une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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| What about us ( Hendrix #2) | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Jeu 27 Sep - 12:24 | |
| Je ne pensais pas, en venant chez toi ici, obligé par nos chers parents, que ça allait tourner ainsi. Mais je ne pouvais pas rêver mieux. J’en profitais allègrement. Je n’ai même jamais pensé à te repousser, j’étais bien trop content de cette proximité. Un concours de circonstance qui m’arrange bien. Le temps se suspend entre nous, je soupire en sentant tes mains sur mon corps. Mon cœur palpitait à mille à l’heure. Pourtant j’hésitais encore, pas certain de la finalité de ce moment. Bien sûr je ne peux pas m’empêcher de te prendre au mot. C’était naturel entre nous de se lancer des piques. Mais ce n’était jamais méchant. C’était plutôt un jeu entre nous. Je ne voulais pas que tu le prennes pas, ce n’était absolument pas mon intention. Je te connais assez pour savoir que tu n’es pas à l’aise avec les moments de ‘tendresse’, tu préfères jouer la provocation. Je soupire doucement avant de te provoquer, décidant d’entrer dans ton jeu. Même si tu n’étais pas n’importe qui, loin de là. Alors j’étais on ne peut plus sérieux avec toi. Je ne parvenais toujours pas à y croire. Que tu m’ais laissé t’embrasser sans même me repousser est encore au-dessus de mes espérances. J’affiche un sourire provocateur. « Je n’ai pas non plus dis que tu étais n’importe qui… » Je laisse ma phrase en suspend tout en haussant les sourcils. Et franchement je me régale de l‘expression de ton faciès. Je ne changerais les choses pour rien au monde, bien au contraire. Si on me demandait de recommencer, je referais exactement la même chose. Je te rassure parce que j’ai indéniablement envie de recommencer. Et je ne me gène pas pour le faire. Tes lèvres sont un véritable appel à la tentation. Je ferme les yeux alors que mes lèvres caressent les tiennes. Je te laisse prendre les rênes de notre échange, je ne veux pas te brusquer. Mais surtout j’ai peur que si je me laisse emporter je perde totalement le contrôle et que ça dérape trop rapidement. Je ne veux pas que l’on regrette ensuite. Je veux tout faire pour que ça marche. Je m’agrippe à ton cou avant de t’aider à t’installer sur moi, ce qui n’était pas évident à cause de mon fauteuil. Mon autre main agrippe tes hanches pour pas que tu tombes alors que je continue de t’embrasser, refusant de lâcher tes lèvres. Tant pis si je manque d’air. Mon torse se rapproche du tien, alors que j’approfondis le baiser avec avidité. J’oublie Cody, j’oublie les conséquences quand tu apprendras le pot aux roses, parce que je sais, au fond de moi, que tu l’apprendras un jour. Mais là je suis à mille lieux des conséquences de ce double jeu. Je me recule, je commence à manquer d’air. Tu glisses tes mains sous mon haut, ce qui me fait lâcher un gémissement. « Bordel Lax. » Je crispe mes doigts dans tes cheveux. Je penche la tête sur le côté avant de soupirer. « Oui on devrait… » Pourtant tout mon corps crie le contraire. Mes mains appuient dans ton cou t’empêchant de t’éloigner. Mais pour une fois, tu confies quelque chose qui te tient à cœur. Tu as toujours été plus doué pour m’écouter me plaindre de mes problèmes. Je me recule pour te regarder. « Tu vas regretter toi ? Parce que moi non… » Je soupire en voyant ta perplexité. « Mais je veux pas que l’on précipite les choses, parce que c’est là que l’on fera une erreur…. Et j’ai pas envie de ça. »
Mes doigts flattent tes hanches avant de sourire. « Mais ça ne va pas du tout m’empêcher de t’embrasser encore et encore » Et rien n’empêcherait cela. J’avais beau vouloir prendre mon temps dans cette relation, ne pas brusquer les choses, je n’allais pas non plus redevenir simple ami. On venait de passer un cap. Je ne reviendrais pas en arrière, sauf si tu le veux, ce qui ne me semble pas le cas. Tu me devances et je me retrouve à fourrager mes mains dans tes cheveux alors que ma langue s’applique à découvrir avec avidité ta bouche. Mais le bruit de la porte qui claque et ton prénom scandé avec énergie me fait sursauter. Tu te recules avant de t’écraser sur le sol. Je hausse un sourcil, me demandant qui ose interrompre ce moment. Ça me met soudainement de mauvaise humeur. « Ça va ? » Je te souffle avant que l’on m’appelle. Je secoue la tête de gauche à droite, j’étais tout aussi étonné que toi. Mais c’est ton père qui débarque et je me renfrogne davantage. Je sens que ça va mal tourner. Comme d’habitude il a toujours choisi le bon moment pour débarquer. Et finalement je me révèle plutôt spectateur de la scène qui se joue devant mes yeux. Je compte mentalement les points dans ma tête entre leur prise de bec. Je finis par croiser les bras. Ça commençait doucement à m’agacer. J’avais soudainement l’impression de devenir invisible, que ce soit au yeux de ton père ou les tiens. Je n’aime vraiment quand on parle de moi comme s je n’étais pas là, alors que ce n’est pas le cas. J’écoute ton père nous annonçait que leur vol a été annulé, ce qui ne me peine même pas. au contraire je suis quand même heureux de voir leur week-end gâché. Mais ce n’était pour autant pas une raison de gâcher le nôtre. Ou peut-être se sont-ils enfin sentis coupable de t’imposer ma présence. Mais maintenant c’était trop tard. Je tente d’attirer ton attention en te regardant, mais tu ne vois rien. J’attends qu’ils cessent leur querelle, mais j’ai l’impression que si je n’intervient pas cela ne fera qu’empirer. « Eh oh ! » Je m’exclame fortement. Enfin je parviens à attirer votre attention. Je te lance un regard déterminé pour t’intimer de te calmer. Ça ne servait à rien de mettre de l’huile sur le feu. « Je crois que je suis assez grand pour décider de ce que je veux. » Je soupire. « Je suis majeur et vacciné. De plus je déteste que l’on parle de moi en faisant comme si je n’étais pas là. » La magie du moment avait définitivement disparu. La distance entre nous est plus que palpable. « Vous m’agacez à décider pour moi de ce que je veux. Ce n’est pas parce que je suis dans un fauteuil que mon cerveau ne fonctionne plus. » je mets mes freins. Même si tu m’agaçais prodigieusement, je n’avais pas l’intention de partir d’ici. Ça serait toujours mieux. « Mais je suis d’accord avec Lax, je ne partirais pas d’ici. Si ma chère mère veut que je parte, qu’elle vienne me le dire elle-même. » Je secoue la tête. « Ca prouve le peu de considération qu’elle me porte. » Je détestais cette sensation de dépendre de chacun, mais j’espère que tu ne laisseras pas ton père reprendre les commandes de mon fauteuil, vu l’affront que je viens de lui faire. Heureusement il décide de partir sans trop d’éclat. Je suis attristé que tu as dû t’embrouiller avec ton père à cause de moi. Mais je n’ai plus l’énergie, ça m’avait épuisé. Je pose une main sur ton poing. « détend-toi. » Tu me stresses à être aussi tendu. J’attends de voir ton poing s’ouvrir avant de me diriger vers le canapé pour me glisser dedans.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Lun 1 Oct - 6:47 | |
