ingen kan förändra oss. † jane.

nobody can change us.
crédit/ tumblr † w/"jane & sven"

Je regarde l’heure sur mon téléphone, plus de deux heures du matin passer, ouais ça m’arrive aussi d’avoir des insomnies mais aussi pour que je reçois un message de ta part c’est assez rare voir même ça pourrait m’étonner mais pas tant que ça quand même. Je ne sais pas trop comment dire mais d’un côté je suis content que tu veuilles bien me parler de ce qu’il t’arrive et je pense que de te confier à une personne que tu ne connais pas tant que ça c’est le meilleur moyen. Quand tu me proposes de venir jusqu’à ta chambre mais surtout avec de la nourriture je ne peux pas m’empêcher de sourire bêtement. De toute façon j’étais obligé de venir avec de la nourriture, on ne peut parler sans nourriture ! Je me lève alors en venant enfiler mon jogging et un tee-shirte rapidement puis je sors discrètement de ma chambre. À pas de velour je me dirige vers la cuisine ouvrant un placard pour prendre les deux premier paquet de gâteau qui traîne, le pot de nutella mais aussi des marshmallow, puis j’ouvre le frigo, c’est la que je trouve du chocolat qui traîne. J’attrape aussi deux cuillère à soupe pour le nutella, obliger car bon le manger avec les doigts c’est bien mais a la cuillère c’est mieux je trouve. Je retrouve d’un coup mon côté enfantin, les soirs que je passais avec mon cousin dans les chambres devant la télé à manger tout ce que l’on trouve. le gâteau fait maison, le reste de pâtes fait le soir où on avait finit sans que nos parents le remarque enfin bon, tout ce que l’on trouvait. Je t’avais que je sortais de ma chambre, alors que j’avais tout dans les mains je viens alors mettre le plastique des marshmallow dans ma bouche prenant alors mon téléphone dans ma main pour regarder ton message je souris en faisant un petit signe de la tête de gauche à droite pour éviter de rire. Je range mon téléphone puis je marche toujours à pas de velour jusqu’à ta chambre. Je viens légèrement frapper à ta porte pour te prévenir que j’étais là. Quand l’ouvre je me permets de m’approcher et de lâcher tout sur ton lit, tout ce que j’avais dans les mains. « Tu veux en veux plus madame qui a besoin de massage pour son bien être. » je dis en souriant mais aussi en passant une main dans mes cheveux pour les mettres en arrière et aussi éviter qu’ils soient devant mes yeux vue que je les aient eu depuis quelques minutes vue que je jouais au voleur de nourriture pour que personne ne m’entendant.

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Ca faisait du bien de voir que malgré tout on peut avoir des points en communs avec certaines personne mais aussi voir que l’on s’entendent bien en quelques secondes si je peux dire ça comme ça. Ca faisait du bien aussi de mon côté, j’avais peur de ne pas m’entendre avec grand monde mais aussi que je ne sois pas trop a ma place surtout vue l’âge que j’ai et ou je suis entouré de jeune sans compter spencer. Alors que j’avais tout dans les mains et que j’arrive dans ta chambre avec mon éternelle sourire aux lèvres, j’avais tout déposer sur ton lit : l’endroit le plus confortable malgré tout, parler le cul assis sur une chaise au bout d’un moment ça fait mal, ouais et pas qu’un peu quand même. Au moment où je te parle du massage et que j’entends ton rire je ne peux pas m'empêcher de rire aussi. J'te rappelle que tu avais le choix. La salle de bain ou les massages. Et puis, tu sais, je n'me suis pas encore très bien décidée. Peut-être qu'il va en falloir encore plus pour obtenir mon silence. je prends un petit air choqué après m’être installé a côté de toi, quand tu me donnes l’autorisation en quelque sorte d’un regard. « Après les massages d’une demi-heure peuvent passés à trois-quart pour que je puisse avoir ton silence. » je dis ça avec tranquillité puis après tout, faut bien trouver des compromis pour qu’on puisse avoir le silence de chacun pour ce que je viens de faire. Je prends un marshmallow après toi, attrape une cuillère et poche dans le pot pour en étaler sur mon morceau sucré. Quand je l’enfourne dans ma bouche je te regarde en t’écoutant. Tu t'rends compte que tu viens de faire de moi ta complice. Ces marshmallows sont à Spencer. je hausse doucement des épaules, je peux voir que tu n’es pas spécialement à l’aise mais je ne suis pas du genre à bousculer les gens, après je pense que tu prendra doucement ton habitude avec tout le monde, que tu sois bien plus à l’aise avec nous et que cette nuit sera peut-être bénéfique pour toi. J’ai pris le temps d’avaler ce que j’avais dans la bouche avant de te dire : « Ce n’est pas grave, on lui dira que c’est blanche neige qui à ordonner aux septs nains de les prendre pour qu’ils soient nourris après leur journée de travail. » tout en riant doucement a mon tour, la référence de blanche neige… faut que j’arrête de garder la nièce de mon cousin, elle m’en fait voir avec ses disney’s quand même. mais c’est vraie que si le reste de la coloc savent qu’on passe la nuit ensemble… des doutes seras quand même posés mais après tout, demain matin je pourrais sortir en toute discrétion comme là, sans que personne ne me voit, c’est aussi ma spécialité. « Mais aussi tu es complices parce que le nutella est a Logan. » je dis en souriant, regardant tout ce que tu as sur ton lit « Rien est à nous en réalité. Si, ça... » je prends la boîte de gâteau. « C’est à moi… Je crois je n’en suis pas sûr. » je fais une petite grimace en haussant des épaules, je veux quand même te mettre à l’aise pour que tu puisses me parler de ce qu’il t’arrive.

