imaginary enemy - eldrick

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imaginary enemy

Les griffes de son impatience brouillent les pistes, voltiges sur le clavier comme une étincelle. Les pupilles se perdent dans les codes, dans les suites d’une logique rassurante, paraît-il, pour son âme qui a subi des fracas. Elle protège, elle veille en quelque sorte et puis elle reçoit un appel. Celui qui l’a trouvé, celui qui lui a permis de ce dirigé vers cette voix. Elle n’est pas très sûre d’elle, elle déteste répondre au téléphone, et ça, pour tous les êtres humains, mais elle fait exception. Peut-être un truc. « J’arrive » à tels conclus et puis elle a pris la route, les transports en commun pour changer. Elle a observé, tout le monde sur son téléphone. Tout le monde, quasiment. Une personne âgée n’avait rien de tout ça, elle était assise et observer tout comme Joséphine observait le monde. Rien n’était à l’abri, surtout pas les données numériques. Elle le savait mieux que personne.

Elle arrive au commissariat avec ses ordinateurs et prend place dans son bureau. Elle va se chercher un café et de quoi manger. Des fraises tagada, qu’elle ingère une par une en attendant que ses machines s’allument. Elle patiente ainsi étant donné qu’elle n’est pas très patiente, il faut bien qu’elle s’occupe. Elle scrute l’arrivé d’Eldrick langford qui arrive au loin, lui aussi reprend le travail et puis c’est lui qui lui a trouvé une place ici alors elle mange sa fraise tagada en le regardant bouger, en ce, demandant s’il va venir dans son bureau ou s’il est trop occuper, qui sait ? Une fois ses ordinateurs allumés, elle ouvre le système de la police et essaie d’amélioré les défenses de la base de données du commissariat en faisant installant le nouveau logiciel sur le serveur, comme le boss l’avait demandé.

AVENGEDINCHAINS