[LOTERIE RP] Jenny-Juliet

Jenny a une garde-robe bien fournie mais ce n'est pas pour autant qu'elle se lasse de faire les magasins. Il lui arrive même de prévoir des journées shopping où elle n'achète rien. Enfin … où elle envisage de ne rien acheter. Elle finit toujours par craquer pour un haut, une petite robe ou un accessoire. Elle fait attention tout de même car elle ne roule pas sur l'or. Elle a son loyer qu'elle partage avec les autres alors de ce côté là elle ne se ruine pas. Elle n'a pas des goûts de luxe mais elle aime la qualité alors l'argent part assez vite. Néanmoins, elle n'a jamais eu de soucis jusqu'à maintenant et elle va faire en sorte que cela continue. Elle erre donc gentiment dans le magasin de vêtements. Assez peu de gens. Au moins elle ne risque pas de bousculer quelqu'un. Et si jamais elle sort et que les alarmes antivol se mettent à bipper, il n'y aura pas une assemblée qui la regardera bizarre. Cela est déjà arrivé. Et comme Jenny est sourde, elle ne s'en ai évidemment pas rendu compte. On passera les détails de cette situation gênante, plus pour le vigil que pour la blonde, qui a eu lieu ensuite. Elle trouve deux t-shirt qui lui plaisent pas mal. Voulant savoir voir si ceux-ci lui vont, elle se dirige vers les cabines. N'entends pas la pseudo-agitation qui gagne le magasin alors qu'elle enlève le haut, en enfile un autre et se regarde dans le miroir. Fais pareil avec l'autre et ressort. Elle ne remarque pas forcément qu'il n'y a plus personne. Elle s'avance vers la caisse. Vide évidemment. Et oui elle commence un peu à se demander quoi. Elle s'est déjà retrouvée dans des situations bizarres ou gênantes à cause de sa surdité. Elle tourne la tête et aperçoit une autre femme. Qui elle aussi sort des cabines. Elle louche à peine sur sa poitrine. Enfin peut-être un peu quand même. Jenny est une femme qui aime les femmes alors forcément … Sans pour autant le faire vulgairement ou dans un quelconque but qui soit. Elle ne tilte alors pas forcément de cette absence de monde et attends … Croyant que le vendeur est sûrement « quelque part ». Mais personne ne vient. Et elles comprennent assez rapidement qu'elles sont toutes les deux enfermées. Elle s'avance pour « parler » à la jeune femme mais cette dernière la fuit du regard pour jeter un œil sur son téléphone. Pas de réseau. La sourde lit les lèvres de la brunette et sort alors son téléphone. Elle le retourne vers la femme en secouant de la tête et en haussant des épaules. Elle range le tout et sort son petit calepin pour écrire dessus. « Je suis sourde et muette. Mais je sais lire sur les lèvres. Vous n'avez rien entendu ?? » La blonde retourne le carnet pour que la femme en face d'elle puisse lire. Une chose qui lui arrive souvent aussi que d'écrire ses mots avant même un bonjour. D'ailleurs elle secoue doucement en y repensant et réécrit rapidement. « Bonjour aussi ! J'en oublie mes politesses. » Elle rigole doucement. Voilà qui est bien mieux. Elle se doute que la brune ne connaît pas la langue des signes. Mais elle pourrait être surprise. « On fait quoi maintenant ? »Bonne question. Attendre peut-être. Ou trouver une issue ? Ne sachant pas pour combien de temps elles en ont …