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Même si l’on se serait retrouver dans la mienne de chambre d’un côté j’ai Spencer et je pense qu’il soit lui aussi insomniaque donc je n’ai pas envie qu’il nous écoute parler. C’est aussi pour ça que j’ai accepter de venir dans ta chambre et je trouve ça plus sympa en réalité, comme si je redevenais adolescent pour le coup. Alors oui ça peut paraître bizarre mais au moins on est tranquille et surtout avec de la nourriture. Puis je pense qu’il n’y aura pas que toi qui pourrais se confier ce soir ? Pourquoi pas ? On a quand même toute la nuit pour nous deux et je ne bosse pas demain je dois aller garder la petite de mon cousin alors c’est parfait. Ou alors, on peut changer les règles du jeu. Et tu seras contraint de subvenir à tous mes caprices. Comme ça, j'aurai les massages quand j'veux et d'une durée que je souhaite. Et la salle de bain. Et ... Tu pourras faire ma partie des corvées de la colocation aussi. je t’écoute en plissant des yeux, quand tu me parles encore de la salle de bain je n’ai toujours pas envie, surement parce que pendant quatre ans j’ai du et partager les douches mais aussi cédé plusieurs choix la douche à des personnes pas très agréable en réalité. Voilà le deal. Quand tu me tends la main je ne la prends pas de suite. « C’est toujours non pour la salle bain et je n’en démordrais pas. » je dis doucement mais sincèrement en faite. Et tu pouvais voir dans mon regard que c’était un truc que je n’accepterais pas. « Mais pour le reste je peux l’accepter. » Je te dis en te regardant et acceptant le reste sauf la salle de bain et c’était assez précis, même si pour le coup je ne te donne pas encore d’explication. Mais je te serre la main pour le reste et pourquoi pas après tout, je peux être gentil un peu. Même si l’on est tout les deux coupables, je préfère accepter t’es corvé et pourquoi pas tes petits caprices mais là, la salle de bain c’était mort. Mais aussi quand on parle des friandises, je vais aussi la comparaison avec blanche neige. Blanche Neige, vraiment ? Je souris en faisant un oui de la tête. « Ouais tu es blanche neige et j’incarne les septs nains, l’idée est pas mal. » je souris en te disant, malgré que l’on se connaisse pas c’est aussi partie sur un bon point, tu arrive à te détendre mais ce n’est pas pour autant que j’en profite, que je profite de la situation, je reste bien a ma place tout en grignotant ce qu’il me passe sous la main et je viens parler des choses que j’ai prise. Non, elle est à moi. je me mets à rire doucement quand je te vois prendre le pâquet dans t’es main. Et les plaquettes de chocolat aussi. je me mets à sourire. « J’ai fais exprès de prendre le chocolat vue que je sais que tu manges celui-ci, sinon les autres c’est des chocolats bizarre. » je dis en souriant tout en piochant à nouveau dans le paquet de marshmallow et dû nutella. Ça va vraiment te coûter très cher. Je souris en te voyant être malicieuse mais aussi pour le coup je ne pense pas en avoir peur. Je hausse doucement des épaules. « Sans te mentir, je n’ai même pas peur mais aussi j’ai vue pire que ça. » je dis doucement en souriant quand même un peu, ouais c’était vrai après j’étais prêt à répondre à tes questions surtout si ça peut te mettre en confiance pour me parler par la suite.

