contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: não é tarde demais. ξ hope (#) Ven 29 Juin - 21:40
não é tarde demais. ~ hope
Alors que j’ouvre les yeux quand j’entends mon réveille sonné je soupire doucement. Au moments ou je tends mon bras droit que je sens une douleure me piquer à vif. Je grimace doucement puis une fois que je me pose assise sur mon lit je viens doucement regarder mon bras, le blues c’est former dans la nuit sur mon bras non loin de mon épaule. La couleur est encore noir car il vient tout juste d’être fait. Ouais normal, monsieur était encore bourré hier soir et le repas ne lui plaisait pas… Alors bon j’ai encore subit. Je viens doucement me lever de toute façon il ne peut que dormir à point fermé maintenant.Vue l’alcool qu’il a ingurgité hier soir pour calmer ses ardeurs, surtout je ne sais pas a quel heure il est venu se coucher, au pire je m’en fous un peu, il ne fait plus rire de ses journées alors bon, ses soirées aussi je ne m’en préoccupe pas tant que ça. Mais bon, je sors tranquillement de la chambre en prenant alors mes affaires pour que je puisse aller tranquillement jusqu’à la salle de bain. Je n’ai pas envie d’aller au boulot je les appellerais sur la route, alors je verrais bien où j’irais pour éviter de rester à la maison vue qu’il sera encore là, comme tous les jours en faite. Alors que je passes sous la douche, je m’habille de ma robe blue coiffant mes cheveux en les laissant détacher quand même. Je vais alors dans la cuisine pour déjeuner ce que je peux même si ça m’arrive de pas trop manger. Alors que je prends mon sac après avoir mit mon petit gilet, ouais je ne t'ai pas parler non plus que mon mari me frappe mais ça, je ne serais pas comment te dire mais surtout comment survivre à ça. Mais bon, je prends alors un dossier que j’enfile dans mon sac ce dossier que j’ai toujours sur moi, l’accident de t’es parents. C’est dur, c’est compliqué de trouver quelques choses mais je m’en sors plutôt pas mal. Une fois que j’ai fermer doucement la porte derrière moi, que je suis monter dans ma voiture, mais avant de la démarrer j’appelle mon patron pour lui expliquer que je ne peux pas venir et que je suis “malade” je fais semblant de tousser en même temps pour lui prouver. Je n’ai jamais louper une journée et là il me laisse ma journée. Je souffle doucement quand j’ai raccroché je t’es dis que je passais aujourd’hui puis de toute façon, je n’ai pas envie d’aller bosser avec un bras douloureux. Je prends doucement la route puis je vais alors jusqu’à chez toi. Ca fait longtemps, longtemps que l’on se connaît, mais surtout depuis que je suis rentré dans la police de néo-zélandaise je me suis accroché à ton dossier parce que je veux, je veux savoir ce qu’il sait passer aussi pour toi, mais surtout pour que tu sois aussi plus tranquille et plus posé, pourquoi pas que tu te sentes soulager aussi. Alors que je me gare devant chez toi, je prends alors mon sac à la main. Je sors de la voiture doucement puis je me dirige vers ton appartement. Je viens sonner pour te signaler ma présence. Quand j’entends du bruit derrière la porte, j’ai un sourire sur mes lèvres peinte de rouge. Quand la porte s’ouvre je viens alors rapidement te prendre dans mes bras. « Salut ma rouquine. » Je dis en continuant de sourire. Je sais que je peux entrer alors je le fais, je te laisse refermer la porte derrière moi puis je dépose simplement mon sac sur le canapé. « Comment tu vas aujourd’hui ? » Je dis en venant alors placer une mèche derrière mon oreille puis je retirer mes chaussures. Ouais de bonne manière que mon père m'a assez réprimander plus jeune.
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Sujet: Re: não é tarde demais. ξ hope (#) Ven 29 Juin - 23:17
It's not to late.
