perdido na escuridão. ξ Jakevia.

lost in darkness.
song † w/Jakevia

La fuite, la fuite à été bénéfique pour moi mais pas pour Kevin je savais très qu’en partant avec toi il y a trois jours il ne serait pas d’accord mais surtout que sa rage serait présente et pour un long moment j’ai envie de dire. J’avais appelé mon patron pour lui dire que je suis malade et que je ne viendrais pas au boulot et de toute façon je n’y serais pas aller parce que je sais qu’il serait capable d’aller me voir là-bas, donc je n’ai pas mis les pieds là-bas exprès mais aujourd’hui je vais être obligé de rentrer pour voir s’il sait calmer. Je marche tranquillement dans mon quartier pour aller jusqu’à chez moi. J’avais la veste bien remise sur moi puis une fois devant chez moi je vois que la télé marche. Je soupire doucement puis je monte les quelques marches pour arriver à ma porte d’entré. Heureusement pour moi c’était ouvert. Je me fais la plus discrète possible pour entrer a l’intérieur. Je l’entends ronfler comme personne. Je me mets doucement à secouer ma tête de gauche a droite et je jette un petit coup d’oeil dans la pièce a vivre. Il avait bu, encore et toujours. Il a su aller se chercher ses bières tant mieux pour lui, je viens alors monté dans la chambre pour attraper quelques affaires mais aussi je file rapidement a la douche. J’en ai besoin, juste parce que j’ai l’impression de devoir affronter quelque chose d'intense et ça va être le cas. Une fois ma douche prise, mon jogging mis, mon tee-shirt blanc légèrement trop large mit aussi je viens attacher mes cheveux en queue de cheval puis je redescends dans la pièce à vivre. Je pouvais faire la plus grosse fête à côté de lui il n’aurait rien entendus. Je commence à ramasser ses canettes vides pour toutes les réunirs sur la table du salon. De la je l’entends gémir comme s’il se réveillait. Je ne lui prête pas attention tout en allant dans la cuisine, cuisine américaine ou ça donne vue sur le salon. Je soupire doucement en voyant la vaisselle, j’allais pour la mettre dans le lave vaisselle sauf qu’il c’est lever bien trop rapidement. Je l’ai sentis dans mon dos, son souffle chaud qui me tape sur la nuque. Son ton colérique rien qu’à me voir ici. « Pourquoi t’es rentrer toi ? » je serre doucement des dents puis je lui fais face, je sais que je suis bloqué entre lui et le plan de travail. « Tout simplement parce que c’est chez moi ici. » « J'n’crois pas non. » il me dit en rigolant. « Oh que si monsieur Svalov, monsieur qui n’a plus de boulot depuis trois ans, monsieur qui n’a même pas son nom d’écrit sur le bail ! Alors je suis CHEZ MOI ! » je dis en m’énervant, sauf qu’il a horreur que je hausse le ton, que je m’énerve contre lui et que je lui dise la vérité. Bien sûr il commence a tout me mettre sur le dos, que s’il a plus de boulot c’est de ma faute etc. et comme je m’attendais bien les coups partent, ils sont de plus en plus violents mais aussi de plus en plus douloureux. Comment répliquer quand on n’a pas la force pour mais surtout qu’il fait limite le double de mon poids. Après qu’il m’ait frappé à plusieurs reprise, je le regarde en larme, le téléphone en main. « Sort de chez moi ou j’appelle les flics ! » le courage de me lever le téléphone en main prête à les appelés. Une insulte, la plus basique "salope" et il sort de la maison en claquant la porte. La première chose que je fais c’est de me laisser glisser contre le meuble de la cuisine pour m’asseoir à terre en pleure mais aussi en me tenant le ventre de mes deux bras. Mon visage me brûle car il ma frapper à celui-ci et mon poignet gauche me fait un mal de chien. Je reprends doucement mes esprits compose ton numéro. « Jake… faut que tu viennes je t’en supplie... » je dis simplement quand tu décroches mais aussi j’étais en larme du à la douleur et aussi au fait que je commence à ne plus supporter son comportement. La porte n'était pas fermer à clefs et je ne bougeais pas de mon endroit essayer de calmer mes pleurs ce qui ne marche pas.

