une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. | |
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| Sujet: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Mer 28 Mar - 22:47 | |
| Il restait que dix minutes. Dix minutes ça lui semble rien, c'est juste quelques secondes dans un laps de temps. Le truc, c'est qu'en dix minutes, dans un hôpital, il peut se passer beaucoup plus de choses que ce qu'on l'on pense, et ça, Azra l'avait oublié. Il y avait Tom dans sa tête, le fait de savoir qu'il allait enfin le rejoindre pour une simple soirée qu'ils organisent depuis plusieurs jours. Alors ouais, juste dix minutes pour qu'il soit vingt heures, et qu'il soit libre. Sauf qu'ils sont dans un hôpital, et c'est bien connu qu'à chaque fois qu'on organise des plans, une soirée, ou une connerie du genre, il y a toujours un truc pour tout niqué, complètement. C'est ce qu'il s'est passé, un simple coup de téléphone pour annoncer que plusieurs blessés arrivaient en urgence suite à un immeuble qui s'est effondré, et les choses se sont amplifiés. Azra a couru partout, a soigné tout ce qu'il a pu soigner, jusqu'à ce que ça se calme et que son responsable lui dise de partir. Et là, après des heures à être complètement occuper à droite et à gauche, Tom est revenu dans ses pensées, dans sa tête.
L'temps qu'il se change et qu'il marche jusqu'à sa voiture, il essaye directement d'appeler son amant. Il est tard, bientôt deux heures, et il préfère ignorer le nombre d'appels qu'il a manqué de Tom plutôt que de se mettre à paniquer, il snobe les messages aussi, et à force d'entendre trois fois le répondeur il a abandonné. C'est pas pour autant qu'il a pris le chemin de son propre appartement, hors de question. Tom lui manque bien trop, et il a juste besoin d'être avec lui à ce moment précis, tant pis, c'est pas sa faute s'il y a eu tout ce bordel.
Le mégot qu'il jette, Azra marche les escaliers bien trop rapidement, s'empresse d'ouvrir la pote avec le doublon qu'il a. Forcément il fait complètement noir, alors il essaye de ne pas faire de bruit en retirant ses pompes, marchant sur la pointe des pieds jusqu'à la chambre d'un Tom complètement endormi dans son lit. Le brun retire son tee-shirt, son pantalon et ses chaussettes pour se glisser doucement sous la couette. Il peut pas s'empêcher de lâcher un long soupir tellement ça lui fait un bien immense. puis, il s'retourne vers Tom, se redresse avec son coude, déposant sa main sur la joue du plus âgé pour la caresser du bout des doigts. Sûrement que c'est égoïste, mais il a besoin de le réveiller, au moins lui montrer qu'il ne l'a pas oublié, loin de là. Il s'approche de son corps, embrasse doucement son cou en attendant qu'il le sente gigoter et quand vient ce moment, il ouvre la bouche sans parler fort. « Mon coeur, j'suis là. » Il descend jusqu'à sa clavicule, quelques secondes, lui laissant l'temps d'essayer de e réveiller pour venir frôler ses lèvres. « Pardon, grosse urgence à l'hôpital, j'ai pas pu prévenir. » Hors de question qu'il cherche une excuse.
Dernière édition par Azraël Snell le Jeu 29 Mar - 22:56, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Mer 28 Mar - 23:16 | |
| Il a pourtant essayé d'être patient et compréhensif, Tom. Il a attendu avant de manger, a finalement cédé et mis une part au frigo. Il s'est dit que le brun arriverait alors il a traîné devant la télé. Mais là encore, rien n'a fait de bruit. Ni la sonnette d'entrée, ni son téléphone. Après quelques appels et messages nerveux, le blond a juste abandonné. Il était minuit passé quand il est allé se coucher avec un goût amer dans la bouche. Azra avait sûrement eu mieux à faire. Après tout, ils n'étaient pas en couple, et loin de se connaître sur le bout des doigts. Ils ne s'étaient rien promis. Poser un lapin, ça arrivait à tout le monde. Le vétérinaire était juste déçu que ce soit tombé sur lui, ce soir. Lui qui s'était réjoui de profiter de l'absence de sa colocataire pour profiter pleinement de l'appartement, ça n'aurait servi à rien... Le fait est qu'il s'est endormi lourdement, a laissé la journée le terrasser jusqu'aux bras de Morphée.
