First time to love (Galios #8)

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Je ne parvenais pas à m’asseoir une seule seconde. Je ne tenais pas en place. J’avais le coeu qui ne cessait de battre la chamade. Alors je rangeais une énième fois la chambre, puis le salon et enfin la cuisine. Mes parents étaient partis passé un week-end en retraite spirituelle. Certainement pour essayer de se laver du péché qui habite encore sous leur toit. J’avais la maison pour moi seul, une aubaine. Cela faisait maintenant plusieurs mois que j’étais en couple avec toi, et même si on s’embrassait très souvent, on n’était pas encore passé à l’étape suivante. J’avais donc profité de l’absence de mes parents pour t’inviter à passer un week-end ensemble. J’étais fébrile car je sais très bien ce qui va se passer et je suis effrayé par le fait de ne pas être à la hauteur. De te décevoir. Je ne sais même pas si c’est également la première fois pour toi. En fait on n’en a jamais trop discuté, comme si c’était un sujet tabou. Il faut dire que je ne suis pas trop à l’aise avec ce sujet non plus. J’avais mis deux bonnes heures à choisir ce que j’allais porter ce vendredi soir pour notre première soirée ensemble. J’avais finalement opté pour un jean et une simple chemise blanche. Je voulais t’en mettre plein la vie. Mais, c’était peut-être trop, non ? je manque d’aller, encore, me changer, mais la sonnette retentit. Je prends une profonde inspiration avant d’aller ouvrir. Et ce que je vois me coupe le souffle. Tu es devant la porte et tu es terriblement beau. Je mordille sans même en avoir conscience ma lèvre inférieure. Ce n’est que quand tu hausses un sourcil que je me rends compte que je n’ai toujours pas fait entré. Je me décale. « Rentre, viens. » je souris timidement alors que tu entres et que je referme la porte derrière toi. Je soupire alors que tu es de dos, j’ai l’impression de jouer ma vie à ce moment précis. Tu te retournes, trouvant probablement mon comportement étrange. Je secoue la tête et avance mes lèvres pour t’embrasser. un déstressant efficace. Je me coule contre ton corps, glissant mes bras autour de tes hanches. Je me perds dans ce baiser avant de me reculer. « Tu es magnifique ce soir bébé ». je te dévore du regard, de haut en bas, sans gêne, j’avais toujours apprécié te reluquer. Je m’en étais jamais caché. Tu t’étais fait élégant, toi aussi. « tu veux boire quoi ? Et j’espère que tu aimes les pâtes carbonara ? Car je ne sais cuisiner que ça pour le moment…. » je souris alors que mes joues se teintent de rouge. J’ai l’impression d’être revenu le premier jour de notre rencontre. Un peu plus et je me mettrais à bafouiller. J’attrape ta main avant d’entrelacer nos doigts ensemble. J’avais un besoin d’être en contact constant avec toi. « À moins que tu ne veuilles poser déjà tes affaires dans ta chambre ? » Je ne sais même pas si tu voudrais dormir avec moi. Je regarde vite fait et j’espère que la décoration catho de mes parents ne te choque pas. je n’ai pas pu tout enlever sinon j’allais me faire tuer par mes parents. Mais tu sembles me dévorer du regard, et je baisse les yeux alors que je rougis de nouveau. Je crois que je m’éparpille un peu trop, là.