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Mon premier réflexe était de t’appeler c’était certain, mais après pourquoi ? Je ne sais pas du tout surement parce que j’ai confiance en toi et surtout je sais que tu répondras présent mais aussi parce que tu m’as prouver qu’on peut avoir une meilleure vie sans l'aide de personne ou presque, surtout que pour ma part je peux avoir une meilleure vie sans lui. « Ok ! Ça va aller Naevia. J'arrive ! » je sais que ça te fout en colère et mes seuls paroles avant que tu raccroches était un “oui…” Je laisse quand mon téléphone à côté de moi pour, je ne sais pas, pour n’importe quel raison mais surtout parce que j’ai besoin de l’avoir au cas où que tu me rappelles. Je n’ai pas bougé de ma place, mais surtout je n’avais pas le courage de me lever surtout que mon ventre me tord de douleur et aussi d’autre partie de mon corps me fait mal. Quand j’entends la porte s’ouvrir sur le coup je ne dis rien du tout, par peur que ça soit encore lui. « Naevia ! » J’ouvre rapidement les yeux pour les relever, c’était toi et un sentiment rassurer se fait en moi. « Je suis là... » je dis doucement sûrement trop doucement pour que tu m’entendes en faite. Quand je te vois, malgré mois mes larmes continues de couler sur mes joues, mais tu étais là, devant moi et ce n’était pas rien bien au contraire. « Naevia ? » J’essaye d’essuyer comme je peux mes joues marqués qui me font mal, mais aussi je te regarde, j’ai envie de me lever et de tomber dans t’es bras. Simplement parce que je suis contente que tu sois là. Quand je te vois te penché vers moi, je passe mon bras valide autour de ton cou mais aussi me doucement à grimacer en sentant t’es mains à des endroits douloureux. « C'est bon, j'suis là... » Je viens alors coller mon visage contre ton torse malgré tout en pleure mais aussi je fais un oui de la tête en entendant t’es parole et murmure « Merci... ». Je reste contre toi, tremblante mais aussi je aussi je me calme doucement en étant contre toi, en sentant t’es main dans mon dos mais aussi en me resserrant plus a toi pour avoir encore pour se sentiment de protection, c’est ce que je ressens à ce moment présent quand je suis contre toi. Je garde mon bras agripper au tien pour éviter de tomber mais je sais que tu me retiens. « Tu t'sens capable de marcher un peu ? J't'emmène aux urgences. Tu peux pas rester comme ça. » Je plonge mon regard bleuté dans le ten et je fais un oui de la tête, oui pour te dire que je peux marcher mais aussi que je te suis de toute façon je ne veux pas rester comme ça. alors que tu m’aide à marcher, au passage je prends mon sac, vue que j’ai tout mes papiers. Je te laisse même fermer la porte à clef derrière nous et je te laisse m’aider à m’installer dans la voiture. Une fois que tu es à l’intérieur je te regarde, tenant mon poignet douloureux. « Qu’est-ce que je vais leur dire au urgences… Je ne me sens pas capable de leur dire la vérité Jake... » je me pince doucement mes lèvres puis je baisse rapidement le regard assez que la tête. Honteuse malgré moi.

