Réécriture par travaux pratiques. (sigus)

" Réécrire par travaux pratiques "
Siloë&Angus

Le fil de vos vies continuaient leurs routes, inlassablement. Tu étais là, au milieu de nul part réfléchissant à une suite convenable des choses. Mais qu’est-ce que tu racontes ? C’était pure folie, effectivement, tu te concentrais principalement sur le chemin que tu devais faire pour rentrer à la colocation. Tu avais beaucoup à faire d’ailleurs, tu devais faire en sorte que les choses se déroulent plutôt bien, pour te mettre à écrire. Tu avais réfléchis à un quelque chose et tu savais également que tu devais revoir une scène du bouquin que tu écrivais. Apparemment la scène ne convenait pas concrètement. Tu avais beau te creuser la tête, de ton côté tu ne voyais pas d’autres issu à cette histoire, à cette scène. Tu avais la tête ailleurs quand tu claquais la porte. Tu prenais une douche et te changeais rapidement, tu avais tout le temps l’impression de porter cette odeur sur toi, celle de l’endroit où tu travaillais, les produits les huiles. Tu n’aimais pas forcément cette odeur d’ailleurs et pouvoir faire une coupure te faisait le plus grand bien. Tu filais dans ta chambre, où tu essayais de relire et d’écrire une autre version de la scène. Siloë t’avait donné des indications et même si tu savais que c’était pour le mieux, tu avais beaucoup de mal à imaginer que ce soit réellement le cas. Il y avait quelque chose de frustrant dans tout cela. Dans ta tête, tu avais imaginé une version des choses, tu n’avais pas imaginé que d’autres puisse l’imaginer autrement. Alors que tu effaçais pour la vingtième fois une ébauche de texte, tu entendis la porte de l’entrer claquer. « Siloë ? » Lorsque tu entendis les pas dans l’appartement, tu savais que c’était elle. Tu la laissais venir jusqu’à ta chambre avant de souffler fortement, en faisant des tonnes bien évidemment. « C’est compliqué ce que tu me demandes de faire ? Je ne vois pas d’autre manière que celle décrire cette scène. » Lui soufflais-tu en faisant bouger les feuilles devant toi, d’un air désespéré, tu avais beau essayer, te tordre la tête comme pas possible, tu n’y arrivais pas et fallait bien se rendre à l’évidence.

" Réécrire par travaux pratiques "
Siloë&Angus

Les prises de tête très peu pour toi. C’était fou, combien ça pouvait être compliqué pour toi d’appliquer les conseils. Tu avais, en effet une certaine idée de comment devait se passer cette scène et tu ne savais pas comment résoudre le problème. On t’avait conseiller d’être plus véridique, mais toi tu ne voyais pas la scène autrement. C’était intense, peut-être un peu trop mais c’était fait dans l’urgence. Une étreinte à peine acceptée par les deux personnages de ton histoire. Tu essayais, mais tu avais beau te creuser la tête tu n’arrivais tout simplement pas à un résultat qui en vaille la peine. Tu étais frustré. Tellement. Tu entendis quelqu’un rentré et tu devinais Siloë. Elle entrait et s’approchait de toi. Tu l’entendais se mouvoir dans l’appartement alors que toi tu l’attendais patiemment. Pour le coup, tu avais besoin qu’elle te donne des indices car concrètement tu étais au bout du bout. « Non, je n’y arrive pas. » Tu grimaçais en disant cela, une petite moue sur ton visage. comment expliquer ta manière. Tu soupirais avant de masser l’arrête de ton nez. « Je suis trop direct, je vais à l’essentiel mais en même temps cette scène est brute, c’est presque animal. Je ne sais pas faire dans l’édulcoré. » Dans le paillette et dans le romantisme. Les deux personnages ne sont pas comme cela et tu le savais assez pour avoir écrit cette scène. Tu te mordillais la lèvre en l’écoutant. « Peut-être. » Tu soupires une nouvelle fois avant de prendre ce qu’il faut, et tu tentes de réfléchir à la meilleure manière de procéder. Ce n’est pas simple tout le monde le sait, toi encore plus mais il le faut. « voilà le début de ma version… » Tu te racles la gorge avant d’ajouter. « J’inspirais, croisant son regard chaud et intense. Elle n’était plus cette petite fille que j’avais connu, non il s’agissait d’une femme. D’une femme désirable et sensuelle, dont le regard me criait de la rejoindre. Après quelques pas, pour la rejoindre mon corps heurta le sien, frêle avant de la plaquer contre le mur. violemment. Mes lèvres dévoraient sa bouche, mon corps quémandant le sien. L’urgence de la situation galvanisait mes gestes. Mon sexe poussant contre ses hanches, mon jean faisant étoffe de barrière. Je grognais contre elle, de frustration. » Tu relevais la tête vers elle. « Qu’est-ce qui gêne ? » Demandais-tu ayant réellement besoin d’aide.

