C'était moins une ! (Sven).

 

c'était moins une.
crédit/ tumblr † w/"helsie & sven"

Ca faisait longtemps, longtemps que je n’étais pas a l’air libre mais surtout à respirer l’air frais mais surtout pas entouré des touts ses murs en béton mais aussi quand on ne se sent pas emprisonner comme j’étais. Après avoir enfiler mon jogging et la tenu qu’il faut, une fois que j’ai mis mes baskets puis ma veste jusqu’à mettre mes écouteurs sur mes oreilles, je viens alors mettre ma musique puis je pars de l’appartement de mon cousin pour enfin courir, je respire, je suis enfin libre sans surveillance, sans personne qui viennent me voir pour me dire que je ne peux pas courir des heures entières mais surtout sans que personne ne viennent m’emmerder. Alors que je suis entrain de regarder autour de moi, de voir les gens souriant mais surtout des personnes qui sont tranquille. Je viens alors courir tranquillement, et là pour le meilleur des mondes, j’ai quand même un petit sourire sur mes lèvres malgré moi. Alors que je passe de ruelle en ruelle, j’étais un peu pensif mais aussi attentionné à tout ce qu’il se passe autour de moi. Alors que j’étais en train d’attendre pour traverser je te vois passer assez rapidement mais surtout j’entends une voiture arriver a toute allure. C’est pour ça que je me permets de m’avancer d’un pas, de t’attraper par les hanches pour te tirer en arrière mais surtout t’éviter de la catastrophe. Je retire mes écouteurs, puis je me mets face à toi en te regardant. Les réflexes je les ai toujours. « Mademoiselle, ça va ? » ouais j’ai le palpitant qui commence à se calmer petit à petit mais rien de bien agressif. D’un côté j’ai eu peur que tu y passes et ça ne m’aurait pas été si personne ne serait bloquer sur leur téléphone, mais surtout que la voiture ne sait jamais arrêter.

Ca m'arrive à moi aussi de n'écoute que ma propre personne mais je sais que pour la musique je ne la mets pas spécialement forte pour entendre les bruits autour de moi mais aussi les voitures si elles arrivent rapidement ou pas du tout. Alors que je suis témoin de ce spectacle je me suis pris d'une pousser d'adrénaline pour te soulever mais aussi t'éviter de te faire écraser. le cris que tu pousses me perce un peu les oreilles car pour le coup je ne m'attendais pas à ça mais au moins tu es en sécurité. Je t'avais doucement lâcher pour ne pas passer pour l'homme qui veut... en faite je ne sais pas trop quel image je pourrais donner. C'est là que je te demande si tu vas bien, ta réponse ne m'étonne pas, le temps que tu te remette de t'es émotions c'est normal, c'est aussi difficile car bon ce n'est pas tout les jours qu'on risque de se faire écraser quand même. Alors que je te laisse t'appuyer sur l'arbre je reste non loin de toi, pourquoi ? Au cas où que quelque chose t'arrive, si tu tombes sous la peur ou autre chose, je ne sais pas, je n'ai pas envie de te laisser ici sans surveillance malgré tout. Quand tu me remercie je souris doucement. « C'est normal, ne vous inquiétez pas. Puis je ne voulais pas vous retrouver sous les roues de cette voiture qui ne sait même pas arrêter en réalité. » je dis en passant doucement mes mains sur mes hanches tout en secouant ma tête de gauche à droite. Quand je vois que tu as toujours du mal a rester debout je me permets une main amicale sur ton épaule. « Vous voulez vous asseoir même boire quelque chose ? » je garde alors un sourire agréable sur mes lèvres mais aussi pour te montré que tout va bien maintenant.