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Alors que je reste agripper à toi pour ne pas tomber car malgré tout je sens que mes jambes vont bientôt me lâcher mais aussi qu’elles ne me supporteront pas longtemps. Heureusement pour moi tu viens rapidement m’aider à m’asseoir dans la voiture, c’est de là que je laisse malgré moi un petit soupire m’échapper, un petit soupire de douleur car oui, oui ça me fait encore un mal de chien. Une fois que tu es installé toi aussi, je me sens mal, honteuse et je baisse la tête, ouais je baisse réellement la tête, honteuse de ce qu’il vient de se passer mais aussi honteuse que tu me vois dans cette état là. Quand je sens t’es doigts sous mon mentons mais aussi quand tu me relève le visage avec délicatesse, je viens alors plonger mon regard rempli de larme malgré moi dans le tien et je t’écoute. « Hey, Neavia ! » Je me pince doucement les lèvres. Je viens alors ravaler doucement mes larmes. « Raconte leur ce que tu veux, c'est pas grave. Que ce soit la vérité ou pas on s'en fiche pas mal de ce qu'ils peuvent penser. La vérité, moi je la connais et j'te laisserai pas tomber. Ok ? » Tu étais doux, tellement doux avec moi que ça me fait du bien mais aussi que ça me blesse au plus profond de mon âme plus personne n’à jamais été aussi doux comme ça avec moi que toi en ce moment. Je hoche juste la tête quand tu me dis ça. « Ok ? » Quand tu le répète je sais que ce n’est pas en mal et je hoche à nouveau la tête en disant : « Ok Jake... » malgré tout je le dis dans un murmure, une fois attaché je te laisse rouler. je garde les yeux ouverts mais c’était difficile quand même, j’avais envie de dormir avec la douleur, une douleur prenante mais aussi assez vive malgré tout. Une fois que tu es garer je viens alors m’agripper a toi pour sortir de la voiture, je laisse un petit gémissement de douleur m’échapper malgré tout, ce n’était pas toi mais j’avais mal et je dois laisser l’exprimer.  « La douleur est toujours aussi prenante ? » mon petit gémissement de douleur répondait a ta question, non mais je pouvais voir sur ton visage que ça t’inquiète mais aussi je ne peux pas te mentir pour essayer de te rassuré. Je marche avec difficulté. « Allez, on y est presque. Ça va s'arranger. » je fais juste un petit oui de la tête, et je te jette un dernier coup d’oeil avant d’être face a l’hôtesse. Celle-ci panique un peu quand elle voit que j’ai faillit tomber mais que je me retiens a toi encore une fois. « Bonjour je... » l’hôtesse va chercher rapidement un fauteuil mais aussi une infirmière pour qu’elle vienne rapidement me prendre en charge. « Madame économiser vaut force, évité de trop bouger. » me dit t’elle en me passant quand même le fauteuil sous mes fesses. « Monsieur pouvez vous juste me donner ses papiers, je fais son entré et on l’emmène rapidement dans un box. » elle te dit. C’est là que je te donne mon sac pour que tu regardes dedans. Je m’en fou, je te fais confiance pour ça. L’infirmière arrive rapidement, elle voit que ça ne va pas, elle voit aussi que je suis pas dans un état des plus stable pour attendre mon tour. « Je vous emmène madame. » me dit l’infirmière. « Je veux qu’il reste avec moi ! » je dis en te regardant, je ne veux pas que tu sois loin, loin de moi. Mais pour le coup l’infirmière prend rapidement la parole et explique qu’il doit attendre un peu, qu’elle doit m’examiner et qu’il sera ou est le box ou je vais mais qu’il ne pourra pas entrer de suite.

Une fois dans le box, elle m’aide à retirer mes vêtements pour la chemise magique de l’hôpital, je suis alors perfuser mais aussi le médecin est passé, il m’avait fait une écho pour voir la douleur au ventre et aussi une radio pour le poignet. Il m’a installer une atèle car j’ai une belle fracture mais il ne veut surtout pas plâtré. À moitié endormi par la morphine je reste comme ça allongé. Quand l’infirmière sort de la chambre elle te dit que tu peux venir me voir vue que je t’es réclamer assez souvent.

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Ouais je t’avais laisser toute mes affaires, enfin plutôt mon sac pour que tu t’occupes de tout mais aussi je n’avais pas la force de le faire moi-même. Alors que l’infirmière commence a partir avec moi j’entends ta voix inquiet. « Hé vous l'emmenez où ?! » C’est de là que j’écoute la conversation, que cette personne te rassure pour t’expliquer les choses. Mais moi, moi je n’avais pas envie de partir sans toi, sans que tu sois prêt de moi mais surtout sans avoir une personne qui me soutient, me montrer que je peux avoir une vie bien plus heureuse : toi. « T'inquiète pas, ils vont bien s'occuper d'toi. J'bouge pas d'là, j'te l'jure. » je hoche doucement la tête de haut en bas. J’ai confiance en toi et si tu me dis que tu ne bouges pas, c’est que tu ne bouges pas.

