une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Lun 30 Avr - 18:58 | |
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Le silence. La colère. J’ai la désagréable sensation que je vais douloureusement devoir m’y habituer en ce qui le concerne. Surtout lorsque je lis toute la fureur qu’il me voue dans un seul regard échangé. Et je sais que c’est de ma faute, Paxton. Je sais que ce soir je me montre parfaitement stupide avec toi mais… je t’en prie, comprends moi. La fierté, c’est une saloperie à laquelle on ne peut résister. Quand elle est là, qu’elle prend le contrôle de notre cerveau, elle nous pousse à faire n’importe quoi. Et n’importe quoi, je l’ai fais avec toi. Et je m’en excuse, vraiment. Seulement, est-ce que des excuses suffiront à apaiser l’homme blessé que j’entrevois dans ton beau regard ? J’en doute. A tel point que je t’avoue la vérité sur mes sentiments, avec la peur au ventre que tu les rejette, d’un revers de la main. Paradoxalement, je demeure immobile en attendant le verdict. Ton verdict. Je lis sur les traits de ton visage les réactions que te procurent mes mots, qui ne sont plus que murmure, pour découvrir finalement de la stupeur. Cela me semble tellement familier, tout d’un coup. Peut-être parce que j’ai ressentie moi-même cela à l’entente de ces sentiments pour moi, précédemment dans le salon. Alors que j’y réfléchie, pour ne pas trop me formaliser sur son temps de réaction qui pourrait être de mauvais présage - finalement, je me sens attirer contre lui par le biais de sa main posée à même sur le bas de mon dos. Tout va très vite, soudainement. Trop vite même, pour que mon cerveau n’est ne serait-ce que le temps d’analyser la situation puisque, en moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire, sa main remonte jusqu’à ma nuque pour s’y agripper, pendant que nos lèvres se rencontrent pour la première fois dans un baiser qui se veut passionné tout en demeurant à la fois chaste. C’est perturbant, mais nullement désagréable. Je m’entends gémir contre ses lèvres closes, d’ailleurs, tandis que mon coeur bat à tout rompre dans ma poitrine. J’ai envie de plus, de bien plus. Seulement, je n’en fais rien. Par peur de trop précipiter les choses, je crois. Je ne voudrais pas que l’on regrette dans quelques heures, parce que les choses n’auraient pas été bien mises aux claires entre nous. C’est que cela vire à l’obsession ce besoin de clarté, quand on y pense. Mais qu’importe. Nos lèvres se détachent. Nos fronts se collent quelques secondes l’un contre l’autre. C’est drôle mais, à reprendre notre souffle comme ça, on dirait que l’on vient de faire un concours d’apnée. Je rie presque à cette pensée.
_ Si tu savais… Tu… Bordel Lydia. T’as vue ce que tu me fais faire ?
J’éclate de rire à ces mots. Je ne saisie pas trop ce qu’il sous-entends par là, et ne préfère pas me risquer à chercher le sens, mais j’imagine que c’est positif au vu de ce que je lis dans ses prunelles. Un amour sincère, une peur de mal faire les choses, ainsi qu’un bonheur infaillible. C’est tellement beau. Je sourie de joie, rien qu’à cette vision.
_ Puis merde ! Viens-là.
A ces mots, je me sens de nouveau attiré contre son corps. Je ne fais aucun geste en guise de protestation, si ce n’est celui de pencher légèrement ma tête de sorte que son nez puisse frôler chaque grain de ma peau sans rencontrer un seul obstacle. Cette caresse, suivie de celle de ces lèvres, me procure un doux frisson qui remonte tout le long de ma colonne vertébrale. Je m’entends soupirer d’aise tandis que mes paupières se ferment pour savourer toute la sensualité de cet instant. Je suis à sa totale merci, sous sa totale volonté. Je laisse sa main diriger mon visage, de sorte que sa bouche trouve le réconfort de la mienne, accueillante. Cette fois-ci, pas question que nos langues soient exclus de ce ballet sensuel qu’il a instauré entre nous. Je désire plus que tout qu’elles se rencontrent, se découvrent, s’habituent à la saveur exquise de l’autre. Un souhait que nous partageons puisque, sans que j’ai besoin d’entrouvrir ne serait-ce qu’un peu les lèvres, en guise d’une invitation silencieuse, Paxton instaure ce baiser enivrant que j’attendais impatiemment. Aussitôt, j’enroule mes bras autour de son cou pour le garder jalousement contre moi, pendant que nos langues s’enroulent fiévreusement l’une contre l’autre. Je ne ne veux plus que l’on nous sépare. Plus jamais. Et la caresse de sa paume contre la peau chaude de mon ventre me confirme ce que je désire entre nous, depuis si longtemps. Une relation faite de sexe autant qu’amour. Je pourrais faire la fille prude qui désire attendre quelques rendez-vous pour franchir ce cap qui détruira à tout jamais la relation amicale que nous avions mais … cela serait jouer un rôle qui ne colle pas réellement à ma personnalité, et je ne sais pas être fausse. Alors, désunissant nos lèvres affamés de l’autre à regret, je lui murmure à bout de souffle.
_ Viens avec moi.
Je le contrains à arrêter ces caresses pour le conduire, main dans la main, dans sa chambre que je connais quelque peu pour y être déjà rentré par le passé. Lorsque nous y sommes, je le lâche, puis me recule légèrement de lui. Dans son regard, je peux dès lors lire tout le désir qu’il me destine, semblable à celui que je nourrie à son égard. Néanmoins, je lui ordonne silencieusement de ne surtout pas s’approcher. Pas immédiatement, tout du moins puisque, yeux dans les yeux, plongés dans la pénombre de cette pièce éclairée très légèrement par la lumière émanant du salon, je tiens à lui offrir cette vision qu’il a du par le passé ne voir qu’au travers de ses rêves les plus fous. Celle de mon corps, quasiment nu. Me déshabillant avec une sensualité presque impossible après l’ingestion d’alcool, je lui jette à la suite mon haut ainsi que mon jean, après avoir retirer mes escarpins. Tout juste vêtue de mon ensemble en dentelle rouge et noire, je viens par la suite prendre place sur le rebord de son lit, où je l’autorise à venir par une seule demande, prononcé avec envie, à me rejoindre.
_ Fais moi l’amour, Paxton.
Maintenant et pour toutes les années à venir. Viens me faire gémir ton prénom sous le plaisir. Viens me faire savoir a quel point je t’appartiens corps et âme.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Lun 30 Avr - 22:30 | |
| Cette soirée, ou plutôt devrais-je dire nuit vu l’heure, devient de plus en plus intéressante. Si on m’avait dit, il y a peu qu’elle se déroulerait de cette façon et que je serais en train de t’embrasser comme j’en ai envie depuis des mois, j’aurais ris si fort qu’on m’aurait entendu jusqu’en Amérique. Mais, sentir tes lèvres contre les miennes et ton corps pressé contre moi, j’en ai presque le tournis. Dans le bon sens du terme, évidemment. « Viens avec moi. » Me dis-tu finalement alors que l’on reprend notre souffle. Je te suis avec plaisir, sans même penser à ce qui allait arriver. J’étais trop euphorique pour cela. Même lorsque nous avons entré dans ma chambre et que tu m’as bien fait comprendre de rester là un moment, je ne comprenais toujours pas. Je pensais, qu’on allait simplement parler et clarifier ces quelques petites choses qu’on avait à se dire, mais non. J’ai fait erreur sur toute la ligne. Tu te mets à te déshabiller tranquillement et je me mords la lèvre inférieure. Je peux t’apercevoir dans la légère lumière qui émane des autres pièces et je te trouve un peu trop irrésistible.
« Lydia… Je… J’veux pas qu’on fasse l’amour. En fait, oui plus que tout, mais j’veux pas que tu crois que j’ai tout fait ça pour t’avoir sous ma couette. »
J’ai l’impression que tu ne m’écoutes même pas. Sois t’en a rien à faire ou alors tu ne penses même pas à ce que je viens de mentionner et tu me fais assez confiance pour ça. Dans ton fort intérieur, tu sais que je serai encore là après et demain, la semaine prochaine également et tous les mois suivants. Je serai là, jusqu’à ce que tu ne veuilles plus de moi. Et en pensant à ça, je reviens à la réalité lorsque je reçois ton haut dans le visage. Je te regarde, désireux de passer mes mains partout sur ton corps et n’hésite pas à m’approcher de toi alors que tu me demandes de te faire l’amour. Je trouve ça à la fois excitant et bizarre. Jamais personne ne m’a demandé cela dans le passé, ça se faisait simplement, naturellement. Un coup de chaleur m’envahit alors que ta voix me fait chavirer. Je te regarde d’un air plus dubitatif. Une lueur nouvelle éclaire mes yeux et j’efface la distance qui nous sépare. En un éclair, je suis sur toi. À te sentir tout près de moi, comme ça, je réalise pleinement que je n’ai pas la force, ni le courage ni même la volonté de me battre contre moi-même à vouloir attendre de passer aux choses sérieuses. À vrai dire, en ce moment, je te désire plus que tout au monde. Ma main se pose, légère et chaude, sur ta joue. Le simple contacte de ta peau m’enflamme. Je suis vaincu. Ma bouche fond sur la tienne et mes lèvres caressent délicatement tes lippes tandis que mes bras t’attirent tout contre moi. Je sombre irrémédiablement dans le plaisir le plus pur. Quand je m’arrache à tes lèvres pour te regarder afin de voir si c’est vraiment ce que tu désires, j’ai le regard brillant, tu m’attires à un point que tu peux facilement voir une lueur de malice, mais également de luxure dans mes prunelles.
« Je t'aime Lydia. Comme un fou ! »
Je n'arrivais pas à te le dire, jusqu'à maintenant, n'ayant pas encore tout à fait retrouver mes mots. Je te souris et ne voyant aucune résistance dans ton regard face à ce que nous étions sur le point de faire, je fonce de nouveau sur tes lèvres, débutant une danse endiablée entre nos langues. Tout bascule en une fraction de seconde. À partir de ce moment, je sais que plus rien ne sera jamais plus pareil entre nous et je n’en ai rien à faire. Tu me fais du bien. Je te soulève finalement dans mes bras et te pousse tout doucement au milieu de mon lit tout en t’embrassant encore, prenant position au-dessus de toi. Ton soutien-gorge ne résiste pas à mon offensive fougueuse et mes lèvres se referment autant de ton téton qui pointe durement vers moi, que pour moi. Je m’y attaque de ma bouche experte et le lèche, crée une succion, le mordille, tandis que de ma main, je viens doucement taquiner l’autre téton devenu bien jaloux. Au bout de quelques secondes, je traque ta petite-culotte pour te l’enlever délicatement alors que tu m’aides en relevant les fesses. Mes baisers ne t’accordent aucun répit, mon corps pèse sur le tien, te montrant comment tu peux m’exciter. Tu es sans doute capable de percevoir la dureté de mon érection contre toi. Les secondes passent alors que je me délecte de tous les petits bruits et gémissements qui sortent de ta gorge. Je te laisse tranquille une demi seconde, tout juste assez pour enlever mon T-shirt que je trouve de trop et replonge sur ton corps. Cependant, cette fois-ci, ma bouche ne vas pas s’attaquer de nouveau à tes mamelons, non je te donne des baisers partout où je vois de la peau, descendant petit à petit vers ton intimité qui doit m’attendre avec impatience.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Mar 1 Mai - 0:43 | |
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La palpable incompréhension de Paxton me fait légèrement sourire. Lui que j’ai toujours imaginée comme entreprenant avec ces partenaires éphémères, ne pas saisir le but de notre venue dans sa chambre ? C’est presque le début d’une bonne blague qu’il aurait pu me raconter pour me faire rire. D’ailleurs, elle me fait rire. Ah moins que cela ne soit les bafouillages qui émanent de sa bouche, tout d’un coup. Oh Paxton. Tu es tellement irrésistible lorsque tu sembles peu sûr de toi. Irrésistible et même craquant, devrais-je dire, puisque ton attitude me rend d’avantage folle de toi. Oui. Si plusieurs heures auparavant je tenais farouchement à nier un quelconque sentiment d’amour envers cet homme, désormais je suis plus que disposée à les assumer au delà d’une simple parole. Dire « je t’aime » au détour d’une dispute dans sa cuisine, ce n’était rien à côté de la preuve que je compte lui fournir. D’ailleurs, le mot preuve n’a pas véritablement sa place entre nous, dans cette chambre. Le mot le plus adapté serait « aimer », tout simplement. Car je ne désire pas uniquement lui dire que je l’aime, non. Je désire également lui montrer sans aucune limite, aucune pudeur. Et c’est en se sens que je fais le choix de ne pas répondre à ses vaines justifications quant à un vulgaire désir de sexe pour moi. Je sais qu’il ne s’agit pas que de cela. Je l’invite à le comprendre lui-même en lui balançant mes vêtements, avec légèreté. Tout va très bien, mon amour. Tout va absolument bien. Tout va tellement si bien pour moi en cet instant, que je viens prendre place sur le rebord de son lit, calmement. Rejoins-moi. Viens me faire l’amour. C’est là tout ce que je lui demande, la voix rendu chaude par l’excitation. Sans hésiter plus longuement, Paxton répond favorablement à cette invitation en se rapprochant de moi, en un éclair presque. Je soupire d’envie devant le prédateur qu’il représente soudainement. C’est bête parce qu’il ne se veut pas impérativement conquérant dans sa démarche mais, quelque part au fond de moi, il m’est plaisant de croire qu’à partir de ce moment précis, je deviens entièrement sa chose. Sa mains se déposant tendrement sur ma joue, me confirme cet état de fait. Je lui appartiens. Désormais, il peut faire ce qu’il semble bon de ma personne, je n’éprouve plus le besoin d’intervenir. Du moins… pour mettre un terme à nos ébats à venir, j’entends. Car pour le reste, je ne manquerai pas de participer activement à ce rapprochement intime que mon corps réclame tout entier. A commencer par ma bouche, tiens. En caressant presque insolemment mes lèvres contre les siennes, je contribue activement à enfiévrer davantage tout nos sens déjà ô combien surexcités. Le plus frustrant est sans nul doute qu’il soit encore vêtu de son tee-shirt ainsi que de son jean, tandis que ses bras me pressent contre lui. Et pour cause : sa chaleur m’englobe complètement mais… la douceur de sa peau à même la mienne m’apparait comme interdite. Une chose que je ne supporte pas. A tel point que je laisse mes mains s’aventurer sous son haut, pour imprimer sous mes paumes la forme de ces pectoraux, de son abdomen. Puis tout d’un coup, notre échange buccale s’interrompt par son initiative. Immédiatement, mon premier réflexe est de le transpercer de mes yeux olives, les sourcils froncés, pour déceler un début de réponse à cette question : pourquoi. Pourquoi alors que nous étions déjà tellement en symbiose tout les deux, as-tu ressentie le besoin de mettre un terme à l'une des caresses les plus divines qu’il soit en ce monde ? Et je comprends. Je sourie. Il s’assure uniquement que nous soyons parfaitement en accord quant à la suite des évènements, comme ce que nous nous apprêtons à faire ensemble pour la toute première fois. C’est tellement adorable, parfait. Combien de mecs en pareils situations prendraient sur leurs désirs, pour s’assurer qu’ils ne forceront pas leurs partenaires ? Beaucoup trop peu, hélas. Dès lors, je le rassure d’un regard mêlé d’amour et de luxure. Tout va bien mon amour. J’en ai autant envie que toi. Sont là les mots que je pourrais prononcés à haute voix, qu’il peut dors et déjà lire dans mes prunelles dilatés par le peu de clarté dans la chambre comme l’excitation grandissante. En réponse, j’ai le bonheur d’entendre enfin ce mot que j’attendais tant de lui. Un je t’aime sincère. Je sourie de toutes mes dents, heureuse. Il ne pouvait pas trouver meilleurs moments que celui-ci pour - explicitement, me faire savoir la similitude de nos sentiments. Désormais que nous le savons tout deux, nous pouvons reprendre là où nous sommes interrompus un peu plus tôt. Ce que nous faisons, par le biais de nos bouches qui se plaquent férocement l’une à l’autre, dans un baiser passionné. A la suite, nos langues s’enroulent l’une à l’autre, dans un tango endiablé. Je gémis contre ses lèvres, m’active sur sa peau que je caresse toujours sous son haut soulevés par mes avant-bras. Le sentir frissonnant est un délice sans nom. Un plaisir que je n’ai que très brièvement, toutefois, puisque Paxton me soulève pour me porter au centre de son lit où il me surplombe de tout son poids. Seigneur. Ce qu’il me rend impatiente. J’ai toujours appréciée les préliminaires mais là, elles me semblent de trop actuellement. Peut-être le comprend-t-il puisque, aussitôt, mon soutien-gorge cède à ses offensives passionnés. Sa bouche s’empare de l’un de mes tétons, fièrement dressé pour lui, tandis que l’une de ses mains cajole le malheureux délaissé. C’est une douce torture. Je râle de plaisir, glissant mes propres mains de son torse à sa chevelure, que je caresse comme un encouragement à poursuivre ses attentions.
_ Hmmm… Paxton.
Je m’entends soupirer entre deux gémissements, lorsque ses mains s’aventurent plus au Sud de mon corps. Je sais ce qu’il a en tête, je sais ce qu’il désire, et je lui accorde sans une seconde de réflexion en levant mon bassin pour qu’il puisse m’ôter ma culotte. Être nue sous lui décuple mon désir. J’hoquette de plaisir en me frottant insolemment contre sa virilité haut garde-à-vous, encore prisonnière de ses vêtements. C’est insupportable. Il est temps que nous soyons à égalité, tout les deux. Je m’attaque en premier à son tee-shirt, que je soulève par le biais des coutures du bas. Mon amant comprend immédiatement mon attente. Il délaisse mes seins pour le retirer. Je mordille ma lèvre inférieure à la vision qui s’offre à moi, par la suite. Ce n’est pas la première fois que je vois Paxton torse nue mais… c’est la première fois que je m’autorise à le regarder avec autant d’envie, de plaisir. Je prends bien le temps de l’admirer dans le peu de lumière que je possède, jusqu’à rater l’occasion de m’attaquer à son pantalon. Paxton glisse ses lèvres dangereusement jusqu’à mon pubis, ne manquant pas de m’arracher quelques frissons par le concours des baisers papillons qu’il dépose en chemin. Impudiquement, j’entrouvre mes cuisses au maximum pour lui offrir ce que j’ai de plus précieux. D’un regard très brièvement échangé, je lui confirme que je suis désireuse de sentir ces lèvres sur celle-ci, sa langue sur mon bouton de rose. Néanmoins, pas au point d’accepter qu’il me fasse languir si l’envie lui prenait car, le cas échéant, je m’occuperais de son jean et son sous-vêtement pour lui faire subir le même supplice à sa virilité gorgée d’envie.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Jeu 3 Mai - 15:52 | |
| La soirée était plus que magique. Jamais je n’aurais cru que cela se passe ainsi, surtout pas de la façon dont elle avait commencée. Je suis surpris, mais agréablement surpris du dénouement et désormais, je suis heureux de pouvoir constater que nos sentiments sont bel et bien partagé. J’ai cru, un long moment que tout ça n’allait qu’à sens unique et je suis heureux de voir que je me trompais sur toute la ligne. J’aimais croire que tu étais mienne désormais et excité à l’idée de te posséder dans les prochaines minutes. Te voir nue, sous moi, me donne d’étrange réaction, au point que je faisais peut-être un peu trop attention à ta personne. Mes autres relations pourtant, je n’étais pas comme ça, non, je prenais les choses en mains. Mais ta seule venue dans ma vie me pousse à prendre soin de toi et à prendre au sérieux ton confort. Mes mains sur ton corps, ma bouche sur ta poitrine, je commence à descendre tout doucement sur ton ventre, te donnant plusieurs petits baisers papillons, mais arrivé à ton nombril, je remonte tranquillement. Non, ce n’était pas pour ne narguer, ni même pour te faire languir. Pas avec tout ce que j’ai en tête, mais c’est plus pour prendre mon temps. M’imprégner te la douceur de ta peau. Te découvrir tout entière. Depuis le temps que je t’attends. Ma bouche atteint finalement un de tes tétons que je suce de nouveau, mordille et lui mène la vie difficilement avant de commencer à alterner, sur les deux, tour à tour jusqu’à ce qu’ils soient aussi durs que de la pierre. Alors, du bout des doigts, je te caresse les côtes, le ventre, l’intérieur de la cuisse... Je passe l’index entre tes lèvres, jusqu’à aller effleurer ton bouton de chair, commençant une petite danse infernale, faisant jouer mes doigts à l’entrée de ton sexe tout en décrivant, avec mon pouce, des cercles délicats autour du point le plus sensible de ton corps. M’amusant encore quelques secondes avec le haut et le bas de ton corps, je finis par introduire un doigt en toi, tout en accentuant la pression de mon pouce. Laissant ton sein de côté, que je continuais à lécher depuis tout à l’heure, je relève les yeux vers toi, afin de garder en tête les réactions que je te donne. J’y introduis finalement une deuxième phalanges et les avance encore plus profondément, les courbant légèrement pour atteindre ton point G, sans cesser de stimuler ton clitoris. Mes doigts vont et viennent en toi jusqu’à ce que je sens les premiers signe de délivrance et lorsque tu arrives au point de non-retour, au lieu de ralentir mes caresses, je les fis plus pressantes pour que tu aies des spasmes plus puissants. Je veux que tu te souviennes de cette nuit. Te combler est mon plus fort désir. Une fois que je juge que tu es satisfaites, te voyant à bout de souffle, je retire mes doigts avec douceur. Te laissant respirer, surtout reprendre son souffle, je me lève du lit et déboutonne mon jean, puis le fait glisser sur mes hanches, entraînant mon boxer dans le même mouvement vif. Debout et nu devant toi, le sexe tendu, le regard brûlant, j’en profite pour admirer le reste de ton orgasme, même si mon corps tout entier vibre du désir de te posséder. Je me penche vers toi pour te saisir les chevilles. D’un geste, je t’attire vers le bord du lit et m’avance entre tes jambes.
« J’ai trop envie d’être enfin en toi. J’ai besoin de te prendre là, tout de suite. »
Rien à faire des préliminaires de mon côté. Tu peux très bien voir que je n'en ai pas besoin et de toute façon, si tu y tiens vraiment, tu peux toujours me réveiller avec une délicieuse fellation un peu plus tard. J’avoue que ça serait un réveille merveilleux qui donne envie. Sortant de mes rêveries, je passe mes mains sous tes genoux pour t’amener tout contre moi, jusqu’à ce que u puisses sentir l’extrémité de mon sexe appuyer contre tes lèvres gonflées de plaisir. Je marque néanmoins une brève pause, afin d’enfiler un préservatif sur ma verge gorgée de sang, avant de te pénétrer lentement avec envie. Un vrai délice. Les yeux fermés, je profite de chaque sensation, laissant glisser d’entre mes lèvres un gémissement rauque. En ouvrant les yeux, je te caresse le ventre, la taille puis les seins que j’étreins doucement, en taquinant les pointes. Suite à cela, je me penche vers toi et pose mon front contre ton épaule et enfouis mon visage dans ton cou m’enfonçant toujours plus loin jusqu’à ce que nos hanches se rencontrent enfin. Même si je brûle d’impatience, que j’en tremble presque, je veux m’assurer de ton confort et de te faire vivre une expérience inoubliable. Seulement, dans mes gestes, tu sais que, si jamais tu voulais que j’arrête, j’allais m’exécuter, même enivré de désir, comme je le suis en ce moment. Puis, je viens t’embrasser lentement et tendrement, comme si je voulais seller cette promesse silencieuse, commençant à bouger des hanches exécutant de lent et délicieux coups de reins. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Ven 4 Mai - 18:55 | |
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C’est une déception. Paxton ne descend pas sa bouche plus bas que mon nombril, comme je l’escomptais en écartant outrageusement mes cuisses. Au contraire, il lui fait suivre le chemin inverse de son trajet précédent, pour s’emparer à nouveau de ma poitrine gorgée d’envie. Non. Ce n’était pas ce que je voulais ! Et je ne me prive pas de lui faire entendre par un bref soupir de mécontentement, suivie d’une moue contrariée. Enfin. Contrariée je ne le suis pas longuement puisque ces petits jeux de bouche sur mes tétons fièrement dressés, valent largement le plaisir qu’il m’a ôté en délaissant mon intimité à son profit. Je lui pardonne donc dès lors cette initiative, par le biais de soupirs énamourés, ainsi que de caresses tendres dans son dos. C’est un véritable délice. Ma peau en frissonne totalement. Il sait tellement comment s’y prendre avec moi, pour me faire ressentir du plaisir ne serait-ce que dans les préliminaires, que j’ai le sentiment que mes ex-amants ne possédaient pas la même expérience aussi poussée que n’est la sienne. Combien de partenaires a-t-il eu, je me me demande soudainement. Certainement suffisamment pour savoir que les femmes sont réceptives aux attentions sur la poitrine, comme aux caresses qui ne sont que frôlements. Ce qui est le cas, je frissonne totalement alors que ces doigts longent mes côtes et mon ventre, pour finalement atterrir au centre de mes cuisses toujours offertes. Immédiatement, je me mords la lèvre inférieure d’envie, le dévorant d’un regard de braise. Cette fois, je sais qu’il n’a pas l’intention de rebrousser chemin. Il me le certifie aussitôt en faisant jouer son index sur mon clitoris surexcité. Je pousse un râle de plaisir sous son habilité qui m’électrise toute entière.
_ Fuck. Je soupire pour moi-même, dans un râle presque jouissif.
Jamais je n’avais ressentie aussi violemment de telles sensations en un seul contact sur mes lèvres intimes. C’est tellement… Hmmm. Les mots me manquent pour décrire exactement cette divine sensation qui m’empare intégralement. Et très honnêtement, je n’ai pas le désir immédiat de parvenir à le faire. Loin de là. J’ai envie de m’enivrer jusqu’à la lie de ces petits cercles que dessinent mon amant sur mon point le plus sensible à son toucher. Je ferme d’ailleurs les yeux pour se faire, tandis que je l’encourage à poursuivre par le biais de son prénom que je gémis à intervalle irréguliers. Tout d’un coup, un doigt s’immisce dans mon intimité. Je pousse un profond râle de contentement, suivie d’un « Fuck » plus fort que précédemment. Fuck. Je ne me connaissais pas aussi vulgaire sous le plaisir, je dois dire. J’espère que cela ne dérange pas mon partenaire car, le cas échéant, je m’en voudrais d’avoir gâcher cet instant mémorable qu’est notre première fois avec de tels propos… Hm… J’imagine que Paxton ne m’en tiendra pas rigueur au regard qu’il pose sur moi, présentement. Il n’attends que mon plaisir, et quel meilleur façon de lui fournir avec ce total perte de contrôle sur les sons et les mots qu’émettent ma bouche. D’ailleurs, je ne devrais même pas y réfléchir présentement. Je devrais juste vivre pleinement cet instant de bonheur intense qu’il m’offre, ce que je fais en fermant à nouveau les paupières. La sensation de se doigt s’agitant dans mon bas ventre, de se pouce pressant mon point « G », se fait instantanément plus forte. Je pousse des petits cries qui n’ont pour rythmique que les mouvements que m’impose Paxton. Un deuxième doigt rejoint le premier. Je presse dans mes mains fermées la couverture de son lit, ne voulant pas lui faire mal sous ma perte totale de contrôle de mes sens. Je sens d’ailleurs l’orgasme se faire de plus en plus présent, de plus en plus grondant. J’halète son prénom comme un signe d’avertissement, pour le cas où il ne voudrait pas que je jouisse ainsi, sans lui. Mais mon amant ne s’interromps pas, au contraire. Il maintient la cadence de ces doigts jusqu’à ce que celui-ci me submerge violemment, me faisant crier un ultime aveu de plaisir. Paxton m’accompagne alors dans les spasmes incontrôlables de ma jouissance, rendant cet instant on ne peut plus divin. Sait-il à quel point je l’aime pour cette attention et toutes les autres ? J’imagine que non, pas encore, mais cela ne saurait tarder. Alors que je reprends mon souffle, je sens que mon amant me délaisse totalement. Curieuse, j’ouvre les yeux pour regarder ce qu’il fait. Au bout du lit, je le découvre ôtant les dernières pièces de vêtements qui gênent à notre union ultime. Je le découvre totalement nu, avec un regard gourmand qui peut lui échapper. Je tairais d’ailleurs mon avis plus que favorable pour cette jolie virilité qui pointe en ma direction. J’ai bien envie de la cajoler à mon tour pour lui offrir, également, le même plaisir suprême. Or, mes projets sont rejetés d’un revers de main, dés lors que Paxton se saisie de mes chevilles pour m’attirer prés de lui, au bord du matelas. Je le laisse faire, sans m’interposer à cette volonté. Les mots qu’il m’adresse me convainquant complètement de ne pas lui ôter cette opportunité immédiate de nous unir, réellement. Ses mains remontent par la suite sous mes genoux, pour coller d’avantage nos intimités. Je tressaille au contact brûlant de son gland s’appuyant sur mes lèvres gonflés de sang. Je le regarde les yeux brillants de luxure s’emparer d’un préservatif qu’il passe autour de sa queue. Je sourie brièvement à l’idée qu’il aurait pu tout prévoir d’avance s’il avait seulement pu comprendre que je l’aimais. Sans brusquerie, Paxton se glisse finalement dans mon antre accueillant, millimètre par millimètre.
_ Paxton… Je grogne d’encouragement, de contentement.
C’est tellement bon de le sentir écarter mes chairs intimes pour s’y frayer une place, sa place, que j’ai le sentiment de déconnecter complètement de la réalité. Ce ne sont d’ailleurs que ses mains se glissant sur mon ventre, ma taille, mes seins, qui me rappellent que je ne suis pas entrain de rêver. Saisissant qu’il dépose son front sur mon épaule pour m’emparer d’une main de sa nuque, je caresse la peau qui m’ait à disposition pour accompagner aussi délicieusement que lui notre première langoureuse pénétration. Quand son sexe touche enfin le fond du mien, Paxton s’immobilise. Je l’encourage à poursuivre dès lors en amplifiant le mouvement de mes mains sur ses épaules, son dos, ses flancs. Il n’y a plus de toute à avoir sur nous, sur cet instant. Nous deux, c’est pour la vie. Et comme s’il pouvait le lire dans mes pensées, mon petit-ami s’empare de mes lèvres dans un baiser qui se veut langoureux, tandis que son bassin intime un long et profond va-et-vient. Sans attendre, j’enroule suavement ma langue autour de la sienne, ainsi que mes bras autour son cou. Je ne veux pas que cela s’arrête. Je veux qu’il me face l’amour ainsi, jusqu’au bout. Qu’il étouffe, tel un bâillon, mes soupirs énamourés de sa bouche si douce. J’en aime son goût à la folie. Je sais que je ne pourrais plus jamais m’en passer, m’en sevrer. Je sais que si j’y étais malheureusement contrainte, elle me manquerait bien plus que tout autre caresse. Non. Je mens. Toutes ces caresses, tout de lui me manqueraient. Au fur et à mesure que le temps s’écoule entre nous, le mouvement de nos bassins gagnent en intensité, en rythme. Bientôt, les prémices d’un second orgasme se font ressentir dans mon bas ventre, déjà à fleur de lui depuis longtemps. Or, j’aimerais qu’il ne vienne pas immédiatement, qu’il ait lui-même le temps de bien savourer notre ô combien délicieux coït. J’intime donc de mes mains qu’il ralentisse à nouveau la cadence, sans interrompre notre baiser. Car nous avons tout le temps devant nous de jouir mon amour, n’est-ce pas ?