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Siloë&Angus

Tu grimaces en pensant à cette scène. Quand la première fois que tu l’avais écrite, les mots étaient venus assez naturellement. Tu te sentais même à l’aise avec ces derniers décrivant ce que tu avais finalement eu en tête. Mais à la relecture professionnelle, on t’avait conseiller de modifier ce passage. Tu ne comprenais pas réellement le pourquoi du comment, mais bon… tu faisais ce qu’on te demandait même si c’était assez compliqué pour toi. « Je ne vois surtout pas ce qu’on attend de moi, mais bon. » Tu étais parfois buté ou têtu tout dépend du passage. Mais quoiqu’il en soit tu es du genre à ne pas te laisser prendre et tu cherches vraiment à connaitre leurs démarches, vraiment. Tu fronces une fois encore les yeux après avoir lu le passage. Siloë ne dit pas grand chose et tu te doutes bien que c’est pas assez bien. Mais comment être assez bien pour ce genre de passage. « Ce n’est pas si difficile que ça, j’essaye de visualiser. Tu sais… enfin oui tu sais. » Puis d’un seul coup, tu ris légèrement à ses mots. Tu ne la vois pas, mais tu imagines qu’elle est en train de rougir. Puis ces mots, elle semble légèrement mal à l’aise avec la situation et ça te fait sourire. Oui, tu ne devrais pas mais c’est bien le cas. Tu penches la tête sur le côté et tu essayes de comprendre ce qui se passe… « Tu aimerais ? » Tu t’approches d’elle et par la taille tu la soulèves. Tu fais deux pas et tu la plaques contre le mur, l’obligeant à entourer ton bassin de ses jambes. Tu souris avant de lui souffler doucement. « On va réécrire cette scène et tu vas m’aider alors. Ils sont plaqués l’un contre l’autre, contre ce mur… ensuite ? » Tu souffles doucement avant de venir embrasser la peau de son cou, attendant qu’elle vienne à lui répondre quelque chose, quelque chose d’intéressant.

" Réécrire par travaux pratiques "
Siloë&Angus

C'était une prise de tête cette réécriture. Tu avais du mal à imaginer que ce soit possible de changer ce que tu avais imaginé. C'était dans ta tête, tu l'avais écris et désormais il fallait que ça change. Pourquoi ? Les indications étaient assez évasives te reprochant surement d'être pas assez précis, enfin tu n'en savais rien. Tu ne voulais pas écrire du porno, parce que concrètement tu ne voyais pas la vie de couple d'ailleurs comme cela, même s'il s'agissait dans l'histoire d'un moment intense... ce n'était pas vulgaire. Siloë semblait comprendre ce que tu voulais dire et en entendant ses mots tu ne pouvais t'empêcher d'attaquer sur le champ. Elle voulait être cette femme, mais elle l'était déjà. La plaquant contre le mur, tu désirais savoir ce qu'ils, vous pouviez faire de cette scène. C'était amusant, tu souriais légèrement tes lèvres contre son cou. « Oh. » Soufflais-tu délicatement, ses mains encadrant ton visage. Elle venait à t'embrasser, passionnément, de la manière la plus délicieuse qu'il te soit donné. Tu reprenais peu à peu ton souffle alors que tu sentais le sien chatouiller ton visage. Mmmh... elle était délicieuse, et tu sentais ton corps réagir immédiatement à ses mains sur toi. « C'est d'ailleurs la première et la seule fois qu'ils le font... Il y a une urgence. » Tu gémissais fortement sentant ses mains sur la boucle de ta ceinture. Bon sang, c'était très urgent et tu roulais des yeux pour ne pas aller trop vite. Tu retrouvais ses lèvres que tu embrassais avant de la porte jusqu'à la commode où tu la déposais sans préavis. « Où... Il la déshabille sur la commode, découvrant combien sa peau à une saveur délicieuse. » Et en disant cela, sans prendre soin de ce qu'elle portait, tu déchirais son haut, laissant voler des bouts. Tes lèvres glissèrent de son coup à sa poitrine, que tu t'occupais, imaginant plus que sentant sa peau rougir. Tu libérais un de ses seins avant de glisser ta main sur ses hanches. « Elle gémit, se cambrant contre ses lèvres, submergée par le désir. » En disant cela tu continuais tu l'espérais de lui procurer du plaisir.

