une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| such an awkward situation; galios #5 | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: such an awkward situation; galios #5 (#) Sam 10 Mar - 0:03 | |
| une nouvelle mâtinée à traîner au lit avec galaad. tu ne t'en lasses pas, jamais. tout comme tu ne te lasses pas de regarder cette bague qui trône à ta main gauche, l'engagement de tout une vie, mais ça fait des années que tu es prêt pour ça. tu voles un baiser au brun de temps à autre, riant devant son air encore endormis, tandis que tes doigts glissent contre son dos avec tendresse et délicatesse. tu as l'impression que tout redevient comme avant, qu'il n'y a jamais eu cette période de creux, cette tristesse, ce mal, cette envie de tout foutre en l'air parce qu'il n'était plus la. non. tout ça est loin derrière, très loin. un sourire tendre ne quitte pas tes lèvres, tandis que tu viens l'embrasser un peu plus longuement. tu le serres contre toi. je t'aime. tu murmures contre ses lèvres, tandis que tu enfouis ton visage dans son cou. tu aimes ces câlins matinaux. tu aimes lui dire, lui répéter combien tu l'aimes. tu termines par t'étirer longuement - à la manière d'un chat, comme galaad te le dis si bien - et tu te redresses en peu, tes doigts chassant ses mèches de son front. tu te penches pour embrasser le bout de son nez en riant, quand tu entends sonner. j'y vais. tu souffles en attrapant un pantalon de jogging (qui appartient à galaad, tu le remarques en l'enfilant) et un t-shirt que tu termines d'enfiler au moment ou tu arrives devant la porte. tes doigts passent rapidement dans tes cheveux pour les chasser de ton visage et tu ouvres. tu te retrouves face à un couple d'un certain âge déjà. tu ne dirais pas spécialement vieux, mais disons qu'ils pourraient aisément être tes parents. et quand cette pensée t'effleure, tu es loin de t'imaginer qui ils sont. tu te pinces les lèvres. oui ? c'est pour ... ? tu demandes en te pinçant rapidement les lèvres. tu prends le temps de détailler les deux visages face à toi et ... tu sais pas, c'est un peu étrange comme sensation. la femme te détaille entièrement et tu te sentirais presque mal à l'aise face à son regard. tu te mords l'intérieur de la joue et esquisse un sourire un peu gêné. on nous a dit que galaad vivait ici. oh. oh. tu n'es pas certain de totalement comprendre encore, mais tu te décales légèrement de la porte d'entrée pour les laisser entrer. tu offres un sourire toujours un peu nerveux, tandis que tu t'avances un peu dans le couloir. chéri ? tu hausses légèrement la voix, tu as pris cette habitude de l'appeler comme ça, maintenant. tu peux venir ? tu ajoutes, tandis que tu te tournes de nouveau vers le couple, tes doigts glissant dans ta nuque que tu viens masser. est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire... ? tu demandes doucement, mais le bruit de galaad dans le couloir détourne bien rapidement ton attention tandis que tu lui souris tendrement. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Mar 13 Mar - 22:39 | |
| J’aimais ce genre de début de journée. Comme tous les matins depuis noël. Depuis que l’on est fiancé. Pas que les matins d’avant étaient nuls, mais ils n’avaient pas cette saveur d’un bonheur durable, d’avoir trouvé le but de ma vie. C’est étrange dit comme cela, mais c’est pourtant ce que je ressens à ce moment-là. Et surtout ils n’avaient pas ces bagues que l’on porte à l’annulaire. Je profite de ta tendresse, te la rendant tout aussi bien. Tout en sachant comment cela allait se terminer : par une nouvelle partie de jambes en l’air. Tous les matins se terminaient de la même manière. On avait tous deux ce besoin impérieux de se fondre dans l’autre, que ce soit doux, passionné, parfois brutal. Je ne me lassais pas de ton corps, de l’aduler comme il se doit. Je me presse contre ton corps avant de caresser tendrement ta joue. « Moi aussi bébé » Je souris doucement. Tu t’étires tout contre moi, je plante mes mains contre tes hanches pour sentir tes muscles rouler contre ma paume. Je glisse mes mains sur tes hanches. « Vil tentateur… » Je souris avec malice avant de ronchonner en entendant la sonnette retentir. Qui ose nous déranger ? Qui plus est à cet heure-ci ? Je fronce les sourcils mais ne bouge pas de ma place car je n’en ai aucune envie. Pourtant tu finis par m’appeler alors que je n’entends pas un bruit. Je fronce les sourcils, me dépêchant de me lever et de m’habiller à peu près correctement, ignorant encore ce qui m’attend de l’autre côté de la porte. Pourtant je sens comme une certain lourdeur dans l’atmosphère, ce qui me dit rien qui vaille. J’enfile un vieux jean et un tee-shirt avant de passer dans le salon. « Oui??? C’est qu.. » Ma phrase se meurt sur mes lèvres quand je vois mes parents sur le seuil du salon. Instinctivement je serre les poings, tentant de contrôler la rage qui s’empare