Je sais que l’attente peut-être insupportable quand l’on est en salle d’attente mais se que je ne sais pas c’est que tu as eu mon mari au téléphone, un bombe à été lâché mais cette bombe aura de nouvelle répercussion par la suite. Pour le coup je n’y pense pas vue dans l’état où je suis. Je passe du scan a la radio, puis les prises de sangs sont faite, la perfusion aussi me calme pas mal. Entre temps on me laisse aussi me reposer comme je peux. Sauf que toute les cinq minutes alors que j’essaye de m’endormir, le brassard à tension se mets à gonfler et à me serrer le bras et me réveil. Mais comme on m’a c’est une obligation. Enfin bon, pour le coup tant qu’ils n’ont pas les résultats ils sont obliger. Je ne me sens pas trop à l’aise mais j’ai réussi à les bergner un peu. C’était comme ça. Alors que j’étais toute seule dans la chambre, les yeux fermés pour ne pensés à plus rien ce qui était dur, j’entends la porte s’ouvrir de ma chambre, j’ouvre les yeux doucement pensant que c’était les infirmiers mais non c’était toi. Mon sourire se fait sur mon visage en te voyant. Tu étais toujours là et je n’en doutais une seconde de toute façon. « Salut. ...T'es pas très jolie à voir, tu l'sais ça ? » Je ne peux pas m’empêcher de laisser échapper un petit rire quand tu me dis ça. Je viens doucement parler car la fatigue est présente mais aussi j’ai du mal à parler ayant un peu la gorge sèche. « Je pense bien ouais… Mais pour le coup je m’en fou un peu, tu es présent c’est le principal. » je dis en gardant mon sourire sur mes lèvres mais aussi mon regard dans le tien. Je viens doucement me redresser pour m’asseoir dans le lit, être couché comme ça ne me plait pas trop. Je grimace un peu malgré moi car j’ai un bel hématome au niveau du ventre. « Le médecin ne devrait pas tarder pour me dire ce que j’ai... » et quand je dis ça, c’était pas faux il arrive assez rapidement avec des papiers en main. Il te salut. « Madame Svalov... » « Berenson-Svalov docteur... » je dis dans un petit soupire tout le monde oublie mon premier nom, celui de mes parents, celui que je porterais toujours autant fièrement quoi qu’il puisse arriver. Car oui, Berenson est très connu en ville vue que mon père est un avocat dans tout son art mais aussi un mec qui ne cesse de magouiller quand il le peut. Je ne t’avais jamais dit mon nom de famille mais aussi je ne veux pas te faire peur. Car quand je le dis tout le monde prend la fuite. « Excusez moi. » il dit en souriant, puis reprends. « Alors vous avez un poignet foulé, d’où l’atèle que je vous ai mise mais aussi vous avez un hématome assez important au niveau du ventre. Région flanc gauche mais aussi jusqu’à l’estomac. Donc les efforts faudra les moindres mais aussi le boulot faut l’oublier un peu pendant quelques jours. » « J’irais au boulot docteur, ce n’est pas ça qui va m’arrêter de faire ce que je fais de toute façon. » je dis directement sans lui laisser le choix en faite. « Bien mais... » alors qu’il n’a pas le temps de finir de parler qu’on entend hurler un homme dans les couloirs. Un homme assez furieux, pourquoi ? Je ne sais pas encore. « Je veux voir ma femme ! Maintenant ! Je ne vous laisse pas le choix ! Naevia t’es où bordel ! » mes yeux s'écarquiller mais aussi je viens directement tourner mon regard sur toi. Le fait d’avoir dit mon nom de famille me fait oublier cette crainte. Je m’adresse à toi doucement pendant que le docteur essaye de refermer la porte derrière lui. « Comment Jake ? Comment il sait que je suis là ? » une certaine peur peut se lire dans mes yeux, je ne voulais pas qu’il vienne mais je ne sais pas ce qu’il sait passer aussi dans la salle d’attente. Alors que la porte s’ouvre face a nous, je me laisse doucement glisser dans le lit pour m’asseoir au fond. Une homme tout aussi grand et corpulent que toi, un peu moins mais quand même, me fait face. Brun, barbue mais aussi typer. Il a le type russe et il le porte très bien. Je baisse rapidement le regard et je te fais un non de la tête pour ne pas bouger. Il s'approche de moi pour m'embrasser le front mais aussi me murmurer un : « Tu t’en sors bien pour cette fois salle garce. » je sais que ça ne te plaira pas mais il prend son air inquiet, de mari qui ne savait pas ce qu’il se passe et encore pire. Il essaye de faire son tout gentil ce que je craignais. Le médecin reprend pour finir « Vous pouvez sortir demain, et à ce moment là je vous donnerais votre traitement. » je lui sourit en le remerciant en prenant les papiers. Kevin réplique : « Parfait, je reste alors. » Je le regarde et te jette un petit coup d’oeil. Celui qui veut dire “au secours Jake.”