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) Dim 6 Mai - 21:43 | |
| Voir tes yeux gourmands me regarder lorsque je me dévêtis, me donne encore plus l’envie irrésistible de te prendre là tout de suite. De ce fait, je n’ai pas résisté très longtemps à l’idée de t’attirer vers moi pour te faire mienne. Me fondre en toi pour ne faire plus qu’un. Et lorsque je te pénètre enfin, depuis le temps que j’en ai envie, un même cri nous lie. Ma tête sur ton épaule, je saisis l’occasion pour commencer mes coups de reins avant de me reculer légèrement et de te regarder dans les yeux. Nos souffles se mêlent et je me penche vers toi pour un baiser passionné, alors que nous laissons nos corps se chercher, se trouver, se rencontrer et surtout se connaître. Tes caresses sur mon corps, me font tant de bien, que je ne répond plus de moi. Mes mouvements sont à la fois maîtrisés et fougueux, vifs et harmonieux. Tout d’abord très lent, ils prennent vite un rythme plus soutenu qui nous comble tous les deux. Nos gémissements de plaisir se répondent, entre deux baisers. Au bout d’un moment, je laisse tes douces lèvres sucrées pour m’attaquer de nouveau à ton cou, descendant ma main, tout le long de ton corps, parcourant chaque parcelle de peau jusqu’à atteindre de nouveau ton intimité. Mon pouce atteint finalement ton clitoris que je commence à caresser exécutant des cercles remplis de tendresse. Je veux t’entendre gémir, te voir prendre du plaisir. En ce moment, te voir sous moi est la chose la plus belle que j’ai pu voir. Je ferme les yeux et gémit de plus en plus fort. Je ne me reconnais pas, je ne sais pas ce qui se passe avec moi. Est-ce toi qui me fais autant d’effet ? Je n’ai jamais connu une impression de plénitude et d’osmose. Avec toi, je ne me pose aucune question : je sais au fond de moi que tu ne me jugeras pas. Je me sens bien avec toi, comme avec personne d’autre. J’accélère finalement la cadence, mon bassin bouge de plus en plus vite, même si pour cela, tous les muscles de mes cuisses protestent. Pourtant, le plaisir que je lis à présent sur ton visage m’en courage à continuer. Mon excitation grandit encore. Pour moi aussi, c’est l’extase est proche. Lorsqu’à mon tour, je jouis en criant, tu me rejoins rapidement alors que j’empoigne tes seins à pleines mains et les porte à mes lèvres. Je veux que ton orgasme continue encore un moment. De ce fait, je les lèche, tête, mordille jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Jusqu’à ce que moi-même, j’en ai le souffle coupé. Je me retire donc lentement de toi, redonnant un dernier et léger coup de bassin et t’accueille dans mes bras protecteur, après avoir retiré le préservatif.
« Je t’aime, Lydia. T’es sans doute la plus belle chose qui me sois arrivé. »
Ces paroles avaient été dites tout doucement, comme si j’étais en train de m’endormir. C’était bien le cas et cette nuit, sera la plus belle que j’aurai connue depuis des lustres. Dormir avec quelqu’un, c’est bien, mais quelqu’un que l’on aime plus que tout, c’est franchement la meilleure sensation. Tout juste avant que les bras de Morphée m’invitent à rejoindre le pays des rêves, je dépose la couette sur nos deux corps en sueur et dépose ma tête, tout prêt de la tienne. Je suis tellement heureux. Tellement bien…
FIN DU RP |
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| Sujet: Re: (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia (#) | |
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| | | | (HOT + 18) There is a first for everything. + Lydia | |
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