de moi. « Qu’est-ce que vous foutez-là ? » Je ne prends même pas conscience que je te coupe la parole, et je ne fais pas attention à ton malaise. Je suis simplement concentré sur le fait que mes parents viennent souiller notre appartement. « Ils ne voudront rien boire, de toute manière ils ne vont pas rester longtemps. » Je crache, méchamment. « Galaad… » Geint ma mère. Je lève les yeux au ciel, la rage battant la chamade. « Quoi ? » Je crache. Je secoue la tête tout en croisant mes bras. « Ca fait longtemps que vous n’avez plus le droit de régir ma vie, vous l’avez perdu il y a sept ans. » « Galaad ça suffit maintenant ! » Me reprend mon père. Le pire de tous. « On est venu ici pour parler, alors tu nous écoutes ! » J’éclate d’un rire sinistre, glacial. « Oh, tu me parles maintenant ? Pourtant il semble me souvenir que c’est toi qui m’a fermé la porte ? » Je tremble de rage. Mon père n’a jamais aimé l’affront que je lui ai fait d’avoué que j’étais gay. Et je ne leur pardonnerais jamais de ce qu’ils m’ont fait subir quand ils espéraient que ce n’était qu’une passade. Et qu’ils m’ont fermé la porte au nez quand ils ont compris que je ne changerais pas. Je sens une main qui se veut réconfortante sur mon avant-bras. Je me dégage brutalement. « Tu n’aurais pas dû les faire entrer, ils vont tout gâcher. » Je te lance un regard haineux. Je n’avais jamais fait preuve d’une telle rage envers toi, même quand j’ai appris que tu étais strip-teaser. La seule chose que tu savais de mon passé c’est que je refusais d’en parler. « On a appris que tu allais te marier…. » Petite voix de ma mère. « Et ? Vous voulez m’en dissuader c’est ça ? » Je secoue la tête, je ne vois pas pour quelle autre raison ils seraient là. Je vois à leurs visages que j’ai raison. Mais j’ignore encore à quel point. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Jeu 15 Mar - 1:04 | |
| tu es loin de te douter de ce que tu déclenches, quand tu laisses ce couple d'un certain âge entrer dans le petit appartement que tu habites avec galaad. et, heureusement, le salon et la cuisine ouverte sont plutôt rangés. un ou deux papiers important qui traîne et un verre vide qui date sans doute d'hier soir. tu te mords l'intérieur de la joue tandis que tu appelles ton homme. et c'est la que tu comprends. qu’est-ce que vous foutez-là ? t'as vraiment fait une grosse erreur. il n'y a que deux personnes qui peuvent provoquer cette rage chez ton homme. ses parents. ils ne voudront rien boire, de toute manière ils ne vont pas rester longtemps. tu déglutis lentement et tu te rapproches doucement de galaad, tandis que sa mère émet un petit bruit. son prénom, simplement. tu ne sais pas du coup comment réagir à la situation. quoi ? ça fait longtemps que vous n’avez plus le droit de régir ma vie, vous l’avez perdu il y a sept ans. tu prends une douce inspiration. bordel, t'aurais vraiment pas du trouver le courage de quitter votre lit. t'aurais pas dû venir ouvrir. galaad ça suffit maintenant ! on est venu ici pour parler, alors tu nous écoutes ! oh, tu me parles maintenant ? pourtant il semble me souvenir que c’est toi qui m’a fermé la porte ? tu te pinces les lèvres et tu viens poser une main sur le bras de galaad, en essayant de le calmer un peu. tu viens pour glisser ta main dans son dos. gal... tu tentes, mais il s'est déjà dégagé de ton emprise. tu n'aurais pas dû les faire entrer, ils vont tout gâcher. tu fronces les sourcils face à son regard noir et tu ouvres la bouche pour répondre, sans pour autant réussir à articuler quoi que ce soit. il est vraiment en colère et ... putain, tu l'as jamais vu comme ça, galaad. et ça te ferait presque peur, de savoir qu'il y a une facette de lui que tu ne connais pas encore, que tu ne sais pas apprivoiser. on a appris que tu allais te marier…. tu tournes la tête vers la mère du brun. et tu ne sais pas quoi penser d'elle. son père lui, tu l'as déjà catégorisé comme un connard. tu te pinces les lèvres et tu te retrouves totalement démuni, tu ne supportes pas cette situation. et ? vous voulez m'en dissuader c'est ça ? et la réponse se lit sur le visage de ses parents. tu prends une douce inspiration et tu te rapproches de galaad. une nouvelle fois. ta main glisse d'autorité dans son dos et tu pries silencieusement pour qu'il ne te repousse pas une nouvelle fois. j't'aime. j't'aimerais toujours, rien ne changera jamais ça. tu viens souffler contre son oreille pour essayer de le calmer un peu. tu tournes la tête vers ses parents et tes doigts glissent dans tes cheveux. j'pense que votre place n'est pas ici. et je vous prierais de sortir de mon appartement. vous avez déjà fait assez de dégâts comme ça, pas besoin de venir en rajouter une couche des années plus tard. tu lâches d'une voix glaciale. tu restes le plus poli possible. tu veux tenir le coup pour galaad. son père te fusille du regard et tu soutiens son regard sans peur. toi tu la fermes, tu es celui qui a perverti notre fils et j'ai pas envie d'entendre le moindre mot sortant de ta bouche. tu déglutis lentement. tu ne t'attendais pas à ça, très clairement. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Jeu 15 Mar - 14:33 | |