Au plus profond de son sommeil, dans ce qu'il a l'impression d'être une éternité plus tard, il y a quelque chose qui le dérange sur sa joue, lui fait remuer doucement la tête. Mais la chose va jusque dans son cou, accentue son état de semi éveil et son grognement mécontent. Pourtant, la voix qui arrive jusqu'à ses oreilles rend tout de suite le réveil plus plaisant. Il ouvre les yeux, papillonne dans la pénombre. Il sourit même en sentant des lèvres frôler les siennes. Le boulot, donc. Ouais, il avait pensé à cette possibilité. "Hey." C'est rauque et mal réveillé. Faut dire qu'il est pas du matin Tom. Il a bien plus de facilités pour rendre le bras, poser sa main dans le dos du brun et le tirer vers lui. Sa main finit par s'égarer dans les cheveux alors que leur front sont désormais collés. C'est une chaleur qui lui plaît, le refait fermer les yeux. "Tu m'as manqué." Le dilemme était cruel entre le sommeil et les étreintes. "T'veux dormir et on se rattrape demain matin ?" Il a du mal à parler, retient un baillement. Il aimait bien cette idée, l'air de rien. Profiter de son jour de coupure le lendemain pour rattraper les heures perdues. Puis c'était toujours plus agréable à regarder aux premières lueurs de l'aube. Paresseusement, Tom tend les lèvres, vient cueillir quelques baisers saveur nicotine. |
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Mer 28 Mar - 23:42 | |
| Mon dieu, à la minute où il sent les bras de Tom qui serre son corps, Azraël n'a plus du tout envie de bouger. C'est foutrement agréable, ce qui flotte dans son bide, il ne l'a pas senti depuis tellement longtemps qu'il n'a pas envie que les sensations partent. Alors il lui en veut pas trop, c'est déjà un bon point. Leurs front qui se rencontrent, cette proximité qu'il a attendu toute la journée, il peut enfin la retrouver qu'elle est bien trop agréable pour que ça s'arrête comme ça. « Toi aussi tu m'as terriblement manqué. » C'est un fait, Tom a pris beaucoup d'importance dans sa vie sans qu'il ne soit préparé, et il est hors de question qu'elle s'en aille cette importance. Tom n'est pas comme les autres. Il s'met à rire, prolonge le baiser en passant ses doigts dans les cheveux du blond. Il est bien là, et même s'il est clairement épuisé de sa longue journée, il n'a pas envie de dormir. Pas forcément parce qu'il a envie de lui faire l'amour ; bien que oui il en a envie, mais simplement parce qu'il veut profiter un maximum de Tom tant qu'ils le peuvent.
« J'veux juste être avec toi. » Un murmure, leurs soufflent qui se mélangent, il descend sa main pour caresser le dos nu de Tom. « Mais toi t'es fatigué, alors repose-toi je reste là. » Une phrase qui sous-entend de nombreuses promesses silencieuses. Il est incapable de fermer les yeux, incapable de décrire tout ce qu'il ressent. Incapable de le laisser s'endormir, parce qu'il est encore en train de poser ses lèvres sur les siennes, caressant sa lèvre inférieur avec sa langue. « Mais sinon j'peux m'occuper de toi, qu'tu te détendes, qu'tu fasses pas grand chose hormis profiter. » Un léger sourire aux lèvres, de toute manière, ses lèvres sont déjà en train de parcourir son corps.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Jeu 29 Mar - 22:33 | |
| C’est un véritable dilemme moral et physique. Son affection débordante pour Azra est contre l’idée de perdre la moindre seconde, aimerait serrer encore plus fort, embrasser à plus d’endroits tandis que le corps entier du blond se plaint, ne voit pas là ce qui pourrait être si urgent pour que la nuit de sommeil ne passe pas en priorité. Il sait de toute façon qu’il n’aura pas le dernier mot. Même en rentrant tard, le brun est encore bel et bien éveillé, désireux de profiter de ce moment de tranquillité que l’on ressent quand on sort du boulot. Il a les bons mots, ceux qui font instantanément sourire Tom dans le noir. « J’vois pas comment tu pourrais être plus avec moi que maintenant. » La main fraîche glisse dans son dos, lui arrache un frisson bien agréable. Il pourrait se contenter juste de cette étreinte. Se rendormir comme une étreinte en ayant pour satisfaction le fait qu’il n’était pas seul. Le lendemain, il pourrait même ouvrir les yeux en premier et réveiller Azra à son tour. Le problème, c’est que même si le jeune veut se tenir tranquille, il continue de le titiller, de faire courir ses doigts le long de son dos, l’embrasse encore. Ça l’aidera pas à dormir ça, pas alors qu’il se sent obligé d’y répondre, de réclamer encore un peu en sachant pertinemment qu’il ne sera pas le premier à arrêter.
Le souci, c’est que les envies du brun, elles ne sont pas refrénées. Loin de là. En fait, Tom a presque l’impression que le jeune homme lui propose une gâterie et forcément, ça le fait réagir. Ses yeux se rouvrent dans le noir, ses idées se mettent doucement en marche dans son esprit. « L’souci c’est que je vais avoir mauvaise conscience si le plaisir est pas réciproque. Alors ça va devoir être tout ou rien… » Il soupire malgré lui, roule sur le dos, les yeux mi-clos. Les lèvres qui courent sur son corps aident à faire pencher la balance. « Ok, va juste falloir me réveiller un peu si tu veux que je te fasse l’amour correctement. » Il s’étire, fait rouler les muscles sous sa peau. Ça le sort un peu de sa torpeur ensommeillée. Azra arrivait avec des heures de retard et le réveillait en pleine nuit alors finalement, pourquoi pas. Qu’il lance les hostilités.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Jeu 29 Mar - 22:55 | |
| Peut-être qu'il est dans un rêve, une connerie du genre. Au moment où il s'est glissé sous les draps il y a eu la formation de cette bulle, celle qu'ils connaissent depuis la première fois que leurs lèvres se sont rencontrés. « J'vois pas non plus, mais une chose est sûre, c'est que j'ai vraiment plus envie de partir. » Azra, c'est quelqu'un qui est bien trop honnête, qui dit ce qu'il pense sans essayer de se contrôler. Là, à l'heure actuel, il n'a qu'une seule envie c'est de rester avec lui. il se lève en pensant à lui, passe la moitié du temps à faire quelque chose et à se dire qu'est-ce que Tom dirait à propos de certains sujets, merde quoi, il est tout le temps là dans sa tête. Il veut pas qu'elle parte, cette sensation, parce qu'il lui fait trop du bien.
Puis les doigts qui cherchent le contact, qui caressent la peau du blond alors qu'il y a ses lèvres qui dévorent le cou de son amant. Son parfum qui envenime ses narines, sa voix encore endormie qui lui éveille les sens. « Tu peux juste profiter, tu sais. » Des murmures, une vraie phrase. Azra en a rien à foutre que Tom lui fasse pas l'amour ce soir, il peut bien se rattraper au réveil le lendemain. « J'ai tout mon temps moi, tu sais. Prend ceci en guise d'excuse pour mon extrême retard. » Les doigts qui glissent jusqu'aux fesses, des lèvres qui descendent jusqu'au nombril, son souffle qui caresse doucement l'entre-jambe de son amant, et sans chercher à torturer, il est déjà en train de retirer son sous-vêtement et sa langue est déjà en train de lécher la longueur de son membre.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Jeu 29 Mar - 23:41 | |
| Finalement, c’est peut-être de loin la meilleure partie de leur relation, quand ils se retrouvent sans que cela ne soit trop prévu. Il y a cette surprise suivie de cette satisfaction intense. C’est d’autant plus plaisant quand Tom sait que le lendemain, il aura tout son temps pour rattraper cette soirée manquée. Mais ça se saurait si le brun était un homme patient. La simple perspective de se rendormir est dérangée par les baisers, légers mais efficaces, ou bien les mains qui courent. Alors forcément, le blond se retrouve à céder à ce petit jeu, se montrer un peu plus coopératif. Il ne peut pas dire qu’il ait de quoi se plaindre, et loin de là. Avant même qu’il n’ait pu vraiment réagir, il y a les mains qui se débarrassent du boxer, et les lèvres qui viennent embrasser son membre dans un premier temps, puis lui procurer le plaisir promis. L’effet est immédiat. Les dernières vapeurs du sommeil s’évaporent au rythme de la bouche sur son sexe, sa respiration se fait plus profonde, plus rapide. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Tom est complètement au garde à vous, à s’abandonner à cette sourde satisfaction qui lui tord le ventre. Machinalement, sa main vient se glisser dans les cheveux du brun, se poser là sans exercer la moindre pression. Il grogne, se retient durant cette poignée de minutes.
Et s’il est désormais bien réveillé, il sait qu’il ne tiendra pas toute la nuit alors c’est à contre-cœur que ses doigts glissent sous le menton d’Azra, le tirent pour le forcer à remonter. « Viens là toi. » A peine le visage du brun revenu à sa hauteur, Tom happe ses lèvres et passe son bras autour de son corps. D’un geste souple, il échange les rôles, plaque son amant contre le matelas. « Retard excusé. » Il glisse sur sa mâchoire, son cou, son épaule, laisse une main parcourir les côtes du gamin, sa hanche, passer sous sa cuisse et la tirer vers lui pour renforcer leur proximité. « Je crois que finalement, c’est la discussion qu’on va garder pour demain. J’ai envie de toi maintenant, c’est malin. » Il peut le sentir contre lui, le membre durci qui se frotte contre son ventre. Finalement, sa main égarée remonte encore, tire sur l’élastique du boxer juste par simple plaisir de glisser sa main dessous, venir caresser son amant langoureusement. Chaque chose en son temps, mais il était hors de question que le blond soit le seul dans cet état.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Ven 30 Mar - 13:03 | |
| Il s'applique, sa langue qui lèche la longueur de son membre avant de le prendre en bouche dans sa totalité. Les yeux clos, il se laisse bercer par les soupirs de Tom, les gémissements qui brisent le silence de la nuit. Il est fier, un peu, parce qu'il sait très bien que c'était absolument pas prévu. Il aurait simplement dû se glisser dans le lit, l'embrasser pour lui prévenir qu'il était enfin arrivé et les choses se seraient arrêtés là. Mais Azra a besoin de ce rapprochement physique, il culpabilise bien trop de l'avoir fait poireauter. Puis les choses se précipitent, parce que ses lèvres quittent son membre pour rencontrer les lèvres de Tom, parce que l'excitation augmente, la chaleur commence à lui rendre les joues rouges, les mains qui se collent au dos, aux cheveux, dans l'espoir que ça ne s'arrête jamais.
Un sourire aux lèvres, retard qui n'en est plus vraiment un, le corps qui frissonne, qui réclame plus, qui en meurt d'envie. « C'était mon but, te faire craquer, te kidnapper, t'avoir qu'à moi. » C'est la seule chose qu'il est capable de réponde parce qu'après, il y a ses yeux qui se ferment d'un seul coup, il y a la bouche qui s'ouvre légèrement, les gémissements qui sortent alors que c'est simplement des caresses chastes et innocentes. C'est lent, c'est une véritable torture. Sa tête qui se perd dans son cou, la sensation est plus fort que tout, il embrasse sa peau, mordille sa peau, marque sa peau à travers un suçon qu'il fait sans aucune honte. C'est pas Azra qui va le supplier, mais s'il veut jouer, c'est clairement ce qu'il va se passer. Ils vont jouer, à voir qui craque le premier.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Sam 31 Mar - 1:41 | |
| Tom, il a souvent du mal à se tenir tranquille, à patienter quand tous ses sens sont éveillés. Et c’est exactement ce que le gamin vient de faire. Il l’a réveillé, excité, et maintenant, son corps entier semble prêt à passer à l’action, telle une suite logique. Et ils pourraient passer la nuit à se caresser, s’embrasser jusqu’à ce qu’ils aient bien trop chaud dans ce lit, sous la couette. Mais le blond ne tiendra pas la nuit entière. Il sent son amant durcir sous ses caresses, sourit de satisfaction. Les lèvres qui s’attardent dans son cou et aspirent sa peau jusqu’à laisser la trace de leur passage le fait grogner. Heureusement grisé par la montée de plaisir, il ne dit rien, vient juste attraper les lèvres du brun qu’il punit en mordillant doucement sa lèvre inférieure. « J’suis chez moi, comment tu veux me kidnapper ? Ce serait plutôt l’inverse. » Et il compte bien faire crier sa proie, c’est clair et net. D’ailleurs, son corps entier s’agite, il se redresse à contre cœur pour passer ses mains sous les fesses du brun, faire glisser le boxer le long de ses jambes. Ça lui laisse bien plus de place pour revenir le caresser jusqu’à descendre à son tour le long de son corps. Il mordille son téton gauche sur la route, laisse sa langue tracer un sillon brûlant quand il glisse le long du ventre. Les baisers reviennent finalement à la charge sur son bas-ventre. Le brun ne l’a pas attendu pour faire sentir son excitation, mais Tom compte bien faire naître le plaisir dès maintenant. Alors il vient prendre le sexe de son amant dans sa bouche, entreprend un lent mouvement de va et vient, sa langue accompagnant chaque de ses gestes. Il y met une certaine application, ses doigts viennent même s’emmêler à ceux du jeune.
Quand il arrête, c’est qu’il sent son amant au bord de l’explosion. L’orgasme, ce ne sera pas pour maintenant. Tom se redresse dans le lit, libère le brun. « Tourne toi. » Il l’incite à se mettre sur le ventre, attends que ce soit fait pour venir se mettre à califourchon au niveau de ses fesses. Rapidement, ses mains glissent le long de la colonne vertébrale, s’attaquent aux épaules, à la nuque, au dos. Il le masse lentement, ponctue ses gestes de baisers dans le creux de son cou. C’est à la fois sacrément agréable et une pure torture, ce contact. Parce que ça les fait languir autant que ça les rapproche. « On l’a encore jamais fait dans le noir. » Il murmure, tandis que ses mains descendent encore pour agripper les fesses du brun.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Dim 1 Avr - 20:50 | |
| Tom reprend les rennes, comme si en une seule petite seconde il efface le fait que celui qui a commencé à provoquer c'est Azra. En une seule seconde, le brun se retrouve contre le matelas, les yeux clos, la bouche entre-ouverte, les soupirs qui se multiplient, deviennent de plus en plus fort. Tom qui le prend en bouche, la lenteur qu'il met est un supplice alors qu'il s'accroche à la couette pour ne pas poser ses mains sur le crâne de son petit-ami ; pour ne pas imposer son rythme. Les gestes s'intensifient, et il en devient dingue Azra. Les gémissements, il ne les retient pas. Il y a cette boule de chaleur qui s'intensifient dans son ventre, son corps qui se met à trembler, il sent l'orgasme qui arrive et le fait que Tom arrête ses gestes est une torture qu'il est incapable de décrire. Il est frustré d'un coup, mais pas trop longtemps, non.
Il écoute son homme, se retourne, se met sur le ventre alors qu'il se montre terriblement impatient. Il meurt d'envie de ne faire plus qu'un avec lui, qu'il soit uni, de le sentir proche. Il a besoin de ses lèvres contre les siennes, sur son corps, il en demande trop il le sait mais ça devient insupportable. « J't'en supplie. » Qu'il murmure, en cherchant un contact. L'truc c'est qu'il se rend compte qu'il est prêt à tout pour lui, qu'il est en train de tomber amoureux sans qu'il n'est prévu les choses. « J'veux jamais que ça s'arrête. » Eux, le truc qui fait qu'ils sont uniques. Parce que ce sont simplement deux personnes qui était lié, ça aurait pu être des mots torrides à travers des messages échangés, des sous-entendus, des photos bien trop osé. Mais non, c'est réel, c'est bien plus beau, et c'est hors de question que ça s'arrête.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Dim 1 Avr - 22:11 | |
| C’est vrai que le temps se fait long, que l’envie devient pressante. Mais au fond, malgré son impatience, Tom aime ce laps de temps où il n’y a plus aucunes barrières. Rien ni personne ne les empêche d’enfin accéder à leurs désirs. C’est dire à quel point ils ont fini par s’apprivoiser. Ils ne sont pas en couple, peut-être pas la définition même de l’amour. Mais l’affection, elle est au moins aussi réelle que ce besoin d’avoir l’autre proche de soi le plus souvent possible. Le blond ne veut pas se demander où cela mènera. Il sait juste qu’il a attendu trop longtemps pour perdre davantage de temps. « Même si ça s’arrête, on pourra recommencer demain, après-demain… Tous les jours d’après. » Ils n’avaient jamais été dans une impasse pour se voir. Même au beau milieu de la nuit s’il le fallait, il y avait toujours une solution. Ceci dit, il ne comptait pas se faire supplier plus longtemps. Il se pencha sur son homme, abandonnant le massage pour embrasser son cou. Puis, il se pencha vers la table de chevet, en sortit un préservatif qu’il enfila rapidement avant de revenir à la charge. Les baisers qui se perdent sur la joue, la mâchoire, arrivent à attraper les lèvres à un moment, repartent se perdre le long du dos. Du bout du bras, il attrape un oreiller, le glisse sous le ventre du brun pour relever un peu son bassin. Ses doigts qui descendent le long des fesses, le préparent en douceur.
Et finalement, après un moment qui lui semble être une éternité, Tom pénètre lentement en lui, prend appui sur ses avant-bras en entamant des mouvements de va et vient. Son torse collé au dos de son amant, il en sourit de contentement, enfouit son visage contre son cou. Il y respire son parfum, y dépose des baisers tendres. « Finalement être réveillé en pleine nuit, ça a ses avantages. » Il ne peut pas le voir mais il l’imagine parfaitement, il visualise son visage se déformer sous le plaisir et la satisfaction. Et puis ça a un goût d’inconnu, il est obligé de faire traîner ses lèvres pour trouver le bon endroit à embrasser, a ses doigts qui courent sur la peau jusqu’à la connaître par cœur. « Tu me plais tu sais ? » Il a un rire silencieux, l’embrasse encore. C’est maladroit, peut-être pas adapté à la situation, mais tellement sincère.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Lun 2 Avr - 21:01 | |
| Les choses deviennent plus sérieuses. Les yeux sont clos, les lèvres qui cherchent sans-cesse celle de Tom. Est-ce qu'il y a un moyen qu'un jour il arrive à mettre des mots sur ce qu'il ressent ? Il a peur que non, ça ne soit pas possible. Il a peur que ce soit bien trop fort justement, que ça ne peut pas se décrire. Et les mots sortent de la bouche de Tom alors que lui n'est plus capable d'ouvrir sa bouche. Il est complètement ... Tom guide ses gestes, ses paroles, et au moment où ils ne forment plus qu'un, c'est beaucoup trop fort. Son coeur s'emballe, son corps tremble, il cherche un contact alors qu'ils sont dans le noir, qu'ils ne voient rien et qu'ils doivent mettre en avant leurs sens plus qu'autre chose. C'est sûrement ce qui rend la chose plus excitante.