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ce week-end est lion d'être un week-end comme les autres. tout simplement parce que tu vas le passer avec galaad, que ses parents sont loin, et que vous aller avoir la maison pour vous tous seuls. évidemment, ça te donne un bon paquet d'idées, mais tu ne veux rien presser, tu ne veux pas que le brun se sente forcer à coucher avec toi ou même à dormir avec toi. tu te pinces les lèvres. pour le moment, tu essayes toujours de trouver la tenue parfaite. au moins pour ce soir. ton sac pour le week-end est déjà préparé depuis quelques heures. une tenue pour demain, assez décontractée. tes affaires de toilette. et puis, tu n'as pas franchement pu t'empêcher d'y glisser une bouteille de lubrifiant et des préservatifs. tu te pinces les lèvres un instant, avant d'enfiler un jean noir ajusté. mais pour le haut, t'es pas franchement décidé. tu fronces un peu les sourcils. tu te décides finalement pour un t-shirt noir, léger, avec un petit col roulé. tu enfiles par-dessus une veste de costume, grise, elle aussi assez proche du corps. tu jettes un coup d’œil à ton reflet, enfiles une paire de chaussures qui va bien, avant d'attraper ton sac et de saluer sierra. elle vient te taquiner sur ta soirée et tu pouffes un peu de rire, tandis que tu descends au salon. tu as prétexté une fête pour pouvoir sortir, assurant que tu dormirais sur place pour être certain de ne pas conduire en ayant bu. mais la réalité est toute autre. tu te mords l'intérieur de la joue, avant de te mettre en route pour retrouver galaad. tu as hâte.
tu sonnes rapidement en arrivant, pas envie d'attendre, de te poser des questions ou même de stresser. tu te retrouves rapidement face au brun, souriant doucement. rentre, viens. tu hoches la tête et tu viens rentrer dans la maison, avançant dans le couloir. tu te pinces les lèvres, avant de te retourner vers ton petit ami, qui vient t'embrasser. tu fermes les yeux et tu approfondis un peu l'échange, nouant tes bras à l'arrière de sa nuque, souriant un peu en venant l'observant. tu es magnifique ce soir bébé. tu ris un peu. toi aussi. tu souffles en observant son regard avec amusement. tu te mords l'intérieur de la joue et te pinces les lèvres. tu viens glisser tes doigts dans tes cheveux. tu ne les as pas coiffés, préférant les laisser naturels et ne pas les noyer sous le gel. tu veux boire quoi ? et j'espère que tu aimes les pâtes carbonara ? car je ne sais cuisiner que ça pour le moment... à moins que tu ne veuilles poser déjà poser tes affaires dans ta chambre ? tu ris un peu en serrant ses doigts, venant attirer galaad contre toi pour un nouveau baiser. stress pas bébé, ça va aller. tu murmures doucement. j'adore les carbo. je peux laisser mon sac à en attendant et je veux bien une bière, si tu en as. tu souffles en caressant doucement sa taille, avant de déposer ton sac contre le mur, au coin d'un meuble. il ne va gêner personne ici, encore moins vous.

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Je n’avais qu’une hâte, c’est que t’arrives. C’était notre premier week-end ensemble. La première fois que l’on passerait plus d’une journée ensemble, et j’avais bien l’intention de ne pas sortir de la maison, je ne voulais pas te partager avec quiconque en ce moment. Je devenais hyperactif pour combler l’impatience de l’attente de ton arrivée. Je ne sais pas comment allait se dérouler le week-end, je tentais de ne pas trop lancer des plans sur la comète, je ne sais pas vraiment ce que tu attendais de moi et donc je ne voulais pas avoir trop d’illusions. J’étais déjà prêt pour ce soir, même s’il restait au moins une bonne heure avant que tu n’arrives. Je voulais que tout soit parfait. Tout était nickel mais je ne cessais de faire le ménage. Je n’arrivais pas à me poser dans le canapé, les pâtes étaient prêtes, je devais juste les réchauffer avec la sauce. Alors je balayais une énième fois le sol, ce qui ne servait strictement à rien. Je regarde sans cesse mon portable, voir si je n’avais pas de message de ta part. Je me retenais de t’envoyer un message, je ne voulais pas paraître insistant, même si tu me manquais déjà. Je regarde la photo en fond d’écran, c’était nous deux, je cachais cette photo à mes parents pour qu’ils ne me posent pas de question. J’avais dis que j’invitais une amie ici, pour qu’ils ne reviennent pas de manière inopinée. Même si j’allais devoir répondre à un interrogatoire en règle à leurs retours. J’avais le cœur qui bat à mille à l’heure. J’étais stressé car j’avais l’impression que l’on était à un tournant de notre relation, mais j’étais prêt.
Je m’arrête dès que j’entends la porte sonner. J’étais fébrile. Mais j’ouvre la porte et te voit adossé contre le chambranle. Bon sang que tu es magnifique. Je te fais entrer avant de t’attirer contre moi pour t’embrasser. Je plaque mes mains contre tes hanches, te serrant contre moi. Je gémis contre tes lèvres avant de glisser mes mains un peu plus dans ton dos. tu sentais bon que je ne parvenais pas à me décoller de toi. J’agrippe ton tee-shirt avant de complimenter ton apparence. Je souris avant de t’embrasser et de laisser trainer mes lèvres tout contre les tiennes. Je regarde ta main passer dans tes cheveux désordonné, ce qui te donnait un air totalement sexy. Les miens étaient courts et donc pas compliqué à entretenir. Quand je stress je me mets à parler sans pouvoir m’arrêter. Alors je te bombarde de question. Je baisse les yeux avant de sourire de manière contrite. « Je veux que tout soit parfait. Pour toi. » Je joue avec tes doigts avant de t’attirer dans la cuisine. J’ouvre le frigo et te sors une bière. Je m’appuie contre le plan de travail avant de t’attirer contre moi. Je glisse mes bras autour de tes hanches. Je pose mon menton contre ton épaule. « Tu as passé une bonne journée ? » je laisse mon souffle s’échouer dans ton cou avant de frotter mon nez contre ton oreille. je te laisse les commandes, je tremblais mais j’étais sûr d’une chose : je voulais que tu sois le premier. Et le dernier.

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cette soirée ne peut être qu'une bonne soirée, après tout. tu te mords l'intérieur de la joue, t'es un peu stressé, c'est sans doute normal. sierra t'a rassurée, après tout. tu ne vois pas pourquoi ça se passerait mal. tu te mords l'intérieur de la joue en sonnant, tandis que galaad vient t'ouvrir. un sourire se dessine sur tes lèvres et tu ne tardes pas à venir l'embrasser, fermant les yeux en glissant tes mains dans sa nuque pour le serrer délicatement contre toi. tu savoures cet instant entre vous. t'as pas envie de t'éloigner, t'en as jamais envie, et si vous le pouviez, sans doute que vous seriez déjà ensemble dans un petit appartement bien sympathique. tu te pinces brièvement les lèvres en te redressant un peu et en entrant dans la maison. tu te glisses tes doigts dans tes cheveux et tu ris un peu face au brun, plus que stressé. je veux que tout soit parfait. pour toi. tu hoches la tête et tu le suis en direction de la cuisine. être avec toi est déjà parfait. tu souffles doucement en récupérant la bière qu'il vient te tendre. tu souris un peu, laissant galaad t'attirer contre lui. tu viens poser la bouteille sur le plan de travail et tu enroules tes bras autour de sa taille et tu t'appuies un peu contre lui, fermant les yeux, savourant simplement cette étreinte. tu as passé une bonne journée ? tu resserres un peu ton étreinte autour de ton petit ami et tu viens poser tes lèvres dans son cou. oui, ça va. tu souffles doucement. c'était long sans toi. tu ajoutes en déposant un autre baiser sur sa peau, avant de te redresser un peu pour croiser son regard. tu souris doucement et tu viens l'embrasser délicatement. arrête de stresser. tu murmures contre ses lèvres, essayant de le rassurer un peu comme tu peux. tu viens caresser doucement ses hanches et sa taille. ça va être une bonne soirée. tu ajoutes en te redressant pour fouiller un peu les tiroirs, sortant de quoi ouvrir la bière. tu fronces un peu les sourcils, t'es pas chez toi, mais bon. galaad ne t'en tiendra sans doute pas rigueur.