Il faut une première fois à tout ! Comme se retrouver coincée dans une boutique. Seule. Ou plutôt à deux. Elle a déjà connu de nombreuses mésaventures avec son handicap. Elle pourrait en parler pendant des heures. Et encore, elle en oublierait la moitié. Mais se retrouver a l'intérieur d'un magasin fermé ? Ca non. Au moins elle n'est pas seule. Même si elle ne paniquerait pas pour autant. C'est un peu un rêve que se retrouver enfermé dans un tel endroit non ? Enfin pas trop. Un grand supermarché ou un magasin de jeux peut-être. Mais ici, à part si elle se faire un petit défilé de mode … Elle garde l'idée dans un coin de sa tête au cas où. Cela pourrait être drôle. Et le gérant n'aurait trop rien à leur dire vu que tout est de sa faute. Jenny se met donc à écrire pour communiquer avec la brune en face d'elle. La jeune femme s’excuse d'un signe qui fait sourire la blonde. Elle s'apprête à lui demander si elle parle la langue mais la brune est plus rapide qu'elle et répond à son interrogation. Elle aussi essayait une robe. Regardant les lèvres articuler les mots, elle ne peut ensuite s'empêcher de baisser le regard sur les seins de la femme. Elle ne peut s'empêcher non plus de s'imaginer la scène. Si la brune avait besoin d'un coup de main, elle n'avait qu'à demander à Jenny … Elle se serait faite un plaisir d'aider … Elle espère néanmoins ne pas avoir gêné la jeune femme en baladant de la sorte son regard. Surtout qu'elle ne se contente pas de ça Jenny. Elle écrit. « J'aimerais bien dire que je peux comprendre mais j'ai été beaucoup moins gâtée que vous de ce côté là. Enfin je ne m'en plains pas. Mais si vous pouviez m'en donner un peu je ne dis pas non. » Elle s'approche juste un peu et retourne le petit bloc note une nouvelle fois. Pouffant de sa bêtise. Remettant un peu d'ordre dans ses idées également. Il ne faudrait que la vision de la brune avec cette robe à moitié mise ne reste trop présente dans son esprit. S'excusant ensuite de son impolitesse. Parler de poitrine avant de se dire bonjour, il faut le faire quand même … Elle crayonne rapidement. « Au moins nous gardons notre calme. J'en connais qui en serait toute retournée. Et moi c'est Jenny ! Enchantée ! » Elle montre les mots à Juliet, sourit, et tend la main pour serrer celle de la brune. Elle aurait pu tombé sur une hystérique. Mais ce n'est pas le cas. Ouf. Que faire à présent ? Trouver une sortie. L'entrée principale étant fermée. « Bonne idée ! On devrait commencer par l'arrière boutique. » Elle attend un acquiescement de Juliet et puis elle se dirige vers la partie privée du magasin. Il est impensable pour elle qu'il n'y ait qu'une issue. Elle est certaine qu'il doit y avoir une porte à l'arrière. Reste à savoir si cette dernière sera ouverte. Jenny aussi est quasiment certaine de la réponse à cette question, « non ». Tout en marchant elle écrit. Tapote ensuite l'épaule de la brune pour qu'elle puisse lire. « J'espère qu'on nous prendra pas pour des voleuses. Même si je trouve que … ça a un petit côté « excitant ». » Elle rigole encore silencieusement. La situation est plutôt drôle oui. A peine stressante. Cela lui fera une belle anecdote elle en est certaine.

Heureusement pour la blondinette, elle est tombée sur une femme plus que sympa. Il y a bien évidemment d'autres adjectifs qui lui viennent en tête comme souriante, charmante, et peut-être plus encore mais il n'est pas question de ça. Ce n'est qu'une première impression bien sûr mais elle est confiante en son jugement. Surtout, elle n'est pas tombée sur quelqu'un de timide. Elles ne parleraient pas de ce genre de choses si c'était le cas. Jenny est-elle jalouse ? Peut-être un peu. Elle aimerait bien savoir ce que c'est que d'avoir une poitrine comme celle de la brune. Mais elle se contente amplement de celle qu'elle a. Bien qu'elle blague à ce sujet. Et la réponse de la jeune femme la fait beaucoup rire. « A votre place je les garderai