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song † w/Jakevia

Ca me fait du bien de te voir ici, présent dans ma chambre même si c’est sur que ça aurait été dans d’autre circonstance c’était plus simple. Alors que oui le médecin arrive pour tout m’expliquer il y a rien de joyeux, il n’y est pas allé de main morte pour le coup, il n’a pas fait semblant pour me mettre dans cette état. Tout le monde pense que mon mari est un homme assez fin, gringalet mais aussi qui est un peu comme moi physiquement mais non c’est tout le contraire de moi. Sauf qu’il n’a pas ma force de caractère comme j’ai, je tiens ça de mon père et je peux le remarquer quand je prononce mon nom de jeune fille. Je peux voir sur ton visage qu’il ne t’es pas inconnu mais j’en suis fière malgré moi. Pas de se que mon père à pu faire mais d’où je suis partie pour arriver ici avec ce nom. Alors que le médecin parle, sa voix résonne dans les couloir. Quand je te vois descendre le plus rapidement du lit, je viens paniquer, te poser des tas de question. « J'sais pas Naevia. J'te jure que j'sais pas. » je passe mes mains sur mon visage en soupirant doucement. j’essaye de réfléchir un instant à comment il a pu savoir. Pour le coup je ne me souviens pas de toute les visages des infirmiers qui ont pu s’occuper de moi. Je sais qu’il connait du monde, mais est-ce que celui à qui je pense est présent ce soir ? Je ne sais pas du tout, je ne me souviens pas… « Nan, c'est ma faute. J'lui ai parlé au téléphone tout à l'heure et... » Quand j’entends ta voix, je viens doucement te regarder. Je ne te coupe pas dans t’es paroles. « J'pensais pas que... Mais j'ai jamais vu un connard pareil ! J'étais tellement en colère qu'j'ai pas pu m'empêcher d'répondre ! » je viens doucement souffler avant qu’il arrive. « Ce n’est pas de ta faute Jake. » Je te dis sincèrement en te regardant, puis je le laisse entrer, je t’interdis de lui sauter dessus, pas maintenant non je ne veux pas. Même si ça ne m’étonne pas qu’avec votre rage tout les deux ça fera du mal. Tu peux voir que je n’ai pas envie qu’il me touche mais c’est comme ça. Quand le médecin sort et qu’il a prononcé ses paroles, de rester. Je ne m’attendais pas à ce que tu réagisse comme ça. Sur le coup je suis un peu surprise mais quand je vois Kevin devenir rouge parce qu’il ne supporte pas qu’on l’attrape comme ça. « Nan j'crois pas ! T'as la mémoire courte on dirait. Mais j'vais t'rafraîchir la mémoire. » Je peux l’entendre rire, rire pour se foutre de toi. « C’est toi le connard qui est avec elle, c’est bon je me souviens de toi. » Il continue à rire. « Tu l'approches plus ! Tu la touches plus ! Comment t'oses te pointer ici après c'que tu lui as fait ?! Elle veut plus d'toi sale enflure ! » C’est alors que Kevin commence à se défendre en quelque sorte, il t’attrape lui aussi pour te repousser. « On m'a prévenu qu’elle était là. Un très bon ami même. » Quand il dit ça, son visage me vient en tête. « Quoi ? » Je dis en fronçant des sourcils, non je n’en profite pas un peu, mais quand même. Tu le tiens et ça m’arrange quand même. « Tu vas me dire que ton soi-disant ami de beuverie t'a prévenu ! » Je soupire doucement en passant une main sur mon visage. « Je te retrouverais toujours Naevia. » Il me dit avec un ton assez méchant. Je sais que ça va t’énerver, mais pour le coup je ne réplique pas. Je te regarde, toi Jake. « Aller dehors si c’est pour faire ça Jake... » je te dis doucement, car ouais pour le coup je subis assez de violence je n’ai pas envie d’en voir plus… Je veux juste que toi tu me reviennes et que lui ne me touche pas.