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De toute manière je ne pouvais pas rêver meilleure soirée. Tant que j’étais avec toi, c’est tout ce qui compte. Mais comme c’était la première fois que l’on passé plus d’une journée ensemble, ça me stressait un peu. J’avais toujours cherché à rendre nos journées un peu spéciales, parfaites. Même si souvent on ne faisait que s’embrasser. je ne me lassais pas d’être dans tes bras, de goûter à tes lèvres. Je devenais de plus en plus accro à toi, je ne me voyais pas passer une journée sans toi. Ça nous arrivait mais je trouvais le temps atrocement long sans toi. J’avais déjà évoqué avec toi l’idée que l’on habite ensemble. Ça pourrait paraître rapide pour certains, mais j’étais déjà persuadé que tu étais le bon. Alors à quoi bon entendre. Ce week-end était un peu comme un test entre nous, savoir si on peut vraiment vivre ensemble. On est dans la cuisine et je te tends la bière avant de t’attirer dans les bras. « alors rendons-là encore plus parfaite. » je souris avant de glisser mes bras sur tes épaules. Je joue avec tes cheveux. Je me colle contre toi alors que tes bras se glissent autour de ma taille. Je frissonne alors que tu attaques mon cou, zone sensible. Je penche la tête sur le côté pour te faciliter l’accès. Je glisse mes mains contre tes épaules pour te coller un peu plus contre moi. « Toujours trop long quand tu n’es pas là, je sais. » je souris en tournant mon visage pour venir mordiller la peau de ton cou. Je croise ensuite ton regard et je souris avant de poser mon front contre le tien avant de prolonger ton baiser. « Je ne stresse pas, ce n’es même pas vrai… » Je suis vraiment de mauvaise fois. Je frémis alors que mes jambes se contractent autour de tes hanches. Je caresse la peau de ton cou avant de me décaler pour que tu puisses ouvrir le tiroir. J’embrasse ton front. Je te prends le décapsuleur avant d’ouvrir nos bières. Décidément je manque à mes devoirs d’hôte, bien trop occupé à t’embrassé et à savourer la proximité de ton corps. je te tends ta bière et prends la mienne. Je trinque avec toi avant de boire une gorgée. « Tu es sexy… » Je souris doucement avant de jouer avec ton t-shirt.

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c'est dingue comme tu ne t'en lasses pas, de tout ça. des baisers, les doigts de galaad glissant simplement contre ta peau. pas grand chose de plus et pourtant, tu pourrais profiter de ça pendant des heures sans avoir envie de quoi que ce soit d'autre. tu sais que cette soirée - nuit - va être parfait. alors rendons-là encore plus parfaite. tu ris un peu face au brun. oui. tu murmures, tandis que tes lèvres viennent s'échouer contre le cou du brun, que tu sais particulièrement sensible. un sourire se dessine contre tes lippes quand tu le sens bouger un peu pour te laisser plus d'espace à même sa peau. les mains de ton petit ami glissent dans ton dos et contre tes épaules. toujours trop long quand tu n'es pas là, je sais. tu souris une nouvelle fois, d'autant plus quand galaad vient à son tour contre ton cou.. vous terminez tout de même par vous observez de longues secondes, et tu ne sais pas qui initie ce nouveau baiser. je ne stresse pas, ce n'est même pas vrai... tu pouffes de rire contre ses lippes et tu reviens l'embrasser un peu. ça ira. tu souffles, le laissant embrasser ton front avant de te prendre le décapsuleur des mains. tu ris un peu, et récupères la bière qu'il te tend. tu es sexy... tu hausses un peu les épaules à ses mots, riant une nouvelle fois face à galaad en train de jouer avec le bas de ton t-shirt. interdiction de me déshabiller avant la fin du repas. tu souffles avec un sourire taquin tandis que tu viens lui voler un petit baiser. il faut faire honneur à ton repas avant tout. tu ajoutes avec sourire taquin.

