complètement débile, ouais c'est le mot a dire. Comment je peux croire que tu serais là après la fuite que tu as eu ce soir là. Je soupire doucement puis je continue de laisser mes pas me guider. Me guider a cette endroit, endroit qu'on avait trouver tout les deux mais surtout qu'on sait ou venir quand on est au calme, et qu'on veut que personne ne nous retrouve pour des minutes ou même des heures entières. Alors que je prends inconsciemment ce chemin, comme si j'allais t'y retrouver, je me dis que c'est con et que je devrais tout simplement rentré chez moi m'occuper de toute cette merde concernant mes parents. Mais non, je n'ai pas envie, c'est comme si mon instinct me dit d'y aller. Une fois que je suis devant ce banc, tu étais là. Je relève doucement mon visage, ne pensais pas que tu allais être ici. Je te vois te lever rapidement mais aussi prendre tout aussi rapidement la parole. « Salut… » Je me pince doucement mes lèvres puis je ne sais pas je reste figer au sol, comme toi on dirait. « Salut... » Je souffle doucement, qu'est-ce que tu veux que je dis d'autre. Mon cœur me dit de rester, de te prendre dans mes bras, aussi te rassuré, mais mon esprit de commande de fuir. Et malheureusement, en baissant la tête je commence a faire marche arrière. « Je n'aurais pas du venir ici, je te laisse tranquille... » je dis doucement aussi, mais surtout parce que, j'ai encore cette petite pointe au cœur, quand tu as prit la fuite, quand tu m'as laisser en plan comme ça. Oui j'ai envie de te voir mais... Je ne sais pas, j'écoute bien trop vite mon esprit qui me dit de fuir...
made by black arrow
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: i don't know where we are going - ft. Nathanaël (#) Sam 3 Mar - 21:40
I don’t know where we are going
Nathanaël & Silas
Les relations, c’était compliqué. Beaucoup trop compliqué pour moi. En même temps, j’en avais tellement bavé. J’étais tombé que sur des cons. Jamais je n’avais connu quelqu’un de bien. Au début, c’était toujours génial. J’avais l’impression d’avoir enfin trouvée la bonne personne, avant que tout ne finisse par foirer. Et j’avais eus peur qu’il se passe la même chose avec Nathanaël. C’était pour ça que j’avais fuis. Mon dernier petit copain n’avait pas non plus arrangé les choses, vu comment ça c’était fini. J’avais plus confiance en moi depuis. Déjà qu’avant c’était pas tellement ça, mais là c’était pire. Je savais plus quoi faire. Je savais plus ce que je méritais ou non. Mais cette situation, ce malaise entre nous, alors qu’on avait toujours été les meilleurs amis du monde. Je pouvais pas le supporter. Je pouvais pas le laisser partir sans rien faire, sans le retenir. Sans essayer d’arranger les choses. Lui expliquer les choses. J’étais pas certaine qu’il comprendrait. Mais je ne pouvais pas ne pas être honnête avec lui. Il ne méritait pas ça. Il méritait tout ce qu’il y avait de mieux. Pas moi quoi. Alors, quand il avait commencé à s’éloigner, j’avais recommencée à bouger. Ma main était venue se poser sur son bras pour le retenir. « Non, reste. » Je ne voulais pas qu’il parte. Je le voulais ici, avec moi. Je voulais tellement de choses. Ça me rendait malade. J’avais l’impression d’être ce genre de filles à désirer tout le temps ce qui lui était inaccessible. C’était fatiguant. « Je pense qu’il faut qu’on discute. » Et il était temps que je prenne mon courage à deux mains. Que je le regarde dans les yeux. Première étape. C’était fait. Un petit sourire pour détendre l’atmosphère. Il devait quand même pas être bien terrible celui-là. Mais c’était mieux que rien n’est-ce pas ? Je l’espérais. Parce que je n’avais vraiment aucune envie de le voir partir. « J’ai réagis comme une conne, je suis désolée. » Admettre ça, c’était difficile, surtout pour quelqu’un comme moi. J’avais été élevée pour toujours montrer le meilleur de moi-même, et admettre que j’avais foirée quelque part… C’était difficile. Pourtant c’était le cas. Je devais assumer tout ça. Rattraper mon coup. Au moins essayer. Pour ne pas perdre cette amitié qui me tenait tant à cœur. Et si elle me tenait tant à cœur, c’était bien parce qu’il y avait beaucoup plus que des sentiments amicaux derrière. Je le savais. Lui aussi devait le savoir. Mais aucun de nous deux n’exprimait cette évidence.