 

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Même si ça fait que quelques jours que nous sommes tous sous ce même toit je n’ai pas prit le temps ni la patience pour discuter avec tout le monde mais toi c’est différent tu me donne envie d’en savoir un peu plus de toi, mais surtout il y a quelque chose, quelque chose que tu caches et que tu ne veux pas dire. Après tout on a bien des petits secrets, tout le monde et ça ne sera pas fini. Mais pour le coup ce n’est pas quelque chose de désagréable d’être ici, présent avec toi. Toi qui essaye de me faire un marché quand même bidon, mais ou tu remarques que je refuse catégoriquement la salle de bain. Marché conclu. je souris quand tu me dis ça, puis une fois le pact scellé je garde quand même mon sourire. Même si d’un côté je suis capable de tout faire a ta place, d’un côté on est un peu pareil, faire notre petit truc et plus celle des autres quand on le peut, du moins pour ma part. Sauf que pour le coup on commence à partir dans des imaginations un peu… loufoque j’ai envie de dire. Blanche neige et les septs nains, c’était assez drôle… je trouve. Toi qui incarne les sept nains ? J'vais te voir d'un oeil différent maintenant. je fais un oui de la tête. « Bah oui, regarde tout ce que j’ai pu piquer sans réveiller personne et je suis sûr que même toi tu ne ma pas entendus. » Ce que je sais faire de mieux, être le plus discret possible mais surtout, surtout voler comme je le peux ce que je veux. Puis je continue. « Oooh ça… je suis comme l’ombre d’une personne, un coup tu me voit et un coup tu ne me vois plus. » Je dis en prenant un cousin pour cacher mon visage et le laisse apparaître par moment. Si je te dis de suite que je suis l’un des plus grand faussaire, voleur et arnaqueur de la ville je pense que tu me virerais de ta chambre illéco presto. Je te laisse prendre ta tablette de chocolat puis moi les marshmallow, j’en prends quelqu’un ainsi que le nutella. Pire que ça ? Je souris quand tu me dis ça. Je suis du genre intransigeante, tu sais. Je me mets doucement à rire quand tu me dis ça. « Tant mieux alors si tu es intransigeante ! » je dis toujours avec amusement puis alors que je suis entrain de manger ce morceau sucré je relève les yeux a tes paroles : T'as vécu quoi ? Je me mordille doucement ma lèvre du bas, oui, bon fallait bien que je m’attend à ça, mais aussi si ça peut t’aider et te mettre en confiance… Je vais essayer. Je finis ce que j’ai dans la bouche, puis je prends la parole doucement. « Promis que tu ne me jettes pas a coup de pied au fesse de ta chambre et que tu n’alerte pas toute la maison ? » je dis doucement, je commence à être sérieux et c’était le cas, j’avais juste peur que l’on me rejette de ce que j’ai fais. Je reprends doucement place sur ton lit, même si je n’ai pas ta promesse faut bien que quelqu’un le sache ici. « Sans te mentir et pour te dire toute la vérité. Ca fait deux mois et demi que je suis sortie de prison... » je reste sérieux mais nerveux à la fois. « Je n’ai tué personne je te rassure ! » je dis pour ma défense, certaine personne peuvent avoir peur quand je dis ça, mais là pour le coup faut que je te dis quelque chose de vrai/faux à la fois. « On ma pincer a la place d’un autre, ils pensait que c’était moi qui avait des oeuvres d’art ou qui avait volé un émeraude assez magnifique, un collier exactement... » je dis en haussant doucement des épaules, un vrai/faux à la fois c’est pas trop mal. « Enfin voilà. » je reprends un marshmallow avant de le mettre dans ma bouche rapidement, j’ai quand même peur de ta réaction mais aussi on ne se connait pas et je te lâche ça comme ça...