Nae & Hope
C'est la première fois, depuis que tu es l'assistante personnelle de Bart, que tu lui demandes de prendre ta journée. Tu dois être chez toi parce que ton amie, qui travaille dans la police scientifique, doit passez te voir. Elle a un peu avancée dans l'enquête -non officielle- sur la mort de tes parents. Tu as de la chance de l'avoir parce que sans elle, il y a beaucoup de choses que tu aurais eu du mal à faire. T'espères juste que ça ne lui retombera pas dessus. Tu ne veux pas non plus qu'elle ait des ennuis par ta faute. Tu te sentirais terriblement coupable. Mais restons positifs. Ton optimisme à toute épreuve t'aide réellement à garder espoir. Ça et ta détermination. Tu trouveras ce qui s'est passé, peu importe ce que ça te coûtera. Parce que tes parents et toi avez le droit à la vérité. Vous le méritez. Tu te bats pour eux et pour la vérité. C'est donc toute contente d'avoir obtenu ta petite pause de la semaine que tu te mets à faire un peu de ménage. Pas que tu sois hyper maniaque mais t'aimes bien que se soit propre quand tu reçois des gens. Même si c'est Nae, que tu connais depuis toujours, il n'empêche que c'est plus fort que toi. Et puis, t'as envie qu'on se sente bien chez toi. Après une bonne heure à aspirer, laver et ranger ; tu t'écroules dans ton canapé, fière de toi. Quelques instants plus tard, ta sonnerie retentit. Tu te lèves d'un bond et te précipite vers la porte pour l'ouvrir. Tu la serres dans tes bras, heureuse de la voir. « Salut ma blondinette ! » Tu te décales pour la laisser passer et referme le battant derrière toi. Toute excitée de savoir ce qu'elle a trouvé, tu ne tiens plus trop en place. « Ça va très bien et toi ? » Tu te calmes un peu et la fixe avec insistance parce que tu t'inquiètes. Tu sais que quelque chose ne va pas mais tu ignores quoi. Si tu dois lui tirer les vers du nez, tu le feras mais t'aimerais que ça vienne d'elle. Physiquement déjà, elle a l'air épuisée. Elle a maigri aussi. Et dans ses yeux, tu peux voir cette lueur de peur qui a pris la place de sa fougue habituelle. Elle donne très bien le change mais tu la connais trop bien pour passer à côté de ça. Tu l'invites à s'asseoir « Tu as soif ? » Tu demandes en allant dans la cuisine prendre deux verres et la bouteille d'eau à la grenadine que t'as préparé en avance. C'est rafraîchissant en cette saison. Tu n'attends pas vraiment sa réponse et retourne prendre place à ses côtés, posant le tout sur la table basse. Ton regard se pose un moment sur son sac d'où dépasse le dossier relatif à l'enquête que tu mènes sur la mort de tes parents. Mais bien vite, ton attention se reporte entièrement sur ton amie. Ça peut attendre encore un peu. « Écoute Nae, je suis pas née de la dernière pluie. Je sais que ça va pas et j'aimerai t'aider mais si tu ne me parles pas, je pourrai rien faire. » Tu fais une petite moue et prends délicatement sa main dans la tienne. « Je tiens à toi et ça me fait mal au cœur de te voir comme ça alors s'il te plaît, laisse-moi t'aider. Dis-moi ce qui se passe... » T'insistes mais c'est pour son bien. T'as rien dit au début, c'était presque pas visible mais là, c'est de pire en pire. « Et puis, on s'est jamais rien caché toutes les deux alors pourquoi autant de mystère ? Ça concerne Kevin ? » Bon, c'est vrai que tu l'aimes pas trop. Y a quelque chose chez lui qui te fait hérisser les poils. Tu l'as pas senti dès que tu l'as vu. C'est rare, en général, t'apprends à connaître les gens mais lui... Lui, c'est limite physique. Moins tu le vois, mieux tu te portes. Bien sûr, tu fais des efforts pour Nae mais il n'empêche que y a quelque chose chez lui qui te dérange. Et t'arrives pas à savoir ce que c'est. Pour le moment, tu préfères te focaliser sur Nae et t'es pas prête de lâcher l'affaire.
electric bird.