made by black arrow
Invité
Invité
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: i don't know where we are going - ft. Nathanaël (#) Sam 24 Mar - 12:10
I don’t know where we are going
Nathanaël & Silas
Je n'aurais jamais penser que notre relation allait être comme ça, aussi compliquer, l'un comme pour l'autre. Je pouvais le voir si ton visage que ouais, ouais ça te fais du mal mais à moi aussi au fond. Je ne sais pas si je vais réussir a tenir comme ça encore plus longtemps. Pourquoi j'avais fais ça ? Je ne sais pas du tout ? Surement parce que tu mérite enfin quelque chose, une histoire bien meilleurs que toutes celle que tu as pu avoir. Oui je le savais, j'étais au courant de tout mais comment faire pour que tu sois enfin bien. Jouer le rôle du parfait ami ça m'allait très bien mais je commençais à en avoir marre et j'ai sûrement eu un petit moment de faiblesse vue ma vie personnelle, familiale était assez difficile mais plus que difficile, mon père m'en fais voir de toutes les couleurs et je commence a en avoir marre. Chaque endroit ou j'allais, je pense à toi, même au boulot, tu étais mon petit rayon de soleil celui qui me disais, et me faisais penser que tout irait bien. Mais ce n'est plus pareil maintenant... C'est pour ça que je voulais partir, faire demi-tour et te laisser, j'avais peur, peur de ne pas être très sympa et ça tu ne le mérite pas du tout bien au contraire. C'est au moment ou je sens ta main se déposer sur mon bras, je me stop totalement. Oui je ne voulais pas résister, mais te sentir déposer ta main sur moi, me fais doucement réfléchir. « Non, reste. » Je pince doucement mes lèvres quand tu me dis ça, je tourne doucement mon visage pour venir dépose mes prunelles sur ton visage. Tu es sincère. « Je pense qu’il faut qu’on discute. » Tu étais plus que sincère quand tu me dis ça, ouais je ne te vois pas comme tout ses hommes, ses hommes qui ne veulent que du désire qui ne veulent que s'amuser et rien d'autre. Non je ne suis pas comme ça et je ne le serais jamais. « D'accord... » Je viens alors a nouveau te faire face en continuant de te regarder, je viens alors te rendre ton sourire très léger moi aussi, mais tu me donne envie de t'écouter et personnellement je ne pense pas que je serais partie. Tu ne m'aurais pas dis ça ouais je serais totalement partie, mais là ce n'est pas le cas, tu en a envie. Je viens alors doucement passer mes mains dans les poches de ma veste en te regardant doucement près a t'écouter.« J’ai réagis comme une conne, je suis désolée. » Quand tu me dis ça, je baisse doucement les yeux, je te connaissais trop bien et je savais très que c'était assez difficile pour toi de me dire ça. Bien sûr que ce n'est jamais simple pour personne malgré que j'en sois le premier a avoir du mal a m'excuser de mes actes part moment. Je viens doucement relever le visage vers toi, puis je m'approche doucement. Je n'avais pas les mots, je ne savais pas quoi dire pour une fois. C'est rare, voir jamais, j'avais toujours ce petit mot rassurant en vers toi, mais là je n'y arrivais pas. On a le même optique, ne pas tuer cette amitié, amitié qui commence a être plus que ça. C'est pour ça que je retire doucement mes mains de poche puis je viens doucement passer une main sur ta hanche et la seconde derrière ta nuque en t'approchant contre moi. On l'attend depuis longtemps ce contact c'est pour ça que je le fais mais surtout je ne savais pas quoi dire un part un petit murmure. « C'est pas grave... » Mais je sais que tu vas dire autre chose part rapport a mes paroles, je sais que tu vas vouloir en dire plus, même si j'attends que ça, part moment je sais, non je le fais tout le temps, je laisse passer et ça ira mieux après. Sauf que là je n'aime pas te voir mal pour ça, mais comment comment faire pour que je te fasse comprendre que ouais, pour moi ça devient bien plus que de l'amitié entre nous deux. Certes tu as un physique a faire tomber des dieux sur terre, mais personnellement ce n'est pas ça que j'ai vue, sur quoi je me suis accrocher, la beauté extérieur c'est rien du tout, moi c'est ta beauté intérieur qui ma fait craquer, que ma fait fondre en faite. On pourra dire tout se qu'on veut, je m'en fous, je sais qu'au fond de toi tu es magnifique.
made by black arrow
Contenu sponsorisé
ONGLET 1
ONGLET 2
Sujet: Re: i don't know where we are going - ft. Nathanaël (#)
i don't know where we are going - ft. Nathanaël
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum