contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Rencontre atypique - gabriel (loterie) (#) Sam 25 Aoû - 17:49
Gabriel & Angus
rencontre atypique
C’était une journée comme tant d’autres dans ta vie, tu avais le boulot, tu avais ta vie, et Siloë ne te parlait plus vraiment. Connor était de moins en moins à l’appartement. Tu te doutais bien que quelque chose clochait, mais tu ne voulais pas envahir son univers. C’est assez naturellement que tu t’étais enclenché dans une certaine routine même si le cambriolage à l’appartement avait bousculé certaines habitudes que vous aviez pris à la maison. Ton bras te faisait encore mal, et tu étais obligé de porter une attèle. Aveugle et handicapé du bras, ce n’était que du bonheur… Mais là n’était pas la question, tu avais un rendez-vous, plutôt une réunion pour la publication de ton livre, et tu devais absolument t’y rendre. Les transports en commun étant compliqué pour toi, en ce moment, tu décidais de prendre un taxi. Tu étais tranquillement installé dans ce dernier, quand au bout d’un certain moment… tu entendis un bruit étrange dans la voiture. « Est-ce que tout va bien ? » Demandais tu au chauffeur, intrigué par le bruit que faisait la voiture. « Excusez moi monsieur mais je vais être obligé de m’arrêter sur le bas côté. » Super. Tu ne savais pas si c’était une bonne chose ou pas, ton instinct te disant que c’était plutôt une mauvaise chose, mais tu allais devoir faire avec. Une fois la voiture arrêté, le chauffeur de taxi, d’une voix agacée, te demandait de sortir de la voiture. L’odeur que tu ressentais était désagréable et tu comprenais très bien ce qui était en train de se dérouler. Un problème au niveau du moteur. Tu ne connaissais rien à cela, mais l’odeur elle ne trompait pas. Tu levais les yeux au ciel, au delà de la galère pour ce pauvre homme, tu constatais que tu n’avais aucune chance puisque tu avais une réunion importante et que tu n’avais plus de moyen de transport. Soupirant légèrement, tu demandais. « ça va aller monsieur ? » Même si au fond de toi, tu connaissais déjà la réponse, non ça n’allait pas aller. Pas du tout.
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Sujet: Re: Rencontre atypique - gabriel (loterie) (#) Mar 28 Aoû - 21:50
Gabriel & Angus
rencontre atypique
Une journée comme une autre. Une de celles fade et sans intérêt. Gabriel s’était réveillé avec une gueule de bois monstrueuse, suite à sa cuite de la veille. Sur le coup, ça avait été une bonne idée, et puis la compagnie avait été fort sympathique. Il ne s’était jamais aussi bien sentit qu’avec trois grammes d’alcool dans le sang et la proximité de Lorena. Ça lui avait mis du baume au cœur, du sparadrap sur le trou béant de son palpitant. Pourtant ce matin quand il s’est levé, toute cette soirée lui avait semblé être une mauvaise idée. Non seulement parce qu’il avait mal au crâne, mais en plus parce que côtoyer Lorena, c’est rouvrir les blessures du passé, rouvrir son cœur et ressentir de nouveau, et ça c’était pire que tout. Elle était le diable en personne, et il savait qu’elle le piétinerait encore quand elle en aurait fini avec lui. Il se refusait de penser ainsi d’elle, mais il ne pouvait faire autrement. Trop de ressenti, trop de douleur qu’elle lui avait causé. Il grognait en entendant le réveil, le bruit étant décuplé par sa gueule de bois, et se levait machinalement, se rendant dans sa cabine de douche pour le lavage quotidien. Il enfilait son bleu de travail, prit un café sur le pouce accompagné de son fidèle doliprane, et prit les clés de sa voiture pour se rendre au garage à l’autre bout de la ville. Il faisait nuit noir, normal à cinq heures du matin, et ça avait quelque chose de rassurant pour Gabriel, alors dans le silence le plus pur, il se rendait à son lieu de travail, essayant d’être le plus serein possible pour réussir ce qu’il s’avait faire de mieux : réparer les carcasses.
L’heure tournait tranquillement, et concentré dans son travail, il ne vit qu’au dernier moment qu’on le hélait pour lui demander de l’aide. Il ôtait ses écouteurs, essuyait ses mains emplis de cambouis puis se rendait au lieu du naufrage. Un taxi, planté là, à cinq cent mètres du garage. Son patron lui demandait d’aller jeter un œil avant de finir son service. Il s’exécutait alors, saluant amicalement le chauffeur, ainsi que le passager.
« - Bonjour, je suis Gabriel, le mécano du coin. J’peux jeter un œil au moteur ? »
Le chauffeur lui ouvrit le capot, et une épaisse fumée blanche s’échappait de celui-ci, fumée que Gabriel fit envoler de la main. Sans même regarder plus en détail, il connaissait la panne, typique des taxis non entretenus, et sans prendre de gants annonçait le diagnostic.