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Sujet: Re: não é tarde demais. ξ hope (#) Dim 1 Juil - 11:26
não é tarde demais. ~ hope
Aujourd’hui c’était prévu que l’on se voit mais je n’aurais pas penser a se que je prenne mon jour en mentant un peu a mon patron en lui disant que je suis faussement malade mais aussi il n'est pas dupe, il sait très bien que quand je suis réellement malade je viens quand même bosser. Il sait aussi que j’ai quelques soucis de “santé” comme je lui ait dit pour ne pas lui avouer que mon mari me battait. Alors bon, il ne me dit trop rien que je prends des jours comme ça, surtout que c’est rare. Rare jusqu’au jour ou je finirais réellement à l’hôpital ? Je ne sais pas du tout comment tout le monde va l’apprendre si je finis ainsi. Alors que je suis devant chez, toi, je sonne et la porte s’ouvre sur toi. Notre premier réflexe ? Se prendre dans les bras. Tout s'appelant par nos surnoms. « Salut ma blondinette ! » Je souris quand tu me dis ça, ouais on fait un beau duo, la blonde et la rousse. Et bien ça change des duos blonde et brune en réalité et c’est pas plus mal. Quand tu te décale je viens rentrer chez toi, tout en respectant ton ménage en retirant mes chaussures. « Ça va très bien et toi ? » Je te regarde en haussant la tête toujours le sourire aux lèvres. « Oui ça va aussi. » Je dis, sauf que d’un coup je te vois me fixer avec insistance, je plisse doucement les sourcils en riant doucement, je sais que quelque chose se passant dans ta tête à ce moment là mais je ne sais pas trop quoi. Enfin si peut-être, te doutes tu que quelque chose ne va pas chez moi en ce moment ? Ou bien je ne sais pas en faite… Alors que l’on va s’asseoir je te suis jusqu’au canapé et je m’installe. « Tu as soif ? » Je te regarde. « Avec grand plaisir oui ! » Je dis en souriant, alors que je dépose mon dos sur le dossier de ton canapé. J’aurais limite l’envi de dormir à nouveau mais à quoi bon ? Je serais peut-être pas plus en forme que ça. Quand tu reviens je tourne ma tête vers toi, et je vois ta grenadine préparer d’avance, j’aime trop comment tu la fais, je n’arrive pas a faire pareil, un jour peut-être ? Alors que je me redresse doucement en voyant ton air sérieuse. « Écoute Nae, je suis pas née de la dernière pluie. Je sais que ça va pas et j'aimerai t'aider mais si tu ne me parles pas, je pourrai rien faire. » En faite, tu as compris que ça ne va pas en ce moment, je me pince doucement mes lèvres entres elles en t’écoutant. Puis je serre doucement ta main dans la mienne. « Je tiens à toi et ça me fait mal au cœur de te voir comme ça alors s'il te plaît, laisse-moi t'aider. Dis-moi ce qui se passe... » Je souris doucement, pas un sourire moqueur ou amuser, mais toucher, toucher par tes paroles. Ce n’est pas la première fois que tu essayes de me faire parler. Je pense que tu vas en terminer ici mais non tu poursuis. « Et puis, on s'est jamais rien caché toutes les deux alors pourquoi autant de mystère ? Ça concerne Kevin ? » Quand tu prononces le prénom de Kevin je me mets doucement à soupire, baissant alors un peu le regard. « Je sais que l’on en ce cache rien mais… » Je ne pense pas que des mots soit possible pour ça. Je sais que beaucoup n’apprécie pas ou plus Kevin. Alors je viens doucement lâcher ta main. Faut juste que je te montre maintenant. Je viens délicatement retiré mon petit gilet qui d’un côté me tiens un peu chaud et te dévoiler mes bras couvert de blues de différentes couleur. Je plus récent et sur le haut du bras droit. Celui-ci est encore noir. Je baisse doucement la tête et d’une voix assez frêles aux bords des larmes. « Oui ça concerne Kevin... » Je prends doucement le temps, mais, je sens que mes larmes vont rapidement couler sur mes joues. « Et… Non on ne peut rien faire pour ça. Je n’ai plus de solution… Je suis obligé de lui mentir quand je viens chez toi, je ne peux plus rester un peu tard avec mes collègues le soir ou des amis masculins… Sauf que ce n’est pas que les bras qui sont touchés... Je… Je ne sais pas comment le dire a mes frère et mon père... » je tourne alors le regard sur ta personne, mes larmes coulent le long de mes joues. « J’ai peur que si mon père le sait, partes totalement dans une colère noire et que ça soit lui qui en subissent des conséquences derrière... » tu sais que je parle de la prison. Tu savais que mon père pouvait être adorable mais quand ça concerne ses enfants il ne le supporte pas.