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J’avais déjà l’impression de te connaître depuis des années. Nos gestes étaient naturels entre nous. Je ne ma lassais pas de t’enlacer, de t’embrasser. J’étais même plutôt très tactile avec toi. J’avais l’impression d’être moi-même quand j’étais avec toi. Je n’étais plus obligé d’être quelqu’un de différent. Avec toi, j’assumais enfin qui j’étais. Je découvrais ce qu’étais l’amour, dans tout les sens. Mais je découvrais également les affres de l’amour. Je me montrais plus possessif, plus colérique quand on osait s’approcher d’un peu trop près de toi. je ne contrôlais pas tout. Encore moins quand tu touchais à mon point sensible. J’en perds mon souffle. Depuis quelques semaines on commençait à s’aventurer dans des caresses un peu plus osées, mais on n’allait encore jamais au-delà. Ce n’est pourtant pas l’envie qui manque. Mais je n’avais jamais été jusque là. Je ne voulais pas gâcher ce moment à cause de mon inexpérience. Alors je repoussais toujours le moment, je voulais que tout soit parfait. Mais j’avais de plus en plus de mal à résister à tes mains, à ton corps. je voulais être entièrement à toi, aujourd’hui plus que jamais. Je souris contre ta peau avant de boire une gorgée de ma bière. Mes doigts s’égarent dans tes cheveux. Je joue avec ton haut, tout en souriant. « Interdit, vraiment ? » Je décide de jouer avec toi et glisse une main sous ton haut, contre ta peau chaude, je remonte sur tes hanches, flattant tes courbes. Je guette la moindre de tes réactions. Je m’en délecte. J’attends que tu sois presque à ma merci pour te repousser doucement « Alors je vais nous servir nos assiettes… » Je souris avant de m’écarter, content de mon petit jeu. Je sais que j’en paierais les conséquences, mais franchement ça vaut tout l’or du monde.

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tu as envie de savourer cet instant plus que tout au monde. pour le moment, c'est ce qu'il y a de plus important. tu fermes les yeux un instant. t'as simplement envie de glisser tes doigts sous le haut du brun, de le lui enlever et de le plaquer contre un mur ou de le pousser sur son lit. tu te mords l'intérieur de la joue et soupir un peu. c'est pas aussi simple que ça, parce que t'as un peu d'expérience, mais pas galaad. tu retiens un petit soupir et fermes les yeux en l'embrassant, avant de te redresser un peu, buvant une gorgée de bière et taquinant un peu ton petit ami. interdit, vraiment ? ouai. tu souffles d'une voix rauque, tandis qu'il vient glisser une main sous ton haut pour caresser ta peau et tes hanches. tu te pinces brièvement les lèvres et hausses un peu les épaules. alors je vais nous servir nos assiettes... tu ris un peu à ses mots et te mords l'intérieur de la joue, te redressant un peu et venant glisser une main contre les fesses de galaad pour les serrer un peu, avant de te diriger tranquillement vers la table. je meurs de faim. tu souffles en esquissant un sourire, venant t'installer et laissant le brun te rejoindre. ça a vraiment l'air bon. tu ajoutes avec un sourire quand il vient à table à tes côtés. tu te mords l'intérieur de la joue, tandis que tu viens faire glisser ton pied contre sa jambe. il a voulu jouer, après tout. t'aimes bien jouer.

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J’ai l’impression d’être à un tournant de ma vie. Ce genre de tournant où je ne peux pas revenir en arrière. J’ai cette évidence qui s’ancre en moi. Je n’ai jamais, avant toi, cherché à me caser, ni même à admettre ouvertement mon homosexualité. Mais tu as tout bousculé sur ton passage. Avec toi, j’imagine enfin mon futur. Je m’imagine même peinard dans un appartement avec un chien. je ne sais même pas ce que je veux faire comme métier, alors imaginé une vie de couple n’était pas dans mes priorité avant de te rencontrer. Tu as tout ravagé sur ton passage. Tu avais voulu y aller doucement, il faut dire que l’on n’a pas le même niveau d’expérience. Mais je ne veux pas que mon inexpérience soit un frein à notre couple. je tente de combattre mon stress, mais je ne parviens pas à le dissimuler totalement. J’observe la moindre de tes réactions, pour savoir si je ne me trompe pas. je me demande encore ce que tu peux me trouver. Je suis tellement banal face à toi. On finit par aller s’installer à table, après que tu t’amuses. « Eh… on ne touche pas à la marchandise. » Je souris alors que le rouge me monte aux joues. Ce qui ne disparaît pas, vu que tu t’amuses à me provoquer. Tu sembles bien plus à l’aise que moi. « Bon ..appétit. » Et voilà que je me mets à bégayer. Je me concentre sur mon assiette, me trouvant simplement pathétique. Pourtant je n’esquive pas ton pied baladeur. Je me suis fait prendre à mon propre jeu. Je louche distraitement sur tes doigts, les frôlant des miens.