 

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Rien n'est simple mais après on arrive quand même à se comprendre malgré tout. J'ai aussi essayer de cacher le fait que la salle de bain était foutu pour moi passif mais après tout, avec la fatigue je n'ai pas pu m'empêcher de repenser rien qu'un instant au calvaire que j'ai vécu pendant quatre ans. Mais se qui était bien c'est que l'on a pu parler et rire malgré nous a ma comparaison assez naze des sept nains de blanche neige. C'est vrai, tu as raison. Je ne t'ai même pas entendu alors que je t'attendais. je souris et rie doucement quand tu me dis mais j'ai toujours une petite réplique malgré moi. « L'art d'être discret pour ne pas réveiller les parents en pleine pour grignoter quelque chose ! Surtout quand tu regardes des films ! » mais quand j'entends ton rire qui se fait de moins en moins discret je viens doucement te faire les gros yeux en souriant amusé. Après tout, on est des êtres humains nous avons bien le droit de parler et rigoler ? De se voir sans que l'on ait tout le monde autour de nous, parler de tout et n'importe quoi sans que personne nous jettes des regards de jugement parce que l'on s'entend bien et que aussi on a vie de se connaître un peu plus, ou simplement dire des bêtises pour faire sourire l'autre. Mais les jugements seront toujours présents malgré tout. Je dois l'avouer, tu as un talent caché pour ce qui est du vol de nourriture. Je souris assez fière de moi mais si tu savais... si tu savais qu'il n'y a pas que le vol de nourriture je ne serais pas là, pas dans cette maison mais surtout encore sur le canapé de mon cousin qui lui accepte pleinement qui je suis quand même, même si au fond de lui ça ne lui plait pas. La tournure de la conversation change rapidement, je ne me doutais pas que tu allais être aussi curieuse mais d'un côté ça ne me dérange pas tant que ça. Dans l'art et la manière je te mens, un peu, sans trop t'en dire sur moi. Après comme on dit si bien : la curiosité est un vilain défaut mais aussi une qualité. Alors que je te parle, je parle de mon expérience je te vois surprise même choqué. D'un côté tu peux l'être mais de l'autre... Si tu savais toute la vérité. C'est ... Dégueulasse. je viens doucement hausser des épaules. « La vie est faites ainsi. On ne choisit pas se qu'il va nous arriver et qu'est-ce qui va se passer. » Je dis doucement en passant une main dans mes cheveux bouclés. Tu y es resté combien de temps ? Je te regarde doucement.  « Quatre ans... » Je souffle doucement avec des souvenirs, des heures de misère, de peur et de douleur. Principalement physique et mentale, on ne dirait pas mais c'est ainsi. Mais je secours doucement la tête en entendant ton soupire. Je me sors de mes pensées et prend attention à toi. J'étais danseuse, il y a encore un an. J'étais destinée à une grande carrière. Et puis, on m'a diagnostiqué une maladie. Rien de bien grave, la fibromyalgie. A cause de ça, j'ai toujours mal. J'ai dû arrêter de faire ce qui m'animait. J'prends des médicaments pour ça. Pour ne plus avoir mal, pour être moins anxieuse à cause de mes rêves brisés et pour pouvoir réussir à dormir sur mes deux oreilles. Je t'écoute attentivement, mais je tic un peu sur le mot de ta maladie. Je ne sais pas trop se que c'est mais tu vas m'en dire plus je pense.  « Je suis désolée Jane. » Je dis avec sincérité, et amicalement je passe doucement ma main sur ton bras, pour te dire que je suis la et que je t'es entendus et que non, non je ne vais pas être comme certain à laisser ça de côté. Tu souffres.  « Ce n'est peut-être pas mes affaires mais... Tu veux que je t'aide à quelque chose, n'importe quoi. A t'aider pour t'occuper tes journées te faire sortir, mais aussi pour que tu oublies un instant se que tu as mais aussi que tu puisses faire le "deuil" de se que tu as perdu ? » je fais des guillemets alors mes doigts quand je parle de deuil.  « Après je ne te dis pas que tu dois oublier qui tu étais en faisant ça mais te montrer que tu as beaucoup de chose à l'extérieur et si ça peut te faire revivre je vais t'aider. » L'impression de parler en connaisseur ? Ouais un peu. Pendant quatre ans j'ai pu réfléchir à qui j'allais être en sortant de prison. Ce que j'allais faire car je suis toujours autant surveiller mais aussi comment m'en sortir. J'ai de la chance d'avoir des gens qui m'entourent et à mon tour je veux t'aider dans cette épreuve.