aussi. Ces jumeaux m'ont l'air tout à fait ... adorable. » Elle ne peut s'empêcher de rire de nouveau. Ne sachant pas encore sur quel pied danser en face de cette femme. Ce pourquoi elle reste encore sage dans ses propos. Elle aime bien jouer à ce jeu Jenny. Jusqu'où Juliet, c'est le prénom de la dame, est prête à aller, ça, c'est une autre question. Et non elle ne matte pas avec indécence la poitrine en face d'elle. Elle sait se tenir tout de même. Elle note. « Puis pour le moment ça va. Ca pourrait être pire. Mais je ne veux pas nous porter un peu plus la poisse. » Les deux femmes ne restent pas planter là et cherchent une issue de secours. Elles auraient pu continuer de discuter en d'autres circonstances mais il fallait sortir de là. Au pire, elles peuvent toujours se poser à une table d'un café une fois dehors. La muette trouve tout de même un quelque chose d'amusant à tout cela. Pour le moment. Et parce qu'elle n'est pas pressée heureusement. Juliet semble du même avis. Elles arrivent toutes deux devant une porte ... fermée elle aussi. Zut. Mais la brune a de la ressource. Les fenêtres. Jenny pourrait peut-être s'y faufiler. Il est vrai qu'elle a une taille plus fine que sa partenaire de galère. « On peut toujours regarder mais je pense que les fenêtres du magasin ne s'ouvrent pas. Ou alors ce sera juste une ouverture sur le haut. Et même si je suis fine je ne veux pas me retrouver coincée à cause de mon popotin. » Elle tend le cahier à Juliet avant de rire. Son popotin, dont elle est fière d'ailleurs, ne passera jamais une mince ouverture lui. Elles font quand même un peu le tour. Chou blanc. Partout. Certaines fenêtres s'ouvrent mais pas suffisamment comme l'a fait remarqué la muette. « Vous pouvez toujours vous époumoner à crier ! Je vous aurais bien aidé à le faire mais ça risque d'être difficile. » Evidemment elle plaisante. Autant sur l'idée idiote que sur son handicap. S'il n'y a aucun moyen de sortir ou de contacter le monde extérieur, pas le choix, elles devront passer le temps en essayant chaque robe du magasin ...

Juliet prend le compliment de Jenny … comme un compliment. Bien. Oh elle aurait pu utiliser bien d'autre mot que « adorable » mais elle ne va pas trop en faire non plus. Du moins pas tout de suite. Si la brune ne lui pose pas de limite elle risque de continuer à venir les titiller doucement. Sa poitrine, Juliet compte bien la garder. Et quand Jenny lit les lèvres pour les derniers mots, elle ne peut s'empêcher, une fois encore, de tester le confort des seins de la jeune femme en face d'elle. « Mais de rien ! Et j'imagine parfaitement oui. » Elle retourne ses notes avec un petit regard d'ange. On la croirait presque innocente oui. Ou pas vraiment. Même si ce n'est pas ce dont il est question, Jenny aime bien les petits jeux de drague. Ce qu'elle aime moins c'est de voir que la porte de l'arrière de la boutique est fermée. Il fallait s'en douter. L'autre alternative serait de vérifier les fenêtres. Ce qu'elles feront après avoir échangé quelques mots. Quelques mots où Jenny parle de sa taille, fine, et de son popotin, un peu moins fin lui. Mais c'est comme ça qu'elle le préfère. La petite remarque semble faire mouche. Puisque Juliet aura sans doute laissé traîner son regard sur le postérieur de la blondinette. Etait-ce ce qu'elle voulait la muette ? Oh un peu oui. Elle se pince les lèvres en écrivant sur son carnet. « Merci du compliment! Et soyons réalistes, dans mon cas c'est tout de même bien plus un atout qu'un inconvénient. Je suis danseuse ! Pour vos atouts par contre je ne sais