| « Bordel Lax. » Tes fesses sur ses genoux, tes lèvres contre les siennes, tes mains sous son chandail – t’en veux plus. Sauf que tu le sais intérieurement que tu devrais t’arrêter. Tu ne devrais pas être sur ses genoux à faire descendre tes lèvres dans son cou, mais t’y peux rien. Ça fait trop longtemps que tu attendais ce moment, mais voilà t’as la raison qui vient te faire un petit coucou. Tu marmonnes entre deux baisers que c’est un peu de la folie tout ça. Que vous devriez vous arrêter avant qu’il soit trop tard. T’en sais rien, mais peut-être qu’au fond Hendrix s’est laissé emporté par le moment. Peut-être n’a-t-il pas vraiment d’attirance envers toi. Après tout, toi tu n’as connu qu’un Hendrix qui s’intéresse aux femmes. Alors c’est presque impossible pour toi que tout ce mélange de sentiments, d’attirance soit réel. Dans ta tête, les femmes c’est son truc alors que toi non. « Oui on devrait… » Te dit-il alors que tu laisses tes lèvres caresser sa peau. Il s’arrête pour te regarder et tu fronces les sourcils. T’es pas certain de comprendre ce qui ce passe, alors tu écoutes attentivement. « Tu vas regretter toi ? Parce que moi non…Mais je veux pas que l’on précipite les choses, parce que c’est là que l’on fera une erreur…. Et j’ai pas envie de ça » Tu secoues la tête négativement tandis qu’un doux sourire s’accroche au coin de tes lèvres. « Non, évidemment que non. Tu le sais bien que je ne regrette jamais. » Dis-tu sur un ton plutôt humoristique. Après tout il devrait le savoir. Tu ne fais jamais rien pour rien. Tu regrettes rarement, tu assumes même si parfois ça peut te sembler impossible. T’as quand même un orgueil à gérer. Tu restes donc assis sur ses genoux à le regarder. Tu te sens bien et Dieu seul sait à quel point t’as été malheureux ces dernières années. Sauf que ce baiser, peut-être un peu précipité est venu atténuer ta frustration. Tu l’aimes, c’est plus fort que toi, du plus profond de ton cœur. « Mais ça ne va pas du tout m’empêcher de t’embrasser encore et encore » Ajoute t’il avant de déposer ses lèvres sur les tiennes de nouveau. Sa langue arriva à rejoindre la tienne, te laissant gérer cette vague de chaleur qui s’empare de ton corps. Tu n’as pas changé d’avis. T’as envie de plus, de toujours plus. Tu ne peux jamais te contenter de peu toi, c’est tout ou rien du tout. « J'ai vraiment envie que tu m'embrasse encore et encore.. si tu pouvais ne pas t'arrêter en fait» Dis-tu en tentant de reprendre ton souffle. Tes lèvres se planquant sur les siennes après chaque mots prononcés. Un sourire arrive à se tracer un chemin sur tes lèvres alors que ton corps s'ondule en même temps que le sien. Puis ce moment si précieux fut interrompu par l’ouverture de la porte de ton appartement. Tu sursautas puis tomba au sol, laissant un bruit sourd sortir d’entre tes lèvres. Bordel, qui ça pouvait bien être à une heure pareille. Puis qui se permet d’entrer comme il le veut dans ton appartement. Du coup ton humeur change avant même que t’aies eut le temps de te relever. Tu serres les dents et demande qui s’est. Ton père, qu’est-ce qu’il fou là cet imbécile. La conversation éclate en moins de deux. Tu ne veux pas qu’Hendrix quittes ton appartement, de son plein gré ou de force. T’as besoin de lui. Tu veux qu’il reste avec toi c’est simple. Tu t’acharnes donc à faire sortir ton père de ton appartement mais il ne semble pas du même avis que toi. Il doit ramener Hendrix à la maison familiale à la grande demande de sa mère. Tu grognes, mais le fait qu’il ait posé ses mains sur le fauteuil de Hendrix et qu’il soit prêt à partir te met hors de toi. Tu n’écoutes plus rien. Tout ce à quoi tu penses c’est de le faire lâcher son emprise sur le fauteuil de ton ami. « Mais je suis d’accord avec Lax, je ne partirais pas d’ici. Si ma chère mère veut que je parte, qu’elle vienne me le dire elle-même. Ca prouve le peu de considération qu’elle me porte. » C’est tout ce que tu as retenue de la conversation. Alors tu t’empresses de te glisser entre ton père et le fauteuil d’Hendrix. Il ne partira pas avec lui et t’es prêt à tout pour le protéger. Il tente donc de s’interposer mais tu restes là fort et bien droit sur tes pattes. « Lax ôtes-toi de mon chemin. Je dois ramener Hendrix à la maison. » Tu fronces les sourcils et te mets à rire presque malicieusement. « Non j’crois que t’as pas compris il n’a pas envie de te suivre. » Dis-tu en le repoussant doucement, pour cette fois. « Ce n’est pas toi qui décide Lax. » Tu lèves les yeux en l’air en secoue la tête avant que ton père te bouscule. Ton humeur changea du tout au tout lorsqu’il passa devant toi. Tu le repoussas à ton tour mais cette fois assez raide, mais il réussit à te frapper en plein visage. Son poing sur ta joue, t’as mal et goûte le sang dans ta bouche. « Dégages. » Dis-tu de nouveau en serrant les poings alors que ton père s’empresse de quitter ton appartement. Tu croyais toi aussi qu’il allait s’en aller sans faire de vague, mais t’apprécies pas qu’il décide pour Hendrix. T’es prêt a bondir de nouveau, mais tu t’arrêtes alors que la main d’Hendrix se glisse sur la tienne. « détend-toi. » Te dit-il alors que ton poing se relâche et tu soupires. Tu passes une mains sur ta bouche puis regarde ton ami. « Désolé.. » Tu te pinças les lèvres mal à l’aise puis le regarda. « J’voulais pas qu’il prenne cette décision à ta place.. » Dis-tu en relâchant la main d’Hendrix. Tu t’en veux d’agir comme ça. Sauf que toi t’es un impulsif. Tu agis et penses après . « J’devrais peut-être aller au lit.. Enfin sous la douche d’abord histoire de me refroidir les sens. » Dis-tu piteusement. Tu ne voulais pas lui faire peur, quoi qu’en même temps il te connait. « Toi, ça va ? » Dis-tu en détournant le regard alors que ton corps s’appuie contre le comptoir de la cuisine. T’es distant contrairement à toute à l’heure, mais voilà, tu te sens coupable de te ce qui vient de se passer. T’es mal à l’aise. « J’devrais peut-être te montrer ta chambre, tu pourras te reposer et tu pourras être plus confortable.. » Tu hausses les épaules. « À moins que t’aies pas envie d’être seul .. mon lit est assez grand pour deux. » Dis-tu gênés. Tu ne disais pas ça pour rendre pour les choses plus physiques qu’elles le sont, mais plutôt parce que tu avais besoin de réconfort. Tu voulais seulement t’allonger tout près de lui. Sentir sa présence, pas besoin de parler, juste le regarder dormir au pire. De l’entendre respirer, de l’aimer en silence. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Jeu 4 Oct - 22:37 | |
| J’ai l’impression d’avoir une explosion dans mon corps. Tout mes sens sont mis à rude épreuve. Mais c’est du pur bonheur. Tant pis si on devrait stopper avant de regretter certains gestes. Pourtant au fond de moi je sais que je prends la bonne décision. De toute manière c’est trop tard pour changer les choses. je resserre mes bras autour de ta taille pour t’empêcher de t’échapper. Parce que j’ai l’impression que quand ça va s’arrêter le retour à la réalité sera rude. Je sais que je te devrais des explications. Ça sera probablement une prise de tête. Parce que la vraie explication de mon départ réside justement dans les sentiments que j’éprouve pour toi. Mais à ce moment-là je n’étais pas encore prêt à les assumer à ce moment-là. Et surtout je n’avais aucun doute sur le fait que je ne t’intéressais pas. En tout cas je n’avais perçu aucun signe. Je grogne que l’on devrait s’arrêter, même si je n’en pense pas un mot. D’ailleurs je n’esquisse aucun geste dans ce sens, fermant les yeux avant de te dévorer du regard. La dernière chose que je souhaite c’est que les regrets s’immiscent entre nous. On est du même avis, on en fera aucun cas tous les deux. « Je ne regretterais pas non plus. » Je sais que tu es plutôt du genre à faire que ce que tu souhaites, et même si ça ne se déroule pas comme tu le souhaites, tu t’en contentes. Une de mes mains se glissent sous ton pull, goûtant la chaleur de ta peau. je soupire doucement en appuyant sur ton dos pour te ramener un peu plus contre moi. Mes doigts glissent sur tes hanches, tâtant de mes doigts tes flancs. Mon regard n’est pas en reste non plus. Tes cheveux tombant devant tes yeux te donnent un air sauvage et incroyablement sexy. Cependant mes mains restent assez sage et ne descendent pas sous la ceinture. Je ne cessais de me répéter silencieusement comme un mantra que je ne dois pas me précipiter. Mais ça ne m’empêcherait pas de continuer à t’embrasser encore et encore. Et ce nouveau baiser que j’entreprends est bien plus passionné, plus vorace même. Aucune hésitation. Ma main libre se glisse dans ton cou et l’autre remonte le long de ton ton dos, remontant ton pull. Je commence à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Et heureusement nos deux corps imbriqués le cachent parfaitement. Enfin je ne suis pas certain que tu ne le sentes pas. « Je n’ai aucunement l’intention de m’arrêter. Tu es un appel à la luxure. » Je souris avant de frôler tes lèvres. Nos hanches se rencontrent et on gémit de concert. Maintenant on n’a plus aucun doute sur ce que l’on ressent l’un pour l’autre. Une main se glisse dans tes cheveux alors que mes lèvres entourent les tiennes. Mes dents mordillent ta lèvre inférieure.