| Je ne peux pas te blâmer pour quelque chose dont tu ignores les conséquences désastreuses que ça pet avoir sur moi, sur notre couple. Ils viennent souiller notre cocon avec leurs mépris, leurs intolérances et leurs indifférence. J’aurais voulu que jamais ils ne mettent les pieds ici, que tu ne découvrent pas qui ils sont. Malheureusement on ne peut pas revenir en arrière. Je leur fais face, et je me transforme littéralement. Je serre les poings à m’écorcher les paumes, je tente de contenir ma rage contre eux. Pourtant ils ne méritent que ça. Je ne veux pas leur faire ce plaisir de les écouter parce que je sais déjà pour quoi ils sont venu. Pour me ramener à la raison comme ils disent. Pour retirer le diable de mon corps, probablement. La situation risque de dégénérer d’un moment à l’autre. Parce que je ne les laisserais pas gâcher ce que l’on a construit depuis sept ans. Sans toi je ne serais certainement plus de ce monde. Pourtant la colère m’aveugle et je te repousse froidement. Je vois que je t’ai blessé, et je m’en veux immédiatement, parce que je sais au fond de moi que ce n’est pas juste. Mais les excuses seront pour plus tard, je suis bien trop enragé pour le moment pour parvenir à me calmer. Je voulais qu’ils partent, loin. Ce qui n’a pas l’air d’être le cas pour le moment, ils semblent déterminer à aller au bout de leur démarche perfide. Je comprends que jamais ils n’accepteront qui je suis réellement. Ma mère aurait peut-être pu le faire si elle avait été assez forte pour oser s’opposer à mon père. C’est ce qui me met le plus en colère vis-à-vis d’elle, je ne pourrais jamais lui pardonner de n’avoir rien dit lorsque mon père me rabaisser, pire que de la merde. J’ai peut-être leur sang qui coule dans mes veines, mais c’est la seule chose que l’on a en commun. J’ai beau le savoir ce n’est pas pour cela que ce n’est pas douloureux. Peut-être que cette confrontation allait sonner le glas de la famille Rozwell. Je secoue la tête, amère. Il n’y aurait plus de pardon pour eux, ce n’est plus possible. Je te sens te rapprocher de nouveau. Et même si je me tends légèrement, je ne te repousse pas, bien trop sonné par ces retrouvailles. Je viens même enlacer nos doigts ensemble, pressant très fortement tes doigts contre les miens, n’ayant même pas conscience de les écraser. Tu me murmures des mots doux qui m’apaise légèrement, mais tant que mes parents ne seront pas parti, cela ne me calmera pas pleinement. Tu sembles le comprendre car tu leur demandes de partir, pour ma plus grande surprise. Je tourne mon regard vers toi, si c’était possible je tombe encore plus amoureux de toi. Tu avais fait ce que personne n’avait jamais fait : tu t’étais confronté à mes parents. Je me sens fier de t’aimer et de me sentir aimé par toi. Mais mon sang ne fait qu’un tour lorsque j’entends celui qui est mon paternel t’insulter. J’écrase tes doigts une dernière fois avant de partir sur lui à la vitesse de l’éclair. Je l’écrase avec violence contre le mur, mes mains contre son col que je resserre avec une force inouïe. « Répète un peu ce que tu viens de dire ? » À son sourire narquois je comprends qu’il le redirait sans hésitation, et je resserre mon emprise, me rendant à peine compte que je commence à l’étrangler. « Le seul qui m’a perverti c’est toi. C’est toi qui devrait donc la fermer. Et tu es ici chez nous, tu n’as aucun droit. Alors à partir de maintenant tu vas m’oublier, repartir de la merde où tu es, et surtout tu ne songes pas une seule seconde à revenir ici ou je m’occuperais personnellement de vous. Je vous fais la promesse que si vous touchez un seul des cheveux de mon fiancé, je vous tue de mes mains. » Je suis on ne peut plus sérieux. Ma mère se dépêche d’ouvrir la porte pour prendre la fuite, comme d’habitude. et je balance vivement mon père à l’extérieur qui n’en mène pas large en se frottant sa gorge douloureuse. Je suis incapable de bouger du sas d’entrée, mes épaules se soulevant au rythme de ma respiration. Je n’avais jamais menacé quelqu’un et je venais de le faire avec parents. Mais je recommencerais sans aucune hésitation si ça concerne ma famille, qui se délimite à Hélios et Sierra. JE sens ton corps dans mon dos et je lâche toute la tension qui s’est accumulé. Je m’effondre contre toi, tremblant, te laissant porter mon poids. Ma tête se relâche contre ton épaule. « Ne me laisse pas…. » Je supplie, à peine un murmure. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Ven 16 Mar - 0:21 | |
