Des cambrioleurs en fuite ? [Nathanaël D.]

Je sors le plus rapidement possible du boulot quand ma meilleure amie m'a appelé en catastrophe. Elle m'a rapidement expliqué qu’avant de rentrer a l’appartement elle à vue un homme sortie en s’enfuyant. Mais pour le moment elle est bien trop choquer, je lui ai dis qu’elle s’enferme à double tour et que j’arrivais au plus vite. Sauf que je devais voir comment aller certains de mes amis mais aussi ma cousine, si elle va bien elle aussi. Ouais je m’inquiète pour une grande partie de mon entourage sauf de mon père, je m’en fiche, il peut s’être fait battre durant le cambriolage je ne m’en préoccupe pas. Alors que j’ai toujours mon pantalon blanc sur les fesses, mes rangers aux pieds et pour le coup en haut j’avais mis l’un de mes pulls, pas trop chaud mais au moins ça cache mon tee-shirt de l’hôpital. J’ai les mains dans mes poches, tête baissés, en train de marcher dans les rues pour me diriger jusqu'à chez ma cousine. Elle ne vit pas très loin mais au pire, ça ne me fera pas de mal de marcher, de penser a autres choses que ma journée de merde, celle que j’ai passer au boulot. Je regarde une énième fois mon téléphone pour voir si personne ne m’a appelé en panique mais non, je savais que mon meilleur ami n’était pas chez lui non plus, il bosse et heureusement pour lui. Soupirant encore et toujours, je relève quand même le menton pour regarder droit devant moi, les petits boutiques dépouillés, des voitures fracassés à coup de pied de biche ou même de brique… il devait avoir des objets de valeur à l’intérieur donc ils ont détruit au reste les voitures. Je secoue doucement la tête de gauche à droite trouvant ça inacceptable que des personnes puissent faire ça, puis sans mentir, nous aussi on à été toucher. Notre voiture à été touché en pleine intervention. Je n’ai même pas eu le temps de voir se qu’il se passait mon premier réflexe était de savoir si tout le monde allait bien puis les dégâts matériel c’est pas le problème, heureusement que rien nous à été volé j’ai envie de dire… Alors que je m’apprête à arriver devant chez ma cousine, une scène assez bizarre se produit sous mes yeux, des personnes accusant un homme qui ne ma pas l’air méchant on va dire, enfin je trouve toujours tout le monde sans méchanceté, même quand j’ai soigner Shelby, il ne m'a pas paru si méchant que ça. Alors que je m’approche de toi, parce que oui, oui je ne reste pas indifférent ça, puis une voix de femme assez aigüe me stoppe non loin de toi. « Hé mais regardez, lui aussi, là ! C'est un cambrioleur ! » Je fais les gros yeux aussi, levant mes sourcils choqués, très choqués même. Je viens doucement mettre mes mains en avant pour les empêchés de s’approcher de moi plus qu’elle ne veut le faire. « Euh… Madame, j’crois que vous me prenez pour quelqu’un d’autre là, c’est impossible que ça soit moi. » j’essaye d’être malgré moi gentil mais elle vient un peu trop prêt de moi et je vois que la tienne aussi s’approche rapidement de toi mais je vois une patrouille non loin qui me fait grimacer. Je te jette un coup d’oeil et te lance. « Suit moi. » je te dis en faisant un oui de la tête, en faite ce n’était pas trop une question mais plus une sorte d’obligation. Je te tire alors avec moi pour que tu suives ma direction en courant, courant le plus rapidement pour qu’on ne nous suivent pas. On ne dirait pas comme ça, mais je connais assez bien les ruelles et je sais lesquels prendres quand les patrouilles nous suivent. Alors que je regarde derrière moi pour voir s’ils sont encore derrière nous, mais non, on était aussi dans un petit ruelle assez au calme en réalité. Je viens doucement m’arrêter, un peu essoufflé puis je passe mes mains sur mes hanches. « C’était moins une bon dieu ! » je lâche dans un soupire tout en te regardant un peu amusé malgré tout, puis je retire mon pull pour être en tee-shirt avec la grosse gravure dans le dos qui dit que je suis infirmier.