Malheureusement un importun interrompt violemment ce moment. Je grogne de frustration. Mais la bulle dans laquelle nous étions as définitivement éclatée. Je passe une main sur ma bouche, même si je sais que c’est totalement illusoire de camoufler mes lèvres gonflées. Je prends deux ou trois profondes inspirations. Je me retourne et voit que c’est finalement mon cher beau-père qui débarque. Décidément il aime casser l’ambiance celui-là. Déjà que je ne le porte pas vraiment dans mon cœur, mais là il n’arrange pas son cas. la situation devient clairement tendu quand on m’ignore royalement. Ça fait grimper ma mauvaise humeur de plusieurs échelons. Je finis par me faire entendre un bon coup, même si je remarque que tu es bien trop en colère pour entendre ce que je dis. Mais ça n’a pas d’importance puisque j’abonde dans ton sens. Je ferme les poings et hausse la voix, en colère de voir ma mère charger mon beau-père devenir me chercher. Bien sûr tu tiens de ton père. Vous êtes aussi entêtés l’un que l’autre. Je pouvais simplement éviter la catastrophe, et encore. Je n’avais qu’une envie qu’il dégage de ton appartement. Mais la seule personne qui pouvait l’obliger à le faire c’était toi. Je te sens tendu au maximum, prêt à éclater. Je voudrais prendre ta main, mais je ne peux malheureusement pas le faire. Je ronge mon frein en attendant qu’il parte. Mais pour le moment j’ai vu plongeant sur ton fessier rebondi, j’avoue que je ne m’en plains pas et que j’en profite allégrement. Je secoue ma tête pour chasser les idées quelque peu tordues qui s’y logent avant de me décaler pour lui faire face. Je croise les bras pour montrer que je n’ai aucunement l’envie de bouger d’ici. Même si malheureusement je ne pourrais rien faire s’il décide de prendre mon fauteuil de force. Et bien sûr ça dégénère entre toi et lui. Je reste impuissant face à la scène qui se joue devant moi. Je hais ce sentiment d’impuissance, et je hais davantage quand on lève la main sur quelqu’un, surtout sur toi. Si je pouvais j’aurais frappé ton père aussi fort. Il finit enfin par partir et nous laisser tranquille. Une fois que la porte a claqué je me rapproche de toi et glisse ma main dans la tienne en t’intimant de te détendre. Je soupire profondément avant de secouer la tête de droite à gauche. « C’est plutôt à moi d’être désolé. » Je n’aime pas être le sujet de discorde entre ton père et toi. « Tu ne devrais pas te battre à mon sujet, surtout pas avec ton père. » Même si c’est un connard, j’en conviens aisément, la famille a toujours une place prépondérante, et je ne veux pas gâcher les liens que tu as avec lui. Tu finis par te reculer et trouver l’excuse de la douche pour changer de pièce. Je soupire doucement en reprenant la route du salon. Je hausse les épaules. « Ca va, il en faut bien plus pour m’impressionner, tu le sais. » Je souris, je n’aime pas l’ambiance tendue entre nous. « Je pense que oui, je vais aller me reposer, j’ai besoin de recharger mes batteries. Je me fatigue rapidement maintenant. » Je souris doucement « Prends ta douche t’embête pas pour moi, je vais bien trouver mon chemin. » Mais j’ai bien retenu ta proposition, et j’en souris parce que ce n’est pas la chambre d’ami que j’ai l’intention de trouver. Je te laisse partir à la douche avant de rouler et d’ouvrir chaque porte. Ce qui ne me prend guère de temps puisque l’appartement n’est pas très grand. Je galère à me glisser dans ton lit mais je finis par y arriver avant de m’installer tranquillement en t’attendant. J’attrape un bouquin qui traine alors que le bruit de l’eau s’interrompt. Cinq minutes plus tard j’aperçois ta silhouette au pas de la porte et je souris en reposant le livre contre mon torse. « Je crois que j’ai fais mon choix… » Je hausse les sourcils d’un air taquin lors que tu t’approches.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Lun 15 Oct - 7:04 | |
| Tu essaies de ne pas de pas en faire trop, mais ton corps est attiré comme aimant vers lui. Tes lèvres n’ont guère envie de quitter les siennes et franchement si tu pouvais passer la journée à frotter ton corps contre le sien, juste pour le plaisir, pour le confort, tu le ferais. Depuis le temps où tu attends ce moment, tu te promets de ne pas reculer. Tu frissonnes donc en sentant sa main longer ta colonne vertébrale. Le contact des ses doigts sur ta peau est sur le point de te rendre fou, mais pas plus que cette distance entre vous deux alors qu’il s’est reculé pour répondre à ce que tu venais tout juste de lui dire. « Je n’ai aucunement l’intention de m’arrêter. Tu es un appel à la luxure. » Tes yeux toujours fermés, tu laisses apparaitre un sourire en coin sur tes lèvres alors que tes mains s’agrippent au bas de son chandail. Oui ce chandail que t’as envie lui arracher depuis le jour un ! Depuis que tu sais que tu es attiré vers les hommes. Depuis que ton ami est ton idéal masculin. Tu le veux que pour toi – autant physiquement que émotionnellement. Tu l’aimes, si seulement il pouvait t’entendre penser. Si seulement il pouvait sentir ton cœur qui s’emballe dans ta poitrine pour lui. Bordel, mais qu’est-ce qu’il t’a fait pour que tu n’arrives plus à penser lorsque tu es en sa présence. « Bordel Hendrix, t’as pas le droit de dire des choses comme ça.. » Dis-tu finalement en appuyant ton front contre le sien. Tu le laisses t’embrasser de nouveau, de toute façon tu n’attendais que ça. Puis ses dents qui s’accrochent à ta lèvre inférieure te forcent à laisser un petit grognement sortir d’entre tes lèvres. « T’as vraiment pas le droit de .. Enfin ça devrait être interdit de faire des choses pareilles. » Ajoutes-tu en passant tes mains sous son chandail alors que tu sens son entre-jambe s’animer. « Comment tu veux qu’on s’arrêtes.. si .. Merde Hendrix.» Tu ne termines pas ta phrase, mais tu t’arrêtes de l’embrasser pour le regarder. « T’es toujours aussi insistant, attirant, convaincant ? Parce que j’crois que ça pourrait devenir un problème .. » Dis-tu en te mordillant la lèvre. T’essaie de résister, mais franchement comment tu peux t’arrêter. Tu l’aimes d’amour ton meilleur ami, puis là il est vraiment trop chaud pour que tu ailles te coucher et que tu penses à autre choses. Tout tes sens sont en action, alors rester tranquille et ne rien faire de fait pas totalement partie de tes plans présentement. Tu déposes donc de nouveau tes lèvres contre les siennes sans attendre la suite des choses.