« - C’est le joint de culasse. Il a cédé. Pas le choix, il faut qu’on vous immobilise le véhicule Monsieur. »
Le Chauffeur semblait vouloir que la réparation se fasse rapidement, à moindre coût, mais Gabriel ne trempait pas dans ce genre de chose. Si bien qu’il écourtait le discours du mec, en lui faisant des signes. « - Ah ça, ce n’est pas à moi qu’il faut en parler. J’ai terminé mon service, c’est mon collègue qui va vous remorquer. Et pour la réparation, vous voyez avec mon boss, c’est lui avec qui il faut causer argent. »
Une brève poignée de main pour appuyer ses dires, et le saluer. Et il se dirigeait vers le passager, qui semblait dans la panade. Gabriel savait aider les autres en temps voulu, et peut-être qu’il pourrait le dépanner en le ramenant en ville qui sait.
« - Monsieur ? Vous voulez que je vous dépose en ville ? Parce que j’ai bien peur que le taxi ne soit pas prêt de redémarrer de sitôt. »
Il lui fit un sourire franc, ne voulant pas que le gars le prenne pour un psychopathe ou quelque chose d’approchant, vu l’antipathie ambiante de Gabriel.
Rencontre atypique - gabriel (loterie)
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Sujet: Rencontre atypique - gabriel (loterie) (
C’était une journée comme tant d’autres dans ta vie, tu avais le boulot, tu avais ta vie, et Siloë ne te parlait plus vraiment. Connor était de moins en moins à l’appartement. Tu te doutais bien que quelque chose clochait, mais tu ne voulais pas envahir son univers. C’est assez naturellement que tu t’étais enclenché dans une certaine routine même si le cambriolage à l’appartement avait bousculé certaines habitudes que vous aviez pris à la maison. Ton bras te faisait encore mal, et tu étais obligé de porter une attèle. Aveugle et handicapé du bras, ce n’était que du bonheur… Mais là n’était pas la question, tu avais un rendez-vous, plutôt une réunion pour la publication de ton livre, et tu devais absolument t’y rendre. Les transports en commun étant compliqué pour toi, en ce moment, tu décidais de prendre un taxi. Tu étais tranquillement installé dans ce dernier, quand au bout d’un certain moment… tu entendis un bruit étrange dans la voiture. « Est-ce que tout va bien ? » Demandais tu au chauffeur, intrigué par le bruit que faisait la voiture. « Excusez moi monsieur mais je vais être obligé de m’arrêter sur le bas côté. » Super. Tu ne savais pas si c’était une bonne chose ou pas, ton instinct te disant que c’était plutôt une mauvaise chose, mais tu allais devoir faire avec. Une fois la voiture arrêté, le chauffeur de taxi, d’une voix agacée, te demandait de sortir de la voiture. L’odeur que tu ressentais était désagréable et tu comprenais très bien ce qui était en train de se dérouler. Un problème au niveau du moteur. Tu ne connaissais rien à cela, mais l’odeur elle ne trompait pas. Tu levais les yeux au ciel, au delà de la galère pour ce pauvre homme, tu constatais que tu n’avais aucune chance puisque tu avais une réunion importante et que tu n’avais plus de moyen de transport. Soupirant légèrement, tu demandais. « ça va aller monsieur ? » Même si au fond de toi, tu connaissais déjà la réponse, non ça n’allait pas aller. Pas du tout.
Une journée comme une autre. Une de celles fade et sans intérêt. Gabriel s’était réveillé avec une gueule de bois monstrueuse, suite à sa cuite de la veille. Sur le coup, ça avait été une bonne idée, et puis la compagnie avait été fort sympathique. Il ne s’était jamais aussi bien sentit qu’avec trois grammes d’alcool dans le sang et la proximité de Lorena. Ça lui avait mis du baume au cœur, du sparadrap sur le trou béant de son palpitant. Pourtant ce matin quand il s’est levé, toute cette soirée lui avait semblé être une mauvaise idée. Non seulement parce qu’il avait mal au crâne, mais en plus parce que côtoyer Lorena, c’est rouvrir les blessures du passé, rouvrir son cœur et ressentir de nouveau, et ça c’était pire que tout. Elle était le diable en personne, et il savait qu’elle le piétinerait encore quand elle en aurait fini avec lui. Il se refusait de penser ainsi d’elle, mais il ne pouvait faire autrement. Trop de ressenti, trop de douleur qu’elle lui avait causé. Il grognait en entendant le réveil, le bruit étant décuplé par sa gueule de bois, et se levait machinalement, se rendant dans sa cabine de douche pour le lavage quotidien. Il enfilait son bleu de travail, prit un café sur le pouce accompagné de son fidèle doliprane, et prit les clés de sa voiture pour se rendre au garage à l’autre bout de la ville. Il faisait nuit noir, normal à cinq heures du matin, et ça avait quelque chose de rassurant pour Gabriel, alors dans le silence le plus pur, il se rendait à son lieu de travail, essayant d’être le plus serein possible pour réussir ce qu’il s’avait faire de mieux : réparer les carcasses.