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song † w/Jakevia

Tout ça, tout ça je ne pensais pas un jour que ça allait arriver, que j’allais me retrouver dans cette situation. Une situation assez déstabilisante. Toi qui te sent coupable, mais que moi au contraire je ne t’en veux pas, je ne sais même pas comment je pourrais t’en vouloir. Tu es là depuis que je t’es vue, depuis que tu m’as aidé à m’échapper quelques jours de cette enfer, tu étais là pour m’écouter avoir un épaule sur laquelle pleurer si je peux dire. Mais quand Kevin entre dans la chambre, quand j’échange cette conversation qui commence à me faire monter les larmes mais surtout qui m’énerve dont je ne peux pas faire par interdiction de bouger pour le moment je vous vois, je te vois surtout t’énerver un peu plus que d’habitude, je vois aussi que tu ne peux pas le voir et je peux comprendre d’un côté ton ressentie. Mais pour le coup quand vous commencer à vous empoigné, à vous lancer des choses que je n’essaye de ne pas entendre mais que malgré moi son bel et bien entendus. C’est au moment ou tu lui donne le premier coup que je viens doucement replier mes jambes pour venir déposer mes coudes dessus et avoir mes deux mains sur mon visage. C’était un peu trop pour moi pour le coup, je ne voulais pas voir ça et je pense bien que tu ne ma pas entendus. Alors je vous laisse ainsi, je n’ai plus aucun pouvoir, malheureusement vous voir vous mettre sur la gueule me perturbe assez. C’est quand j’entends le personnelle arriver dans la chambre je relève doucement le regard pour voir Kevin partir entouré de la sécurité et hurler et toi, il t’attrape aussi en te voyant te débattre je lâche un petit : « Jake... » Comme si tu m’aurais entendus tu t’adresse à eux assez fortement pour te faire comprendre. « Attendez ! Laissez-moi parler à Naevia ! Laissez-moi lui parler putain ! » Il te laisse parler sans trop t’approcher. Je plonge aussi mon regard dans le tien en t’écoutant. « J'suis désolé qu't'es dû voir ça. J'pouvais pas l'laisser t'parler sur ce ton, j'pouvais pas l'laisser t'faire encore plus de mal. » Je me pince doucement les lèvres, tu étais là maintenant et je pouvais voir que toi au moins tu me protège. « Après ça si t'veux encore d'moi comme ami j'te jure que j'reviens t'voir très vite. J'te l'promets Nae. J't'ai dis que j'te laisserai pas tomber. » Je fais un oui de la tête et murmure un : « Revient vite... » La porte reste ouverte et je me retrouve alors toute seule dans la chambre. Toi et lui à l’extérieur, je ne peux même pas imaginer ce qu’il peut se passer et je ne veux pas l’imagine. J’espère juste que rien ne t’arrivera pour le coup.C’est dur, dur de se savoir seule maintenant que tu es partie, mais je sais, je veux y croire dur comme fer que tu vas vite revenir et que demain a ma sortie tu sera le premier que j'appellerais ! Pour le coup le médecin vient me demander de me reposer comme je peux après tout ce qu’il vient de se passer…

the end.