Ton petit moment avec Hendrix fut sauvagement interrompu lorsque ton père entra sans prévenir dans ton appartement. Il prétendait venir chercher Hendrix pour le ramener à la maison familiale, l’histoire c’est que toi tu t’es interposer. Il n’était pas question qu’il le ramène avec lui alors que vous vous êtes réconcilier et surtout rapprocher. Tu t’emportas donc face à la situation et le poing de ton père atterris sur ton visage. Tu vis noir et le prias de sortir de chez toi. Maintenant tu n’as plus de compte à lui rendre, tu n’en as rien à foutre de lui. Tout ce qu’il fait c’est de se tirer dans le pied. Tout ce qu’il dit, ce qu’il fait te font le détester un peu plus de jour en jour et ce depuis qu’il est en couple avec la mère d’Hendrix. Depuis ce jour tu n’as plus vu les choses de la même façon, t’as même vu ton monde s’écrouler. Surtout tu n’imaginais pas que ton meilleur ami puisse devenir ton frère, enfin un faux frère mais tout de même assez proche de toi pour qu’il soit considéré ainsi. Ce lien t’était impossible. Tu laisses donc ton père sortir de ton appartement sans broncher puis tu te retournes vers Hendrix pour t’excuser. T’es en colère contre ton père mais tu n’en veux pas à Hendrix. C’est lui qui n’a pas su se retenir. « C’est plutôt à moi d’être désolé. » Tu secoues la tête. « Non, je te jure ça va. C’est moi qui suis désolé. » Ajoutes-tu directement. T’as la tête dure mais surtout tu ne le laisseras pas prendre le blâme sur lui alors que tu sais très bien que ce n’est pas sa faute. « Tu ne devrais pas te battre à mon sujet, surtout pas avec ton père. » Tu pinces tes lèvre, puis secoues la tête négativement – comme si tu le priais d’arrêter de parler. « J’en ai rien à foutre de lui Hendrix. Ça fait des lustres que c’est mort entre moi et lui » Tu passes ta mains sur ta lèvre blessée puis ajoutes : « Je me souviens pas avoir levé la main sur lui, c’est lui qui m’a frappé. » Dis-tu en t’en allant vers la salle de bain un peu choqué. Cette fois ce n’est pas de ta faute. Bon tu n’as pas su rester calme c’est vrai, mais tu n’as pas cherché les emmerdes, tu voulais seulement qu’Hendrix puisses prendre une décision seul et que ce ne soit pas ton père – sous les ordres de ta belle-mère qui prenne une décision à sa place. « Ca va, il en faut bien plus pour m’impressionner, tu le sais. » Te dit-il en se dirigeant vers le salon. Tu fis comme si de rien était. Tu savais tout ça. Hendrix il te connait sous toutes tes formes. Il en a vu, il en a entendu et pour ça même après autant d’année tu n’as pas vraiment changé. Malgré ta colère t’arrives à lui proposer de s’installer dans la chambre d’ami, ou la tienne.
Tu n’attends même pas de savoir quelle chambre ton ami finira par choisir. Enfin, tout ce dont à quoi tu penses c’est de sauter sous la douche et d’aller te mettre au lit. Ton corps commence à ressentir le sommeil – t’as tout de même passé la nuit au bar à travailler. Sans trop te faire prier tu refermes la porte de la salle de bain derrière toi et met l’eau de la douche en marche avant de retirer tes vêtements. Tes mains contre le carrelage tu soupires, laisses l’eau couler sur ton dos. Tu essaies de chasser tout ce qui vient de se passer de ton esprit et heureusement tout ce qui te reste comme souvenir c’est ce petit moment passé avec Hendrix. T’arrive donc à sortir de la douche, la lèvre enflée par le coup de poings de ton père. Tu regardes de quoi t’as l’air dans le miroir puis lèves les yeux en l’air. En direction de ta chambre tu oublis que tu as offert à ton amis de prendre la chambre qu’il voulait. T’arrive donc dans le cadre de porte de ta chambre puis souris. « Je crois que j’ai fais mon choix… » Te dit-il alors que tu t’approches suffisamment de ton lit pour te laisser tomber dessus. Tu te glisses sous la couverture puis regarde Hendrix. « Je suis content. » Tu continues de le regarder alors qu’un sourire en coin refait son apparition. « J’croyais que tu allais prendre l’autre chambre pour éviter mes ronflements mais aussi pour ton intimité. » Dis-tu en haussant les épaules. « Enfin .. l’histoire c’est que j’croyais pas qu’on allait se retrouver dans le même lit .. » Dis-tu en souriant. Ce n’était pas un reproche. Tu étais plutôt maladroit sur ta façon de dire les choses. En vrai ce que tu voulais dire c’est que tu aurais pensé qu’il aurait prit l’autre chambre puisque vous vous êtes embrassé tout à l’heure. Tu n’as pas peur de recommencer, loin de là – tu ne demandes que ça. « T’as pas peur que j’aie envie de reprendre là où nous en étions tout à l’heure ? Parce que là je t'avoue que .. J’sais pas comment je vais faire pour te résister si tu es toujours aussi beau .. » Dis-tu en passant ta main sur le visage de ton ami pour bouger ses cheveux. Tu te pinces les lèvres mal à l’aise, puis passes tes mains sur ton visage. « Merde ! J'ai dis ça à voix haute c’est ça ? » Tu regardes le plafond nerveux de savoir, mais tu le sais que tu l’as dis à voix haute. Ce que tu peux être con parfois. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Ven 19 Oct - 21:08 | |
| J’ai touché à ce que je désirais de plus profond. Et maintenant que j’y avais goûté je sais que je ne pourrais pas y résister de nouveau. je ne pourrais pas revenir en arrière. C’était trop tard désormais. Mes mains agrippent ton corps, je ne veux plus que tu t’éloignes de mon corps. Ta chaleur m’entoure. Ta peau est brûlante, mais je m’en délecte. Je ne me recule que pour te parler, et encore ce n’est que de quelques centimètres, pas plus que nécessaire. Je ne voulais pas prendre le risque que tu t’échappes. Mon nez frotte contre ta peau. Mes mains, elles, s’accrochent à tes hanches. Je ne cesse de sourire dès lors que je ne t’embrasse pas. J’ai l’impression de n’avoir jamais été aussi heureux de ma vie. Et, désormais, je n’ai plus envie de me cacher derrière une carapace d’indifférence. Au vu de tes réactions, je n’ai plus aucun doute sur le fait que mes sentiments trouvent une résonance chez toi. Je frissonne lorsque je sens tes doigts frais se poser tout contre ma peau. La chair de poule recouvre mon torse alors que je cherche à me fondre un peu plus contre toi. Je frémis alors que ton souffle se répercute sur mon visage. Je ferme les yeux quelques secondes. Mes doigts continuent de courir le long de ton dos. je frotte mon nez contre le tien, comme un baiser esquimau. J’affiche un sourire conquis alors que je secoue doucement la tête. « Et si j’ai envie de continuer, on fait comment ? » Je mordille ma lèvre inférieure en appuyant mon front contre le tien. Je tire sur ta lèvre en grognant de plaisir. Je lâche un petit rire alors que tu commences à bafouiller ce qui te donner un air totalement adorable. Ça me fais encore plus fondre. Je ramène tes hanches plus près des miennes. « Et ça devrait être interdit d’être aussi sexy, aussi… » je suis totalement à ta merci, je ne peux pas m’en aller bien loin. L’inconvénient d’être en fauteuil roulant. Je remonte ton haut voulant te le retirer, ça me donne quand même une vue imprenable sur ton torse. mes yeux parcourent ton torse finement musclé et ferme. « Non, il paraît qu’il faut innover dans la vie. ». tu m’embrasses alors que je n’ai même pas terminé de retirer ton haut. Je sais que je ne peux même plus te cacher mon envie, le fait que je me sente serrer dans mon pantalon. « Lax… » Je gémis piteusement, alors que je n’ai qu’une envie : ne pas tenir ce que je viens de dire auparavant. Tout compte fait je ne pense pas que je resterais sage à ne rien faire. Et nos baisers de plus en plus enflammés prouvaient bien que l’on ne resterait pas sage.