pas. » Certaines personnes doivent effectivement passer plus de temps à regarder le corps de la belle danseuse, ou des belles danseuses, que la chorégraphie en elle-même. On ne peut pas forcément leur en vouloir. Crier pour sortir de là ? Jenny aurait pu le tenter. Si elle n'était pas muette. Elle pourrait faire du bruit oui mais elle ne l'entendrait pas non plus alors elle ne saurait juger de l'intensité. Elles sont donc coincées. Et c'est là que Juliet propose un petit quelque chose qu illumine le regard de la blonde. Qui s'empresse d'écrire sur son cahier. « Ouiiii ! J'allais vous le dire ! Mais je ne sais pas pourquoi je pensais que vous n'auriez pas forcément était partante. Avec plaisir alors ! Je vous en prie, je vous suis ! » Elle a bien vu que la brune est une femme relativement sympa, qui n'a pas peur de s'amuser ou de discuter, mais non elle ne pensait pas qu'elle serait partante pour jouer avec tous ces vêtements. La muette prend une robe, assez chère il faut l'avouer, et la tend en direction de Juliet avant d'écrire rapidement. « Je suis sûre qu'elle sera parfaite sur vous ! » Et non, la robe ne possède pas de décolleté trop vertigineux. Jenny n'est pas comme ça voyons …

Jenny hoche de la tête dans un premier temps. Souple, elle l'est. On a rarement vu une danseuse professionnelle ne pas l'être. Bien qu'elle ne doit pas l'être autant que les danseuses étoiles. Le classique ne l'a jamais attiré. Elle fait alors un petit « oh » avec la bouche et continue d'hocher la tête avant d'écrire. « Je travaille en effet ma souplesse ! Et c'est un métier peu commun que vous faites. Ca doit être sympa ! Quant aux jumeaux, vous pouvez toujours les mettre un peu en valeur pour attirer le client ! » Même si ce doit être lassant à force. Que tous les hommes, et les femmes, plongent le regard. C'est un peu un réflexe aux premiers abords Jenny ne le cache pas. Mais elle se demande ce que cela fait d'être « dévisagé » de la sorte. Elle ne le saura jamais. Elles font le tour du propriétaire, une nouvelle fois, pour se rendre compte que les fenêtres, ce n'est pas non plus le bon plan. Et qu'il n'y a pas grand-chose à faire. Hormis essayer les robes du magasin ? Oui Jenny est un peu surprise de la proposition de la brune. Elle secoue doucement la tête. Elles auraient tout aussi bien pu papoter et seulement papoter. Elle secoue une fois de plus la tête deux questions plus loin. Elle est aussi à l'aise avec le « vous » que le « tu ». Elle écrit de nouveau. « Non je suis bien d'accord. Et je ne sais pas je t'imaginais plus raisonnable. » Elle ne peut s'empêcher de sourire très légèrement lorsqu'elle écrit ce mot. Un sourire assez coquin. Elle reprend avant de tendre ses mots vers Juliet. « Et ça me va pour le 'tu' comme tu peux le voir. » Si elle pouvait parler, nul doute qu'elle aurait le mot « raisonnable » avec un certain ton. En ayant marqué une petite pause juste avant celui là. Moment essayage à venir alors. La muette tend une robe à Juliet. « Je pense que ça ira. Elle n'a pas l'air trop serrée au niveau de la poitrine. » Elle verra bien. La poitrine de Juliet n'est pas non plus énorme. La danseuse suit la brune qui ressort quelques secondes plus tard de la cabine d'essayage. Cette robe lui va à merveille. Elle regarde simplement la brune. Sans trop insister sur ses courbes qui ont de quoi lui faire tourner la tête. « Je pense que tu rendrais parfaite n'importe quelle tenue. » C'est la femme qui fait la robe, pas l'inverse. « A toi de m'en choisir une ! » C'est plus sympa que de se choisir une robe soi-même !