« Tu me plais aussi. » Plus que ça, plus que ce qu'il peut penser. Il sait pas si c'est de l'amour, il sait pas si c'es aussi intense que ça, mais ça y ressemble bien trop. Il dit plus rien, parce que de toute manière le silence est comblé par ses gémissements. Peut-être qu'il a oublié son prénom, il n'en sait plus trop grand chose. La chaleur est là, son corps est en sueur, ses joues sont rouges, il suit aussi les gestes de bassin parce qu'il a besoin de le sentir encore plus. « Enlève la capote. » Et ça sort d'un coup. Mais il a b'soin de le sentir vraiment en lui, et pas faire semblant. C'est pas la première fois qu'ils couchent ensembles, et il supporte plus le latex qui l'empêche d'être vraiment combler. Azra veut qu'ils repoussent les limites, ils ont pas d'maladie, et c'est pas comme s'il allait voir à droite ou à gauche. y'a qu'tom. alors en un supplice, en cherchant ses doigts pour lier leurs mains ensembles, il refait sa demande. « enlève la capote. »
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Mar 3 Avr - 12:08 | |
| Il en perd complètement ses repères, Tom. Il oublie qu’ils sont au milieu de la nuit, qu’il a passé sa soirée à tourner comme un lion en cage. Il pourrait même oublier comment il s’appelle et pourquoi ils se tournent autour sans jamais rien concrétiser. Il est juste bien, se perd dans l’ivresse du sexe. Son nez parcourt la peau du brun, suivi de ses lèvres qui embrassent chaque centimètre de peau. Ses mains se relaient, caressent, découvrent pour une énième fois. Il peut entendre leurs souffles erratiques, les gémissements qui accompagnent les mouvements de bassin. Le plaisir qui consume chacun de ses nerfs, lui faire perdre le sens des réalités. C’est toujours agréable de s’unir à quelqu’un, mais c’est tellement différent avec Azra. C’est comme avoir droit à une bouffée d’oxygène quand on se met à étouffer. On se rend pas compte à quel point on en a besoin. Et c’est la même chose pour un rien. Un regard, un baiser, une étreinte. Les heures tuées à juste profiter d’être ensemble. Ça rend les autres relations bien fades, et ça pourrait presque lui faire peur. Il aimerait ne pas être inquiet, ne pas avoir à douter de son exclusivité. Et à la fois, c’est difficile d’imaginer que le brun aille chercher satisfaction ailleurs. Pas alors qu’il finit par souffler cette demande. « Mhh ? » Sans s’arrêter, Tom relève la tête, fixe la silhouette dans la pénombre. Il sait qu’il a bien entendu, mais n’a pas envie de se séparer de lui. Pas une seconde, pas même pour ça. Jusqu’à ce que le gamin ne lui laisse plus le choix, lui attrape la main pour le supplier. C’est plutôt incroyable l’effet que ça a sur Tom, ce bonheur qui le submerge. « D’accord. » Il murmure, s’appuie sur un bras pour se retirer. Il libère sa main, vient négligemment tirer sur le bout de latex qu’il laisse tomber au pied du lit. Puis, il revient. Et c’est peut-être rien, c’est peut-être l’histoire d’un millimètre, mais ça fait une putain de différence. Celle qui le projette au septième ciel, le fait gémir plus fort. Il s’enflamme tout entier, se fait plus franc, plus langoureux dans ses mouvements. « Azra… » Il souffle son nom d’une voix rauque, attend de le sentir trembler sous lui avant de se laisser aller à son tour à la jouissance. En lui. Mais étrangement, ça ne le met pas mal à l’aise. Il ne se pose pas de question, se laisse juste retomber sur la brun, vient prendre son menton pour lui faire tourner doucement la tête vers lui et l’embrasser. « Maintenant je suis bien réveillé. » Il sourit dans le noir, blottit son visage contre son épaule. Bien réveillé et incroyablement satisfait. |
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Mar 3 Avr - 20:44 | |