Après cette échapper belle je pouvais voir que tu es encore bien bouleverser je ne vais pas te laisser ici toute seule et je ne l'aurais pas fait. Mais je peux voir qu'il y a plus que cette expérience. Qu'il y a eu une autre expérience. Je garde quand même une distance entre nous deux pour ne pas te faire fuir. Je te laisse reprendre tes esprits à ton rythme surtout. Quand tu essayes de faire de l'humour je souris doucement en voyant que tu veux décompresser mais cette image n'est pas super quand même. « Et des gens qui auraient continuer leur chemin malgré nous... » Je ne dis que la vérité, parce que depuis qu'on est la mais surtout depuis que tu as faillit te faire écraser personne, je dis bien personne ne sait arrêter. Mais c'est comme ça, leur petite personne et c'est tout. Alors que je viens doucement te rassurer en passant une main sur ton épaules. J'ai quand même un sourire aux lèvres pour te montrer que je ne suis pas méchant mais surtout que je veux juste te rassurer. Alors que je te proposer d'aller boire quelques choses pour que tu puisses te sentir encore mieux. Quand tu parles de puis remontant je ris doucement. « Allez venez, il y a un petit coffee shop pas loin. » j'avais bien compris que tu ne parlait pas d'alcool. Je te fais signe de me suivre. Après je reste pas loin de toi au cas où que tu vasille encore. « Au faite, je m'appelle Sven ça sera plus simple je pense. » Je dis d'une voix calme tout en marchant à ton rythme.

Si mes jambes ont cessé de trembler, mon cœur, lui, bat encore la mesure, tant et si bien que j’ai l’impression qu’il va finir par sortir de ma poitrine. Drôle d’image, n’est-ce pas ? C’est comme la bêtise que je raconte afin d’alléger l’atmosphère. J’aurai pu, il est vrai, trouver plus poétique comme image, qu’une belle galette sur l’asphalte. Mais, je n’ai pas réfléchi, j’ai tout simplement laissé parler mes émotions. Et pour l’heure, seule la frousse émerge de tout le Capharnaüm que j’ai dans la tête. « C’est triste, mais c’est la vérité ! » que je réponds à sa remarque. Je ne le savais que trop bien, puisque lorsque, bien des années plus tôt, j’avais réussi à fuir mon agresseur et que je m’étais débinée à toutes jambes, j’avais croisé des tas de personnes sur mon chemin et vu l’état dans lequel je me trouvais, ça aurait dû les alerter, pourtant, personne, n’avait daigner me venir en aide. Chacun pour soi, en effet. Si ce n’est pas malheureux ! Et c’est pareil avec les animaux. Personne ne fait un geste et on les abandonne les uns après les autres, je trouve ça écœurant. Il me propose d’aller boire quelque chose histoire de me remettre de mes émotions et j’accepte avec plaisir, un remontant ; autrement dit un café bien serrer même si je ne le précise pas ; ne pourra que me faire du bien. Je ne me sens pas capable de manger quelque chose pour le moment, mais boire un café, c’est dans mes cordes, et puis, je ne bois que ça. Ça et du thé. Nous nous dirigeons donc vers le fameux Coffee Shop dont il parle et que je connais vaguement. Je n’y suis jamais allée, mais je suis déjà passer devant plusieurs fois. A ce qu’il parait, le café qu’on y sert est divin. Je n’en demande pas tant. « Moi, c’est Helsie, enchantée ! » que je réponds, lorsqu’il se présente.

C'est vrai que ici personne ne fait attention a personne malheureusement. Sauf quelqu'uns comme moi qui n'a pas voulu te voir écraser cette voiture, mais aussi quand tu me dis que c'est la vérité malheureusement je laisse un petit soupire m'échapper de mes lèvres. « Heureusement que je passais par là, car même les autres qui marches s'en foutent, je ne m'en souvenais plus. » je dis en soupirant doucement mais aussi en levant mes sourcils doucement. Alors quand je vois que tu commences a reprendre de l'énergie je te propose d'aller boire quelque chose, ta remarque me fait doucement sourire, oui une personne différente aurait pu penser que tu allais, que tu voulais boire une boisson alcooliser mais ça va je ne suis pas de genre et surtout à cette heure là en réalité. Alors que nous marchons jusqu'au café du coin je me présente, du moins je te dis mon prénom ça sera plus simple que de nous appelé les inconnus quand même. « Enchanté Helsie. C'est un très jolie et rare prénom. » je dis doucement, non je ne drague pas, je n'ai pas la fois pour ça en faite, puis après on a le droit de discuté comme des adultes quand même. Je viens ouvrir la porte du café, puis je te laisse passer en premier. J'entre juste après toi. « J'invite, que veux tu ? » je te dis en souriant tout en te regardant, c'est aussi la moindre des choses et pourquoi ? ça ne fait pas de mal par moment. Après tu viens aussi de vivre un sale expérience. Mais je vois que, ouais, ça te fais pas de mal de parler aussi tranquillement, les inconnus ne sont pas tous con.