| tu ne savais pas que galaad pouvait se mettre en colère à ce point. même quand il a découvert ton ancien emploi, il ne l'était pas autant. et si tu ne le connaissais pas autant, si tu ne l'aimais pas autant, sans doute qu'il te ferait peur, à ce moment précis. il ne t'a jamais parlé de ses parents, pas plus que ça. et tu comprends pourquoi. tu vois l'état dans lequel il est et putain, tu t'en veux. tu ne supportes pas les paroles de son père. sa mère semble plus encline à accepter votre couple, mais elle semble aussi bien trop soumise au patriarche rozwell. tu ne sais pas comment réagir quand galaad te repousse une première fois. et tu essayes de ne pas lui en tenir rigueur, le moins possible. tu retiens un soupir et tu retentes ta chance, tes lèvres contre son oreille pour lui souffler quelques morts et pour essayer de le calmer. ta main qui s'impose dans son dos. tu te tournes vers ses parents, leur priant de se barrer d'ici de suite. tu essayes de rester le plus calme possible. pour galaad. rien d'autre. mais son père ne semble pas prêt à partir. ses mots qui te percutent, ton regard plus sombre et tu n'as pas le temps d'empêcher galaad de se jeter sur lui. répète un peu ce que tu viens de dire ? gal ! tu tentes presque désespérément en agrippant ses épaules pour essayer de l'éloigner. le seul qui m’a perverti c’est toi. c’est toi qui devrais donc la fermer. et tu es ici chez nous, tu n’as aucun droit. alors à partir de maintenant tu vas m’oublier, repartir de la merde où tu es, et surtout tu ne songes pas une seule seconde à revenir ici ou je m’occuperais personnellement de vous. je vous fais la promesse que si vous touchez un seul des cheveux de mon fiancé, je vous tue de mes mains. tu te pinces les lèvres et l'observes faire, te sentant totalement impuissant. tu te retrouves tout de même avec lui dans l'entrée. tu ne l'as jamais vu comme ça, et durant quelques instants, tu as une petite hésitation. mais tu viens tout de même te glisser dans son dos pour le serrer contre toi. et il se laisse totalement aller dans tes bras. tu te mords l'intérieur de la joue en retenant son poids au mieux, enroulant tes bras autour de son dos et de ses épaules pour le soutenir contre toi. ne me laisse pas… tu fermes les yeux jamais. tu murmures. tu viens glisser tes doigts dans ses cheveux avec douceur, avant de relever son menton pour croiser son regard. je te laisserais jamais gal. toi et moi c'est jusqu'à la mort maintenant. je t'aime tellement fort si tu savais ... tu murmures avant de venir l'embrasser avec douceur, essayant de lui transmettre tout l'amour que t'as pour lui. aller amour, on sera mieux sur le canapé. tu chuchotes. t'es pas si léger que ça. tu ajoutes en souriant tendrement, le gardant contre toi tandis que vous terminez tout le deux sur le canapé. tu viens de suite le prendre dans tes bras et le serrer contre toi. tes mains glissent dans ses cheveux avec douceur et délicatesse. tu fermes les yeux quelques instants. tu le gardes contre toi, ne desserrant pas ton emprise. ça va mieux ? tu demandes après de longues secondes de silence. tu viens déposer un baiser tendre contre ses lèvres. tu ne le forceras pas à parler s'il n'en a pas envie, tu te contentes simplement de glisse rune main réconfortante dans son dos, traçant de petit cercles contre le tissu de son haut. je suis désolé de les avoir fait entrer. tu chuchotes doucement. si t'avais su, sans doute que la porte aurait claquée rien qu'en découvrant leurs visages. tu te pinces légèrement les lèvres. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Dim 18 Mar - 11:37 | |
| Je me mettais rarement en colère, ou plutôt je ne me mettais jamais en colère. Et surtout pas contre toi. Jamais je ne pourrais me mettre vraiment en colère ou me montrer violent envers toi. Cela n’empêchera bien sûr pas les disputes d’éclater entre nous, mais jamais je ne lèverais la main sur toi. C’était la seule chose dont je serais bien incapable. Je t’aime trop pour cela. C’est aussi pour cela que j’ai voulu te protéger et te cacher tout ce qui s’est passé avec eux. Je voulais commencer une nouvelle vie avec toi et oublier ce passé. Je sens ta culpabilité, et je soupire, car je sais que je suis un peu fautif. Si tu avais su, tu ne les aurais pas laissé entrer. Ce n’est pas à toi que j’en voulais. Mais à eux d’avoir osé venir ici, alors qu’ils savaient pertinemment que je n’accepterais pas leurs présences dans mon appartement. Ils savaient que je ne leur pardonnerais jamais. Je ne sais vraiment pas ce qu’ils cherchaient à part tenter de gâcher mon bonheur. Tu prends ma défense ce qui déclenche encore plus la colère de mon paternel. Et de surcroît cela me met dans une rage terrible. Je n’ose pas accepter ces paroles à ton encontre. Je fonds à une vitesse impressionnante sur mon père. N’hésitant pas une seule seconde à le menacer des pires maux possibles. Tu tentes de m’arrêter mais je refuse de t’écouter. Je veux qu’ils comprennent que l’on ne peut pas s’en prendre impunément à toi sans en subir les conséquences. Je