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Siloë&Angus

Corps contre corps, tu sens son souffle sur le sien et d’un seul coup tu te rends compte combien cette sensation est grisante. Tu l’adores et son corps réagit immédiatement contre le tien. Le tien aussi d’ailleurs mais ça tu ne vas pas lui dire ouvertement. Non, elle le sait déjà d’ailleurs. Tu fermes un moment les yeux, tentant de calmer les battements précipités de ton corps. Puis tu souris à ses mots. Elle a tout compris, et tu le sais. « Mais… ça peut changer ça… rien n’est figé. » Lui avouais-tu malgré toi, ne sachant si un jour ou non les protagonistes de ton histoire. Tu souris un peu plus lorsqu’elle pousse un cri. Tu viens de lui arracher son haut mais qu’importe. Tu es dans le role de ton personnage et tu en amuses. Après tout c’est plus simple comme cela et tellement bon. Une fois le haut tu t’occupes d’elle et elle se cambre. c’est à ton tour de pousser un gémissement rauque lorsqu’elle te répond, qu’elle parle, qu’elle glisse sa main sous ton boxer. Elle est tellement audacieuse, tu aimes cela. Tu pousses vers elle une forte envie de mordre sa peau. « Et elle le trouve… Le rendant particulièrement fou… Fou d’elle et de son corps. » Un son inapproprié sortit de sa gorge, alors qu’elle cherchait toujours un moyen de rester calme. Elle mordille ton lobe, puis tes lèvres et tu as du mal à rester de marbre elle le sent. « D’un baiser il répondit à sa requête. » Tu venais à l’embrasser langoureusement avant de glisser tes mains sous sa jupe. Tu voulais toucher rapidement. Avant de t’occuper de sa petite culotte. « Il ne sort jamais sans se protéger et il lui montrera combien c’est bon. » Tu lui enlèves son soutien gorge puis tu l’embrasses sur sa poitrine, désireux de la faire gémir, puis tu descends toujours plus bas, son nombril, sa peau. Tu venais à glisser ta main sur son intimité, te rendant compte combien elle était déjà prête à t’accueillir. « Il sortit l’emballage argenté, lui demandant, d’un simple regard de la lui mettre sous son regard de braise. » Tu te léchais les lèvres en disant cela lui proposant effectivement l’emballage.

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Siloë&Angus

Peau contre peau, souffle contre souffle, vous vous retrouviez tous les deux, comme tu aimais tant. Tu souriais… Tu l’embrassais, tu la désirais. « Il n’est clairement pas ce genre d’homme. » Tu soufflais contre sa peau alors qu’elle venait à mordiller ton cou. C’était insoutenable de constater combien chacune de ses caresses te rendaient complètement fou. Tu roulais des yeux lorsque tu sentis ses doigts sur ton sexe. Ils étaient délicats et avaient l'avantage de te faire réagir immédiatement. Fou, complètement fou d'elle, tu gémissais une fois encore lorsqu'elle glissait un préservatif sur toi. Tu aurais aimé voir son visage, tu étais presque sur en la connaissant toujours un peu plus qu’elle était en train de rougir en faisant cela. Elle ne devait pas, elle était très douée et m’excitait encore plus. Tu grognais cette fois-ci en la sentant te presser, ses mains sur tes fesses. Un sourire se logea sur tes lèvres et tu en redemandais encore, toujours. « P*tain. » Tu tentais de rester calme mais c’était compliqué encore plus lorsque que tu étais en elle, sentant combien elle était étroite pour toi. C’était intense. Tu fermais les yeux, ne bougeant plus, avouant doucement. « Il jura… Longuement lorsqu’il glissa en elle, appréciant sa chaleur, son humidité, son étroitesse. Elle était délicieuse. » Tu lui disais des mots cochons mais tu n’en avais rien à faire c’était délicieux. Tu sentis ses mains autour de toi et tu commençais tes vas et viens en elle. Doucement d’abord, puis de plus en plus fort, elle gémissait ton prénom, et tu adorais ce que tu entendais. Elle croyait que ça allait se terminer aussi vite. Non non et non, elle se trompait. Si tu devais incarner un héros d’un livre, tu voulais le faire avec panache et sensualité. Tu la soulevais alors, toujours en elle… « ça arrivera à temps… Mais pour l’heure. Il la souleva et la déposa sur le lit. Il embrassa ses lèvres, sensuellement. » Ce que tu fis, tout en touchant sa poitrine, afin de l’exciter de l’exciter complètement. « Il se mouvait en elle, de sorte à réveiller chaque terminaison nerveuse de son délicieux corps… Puis… » Tu approchais tes lèvres des siennes sans la toucher. « IL se perdit en elle, bien décidé à la faire hurler de plaisir jusqu’à qu’elle en perde la tête… » Ce que tu fis également dans l’espoir fou qu’elle atteigne son orgasme, fortement et intensément.

