contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: — when family hurts you (dante) (#) Mar 15 Mai - 0:22
when family hurts you
dante et ellie / Momma please stop crying, I can't stand the sound, Your pain is painful and its tearin' me down. I hear glasses breaking as I sit up in my bed.– PINK.
Le terrain. Une chose qu'Ellie avait oublié depuis quelques temps, la tête prise dans les papiers. Les dossiers. Les putains de dossiers de merde qui s'empilaient sans relâche sur son bureau. Elle avait rêvé de ce poste durant de longues années. L'ambition comme moteur, Ellie avait toujours eu une envie folle de gravir les échelons. Sauf que le rêve n'est pas toujours à la hauteur de la réalité. En acceptant ce boulot, la belle n'imaginait pas un instant qu'il se résumait plus à celui d'une secrétaire qu'à une flic de terrain. Hors, la belle bouillonnait entre ces quatre murs. Elle avait besoin de sortir. De se prendre une véritable enquête. De parler à des gens, que l'adrénaline des premières heures coule dans ses veines. Elle était en manque véritable du terrain. C'est pour cela qu'en cette journée presque ensoleillée, Ellie avait prit les devants en signalant à tout le monde qu'elle ne serait pas au bureau. Non, aujourd'hui, elle voguerait en voiture, à l'ancienne, une affaire entre les mains. Elle avait prit le premier dossier sur son bureau. Une histoire de viol. Bon, ce n'était pas la plus des joyeuses mais elle s'en fichait un peu. Un viol dans une boite de nuit la veille. Elle n'avait qu'à mener son enquête pour découvrir qui et surtout, interroger la victime qui se trouvait à l'hôpital. Pour cette mission difficile pour les nerfs, elle n'avait eu d'autre choix que de prendre Dante avec elle. Bon, ce n'était pas la meilleure des options mais pour tout dire, la belle n'avait pas eu vraiment le choix. Son supérieur conciliant soit-il de la laisser partir à l'aventure pour cette journée, lui avait refilé dans les pattes son cousin adoré. Comme si une journée ensemble allait reforger leur lien ou un truc du genre. Ellie n'y croyait pas vraiment. En fait, elle n'avait aucune envie de faire le moindre effort avec cette personne qui avait fini par l'oublier plus vite qu'il n'en faut pour lui dire. La famille, c'est une chose sacrée pour la belle. Hors, Dante avait mit en péril leur lien tout seul. Il s'était mit de côté et avait estimé qu'il ne servait à rien d'entretenir le lien, la privant même de son mariage. Ellie était beaucoup de chose, mais par dessous tout, elle était rancunière. Famille ou pas, elle allait avoir un mal fou à se mettre de côté sa fierté.
Inspirant longuement, elle attendait dans la voiture devant le commissariat, au volant. Elle l'attendait lui, Dante. Le temps pour lui d'être informer qu'il allait devoir faire équipe avec sa cousine et donc, rejoindre la voiture qui tournait. Le temps semblait interminable. Le faisait-il exprès ? Sans le moindre doute. Il avait cette tendance affreuse de mettre ses nerfs à rude épreuve, comme si c'était elle qui avait fait un truc de mal. Hors, Ellie était persuadée d'être aussi blanche qu'une colombe dans l'histoire. Au bout d'une bonne demie heure, il fit enfin son apparition à la sortie et sans grande conviction, monta dans la voiture, côté passager. Elle ne lui adressa pas même un regard, démarrant sur le champ direction l'hôpital. Pas une salutation de bon matin, rien. Le silence était de plomb dans l'habitacle. Ça la rendait nerveuse. Au bout de quelques kilomètres en voiture, elle finit par briser ce silence. Ça me plait pas plus que toi qu'on bosse ensemble aujourd'hui, mais j'avais envie d'une balade. Ce bureau me donne des envies de meurtres. La jeune femme ressentait le besoin de se justifier pour ne pas qu'il croit qu'elle l'avait fait exprès. Oh ça non. Mais elle restait étonnamment calme face à lui. Moins sévère aussi. Elle agissait comme une collègue et non une supérieure. Alors que tout le monde sait qu'Ellie est plus haut gradé que Dante. Une chose qui ne doit pas beaucoup plaire au jeune homme. Je te laisse jeter un coup d'oeil sur le dossier. ajouta-elle, tout en lui montrant du doigt la boite à gang où se trouvait le dossier. C'était décidé, elle ne parlait que boulot avec lui. Du moins, elle espérait pouvoir se contenir assez et ne pas mettre sur le tapis les problèmes qui semblaient les séparer à l'heure actuel.