ne laisserais personne te faire du mal, j’en fais la promesse solennelle. Je peux être excessif dans mes propos, mais je ne regrette pas à un seul moment mes propos. Tu es ma vie, et je ferais l’impossible pour te garder. Je sens ton regard sur moi et je me doute qu’à un moment donné tu me demanderas des explications. Je pourrais supporter tes réprimandes mais pas le fait que tu aies peur de moi. La pression commence à redescendre très doucement. Mais la pression lâche quand tu passes tes bras autour de moi. Je m’écroule dans tes bras, relâchant toute cette colère et surtout cette peur qui emballe mon cœur. Je laisse place à une certaine fébrilité. Et je baisse toutes les barrières à ton contact. Tes mots me font un bien fou, et je me laisse aller contre toi. Je plonge mon regard dans le tien, y puisant la force que tu me donnes. Et je t’aime encore plus. Je ne dis pas un mot je suis encore incapable de desserrer les lèvres. Je prolonge tendrement le baiser. J’ai encore l’impression d’être à côté de la plaque. Je te suis dans le canapé, ne m’éloignant pas un seul instant de toi. Je m’installe et cale ma tête dans ton cou. J’avais ce besoin de te laisser prendre les rênes de notre relation. Je glisse mes bras autour de ton torse, et j’écoute ton cœur battre, ça m’apaise. Tout comme tes mains dans mes cheveux. Je soupire de satisfaction. tu sais comment me faire du bien.Je hoche doucement la tête. « Oui, grâce à toi. » Ma voix est chevrotante. Je glisse mes mains sous ton tee-shirt, posant mes mains à même ta peau. « Jamais j’aurais pensé les revoir. » J’avoue d’une voix triste. Je ne te regarde pas pour le moment mais je me redresse vivement quand tu t’excuse. « Hey, tu ne pouvais pas savoir bébé. Ce n’est pas à toi que j’en veux mais à eux. » Je viens t’embrasser doucement. Ma main droite remonte encadrer ta joue. « Au contraire, heureusement que tu étais là. Personne n’a jamais pris ma défense contre mes parents, tu sais. » Je soupire doucement alors que je me réinstalle contre toi. « Ils savaient que je ne voulais plus jamais les revoir. Je ne leur pardonnerais jamais de m’avoir dit que j’étais le diable réincarné. Que je devrais être exorcisé pour enlever le démon qui m’habitait. Tout simplement parce que j’aime les hommes. » Et ce n’était qu’une petite part de tout ce qu’ils m’ont lancé aux visages. « Et tant d’autres choses dont je refuse de me souvenir. » Je ferme les yeux, ayant un autre aveu à te faire. Un aveu qui pourrait changer plein de choses entre nous. « Si je ne t’avais pas croisé quelque mois plus tard une paire d’yeux dont je suis tombé éperdument amoureux, je ne serais peut-être plus là aujourd’hui. » Je t’avais rencontré dans un moment où je n’allais vraiment pas bien du tout. Mais tu avais éclairé ma vie. Et je me remettais à sourire en ta présence, oubliant mes propres soucis dont je ne voulais pas t ‘encombrer. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Dim 18 Mar - 15:57 | |
| tu ne sais pas vraiment comment gérer la situation. galaad ne s'énerve que très rarement et, de ce que tu as pu voir, le peu de fois ou vous vous êtes disputez, ce n'était pas grand chose à côté de la colère qui l'envahit en présence de ses parents. et tu te sens coupable. coupable d'avoir gâché votre matinée alors qu'elle commençait si bien, coupable d'avoir laissé ses parents entrés, d'avoir appelé galaad comme si de rien n'était. tu te pinces les lèvres et l'agrippes contre toi quand tu le sens craquer, une fois la porte claquée. tu fermes les yeux, ton étreinte ne se desserre pas, jamais. tu viens l'embrasser avec douceur et ça te soulage déjà de le sentir répondre à ton baiser. tu as l'impression qu'il se calme doucement, qu'il suffit simplement de laisser le temps s'écouler pour que ça aille un peu mieux. vous terminez sur le canapé, tu gardes gal contre toi, tes bras enroulés autour de ses épaules et de son dos. tu le laisses poser sa tête contre ton torse et tes doigts glissent dans ses cheveux à plusieurs reprises, écartant les mèches brunes, jouant un peu avec par moment. tu restes silencieux deux minutes ou peut-être cinq, tu n'en sais trop rien. et tu termines par parler, lui demandant avec douceur si ça va mieux. tu ne veux pas le brusquer. oui, grâce à toi. tu te pinces légèrement les lèvres et tu hoches la tête. tu frissonnes doucement quand ses mains glissent sous ton haut, mais tu le laisses faire, tes propres doigt glissant dans son dos dans un geste réconfortant. jamais j’aurais pensé les revoir. tu hausses doucement les épaules. ça arrive, ce genre de moment. tu ne sais pas réellement quoi lui dire, ton père t'as toujours soutenu, ta mère un peu moins, certes ... mais elle n'est jamais arrivée aux mêmes extrêmes que les parents de ton fiancé. tu n'as même pas envie de les considérer comme tes beaux-parents. hey, tu ne pouvais pas savoir bébé. ce n’est pas à toi que j’en