 

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Te voir et t’entendre rire ne peux pas m’empêcher de me faire sourire amusée malgré moi. après tout le bruit on commence à s’en foutre un peu, même beaucoup. On est tous adulte et s’ils peuvent penser qu’il y à quelque chose entre nous, personnellement, ça ne me dérange pas. Les rumeurs j’adore les faire développer jusqu’au jour où tout le monde tombe des nues en sachant la vérité. Je vois que j'ai affaire à un spécialiste du vol de nourriture. Tu pratiques donc ça depuis des années ? Je prends note. je fais un oui de la tête en souriant, car oui je suis peut-être une expert sur la bouffe mais je pense qui si tu savais qu’il n’y a pas que la nourriture que je vole je ne sais pas si je serais encore le bienvenue ici, mais aussi à la coloc. Alors que je viens me confier a toi pour te montré que ouais, personne n’est parfait mais surtout que tu peux faire de même avec moi, je te parle de la prison, mais aussi j’en parle le coeur lourd. J’en suis sortie qu’en juillet simplement c’est encore bien récent et que j’ai dû mal à en parler. La dernière fois que j’en ai parlé c’était avec mon cousin Jake, et c’était pas joyeux du tout. Ce genre d'injustice ne devrait pas exister ... je hausse doucement des épaules en souriant doucement aussi, ce sourire veut aussi dire que ce n’est pas grave malgré tout. Je suis plus du genre à relativiser que de me noyer la-dedans. Je ne rajoute rien la-dessus, et je n’ai rien à rajouter. C’était comme ça et pas autrement, car personnellement c’est moi qui à fait la connerie, à cause de mon ex fiancé, cette femme qui m’a blessé au plus haut point. Mais ça c’est autre chose, une autre conversation que j’ai pas encore envie d’en parler, à personne je crois. Après t’avoir montré que tu pouvais te confier à moi, c’est ce que tu fais, je t’écoute attentivement, je te laisse t’expliquer mais aussi je te laisse soulager un parti de ton coeur. Je peux l’entendre, je peux entendre que ce n’est pas simple mais aussi je peux le comprendre. Un rêve qui s’écroule à cause d’une maladie. Ce n’est pas une vie que l’on veut. Et malgré nous en une soirée on arrive à se créer un lien de confiance. On commence seulement mais aussi on s’écoute c’était la chose la plus importante dans ses moments là. Car on sait que le jour on a envie de parler l’un à l’autre, on sait qu’on s'écoutera et qu’on laissera l’autre s’exprimer comme il se doit. La vie est faite ainsi. On ne choisit pas ce qu'il va nous arriver et qu'est-ce qui va se passer. je viens doucement hocher de la tête. « Comme on dit, avec des si on pourrait refaire le monde. mais on ne choisit pas on le vie. Mais on ne le vit jamais seul, on à toujours quelqu’un sur qui on peut s’appuyer. » Je dis calmement. Je saurais où te trouver si j'en ai besoin. Je fais un oui de la tête en te regardant, mais aussi aussi je viens te sourire, un sourire rassurant et envieux car oui, oui si tu as besoin et c’est sincère même. « Et moi aussi je sais où te trouver si j’ai besoin. » je viens alors prendre ta main dans la mienne quand tu exerce cette pression. Ce contact est quand même agréable, puis, ça ne fait jamais de mal. Il n’y a rien d’arrière penser mais aussi c’est juste un réconfort l’un comme pour l’autre. Ce soir, ça me fait déjà beaucoup de bien. Quand tu me dis ça, mon sourire devient un peu plus amusée, mais aussi, ouais à moi aussi ça me fait du bien. On a encore plein de chose sur le coeur mais tout dire en une soirée ce n’est pas la meilleure des solutions. Une idée me vient en tête. Je lâche ta main doucement, puis je viens alors me mettre à genoux sur ton lit. Je passe mes deux mains dans mes cheveux pour les mettre en arrière. « Alors tu sais se qu’on va faire ? » mon sourire reste sur mes lèvres, mon regard plonger dans le tien. « Vue que l’on est pas prêt à dormir tout les deux, ça te dis qu’on sorte de l’appartement et qu’on continue à … rire tout les deux mais à l’extérieur ? Je vais t’emmener dans un endroit... » je viens faire le signe de parfait avec mes mains. Le nez clown ? Je vais l’enfiler rien que pour toi, rien que pour toi ce soir et ça je vais le faire jusqu’au bout. « On se change tout les deux, et quand le premier et prêt vient chercher l’autre ou le prévient ça te dis ? » Je reste a genoux sur ton lit, les deux mains posées sur mes cuisses en souriant en grand.