Mais bien sûr il fallait que ce moment s’interrompe par l’intrusion de la dernière personne que l’on voulait voir tous les deux. Et surtout pour quelque chose dont je n’avais aucunement envie d’accéder. Tu m’avais offert une porte de sortie que je n’avais même pas imaginé. Et je n’avais même jamais songé que l’on puisse se réconcilier. Mais c’était arrivé et je voulais en profiter avant d’avoir une catastrophe qui gâche tout, car c’était indéniable que ça allait arriver. Pour le moment c’était plutôt contre mon beau-père que j’en ai. Si je n’étais pas en fauteuil roulant c’est moi qui aurait répondu à son geste sans aucune hésitation. Mais là je sais que là il aura facilement l’ascendant. J’enrage silencieusement. Je ne veux pas jeter de l’huile sur le feu. Mais aujourd’hui je ne voulais pas revenir en arrière. Je ne voulais pas redevenir ton frère. Parce que c’était désormais impossible, pas avec ce qui vient de se passer. Ils pensaient certainement bien faire, mais c’était tout le contraire. Ils avaient gâché notre relation à tous les deux. Heureusement il finit par quitter l’appartement, ce qui m’arrange, il a certainement dû sentir venir la catastrophe. Maintenant c’était à moi de te calmer. L’autre n’assumait même pas sa connerie. Je secoue la tête. Tu t’excuses de nouveau. je ne renchéris pas sinon on ne ferait que s’excuser. J’avais envie que l’on passe autre chose, mais je voulais d’abord que tu ne te sentes pas coupable. Ce n’est que de sa faute à lui et à ma mère si c’est un tel merdier dans nos vies. Je sais que ça peut vite devenir un sujet de tension entre nous, même si je ne prendrais jamais la défense de ton paternel, j’ai bien trop de griefs contre lui. Je soupire doucement, assez impuissant face à cette situation. J’évite de regarder ta lèvre blessée, ça me met littéralement en rogne. Il ne perdait rien pour attendre. « Je sais… » Je soupire doucement en te laissant partir vers la salle de bain. Je ne peux pas t’en vouloir. Je me mords la lèvre inférieure, j’aurais aimé faire plus. Mais ce qui est fait est fait. Je suis juste frustré, pas impressionné pour un sou par ton comportement. Tu t’enfermes dans la salle de bain et j’entends rapidement l’eau couler. Il me faut un temps avant de me diriger vers ta chambre. J’ai l’impression que mon énergie m’a quitté avec cette altercation où j’ai été passif. J’arrive dans ta chambre et j’ai l’impression d’être épuisé avant même d’avoir commencé mon transfert. Je range mon fauteuil à côté du lit et me prépare à me transférer dedans. Au bout de quelques minutes je parviens à me glisser dans ton lit. Je ne sais pas si j’ai pris ta place ou non, mais je sais que tu me le diras si jamais c’est le cas.
Finalement je prends mon mal en patience en attendant que tu arrives. Il me tarde de voir comment tu vas réagir. Parce que même si tu l’as suggéré, te connaissant, tu n’y crois pas trop. En t’attendant j’avais décidé de regarder attentivement la décoration de ta chambre. J’étais entré dans ton intimité, je ne me sentais pas si à l’aise seul dans cette pièce, c’est aussi pour cela qu’il me tarde que tu reviennes. J’attrape un livre pour m’occuper l’esprit. Même si je relis plusieurs fois la même ligne. J’étais constamment attentif au bruit de l’eau, signe que n’as pas encore terminé ta douche. Mes doigts jouent sur la couverture du livre, signe de nervosité. Tu es tellement imprévisible que je préfère ne pas me faire trop d’idée. Je te connais par cœur. Et c’est à la fois une facilité mais également une complication. Je ne sais finalement pas à quoi m’attendre. Je secoue la tête, je ne veux pas que des idées noires viennent infecter ce moment. Tu finis par arriver. Finalement j’étais absorbé par mon livre que je n’ai pas entendu l’eau s’arrêter. Je souris doucement. Je finis par hausser les épaules. « Pourquoi j’aurais été dans une autre chambre alors que tu as probablement le lit le plus confortable ? » Je souris alors que mon regard s’attarde sur ton corps un peu trop dénudé à mon goût. « Enfin, je peux changer si ça te dérange vraiment, je ne m’en offusquerais pas… » Je mordille cette fois ma lèvre inférieure. J’espérais silencieusement que tu ne me virerais pas de ton lit. De un parce qu’il est plus confortable, et que j’avais à disposition un oreiller vivant bien plus tentant que ceux en synthétiques dans l’autre chambre. Je louche sur ton torse avant de déposer mon livre sur la table de chevet qui est de mon côté. Je me tourne légèrement vers toi. « Qui te dit que moi je n’en ai pas envie ? De reprendre là où on s’est arrêté ? » Je souris doucement avant de lâcher un rire. « Ca y en a aucun doute. Tu l’as dit haut et fort. » je frissonne alors que je frissonne en sentant tes mains sur mo visage. Je ferme les yeux pendant quelques secondes. Mes doigts se posent sur ton torse, glissent délicatement le long de tes courbes, hypnotisé par chaque imperfections de ton torse. mon regard te déshabille ouvertement. « Tu sais que si tu ne te rapproches pas on ne pourra pas continuer ce que l’on faisait ? » Je me penche doucement vers toi pour prendre en otage tes lèvres. Je n’ai l’énergie que de t’embrasser. je commençais à avoir chaud, il faut dire que je n’ai même pas oser me déshabiller. Et puis ce n’est pas forcément évident de le faire seul. Ma mère insistait pour m’aider à retirer mes hauts, et même si je râlais, ce n’était pas si mal que ça. Mais là c’était bien plus tentant de t’embrasser. Je soupire en sentant ta lèvre gonflée. « Si j'aurais pu, j'aurais cogné ton père. » Je grogne alors que mes doigts touchent là où il a frappé, ce con.