veux mais à eux. tu hoches la tête et tu réponds avec douceur à son baiser. au contraire, heureusement que tu étais là. personne n’a jamais pris ma défense contre mes parents, tu sais. je te défendrais toujours. contre n'importe qui. tu murmures avec douceur en laissant tes doigts glisser une nouvelle fois dans ses cheveux. tu le laisses se réinstaller contre toi. ils savaient que je ne voulais plus jamais les revoir. je ne leur pardonnerais jamais de m’avoir dit que j’étais le diable réincarné. que je devrais être exorcisé pour enlever le démon qui m’habitait. tout simplement parce que j’aime les hommes. et tant d’autres choses dont je refuse de me souvenir. n'y penses pas, alors. tu souffles simplement, tu viens effleurer sa joue du bout des doigts. et puis ... il me semble que tu n'aimes qu'un seul homme, mm ? tu demandes en riant doucement. tu sais bien que ses parents n'ont jamais été tendres et ... tu ne préfères même pas imaginer, au fond. tu manques un petit soupir. n'y penses plus, ils n'ont rien à te dire, c'est ta vie, t'en fais ce que tu veux ... tu souffles simplement. tu le gardes toujours contre toi. si je ne t'avais pas croisé quelque mois plus tard une paire d'yeux dont je suis tombé éperdument amoureux, je ne serais peut-être plus là aujourd'hui. ton cœur se serre à ses mots, tu fermes les yeux quelques instants et tu le serres un peu plus fort encore. n'y penses plus. tu murmures encore une fois, tu supplies presque. tu attrapes son visage pour plonger ton regard dans le sien. je serais toujours là pour toi, galaad. j'te laisserais jamais tomber. ni devant aux, ni devant personne. tu souffles avec une sincérité qui t'écrase le palpitant. tu reviens l'embrasser une nouvelle fois, tu veux lui montrer à quel point tu tiens à lui. je t'aime. tu murmures contre ses lèvres en encadrant son visage de tes deux mains. tu l'aimes tellement fort, depuis tellement de temps déjà. je t'aime tellement. rien ni personne ne pourra m'empêcher de t'aimer, gal. tu ajoutes après quelques secondes de silence. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Lun 19 Mar - 11:25 | |
| J’avais juste besoin de ta présence. Pas besoin d’autre chose pour me calmer. Parce que je n’avais pas besoin de m’énerver contre toi. Pourtant, lorsque j’ai découvert ce que tu m’avais caché depuis longtemps, j’avais été en colère. Mais pas au point de te haïr. Et là était la grande différence. Je serais bien incapable de te détester au point où je déteste mes parents aujourd’hui. Je ne t’avais jamais vraiment parlé de ce sujet épineux. Je voulais simplement oublier et écrire une nouvelle page de ma vie. Tu me soutiens, aussi bien physiquement que moralement. Je ne m’écroule pas et c’est grâce à toi. Je ne m’éloigne pas de toi, me calant confortablement contre toi. Mon cœur se calme et ma colère finit par s’envoler alors que tu me berces presque comme un petit enfant. C’était ce genre de tendresse que j’avais besoin, pour le moment. Je ferme les yeux et je frémis en sentant tes doigts dans mes cheveux, ce qui me calme instantanément. Si j’étais un chat, je ronronnerais de plaisir. Alors je me contente simplement de me coller un peu plus contre toi, et de laisser mon corps se détendre tout contre le tien. Tu brises le silence, et je ne t’en veux pas. Je n’ai pas la force d’entamer une grande discussion, mais je te réponds que je me sens un peu plus léger, ce qui est déjà très bien. Je veux sentir ta peau et je glisse donc mes mains sous ton haut. Je voulais aussi t’apporter le peu de réconfort que je peux. Parce que je ne doute pas que ce n’est pas confortable pour toi cette situation. Tu le prouves en t’excusant de les avoir fait entrer. Alors que tu ignorais tout de la situation. Je sais que je me suis un peu emporté contre toi, et je le regrette, mais je suis encore trop bouleversé pour parvenir à m’excuser verbalement. Alors je m’excuse par des gestes tendres. Je t’avoue que je suis même touché par le fait que tu as pris ma défense. Ce que tu assures de toujours faire. « Je sais. Encore une réponse succincte, mais tellement lourde de sens. Je n’ose pas t’affronter visuellement en t’avouant ce que j’avais dû subir verbalement, et parfois physiquement, avant de te rencontrer. Et t’en parler, ça m’allège, comme si je portais ce poids depuis trop longtemps. Je ferme les yeux, presque douloureusement. Et tu allèges l’atmosphère par une blague bien à toi. Je souffle avant de secouer la tête. « Je n’en aimerais que un. Mais il a bien fallu comprendre que je m’intéressais aux hommes, avant toi. » Mes yeux se sont posés sur des centaines d’hommes mais mes mains n’ont aimées qu’un seul corps. Je relève le visage pour rencontrer tes yeux, dans lesquels j’aime tant me noyer. Je pouvais tout oublier si c’est pour être avec toi. Je m’allonge t’emmenant avec moi, me donnant l’accès à ton dos où je pose mes mains. « Ils ne m’empêcheront pas