Il y a deux catégories d’êtres humains sur terre, et, elle ne se divise pas en bons et en vilains, nous ne sommes pas dans un épisode de Once Upon a Time, mais presque. On parlera plutôt d’altruisme, dans le cas de gens bien, de personnes qui n’auront pas peur de se montrer, juste pour le bien des autres. Et on parlera d’égoïsme, pour celles et ceux qui, au contraire, ne pensent qu’à leur petite personne. J’ignore qui sont les plus nombreux entre les altruistes et les égoïstes, mais je pencherais plutôt pour la seconde option. Après tout, je suis bien placé pour savoir que les gens évitent de se montrer quand il se passe quelque chose d’étrange. Ce qui s’est passé aujourd’hui n’est pas nouveau. Néanmoins, qu’on ne face rien en cas d’agression, ça peut se comprendre, les gens ont peur, mais dans le cas d’un possible accident ou d’un malaise, là, je ne suis pas d’accord. Enfin, comme ce jeune homme l’a si bien fait remarquer, heureusement qu’il était là, sinon, oui, j’aurais fait une belle galette. Je me contente de sourire à sa remarque, ne voyant pas quoi ajouter. Puis, comme il se présente, je fais de même. « Oh, merci, c’est gentil ! » que je réponds, confuse. C’est bien la première fois que l’on me complimente pour mon prénom. D’autant, que je n’y suis pour rien, c’est mes parents qui l’ont choisi. Je sais très bien qu’il ne cherche pas à me draguer. J’ai beau être craintive comme personne, je ne vois pas le mal partout. Encore heureux ! Nous nous dirigeons vers un petit café. « Juste un café, merci ! » que je réponds alors. Nous nous installons à une table. C’est un endroit charmant, et par chance, il n’est pas bondé. Je déteste me retrouver dans un endroit ou tout le monde est entasser comme dans une boîte de sardines, c’est désagréable.

après tout ses évènements je te propose d'aller boire un café et ça t'arrange tout comme moi en réalité. pour le coup, ça ne va pas me faire de mal, de me poser quelques minutes avant que le monde me rattrape. alors que nous marchions tranquillement je me présente à toi et toi a moi. je me permets même de te dire que ton prénom est jolie mais aussi rare. ce qui n'est pas faux vue que c'est la première fois que je l'entends. j'entends ce prénom. puis il te va bien en quelque sorte. je te sourire en hochant la tête quand tu me remercie. puis une fois a l'intérieur, je te demande se que tu veux et que c'est moi qui invite. a ta demande, je viens alors commander les deux cafés, le tien puis le mien sauf que je rajoute quelque chose pour ma part, la crème. j'aime tellement ça a l'intérieur, puis je trouve que ça le rend plus délicat. une fois nos commandes prête je te tends ton café en souriant. te propose de te t'asseoir sauf qu'au même moment mon téléphone sonne. « excuse moi... » je dis en faisant un petite grimace puis je m'éloigne un peu pour répondre. ce numéro important qui me fait vivre en réalité. mon cousin a besoin de moi a ce moment présent surtout pour la petite. je reviens doucement vers toi en grimaçant a nouveau. « je suis désolé mais je vais devoir y aller, des affaires de familles qui m'appelle. » je dis en riant doucement. « j'avais oublier que je devais garder la nièce de mon cousin et il vient de me faire un rappelle a l'ordre. » je garde malgré tout mon sourire. « Helsie, j'espère que l'on se reverra dans d'autre circonstance et surtout fait attention en rentrant. » je dis bienveillant même si l'on se connait peu, mais quand même il le faut bien. je m'excuse encore une fois avant de m'éclipser de la boutique...