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tu luttes contre cette envie de pousser galaad pour l'embrasser à pleine bouche, le poussant dans ses retranchements, un peu plus loin encore. tu fermes les yeux, te mords l'intérieur de la joue et toi aussi, tu veux jouer avec le brun. tu glisses tes doigts dans tes cheveux comme si de rien n'était, tandis que tu as vraiment envie de tout ça, de ce qu'il est en train de se passer. vous vous installez à table, ta main glissant contre les fesses du brun au passage. eh... on ne touche pas à la marchandise. tu pouffes de rire. elle est à moi la marchandise, j'y touche si j'ai envie. tu souffles, taquin, tandis que galaad dépose vos deux assiettes. un large sourire se dessine sur tes lèvres et tu viens boire une gorgée d'eau en retenant un petit soupir, tandis que tu fais glisser ton pied contre sa jambe, mine de rien. bon... appétit. tu ris un peu. bon appétit bébé. tu souffles en laissant ton pied glisser doucement contre sa jambe, laissant le brun effleurer tes doigts. tu viens manger mine de rien. c'est délicieux. tu souffles, ne précisant pas réellement de quoi tu parles. tu te mords l'intérieur de la joue et ris un peu, haussant les épaules. tu manges tranquillement,tes doigts glissant dans tes cheveux. tu m'avais caché que tu cuisinais aussi bien. tu ajoutes, jouant toujours avec lui, ne cachant pas le sourire au bord de tes lèvres.

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La tension monte des deux côtés. J’ai l’impression de n’être plus qu’une étoffe de plaisir. J’ai envie de t’embrasser, mais je me retiens. Trop de questions, de doutes, de peur de ne pas être à la hauteur. Surtout que je suis bien moins à l’aise avec mon corps que tu ne l’es avec le tien. Je rougis trop rapidement, j’ai du mal à parler ouvertement de ce que j’ai envie. J’ai l’impression de plus tâtonner qu’autre chose. Pourtant je me sentais bien dans tes bras et c’est la seule chose que je retiens. Je souris doucement alors que tu me taquines. Je ne peux pas t’en vouloir d’être plus à l’aise que moi sur ce sujet là. Mais je te laisse faire avec un sourire aux lèvres. Je soupire doucement tentant de ne pas trop réagir à ta provocation, même si c’est compliqué de ne pas m’emballer. Je croise mes doigts avec les tiens avant de les caresser avec tendresse. Je t’observe avec attention, gravant chaque mimique dans la mémoire. Je commence à manger mais je dois avouer que je n’ai pas trop d’appétit. Le stress me noue les entrailles, alors je me contente de jouer avec la nourriture. Néanmoins je suis content que ça te plaise. Je hausse simplement les épaules. « C’est bien une des seules choses que je sais faire. » Je penche la tête sur le côté en souriant. Je te trouvais vraiment mignon. « T’es beau… » Je souffle alors que mon cœur bat la chamade.

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tu souris doucement, quand vos doigts viennent s'emmêler. et tu aimes tellement ça chez le brun. c'est presque une incertitude pour lui, tu le sais bien. c'est compliqué et ça te donne encore plus envie de t'attacher à lui. tu fermes les yeux quelques brèves secondes avant d'observer vos mains. tu veux pas aller trop vite, tu veux rien brusquer et en même temps ... en même temps, sans doute qu'il ne s'en rend pas compte galaad, mais il te donne tellement envie de beaucoup plus que ça. tu retiens un faible soupir, ton corps en ébullition. c'est bien une des seules choses que je sais faire. tu ris un peu et viens glisser ta main dans tes cheveux. une chose de plus que moi alors. tu pouffes de rire, t'as jamais vraiment été doué pour ça, alors bon. tu te pinces les lèvres et soupires faiblement. t'es beau... tu relèves un peu la tête et un doux sourire vient se dessiner sur tes lippes. toi aussi, tu l'es. tu souffles. et comme ça, tu me donnes encore plus envie de toi.tu ajoutes doucement, d'une voix sans doute un peu plus rauque que d'habitude, tandis que tu reviens faire glisser ton pied contre sa jambe, l'air de rien, sous la table. tes doigts serrent doucement les siens.