de t’aimer, je te le promets. » Je glisse de nouveaux mes mains sous ton tee-shirt. C’était pire qu’une drogue. Et je finis par t’avouer ce que tout le monde ignore dans mes amis. Je n’en ai jamais parlé. J’avais bien trop honte pour assumer ce moment de faiblesse. Heureusement tu étais arrivé à temps dans ma vie. Je secoue la tête. « J’ai arrêté d’y penser quand tu es définitivement entré dans ma vie mon amour. » Bien sûr je ne peux pas garantir que je n’y repenserais pas de nouveau si notre couple venait à se déchirer de manière définitive, mais tant que tu es là, la vie m’habiterait. Je ferme les yeux pendant quelques secondes, ému par tes paroles sincères. C’était tout ce que j’avais besoin d’entendre. « Tu es ma seule famille maintenant. » Je souffle avant de prolonger ton baiser. Je glisse mes mains dans ton cou, pressant cette peau si tentatrice. « Je t’aime plus que tout on chat. » Je me redresse pour t’embrasser de nouveau, avec plus de passion. Je voulais oublier cet épisode douloureux. « Aime-moi… » Je te supplie presque, glissant mes mains dans ton dos afin de retirer ton tee-shirt. Je voulais oublier cette douleur, et le seul moyen était de me noyer dans une étreinte charnelle. Mais je n’avais pas l’énergie de prendre les rênes. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Lun 19 Mar - 13:30 | |
| cette situation te dépasse. tu as cette impression de ne rien contrôler de d'enchaîner un bon nombre de conneries. tu te mords l'intérieur de la joue, tu gardes galaad contre toi, au plus près de toi, sans jamais desserrer ton emprise sur lui. tu as encore du mal à comprendre ce qu'il s'est passé. tout est allé trop vite, mais tout ce que tu en retiens, c'est l'état du brun contre toi. et tu ne peux - tu ne veux - pas imaginer ce que ses parents ont pu dire ou pire, faire, quand il était plus jeune. tu aurais aimé le connaître depuis toujours, galaad. pouvoir le défendre et le soutenir face à tout ça. mais tu n'es arrivé dans sa vie que quelques années plus tard, quand vous sortiez de l'adolescence, affichant une belle vingtaine. et même si ça te tue de ne pas avoir été la plus tôt, tu seras toujours la pour lui, à présent. je sais. tu fermes les yeux quelques secondes. ça te fait mal d'entendre ça, mais tu le laisses parler, se confier. tu sais que lui, ça lui fait du bien, sans doute. il ne le ferait pas, sinon. tes mains voyagent distraitement dans son dos et tu manques un petit soupir à plusieurs reprises. tu termines par détendre un peu l'atmosphère, quelques mots glissant d'entre tes lèvres et tu esquisses un petit sourire. je n’en aimerais que un. mais il a bien fallu comprendre que je m’intéressais aux hommes, avant toi. mm, fait gaffe, j'vais être jaloux si tu me parles d'autre mecs. tu souffles en riant un peu, croisant son regard, pouvant sans doute t'y perdre sans hésitations. et puis il y a ces révélations, ce geste qu'il a faillit commettre, il y a des années maintenant. et, bordel, tu aurais tant aimé pouvoir le soutenir plus tôt. tu fermes les yeux et tu le serres fort contre toi. tu laisses galaad faire quand il s'allonge, t'emmenant avec lui. et vous vous retrouvez étroitement liés l'un à l'autre sur le canapé qui semble bien trop petit. ils ne m’empêcheront pas de t’aimer, je te le promets. tu manques un léger souffle, tu ne veux plus qu'il pense à tout ça. tu te pinces les lèvres et tu viens embrasser le haut de son front. j’ai arrêté d’y penser quand tu es définitivement entré dans ma vie mon amour. tu hoches doucement la tête. tu veux le croire. au fond, tu aimes penser que c'est grâce à toi qu'il tient. tu te mords l'intérieur de la joue. tu es ma seule famille maintenant. je t'aime plus que tout mon chat. tu souris doucement quand ses mains pressent ton cou et ta nuque et tu te penches un peu pour répondre à son baiser avec douceur et amour, tes mains se baladant un peu partout sur son corps. aime-moi... tu fronces légèrement les sourcils quand il glisse ses doigts contre toi pour retirer ton t-shirt et tu ris un peu. tu viens lui voler un baiser et te redresses un peu. viens avec moi dans la chambre, amour. tu souffles en attrapant ses mains avec délicatesses. tu viens l'embrasser, tes doigts glissant contre ses hanches pour le garder contre toi, avant que tu ne te diriges vers votre chambre. vous y serrez bien mieux installés. arrivé dans la pièce, tu viens le pousser en arrière, sur le matelas, avant de grimper à califourchon sur ses hanches, te penchant pour l'embrasser plus durement, tes mains glissant sous son haut, caressant encore et encore son torse, avant de lui retirer le tissu. t'es tellement beau. tu souffles en souriant, venant attraper sa lèvre inférieure entre tes dents, avant de l'embrasser longuement. tellement beau pour moi. tu murmures contre ses lèvres, avant de plonger dans son cou et de venir sucer durement une marque violacée dans son cou, laissant le sang affluer à la surface de son épiderme, un des nombreux signe de ta possessivité. il t'appartient, pour le restant de vos vies. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Lun 19 Mar - 18:36 | |