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Sujet: Re: — when family hurts you (dante) (#) Mar 15 Mai - 14:02
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Sujet: Re: — when family hurts you (dante) (#) Mar 22 Mai - 22:52
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Elle était loin l'époque où Dante et Ellie étaient inséparables. Fille unique, elle avait passé une grande partie de son enfance dans la famille de son cousin. Se liant d'avantage à cette famille qu'elle aimait tant. Mais quelque chose avait fini par se briser aux fils des années, les éloignant pour de bon. Ellie ne savait pas trop comment ça avait commencé. Pourquoi ils en étaient arrivés là au jour d'aujourd'hui. Pourquoi leur complicité d'antan avait disparu. Elle ne savait pas où était le début. Ce qu'elle avait fait de mal ou oublier de faire tout simplement. Dante n'avait jamais été un grand bavard et elle n'avait pas cherché non plus. Sans doute qu'elle avait une part de responsabilité dans tout ça, mais pour le moment, Ellie était simplement dans le brouillard le plus total avec son cousin. Se sentant presque mal à l'aise quant à l'idée de bosser avec lui. Connaissant leurs caractères respectifs, elle savait très bien que ça pouvait partir en un quart de seconde.
Il l'avait fait attendre, Ellie en était certaine. Tout ça, c'était juste pour jouer avec ses nerfs. La mettre hors d'elle. Dante était ce genre de personne. Celui qui fait exprès de vous faire exploser. Puis, il était monté dans la voiture dans un silence de plomb. Pesant. Étouffant. Ce fut finalement la jeune femme qui brisa ce silence, refusant d'être dans ce genre d'ambiance alors qu'ils étaient en plein sur une enquête difficile. Du moins, Ellie n'avait jamais apprécié travailler sur les violences de ce style là. Tu n'as pas besoin de te justifier, mais la prochaine fois, si tu pouvais choisir quelqu'un d'autre, ça m'arrangerait. Son venin amer sortait d'entre ses lèvres et elle ne pu s'empêcher de lever les yeux au ciel. Elle se montrait simplement courtoise et professionnelle, il n'avait pas besoin d'en faire des tonnes. Et puis, Ellie n'avait pas vraiment eu le choix. Elle aussi se serait bien passée de sa compagnie surtout dans une voiture. Elle décida cependant, de ne pas lui répondre, tandis qu'il avait monté le volume de la radio et que ses yeux vagabondaient déjà sur le dossier. Tu vas à l'hôpital d'abord ? La victime n'a pas déjà donné son témoignage ? Et bien non, elle n'avait pas donné son témoignage. C'était à eux justement, d'aller le recueillir. Il était impatient et stressant. Il l'a défié déjà rien que par ces mots, remettant en cause son autorité. Ils avaient beau être de la même famille, Dante avait beau lui en vouloir, Ellie restait encore au commande et avait un avantage certain sur lui. Son autorité, elle le savait, ça l'agaçait au plus haut point et elle serait bien décidé à en jouer. Puis, il faudrait que tu prennes le temps de sortir un peu de ton bureau, tu nous fais passer par le chemin le plus long là. Il en rajoutait, encore et encore. Ellie serra le volant ses doigts, tandis que la colère grandissait dans le fond de son ventre. Elle montait en pression et quand ça allait exploser, il vaudrait mieux qu'ils ne soient pas encore en voiture. Cependant, Ellie avait décidé de mettre tout ça de côté. Du moins, essayer. Ils étaient au boulot. Je sais ce que je fais, je n'ai pas besoin de tes commentaires. Ce n'était pas une nouvelle venue dans le métier. Elle avait apprit avant lui et connaissait les procédures ainsi que la ville comme sa poche. Certes, cela faisait un certain temps qu'elle n'avait pas fait de terrain, et alors ? Elle restait flic quand même. Son regard fixait la route, ne prêtant aucunement attention à son cousin, elle ajouta. Je sais pas ce que tu as contre moi et je m'en fou, ok ? On est là pour bosser. Alors si t'es pas capable de mettre ta rancune de côté, ferme là simplement. Ellie avait finalement tourner son regard vers lui, lui adressant un sourire des plus faux. Il l'avait piqué au vif et elle savait que le mieux encore, c'était de le remettre à sa place. Il n'avait pas à la défier de la sorte, surtout dans le milieu professionnel. Il ne lui apprendrait rien de plus qu'elle ne savait déjà. Ellie avait l'expérience derrière elle, tandis que lui semblait plus enclin à cracher sa rancune qu'à faire son boulot. La belle finit par se garer devant l'hôpital.