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Siloë&Angus

C’était intense, comme toujours. Tu sentais son corps se mouvoir sous le tien, tu ne savais comment faire ni comment retenir ce moment unique que vous étiez en train de partager. Tu en voulais encore plus toujours. Tu l’allongeais sur le lit, alors qu’elle encerclait ton corps de ses jambes. Mmmh. Un pur délice. Puis rapidement, tu sentis cette sensation, ce moment où vous n’alliez plus faire qu’un. Tu gémissais, tu poussais en elle, souhaitant provoquer le plus possible son orgasme. Tu voulais qu’elle cri ton nom, tu voulais qu’elle ne fasse plus qu’un avec toi. Tu finissais par jouir, suivi par Siloë qui elle aussi gémissait plus fortement. Tu souriais sentant ses baiser sur ta peau, son visage dans ton cou tu adorais cela et tu voulais garder ce parfum, encore un moment. « Ce fut son cas, à lui aussi… » Soufflais-tu en appréciant la chaleur de son corps contre le tien. Mmmh. Un pur délice en réalité. Tu souris, bêtement. Clairement, c’était délicieux, être dans les bras de Siloë reste délicieux. C’était un moment que tu voulais garder, en profiter encore un peu. Tu souriais à sa remarque. « Je crois aussi… Merci. » Tu soufflais contre sa tempe, tes lèvres contre sa peau. Tu roulais des yeux, avant de te détacher d’elle. « Ne bouge pas… » Tu supposais que dans la tenue où elle se trouvait, elle n’allait pas s’en aller. Mais tu voulais être sur de la garder près de toi, tu en avais plus que besoin en tous les cas. Toi tu te retirais d’elle, tu jetais dans ta poubelle le préservatif puis tu te dirigeais vers ton bureau. tu prenais ton ordinateur, et tu revenais vers elle t’installant sur le lit. « on reprend tout depuis le début. Je veux réécrire ce qu’on a vu et pourquoi pas… » Tu venais à lui voler un baiser. « Améliorer la scène. » Tu souris et tu attends qu’elle te dicte les choses, et t’amuser par la même occasion.

" Réécrire par travaux pratiques "
Siloë&Angus

De fils en aiguille, tu te disais que c’était une bonne chose. Une excellente chose d’ailleurs que ça puisse se passer de la sorte.  Vos corps unis l’un contre l’autre, l’adrénaline, le sexe. Le délicieux sexe avec Siloë. Elle était douce et tellement sensuelle, tu voulais le crier sur les toits. Mais en même temps tu n’étais pas certains de vouloir partager cette nouvelle avec tout le monde. Tu te contentais juste d’apprécier son corps contre le tien. Mais rapidement, ta nature d’écrivain fit le pas sur le reste. Tu te levais du lit, tu cherchais de quoi écrire et tu revenais près d’elle. Elle déposa sa tête contre ton corps et tu cherchais le moyen de retranscrire ce que vous veniez de faire tous les deux. « Je te comprends, j’imaginerais  toujours toi, à la place. Oh oui, ce sera parfait. » Lui avouais-tu ce sourire sur les lèvres. Tu ne pouvais penser à cette scène sans penser à elle. Tu écoutais attentivement ses paroles, curieux et en même temps satisfait par ce qu’elle disait. Elle venait de dire exactement le centre de l’intrigue. L’évidence. C’était une évidence entre eux et ça depuis le début de l’histoire. Tu glissais ta main sur ton menton réfléchissant à tout cela avant de poursuivre le plus naturellement possible. « Je vois, mais j’ai besoin que tu sois un peu plus direct. » Lui avouais-tu cet immense sourire sur les lèvres, bien curieux de comprendre ce qu’elle pensait en disant cela. Tu écrivais les mots comme il venait, ajoutant les sensations du héros, au même titre que ce que tu avais ressenti toi, quand tu l’avais pris contre le mur. « Qu’en penses-tu ? Je me demande, ce qu’ils peuvent faire ensuite… après avoir eu cette alchimie ensemble? » Lui demandais-tu curieux de sa réponse. Toi tu avais peut être une idée mais tu n’étais pas sur qu’elle allait la partager avec toi. Tu reposais l’ordinateur un peu plus loin avant de te tourner vers elle, et de lui demander le plus naturellement possible. « tu crois qu’elle serait prête à coucher de nouveau avec lui ? » Tu étais curieux d’entendre sa réponse.