| Mes parents avaient un tel effet néfaste sur moi que c’est très difficile de trouver les mots justes. Je parle de la situation maintenant parce que je sais que plus tard je serais bien incapable d’en parler. J’avais besoin de déverser cette haine, de me décharger pour aller définitivement de l’avant. De tourner cette page afin d’en écrire une nouvelle avec toi. Parce que c’est le plus important. Je veux exclusivement me concentrer sur toi et sur notre bonheur. Tu es comme ma bouée de sauvetage, celle qui me permet de tenir la tête hors de l’eau. Tu étais simplement mon oxygène. Mais tu devais connaître cette partie de ma vie. Il aurait bien fallu que je t’en parle un jour. C’était peut-être le bon moment. Mais ce n’était pas pour que tu culpabilise de ne l’avoir pas su ni même d’avoir été là. Parce que tu n’aurais rien pu changer, j’en suis persuadé. Je te serre compulsivement contre moi, ressentant le bienfait de sentir le poids de ton corps contre le mien. Tu finis par détendre cette ambiance quelque peu mortuaire. Je souris amoureusement alors que tu avoues que tu pourrais être jaloux. « Tu sais que j’adore te voir être jaloux, ça te rend encore plus sexy. » Je souris tout en séchant les larmes qui menaçaient de couler. Et j’aimais bien savoir que je ne suis pas le seul jaloux dans le couple. Bon, tu n’es probablement pas aussi jaloux que moi, mais c’est quand même rassurant. Même si tu n’avais pas à t’inquiéter car je ne peux plus regarder un homme, ils sont tellement ternes à tes côtés. Et je suis totalement à toi, encore plus avec ces bagues qui ornent nos doigts. J’ai à la fois hâte de signer ces papiers et de porter ton nom, et j’ai à la fois une appréhension à l’idée que ça se passe mal. À l’heure d’aujourd’hui, plus aucun secret n’est entre nous. Je t’ai dévoilé ce que j’avais de plus honteux. Je ferme les yeux avant de te serrer un peu plus contre moi. Je n’aime pas te sentir aussi fébrile par ma faute. J’ai connu une période de fragilité psychologique, mais elle est désormais révolue. Je suis plus fort grâce à toi, à ton amour. Bien sûr je ne suis pas à l’abri d’une rechute, mais j’ai du mal à y croire. Pas tant que tu seras dans les parages. Mes parents ont bien travaillé pour saccager ma confiance, mais ils n’ont pas réussi à m’achever. Je savoure tes lèvres sur les miennes. Je frissonne sous tes mains, mes hanches cherchant un peu plus ton contact. J’ai ce besoin impérieux de m’unir à toi pour oublier tout ça. Je passe mon index sur le pli entre tes deux sourcils. Je retire ton haut, me léchant les lèvres, par pure gourmandise. Mes yeux dévorent chaque partie de ton torse, me délectant de cette vue paradisiaque. Tu me tires pour que l’on aille dans la chambre. Je me colle contre toi, j’avais aucunement l’intention de me décoller de cette source de chaleur. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Mar 20 Mar - 14:00 | |
| tu sais que j’adore te voir être jaloux, ça te rend encore plus sexy. tu lèves les yeux au ciel en riant un peu. tu n'aimes pas cette sensation d'être jaloux, mais tu ne peux pas vraiment t'en empêcher. tu retiens un léger soupir, tu gardes cependant galaad contre toi. tu n'aimes pas quand il te parle d'un autre homme ou quelque chose dans le genre. il est à toi, et c'est tout. mais tu te sens plus serein depuis qu'une bague orne sa main. tout le monde peut le voir, qu'il est à toi et à personne d'autre. tout comme tu es à lui. tu te pinces les lèvres quand il retire ton haut et tu ris un peu, avant de l'attirer avec toi jusqu'à votre chambre. bien plus confortable que le canapé. |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Mar 20 Mar - 20:10 | |
| Je glisse mes doigts sur ta joue. Je ne peux pas dire qu’il y a un moment que je n’aime pas avec toi. Tu sais déjà supporté ma jalousie, qui peut être assez envahissante quand je vois un homme t’approcher d’un peu trop près pour moi. Je pouvais me montrer vraiment exécrable avec des inconnus s’ils te collent trop. Alors je ne pouvais que comprendre ce sentiment. Mais maintenant il n’y a plus de risque à avoir puisque que l’on va bientôt unir nos vies pour toujours. Bon sang que j’ai hâte. Si ça ne tenait qu’à moi, je serais déjà dans cette salle à signer ces papiers qui font de moi ton mari. Mais sos amis ne seraient probablement pas d’accord si on fait ça sans eux.
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Mer 21 Mar - 12:42 | |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Jeu 22 Mar - 19:25 | |
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| Sujet: Re: such an awkward situation; galios #5 (#) Ven 23 Mar - 22:36 | |
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