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Dim 21 Oct - 7:23 | |
| Tes mains contre le carrelage de la douche tu repenses à ce petit moment que t’as eu avec Hendrix. T’as tellement apprécié t’être rapprocher de lui que tu as encore l’impression de sentir ses doigts contre ton échine dorsale. TU frissonnes, te mordille la lèvre. L’eau coule doucement sur ton dos et le temps que tu penses à cela tu oublis ton altercation avec ton père. Lorsque tu sortiras de la douche tu seras reposé et surtout calme. Tu fermes donc l’eau, t’essuies et enfiles un nouveau boxer avant de te rendre à ta chambre. Tu souris lorsque tu vis Hendrix. Bon tu étais un peu surpris de le voir dans ta chambre mais tellement heureux de le retrouver. Tu entras donc dans ton havre de paix et te glissas sous les couvertures tout près de lui. « Pourquoi j’aurais été dans une autre chambre alors que tu as probablement le lit le plus confortable ? » Tu haussas les épaules puis te mis à rire. « J’en sais rien, peut-être que t’aurais pas été à l’aise de venir ? » Après tout c’était possible. Peut-être qu’il aurait eut le temps repenser à ce qui c’était passé tout à l’heure et qu’il croyait que c’était une erreur. « Enfin, je peux changer si ça te dérange vraiment, je ne m’en offusquerais pas… » Tu secoues la tête vivement alors que tu tires la couverture sur ton torse. Tu détournes le regard pour le regarder et répondis : « Non tu restes ici. » Avec ta réponse ça avait le mérite d’être clair. Quoi qu’en même temps s’il n’avait pas envie de rester, tu n’allais pas le forcer. T’as envie de lui depuis le jour un, mais t’as pas envie de forcer les choses et ce même si elles sont bien enclenchée. Tu regardes ton ami assis dans ton lit – tout près de toi et tu te mets à dire un peu n’importe quoi. « Qui te dit que moi je n’en ai pas envie ? De reprendre là où on s’est arrêté ? » Tu t’arrêtes de bouger, tu sens des papillons passer dans tout ton estomac. Est-ce que tu as bien entendu ? Pourtant t’es loin d’être sourds. Tu reviens donc à la réalité lorsqu’il se mit à rire et alors que croyais que tu ne l’avais pas dis tout ça à voix haute. « Ca y en a aucun doute. Tu l’as dit haut et fort. » Tu déglutis et baissa les yeux. « Merde.. » Dis-tu alors que tes mains sont toujours sur ton visage.
La présence de ton ami te fait du bien, non en fait c’est Hendrix qui te fait du bien. Même après toutes ces années ne t’as pas l’impression que les choses ont changées. En fait, tout ce qui a changé que vous ayez eut des rapprochements. Tu laisses retomber tes mains sur ton matelas lorsque tu sens les doigts d’Hendrix toucher ta peau, tes côtes. Ton corps frissonne et tu te mordille la lèvre. « Tu sais que si tu ne te rapproches pas on ne pourra pas continuer ce que l’on faisait ? » Tu regardes Hendrix le sourire fendu jusqu’aux oreilles. « Alors monsieur se fait impatient ? » Tu te mets à rire puis t’approche doucement. Ton visage tout près du sien, tu le laisses toucher ta lèvre. Tes yeux plissent alors qu’elle te fait un mal de chien. T’as l’impression qu’elle prit de l’ampleur. Ou du moins qu’elle enflée un peu plus que tout à l’heure. « Si j'aurais pu, j'aurais cogné ton père. » Tu grognes à ton tour en secouant négativement la tête. « Non ne dis pas ça.. Et puis d’toute façon je ne t’aurais pas laissé faire. Je me serais pris un plaisir fou à le faire moi-même. » Tu laissas tes yeux plongés dans les siens alors que étais très sérieux. « Ne parlons pas de ça.. J’y pensais plus. » Dis-tu en déposant tes lèvres contre les siennes tendrement. Tu te reculas, puis passa tes jambes de chaque côté de ses hanches. « Alors.. maintenant tu m’trouves assez près ? » Dis-tu avec un sourire en coin. Tu glissas une main dans son cou puis approchas ton visage du siens. Tes lèvres contre les siennes tu n’attendais que cela de recommencer. Ta main qui se trouvait au creux de son cou redescendit vers le bas de son chandail. Tes mains allèrent de nouveau toucher à son torse puis tu t’empressas de retirer son chandail. Tu reculas ton visage et amusé tu dis : « J’en rêve depuis tout à l’heure de te le retirer j’espère que tu ne t’y opposes pas. » Tu n’attendis même pas sa réponse que tes lèvres se glissèrent dans son cou, puis descendirent doucement sur son torse dénudé. T’en veux plus que tout à l’heure. Ce n’est pas nécessaire que ce soit tout tout tout, parce que tu te doutes que ce ne sera pas chose facile, mais voilà. T’as envie et t’as besoin de sentir sa peau contre la tienne.
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Dim 21 Oct - 14:03 | |
| Ce moment de répit me permet de réfléchir à ce qui vient de se passer. Je ne regrette pas ce qui s’est passé. Au contraire, il me tarde même de recommencer. J’ai froid depuis que tu as quitté ma bulle. La seule chose que je regrette c’est de n’avoir pas osé avant de décider de partir. Les choses auraient été différentes alors. Je n’aurais pas eu besoin de m’empêtrer avec une fausse histoire dont tu ne dois jamais apprendre l’existence. J’allais devoir m’occuper d’arrêter les conversations avec Cody, le rendre invisible et faire en sorte que tu l’oublies. Mais je ne voulais pas y penser alors que tu débarques dans ta chambre. Je préfère profiter du moment présent. Je souris alors que tu glisses à mes côtés. Je ne cesse de sourire alors que mes doigts commencent à jouer avec tes cheveux distraitement. Je ne voulais pas laisser la gêne s’immiscer entre nous, et le meilleur moyen était de crever l’abcès directement. « Peut-être, mais je veux encore moins qu’il y ait de la gêne entre nous, alors autant ne pas lui laisser de place. » À dire vrai, j’ai déjà envie de t’embrasser à nouveau. Ce n’était pas vraiment sérieux. Je me rapproche sensiblement de toi alors que tu tires la couverture sur ton torse. j’affiche un sourire avant de hocher la tête. « Bien chef. » Mes doigts reprennent du service dans tes cheveux. J’avais mon cœur qui se remet à rebattre la chamade. Je n’avais aucunement l’intention de partir. Sauf si tu me le demandais expressément, mais ça ne semble pas le cas, j’en suis donc heureux. On glisse de nouveau dans un jeu de séduction entre nous. Mais c’est loin de me déplaire. Et surtout quand je te vois aussi embarrassé qu’en ce moment. Le rouge à tes joues te donne un air totalement adorable. Je te dévore du regard avant de te confirmer que tu n’as pas été aussi discret que tu le penses. Je commence à rire doucement tout en secouant la tête. « Si tu voulais me cacher certaines choses, c’est désormais trop tard. » je souris en laissant ma main descendre pour caresser ton visage puis ton cou et tes épaules. Mes mains se font plus baladeuses. Elles se glissent doucement sous la couette. Il était temps de reprendre là où on s’était arrêté.