Jenny comprend parfaitement. Mettre ses atouts trop en avant est une sorte d'abus de faiblesse pour elle. Le faire de temps en temps oui c'est parfait. Mais tout le temps, cela ne rime à rien. La sourde note parfaitement « l'ex » devant le mot 'mari'. Elle se doutait qu'une femme comme elle ne devait pas être seule mais … elle peut avoir tort parfois. « Vous avez bien raison ! En montrer trop c'est être vulgaire. Les femmes qui obtiennent ce qu'elles veulent uniquement avec le charme sont juste des coquilles vides. De belles coquilles peut-être mais il n'y a que ça au fond. » Pour autant, Jenny ne cachera jamais qu'elle préfère avoir à faire à une vendeuse de la trempe de Juliet. Agréable au regard, charmante. Elle aimerait bien se dire qu'elle ne juge pas par le physique mais ce serait se mentir à elle-même. La blonde est surprise de l'idée de l'antiquaire oui. Elle la pense plus raisonnable que ça. Mais elle se trompe. « Oui ! Il faut savoir se lâcher de temps en temps ! » Se lâcher, ça, Jenny sait le faire. Elle n'est pas la dernière pour s'éclater loin de là. Alors c'est ce qu'entreprennent les deux femmes, s'amuser. En commençant par enfiler l'une ou l'autre robe. Une robe que choisit la muette non pas pour elle mais pour la brunette. Une robe qui lui ira bien. Une robe qui lui va bien lorsqu'elle ressort de la cabine d'essayage. Jenny laisse traîner un peu son regard sans pour autant qu'il ne soit trop insistant. Tant sur les hanches que sur les jumeaux. Elle complimente la jeune femme. Et elle note le petit rouge sur ses joues. N'abusant pas de mots flatteurs, elle demande à Juliet de lui trouver une robe pour elle. « Je suis certaine que c'est le cas ! » Elle imagine que la brune est une femme de goût. Trouver une robe pour sa partenaire de galère est parfaitement dans ses cordes. Elle s'empare de la robe d'une main. Et signe de l'autre. * Merci. * Un mot que doit sans doute connaître la la trentenaire. Elle s'éclipse dans la cabine d'essayage, se dépêche, et ressort pour se présenter à Juliet sous ses nouveaux traits. Faisant un petit tour sur elle-même et faisant aller son regard du miroir au regarde de la brune. Elle repend son carnet. « Alors ? Tu en penses quoi ? » Jenny se trouve très bien dans cette robe. Peut-être même qu'elle se laisserait tenter de l'acheter.

Jenny hoche de la tête et sourit. Rigole un peu même. Quelle belle expression employée par la brune. Il existe de nombreuses formules pour désigner les travailleuses de rue mais cette dernière est bien plus sympa que certaines autres. Juliet semble être une femme respectueuse, cultivée, polie. Surprenante aussi. Avec cette proposition qu'elle soumet à Jenny. La muette s'empressant d'accepter bien évidemment. « A qui le dites-vous ! » Il est vrai que la danseuse est très bonne vivante. « Attention tout de même à ne pas trop jouer avec le feu ! On finit par se brûler sinon. » Elle pouffe presque bêtement en tendant son calepin vers l'antiquaire. Elle s'est déjà brûler, au sens figuré, plusieurs fois la blonde. Mais jamais rien de trop grave. Elle pourrait se brûler ici-même si le vendeur revenait pendant leur défilé par exemple. Tant pis. Elle joue le jeu. Et c'est Juliet qui commence. Un jeu qui lui va à ravir. La robe est belle à n'en point douter. Mais portée par la brune, elle en devient parfaite. C'est le point de vue de Jenny en tout cas. Jenny qui enfile ensuite sa robe. Une robe qui lui va bien, dans laquelle elle se sent bien. Alors elle sort de la cabine. Elle pose un regard sur le visage de Juliet. Elle voit les lèvres légèrement bouger. Un sifflement peut-être ? Elle n'a aucune idée d'à quoi cela peut ressembler mais elle sait que c'est un sifflement un peu flatteur. Alors elle sourit un peu plus. Elle fait un tour sur elle-même avant de demander son avis à Juliet. Elle se mord doucement la lèvre et refait ce même petit signe. * Merci. * Quand arrêteront-elles de s'échanger de tels compliments ? Pas de si tôt espère Jenny qui aime flatter et être flatter. Elle renote rapidement quelque chose. « J'ai une meilleure idée ! Tu m'achètes cette robe ! Et moi je t'offre la tienne. Comme ça on repensera à ce jour chaque fois qu'on les portera. » Elle retourne le carnet et penche la tête sur le côté. Prenant un petit air à moitié suppliant pour que la commerçante lui dise oui. Plutôt un bon plan non ? Surtout que le prix des robes est plutôt similaire. Et Jenny compte bien finalement craquer pour acheter la sienne. « Ou peut-être qu'on en essaye d'autre ?? Ou alors !! On peut essayer d'autre style ?? Même si la boutique ne possède pas de vêtement trop extravagant. » C'est un magasin assez classique. Alors pour le style punk ce sera difficile. Le style plage par contre est parfaitement dans leurs cordes.