| Avec Tom, ça a toujours été différent. Il y a la façon qu'il a de le touché, la façon qu'il a de le caresser ou même de l'embrasser. Tom arrive à lui montrer, à travers des gestes tendres, souvent innocent, qu'il est quelqu'un de particulier. Azra se sent désirer, aimer. C'est difficile, après une demande comme celle qu'il vient de lui faire, de ne pas remettre en question les sentiments qu'il a envers le blond. C'est qu'une capote, mais ça signifie tellement de choses, ça les rapproche bien plus qu'ils ne le pensent, ça l'envoie haut, très haut dans les nuages. La sensation est différente, le ventre qui se contracte à cause des papillons qu'il ressent dans le bide. La manière dont son surnom, parce que Tom est désormais le seul à avoir l'autorisation de l'appeler ainsi, ça le rend complètement dingue. Il arrive le moment où il y a cette vague de plaisir, un corps se mettant à trembler contre les bras de l'autre, une sensation de liqueur chaude qu'il sent sur son torse, alors que l'ultime gémissement brise ses cordes vocales tant c'est intense, tant c'est beaucoup d'émotion. Et Tom, Tom qui se retire alors qu'il se colle contre Azra, le brun qui entoure son cou pour l'embrasser avec tout c'qu'il a dans le coeur. Et peut-être que la différence est là, c'est qu'il y a de l'amour dans cet échange, un baiser qui supplie l'plus vieux à ne pas l'abandonner parce qu'il y a toute une confiance en lui. Et quand les lèvres se séparent, que les rires remplacent les gémissements, il y a la main d'Azraël qui remonte le long des cheveux de Tom, caressant en passant sa joue. « Tu es beau. » Le compliment sort, il ne se retient pas, son coeur s'emballe, tout est en train de se multiplier. « Tom, t'as pris trop d'importance en si peu de temps. » C'est l'ultime vérité, Tom est là, dans son âme, dans sa tête,et c'est trop agréable pour que tout s'arrête.
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| Sujet: Re: avant, ils étaient heureux. (tozra #11) -18. (#) Ven 13 Avr - 23:27 | |
| Ça a un nom littéraire, ce qui lui arrive après la jouissance. La petite mort. Un terme qui peut sembler sombre et un peu glauque, mais que Tom pourrait justifier avec juste un seul argument : s’il devait mourir sous peu, ça ne le dérangerait pas que ce soit à cet instant précis, alors qu’il est blotti contre Azra, que leurs respirations encore saccadées se heurtent et que leurs lèvres se tendent pour partager un baiser. C’était pas prévu tout ça. Qu’ils se retrouvent finalement malgré la soirée qui avait laissée présager que le brun lui poserait un lapin. Que Tom interromprait sa nuit pour leurs ébats. Qu’encore une fois, il serait frappé par ce bonheur intense. En fait, c’était ce qu’il appréciait. Etre surpris à chaque fois, à croire que tout était nouveau, imprévisible. Il ne suffit que d’un compliment pour le faire sourire dans le noir, venir à son tour caresser le visage du gamin. Il y a ses doigts qui errent, qui essayent de se remémorer chaque trait. Il va pas mentir, ça lui fait quelque chose de savoir qu’il est devenu important. Parce qu’il n’y a pas encore eu ces mots, ils ne se sont pas encore proclamés comme appartenant à l’autre. Ils ne sont pas en couple, mais dieu sait que l’affection entre eux dépasse le raisonnable. « J’aime t’avoir à moi. » Il sait Tom, qu’il aurait beaucoup de mal à le supporter si Azra allait voir quelqu’un. Probablement que pour son bien, le vétérinaire ne chercherait pas à se battre. Il laisserait tomber et se raccrocherait aux souvenirs, aux moments éphémères en se considérant chanceux d’y avoir eu droit. Peut-être qu’il devrait avoir le courage de dire ces quelques mots, d’officialiser leur relation. Il ne sait pas tant ce qui le retient, juste qu’il est assez heureux cette nuit pour ne pas prendre le risque. A la place, il revient l’embrasser, passer un bras dans son dos pour le serrer un peu plus contre lui. « Tu sais, à ce rythme là, il va vraiment falloir que tu songes à laisser une brosse à dent et des fringues de rechange ici. » |
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