On ne s’était pas encore embrassé, je préféré pour le moment détailler chaque trait de ton visage. Mes doigts, eux, se pressent contre ta peau, repousse la couette pour dévoiler ce torse alléchant. Ma lèvre inférieure coincée entre mes dents, j’admire ce corps que j’ai longtemps rêvé. Mais j’ai envie de plus, j’ai besoin de plus. Malheureusement je ne peux pas vraiment me déplacer. Ce qui ne faisait qu’augmenter ma frustration, et me fait simplement grogner de frustration. Je lève les yeux au ciel. « Je ne suis pas impatient, je ne peux simplement pas bouger comme je veux. » j’affiche un air revêche avec un sourire en coin. Mais je redeviens sérieux alors que je passe mes doigts sur ta lèvre abîmée. La colère revient ronger mes entrailles. Bien sûr que je n’aurais pas hésité à le cogner et à répondre à sa provocation. Je m’en doutais que tu ne serais pas d’accord, mais c’est la même chose. « On aurait été à deux alors. » Je tais juste que je ne supporte pas que l’on te touche de cette manière. Je soupire avant de hocher positivement la tête. Il n’allait pas plus gâcher notre soirée, il n’avait pas ce droit là. Je prolonge délicatement le baiser avant de glisser une main dans ton cou. Je ferme les yeux, savourant ce baiser. Tu termines au-dessus de mon corps et mes mains se posent naturellement sur tes hanches. j’appuie dessus pour sentir ton bassin contre le mien. « Je ne suis pas en sucre, tu peux t’appuyer sur moi. Je veux te sentir sur moi, Lax » Et si tu prends des précautions pour ne pas me faire mal, je ne vais absolument rien sentir. Je frissonne en sentant d’abord tes mains puis ensuite quand je me retrouve à moitié dénudé. « J’ai plus vraiment le choix, non ? » Je te lance un clin d’œil alors que mes mains remontent le long de ton torse. Je gémis alors que tes lèvres se posent sur un endroit sensible de mon torse. Je cambre ma tête en arrière, te dévoilant mon cou. Mes mains fourragent tes cheveux, les décoiffant sans vergogne. « Lax…Putain… » Je jure sous le désir qui coule dans mes veines. J’allais revenir sur ma promesse. Je ne suis pas certain de rester sage. Je tire sur tes cheveux pour que tu remontes. Je t’embrasse avidement alors que mes mains glissent sur tes cuisses, mes doigts jouant avec l’élastique de ton boxer. Je commence à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. J’agrippe donc une de tes mains avant de les guider sur les boutons de mon pantalon pour que tu m’aides à retirer ce morceau de tissu gênant. « Autant qu’on soit à égalité. » Je pose mon front contre le tien. « Qu’est-ce que l’on est en train de faire. ? » Je souffle alors que je suis en train d’ouvrir mon pantalon, dérapant souvent sur tes doigts. Je t’aide à tirer sur le tissu récalcitrant avant de te laisser le retirer. Je gémis bruyamment avant d’agripper tes hanches. « Viens là » Je redresse doucement la tête avec de poser mes lèvres dans ton cou, passant avec envie ma langue et mordillant la peau. je pose une marque sans aucune gêne. Je veux que le monde entier sache que tu n’es plus libre.
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Jeu 8 Nov - 4:01 | |
| « Je ne suis pas impatient, je ne peux simplement pas bouger comme je veux. » Te dit-il alors que tu t’approches doucement de lui. Tu souris puis déposes tes lèvres de nouveau sur les siennes. T’as envie d’y goutter une fois de plus, ou sans arrêt. Tu veux qu’il soit tient, que vous restiez là pour toujours – que tout les deux. Vous êtes bien là maintenant non ? Assez que tu ne pensais plus au fait qu’il est restreint dans ses mouvements, pour toi Hendrix c’est Hendrix. Il n’est pas en fauteuil, mais maintenant oui. Foutu accident de merde, penses-tu. Tu laisses ton visage collé au sien, tandis que son doigt touche ta lèvre blessé. Tu grimaces puisque c’est sensible. « On aurait été à deux alors. » Tu secoues la tête comme vu qu’il ne comprend pas. Tu ne l’aurais pas laissé faire, mais surtout tu n’aurais même pas laissé ton père répliquer – lui toucher. Tu le détestes ton père et ce qu’il a fait ce matin te pue au nez. C’était inacceptable et surtout de la violence gratuite. S’il croit que votre relation pourrait revenir comme elle était, il s’est bien fourré un doigt dans l’œil. Plus rien ne sera comme avant maintenant. Ta belle-mère, la mort de ta mère, ta maladie, Hendrix .. y’a tout un tas de choses. Tu finis donc par laisser tout vos petits problèmes de côté, puis tu prends position sur lui – sans lui demander la permission. De toute façon à voir comment son corps réagit à ton contact tu comprends bien que ça ne lui dérange pas. « Je ne suis pas en sucre, tu peux t’appuyer sur moi. Je veux te sentir sur moi, Lax » Tu te mordille la lèvre – celle qui est blessée et t’approche ton visage du siens. Tes lèvres contre les siennes, tu glisses tes mains sous son chandail que tu retires sans gêne. Il voulait te sentir contre lui, c’est ce que tu allais faire. Tu allais lui en faire voir de toute la couleur. « J’ai plus vraiment le choix, non ? » Te dit-il alors que tu lui retires son chandail. Tu souris, en coin puis te met à rire en secouant la tête. « Pas vraiment non.. » De toute façon tu te doutes bien qu’il n’aurait pas refuser tes avances. Si ton père n’était pas entré dans l’appartement et qu’il ne t’en aurait pas collé une, vous auriez probablement passé à l’action déjà. C’était chaud tout à l’heure. Une fois que t’eus retiré son chandail, tes lèvres se glissent dans son cou, puis jusqu’à son torse. « Lax…Putain… » Un sourire s’affiche sur ton visage tandis que tes lèvres papillonnent toujours sur sa peau. Puis sa main s’agrippe à tes cheveux te forçant à te faire remonter. Tes lèvres contre les siennes, tu sens ton cœur s’emballer dans ta poitrine suivis d’une vague de chaleur qui traverse tout ton corps. Ses doigts qui s’amusent avec l’élastique de ton boxer te font frissonner. Ses mains sur les tiennes, elles te guident vers son jeans que tu détaches sans hésitation. Tu sais comment faire, puis de toute façon t’aurais trouvé comment faire si tu n’avais pas su. T’as imaginé ce moment dans tes pensées de toutes les façon qui soit.. mais le fait qu’il n’ait pas l’utilité de ses jambes n’était pas calculé. « Autant qu’on soit à égalité. » Te dit-il alors que tu l’aides à passer le tissu sur ses jambes. Tu le balances quelques part dans la pièce puis retourne t’attaquer à ses lèvres . « Qu’est-ce que l’on est en train de faire ? » Tu t’arrêtes pour le regarder puis glisses tes mains dans son cou. « J’en sais foutrement rien.. mais je sais que t’es en train de me rendre fou. » Le contact de ses lèvres sur ta peau est en train de te rendre carrément débile. Tes yeux se ferment, puis tu frissonnes chaque fois que tu sens son souffle contre ta peau. Tu grognes en plaçant des mains sur son torse. Sauf que tu relèves la tête pour le regarder, te mordille la lèvre . « ..mais on peut attendre.. y’a rien qui presse. On peut prendre notre temps aussi.. » Tu baisses les yeux alors que tes mains ses glissent jusqu’à son boxer.Tu t’arrêtes pour faire passer tes doigts doucement en haut de l’élastique. Juste pour le chatouiller, l’agacer. Il semblerait d’aiilleurs que tes gestes ne le laissent pas indifférent. |
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Jeu 15 Nov - 22:01 | |
| J’aimerais bien bouger comme je le souhaite. Pouvoir te plaquer contre un mur et te bloquer afin que tu ne puisses plus bouger. Et t‘embrasser à t’en faire perdre la tête. Malheureusement ça ne peut que rester dans mon imagination. Peut-être un jour ce rêve deviendra réel. Je ne désespère pas de remarcher un jour, et je ne doute pas un seul instant que tu me pousseras également dans ce sens. Et au moins j’avais une source de motivation très attrayante. D’ailleurs je déteste l’idée qu’on te touche de la manière dont ton père a osé faire. S’il voulait que je revienne chez eux, il a bien loupé son coup. Là il est hors de question que je remette un pied chez eux, même si ma mère me supplie. Il faut dire qu’ils viennent de perdre une source d’argent facile. Mais je ne laisserais pas une deuxième fois ton père lever la main sur toi. Cette fois je ne resterait pas en retrait. Je sens encore cette colère bouillir en moi. Une colère que je ne parviens pas totalement à maitriser même si je le cache. Tu avais toujours été celui qui me protège, mais, maintenant je pouvais te rendre la pareille. Je n’étais plus ce gamin gringalet incapable de se défendre. Mais je cesse d’y penser quand tu es à califourchon sur mes genoux. Mes mains se posent naturellement sur tes hanches. j’en gémis d’ailleurs. Mes doigts accrochent tes hanches, t’empêchant ainsi de te reculer. Bien décidé de reprendre là où on a été interrompu, je te rappelle que je ne suis pas en sucre. Je ferme les yeux alors que tu approches ton visage du mien. Mes lèvres s’entrouvent pour un baiser lent et profond. Je frémis en sentant tes mains froides sur ma peau. mon ventre se contracte alors que mes mains se glissent elle aussi sur ta peau dénudée. Je repousse la couette pour que ce que soit pas que mes mains qui profitent. Je grogne d’envie. Mais il faut que je me contrôle. Parce que je ne veux pas que ça dérape, je ne veux pas que l’on gâche des années d’amitié pour une idylle sans lendemain. Je ne supporterais pas, plus de te perdre. Mais j’avais bien du mal à résister à ton air trop sexy. Tu étais le diable de la luxure en personne.