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J’étais fébrile comme pas possible. Mais je tentais de le camoufler. Il n’y avait pas de raison que ça se passe mal. je n’avais donc aucune raison de stresser. Mais je voulais que les choses se fassent correctement. Je ne voulais pas te décevoir. J’avais un peu la pression. J’étais novice dans les relations amoureuses, sous tous les points. Mes doigts glissent doucement contre ta main. Tu envoies des signaux que je ne peux pas ignorer. Je souris doucement alors que tu serres mes doigts et que tu me complimentes sur ma cuisine. Je secoue la tête. « Tu sais faire bien plus de choses que moi. » Je souris doucement alors que je suis hypnotisé par ta main passant dans tes cheveux. J’imagine déjà la mienne dans tes cheveux, et je me retiens d’en gémir de plaisir. Je ne te lâche pas du regard alors que je te dis que tu es beau. Mais je lâche un rire avant de secouer la tête, et de lâcher un gémissement alors que ton pied se presse contre ma jambe. Je me recule vivement, car le plaisir me foudroie et je me sens soudainement gêné. Je rougis de nouveau alors que je me lève pour débarrasser la table. Je sens une présence dans mon dos avant de voir tes bras m’entourer. Je souris doucement avant d’appuyer mon dos contre ton torse. Mes mains se posent sur tes avant-bras. Je ferme les yeux avant de soupirer de bonheur.

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tu sais faire bien plus de choses que moi. tu hausses vaguement les épaules à ses mots, te mords l'intérieur de la joue et retiens un petit soupir en terminant ton assiette. tu parles, j'sais faire cuire des pâtes et ça va pas beaucoup plus loin. tu lâches en riant, souriant doucement en laissant ton pied venir rencontrer une nouvelle fois la jambe de ton petit ami, t'amusant de ses réactions. si sensible. tu te pinces brièvement les lèvres quand il se recule un peu en laissant un gémissement s'échapper de tes lippes. tu le laisses débarrasser la table, avant de te lever pour le rejoindre, te glissant dans son dos, fermant les yeux un instant en entourant son corps de tes bras, tandis que tu te colles dans son dos. désolé bébé, mais j'aime tellement te mettre dans tout tes états. tu murmures en venant embrasser doucement son cou et sa nuque, tes lippes glissant contre sa peau, tes mains contre son torse. tu retiens un petit soupir. j'veux que tu te sentes à l'aise. tu souffles en te redressant un peu, incitant le brun à se retourner vers toi. ta main glisse contre sa joue et tu souris doucement. et que tu te sentes près à tout ça. tu ajoutes finalement en venant l'embrasser tendrement.

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« Je ne parle pas de cuisine. » Je souris doucement. Je devais arrêter de me comparer à toi. Mais mon côté inexpérimenté me fait douter de tout. Je ne voulais absolument te décevoir et donc je me mettais tout seul la pression. « Tu as tellement plus de qualités. Tu sembles bien plus à l’aise avec tout ça, que moi... » Je montre d’une main nous deux. Tu as toujours été celui qui entreprenait des choses entre nous. Je finis par débarrasser la table pour cacher ma gêne même si je sais que tu n’es pas dupe et que je ne te trompe pas. Tu finis par te glisser dans mon dos et mes épaules se détendent instantanément. Je m’appuie contre toi alors que tes bras raffermissent leurs emprises sur mon corps. Je finis par sourire et à poser ma tête contre ton épaule. « C’est un peu pervers, non ? » J’émets un petit rire avant de tourner la tête pour t’admirer. Mais je lâche un gémissement alors que tes lèvres se posent dans mon cou. Je ferme les yeux un instant, soupirant à tes mots avant de me retourner dans tes bras. je souris avant de poser mon front contre le tien. Je souris doucement. « Je suis prêt… » Et ça j’en suis certain. « J’ai juste peur que ça soit décevant pour toi… » Je souffle dans un murmure. Tu es bien plus expérimenté que moi. Mais ça ne m'empêche pas de glisser mes mains sous ton haut. Totalement innocemment.

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