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Sujet: Re: — when family hurts you (dante) (#) Sam 2 Juin - 14:54
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Sujet: Re: — when family hurts you (dante) (#) Jeu 14 Juin - 23:00
when family hurts you
dante et ellie / Momma please stop crying, I can't stand the sound, Your pain is painful and its tearin' me down. I hear glasses breaking as I sit up in my bed.– PINK.
Dans le fond, il lui manquait. Terriblement. Sa bouille des mauvais jours, son air sarcastique qu'elle avait toujours prit à la rigolade. Son sourire, ses blagues. Dante lui manquait atrocement et ceux, depuis des années. Depuis qu'il avait quitté les terres néo-zélandaises. Seulement, elle était bien trop fière pour lui dire. Bien trop fière pour mettre sa rancune de coté et comprendre le pourquoi du comment ils en étaient arrivés là, essayant peut être, ainsi, de récupérer son cousin. Impossible. Elle ne se voyait pas faire le premier pas vers lui. Pour Ellie, dans cette histoire, ce n'était pas elle la fautive. Ce n'était pas elle qui était partie et encore moins elle qui avait cessé d'appeler. Il s'était mit de côté tout seul et avait, ainsi, décidé de leur relation future sans même donner la moindre explication.
L'ambiance était tendue dans l'habitacle de la voiture. C'était pesant, oppressant et on pouvait sentir dans le son de leurs voix, tout comme dans leurs attitudes respectives, l'énervement sonnait la fin de l'entente plus ou moins cordiale. Bon et bien continue alors, c'est toi le boss. Elle leva les yeux. Blablabla. Pensait-elle, exaspérée par l'attitude qu'il avait à son égard. Qui a dit que je n'étais là pour travailler ? De nous deux, ce n'est pas moi qui suis à deux doigts d'arracher le volant. Tu veux vraiment parler d'amertume ? Voyons cousine, ressaisis toi. Ses doigts se crispèrent un peu plus sur le volant et elle avala sa salive plusieurs fois. Si elle n'était pas en train de conduire, certainement lui aurait-elle arracher une baffe. Mais clairement, ce n'était ni le bon moment, ni le bonne endroit. La brune décida, finalement, de ne rien lui répondre. De toute façon, bientôt ils seraient dehors. Hors de cette voiture. Et ils n'étaient pas là pour parler de leurs problèmes. Ils étaient en mission et Ellie mettait toujours un point d'honneur à ne pas mélanger sa vie privée de sa vie professionnelle.
La voiture était enfin à l'arrêt et tout en mettant le frein à main, Dante ne pu s'empêcher d'ajouter une remarque. Enfin ... mieux vaut tard que jamais après tout. Il mettait les nerfs de la belle à rude épreuve et sans tarder, la bouilloire Ellie allait exploser. C'était certain. S'il y avait bien une chose que la belle ne maîtrisait pas, c'était ses émotions. C'était une véritable tornade. Elle mit enfin le pied dehors, inspirant un grand coup. L'air frais. Bordel, ce que ça pouvait faire du bien. Elle referma ensuite, la portière derrière elle, prenant le chemin de l'entrée de l'hôpital, suivant les pas de Dante. Il marchait bien plus vite qu'elle. Normal. Ellie était de petite taille, et n'avait pas les jambes pour gambader. Ni les chaussures en fait. Toujours perchée sur ses talons. Il ajouta une remarque qu'elle mit du temps à comprendre, avant qu'il ne disparaisse tout court de son champ de vision. Comme une débile, elle resta planter dans l'entrée, bouche bée et bras sur les hanches. Et merde. Mais .... Elle lui arracherait bien la tête, là tout de suite. Clairement, le vase était plein et sans attendre plus longtemps, Ellie reprit sa marche, plus rapide cette fois-ci, rattrapant son cousin qui se trouvait vers déjà vers la cafétéria. Dans un geste vif et non contrôlé, elle prit son bras dans sa main et l’entraîna dans le placard à balais juste à côté. Fermant la porte derrière eux, à double tour, elle finit par mettre la clé dans la poche arrière de son jean. Bon, c'est quoi ton putain de problème ? Vas-y, t'as la langue bien pendue depuis toute à l'heure. Parles ! Dis moi ce que je t'ai fait ? Ses yeux ne quittaient pas les siens et seule la lumière de l'entre baye ment de la porte les éclairait. On va régler ça et maintenant ! Ellie était bien décidée à ne pas quitter cette petite pièce, sans avoir de réponse. Enquête ou non !