Je frissonne et j’ai la chair de poule alors que tu envahis mon cou. Je me tortille, ne sachant pas si je dois m‘échapper à cette douce torture ou au contraire l’encourager. Je ferme les yeux, alors que je n’ai aucun contrôle sur mon corps qui subit tes assauts. Je perds patience et te force à remonter pour t’embrasser sauvagement, j’en oublie presque mes précautions. Mes doigts se font plus curieux, se glissant légèrement dans ton boxer, juste pour titiller tes hanches et la naissance de tes fesses. Mais je me trouve désavantagé et surtout trop à l’étroit dans mon jean. Je te supplie silencieusement de m’aider à le retirer. Je suis comme hypnotisé par tes gestes. Je finis par me retrouver en boxer. Je n’ai donc plus rien pour cacher le fait que j’ai vraiment envie de toi. Mes mains remontent le long de ton dos. je dévore ta peau avec gourmandise, savourant chaque son qui sort de tes lèvres. Tu me fais perdre la tête. un éclair de lucidité me pousse à poser la question de ce que l’on est en train de faire. Je plonge mon regard dans le tien. On peut lire dans le mien une myriade de sentiment. Je n’ai jamais été aussi certain que maintenant que j’avais des sentiments pour toi, même s’il était trop tôt pour le dire. Parce que je ne sais même pas où tout ça va nous mener. On se cherche du regard, et je ne peux m’empêcher de sourire. « Tu es beau… » je souffle. Je glisse mes doigts dans tes cheveux pour tenter de les discipliner, mais c’est peine perdue. Je soupire doucement alors que tu proposes que l’on attende. Je hoche la tête. « Je veux que l’on soit sûrs de ne pas faire une connerie. » Je fronce les sourcils. « Pas avec toi…. » Même si j’avais déjà fait une grosse connerie, tout ça parce qu’à l’époque je ne supportais pas mon homosexualité en public. Tout ça parce que j’avais peur que tu me ris au nez. Mais, au lieu de couper court quand je ne maitrisais plus rien, j’ai laissé l’affaire continuer. Maintenant il allait falloir que je t’en parle. Un jour, pas aujourd’hui. Je glousse alors que tes doigts se faufilent sous mon boxer. « Patient, hu ? » Je hausse un sourcil, provocateur. Je souris avant d’attraper ton cou pour t’attirer à moi. « Mais je ne suis pas contre t’embrasser toute la soirée… » Je reprends tes lèvres avec passion alors que mes doigts glissent dans tes cheveux. J’en ai rien à foutre que tes lèvres soient gonflées à force de t’embrasser. les miennes ne doivent guère être mieux. Après plusieurs minutes à t’embrasser, je te repousse sur le lit. Je me glisse contre toi avant de poser ma tête sur ton épaule. Je souris rêveusement. « Dire que ce matin je pensais que tu allais m’étrangler d’être ici… Et je suis maintenant dans ton lit… »
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) Lun 26 Nov - 5:55 | |
| Tu t’essouffles avec tous ces baisers. Tu t’arrêtes donc à la question de Hendrix et ne fait que hausser les épaules. Tu ne sais pas ce qu’il en deviendra de vous deux. Cependant tu espères que ce ne soit pas qu’une histoire d’un soir, tu ne t’en remettras pas de le perdre de nouveau. Pas après tout ces rapprochements, pas après toutes cette attente. Jamais tu n’aurais osé croire le retrouver, mais encore moins de cette façon. Ton cœur le pleurait, mais maintenant ton corps le réclame et ce sans gêne. Tout tes membres se sont mit en éveil, même ton entre-jambe commence à bruler de désir tandis que ton cœur s’emballe. Bordel, pas trop si non tu y resteras. « Tu es beau… » Te dit-il alors que tu viens de lui avouer qu’il te rend fou. Tu rougis, baisse la tête et souris par gêne. « Toi t'es juste.. parfait. » Tu ne sais pas quoi dire, mais tu déposes tes lèvres sur les siennes. Tu te recule alors que sa main plonge dans tes cheveux. Tu tentes – du mieux que tu peux de te contrôler, ou du moins de parler à ton corps pour qu’il se calme, mais tu as du mal, vraiment beaucoup de mal. Si tout ça pouvait être simple. « Je veux que l’on soit sûrs de ne pas faire une connerie. Pas avec toi….» Tu hoches la tête. Tu le sais que c’est mieux que vous preniez votre temps. C’est surtout ce que vous devriez faire parce qu’en réalité t’as toujours voulu n’avoir que ton meilleur ami pour toi, mais l’avoir vraiment pour toi c’est carrément autre chose. T’es surpris que vous en soyez là, après toutes ces années passées loin de l’autre, vous vous retrouvez comme si vous ne vous étiez jamais perdu. « Patient, hu ? » Tu te mets à rire alors que tes doigts s’amusent avec l’élastique de son boxer. Tu reprends ta main puis te mordille la lèvre . « J’crois que je me contrôle plus .. » Dis-tu toujours aussi gênés. Tu sens sa main t’attirer vers lui, puis ces lèvres se déposer contre les tiennes de nouveaux. « Mais je ne suis pas contre t’embrasser toute la soirée… » Tu souris contre ces lèvres puis tu te recules.. pour déposer ton index sur ses lèvres. « Tututut. Non, non, non. » Dis-tu en riant et secouant la tête négativement. « Non t’as pas le droit, parce que je vais en vouloir plus et on doit prendre notre temps. Alors si je dois me faire patient ça me va mais toi aussi. » Dis-tu en grimaçant pour te moquer un peu de lui. Tu te glisse finalement te glisser sur le lit et replaces ton boxer qui s’est légèrement déplacé par l’excitation. Tu te retournes vers Hendrix et l’écoute parler. « Dire que ce matin je pensais que tu allais m’étrangler d’être ici… Et je suis maintenant dans ton lit… » Tu hoches la tête d’un côté puis de l’autre. « En fait ça allait plutôt dépendre de mon humeur. Sauf que T’es chanceux j’étais de bonne humeur. » Tu hausses les épaules. De bonne humeur jusqu’à ce que ton père débarque mais ça t’as pas besoin de le préciser. « Je devrais peut-être dormir un peu .. déjà que j’ai passé la nuit debout. » Tu souris puis l’embrasse, sagement mais de nouveau. |
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| Sujet: Re: What about us ( Hendrix #2) (#) | |
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| | | | What about us ( Hendrix #2) | |
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