contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
On pense que tout est toujours normal, mais en réalité non ce n’est pas vrai, bien au contraire. On ments, on se cache on essaye de survivre par moment et pour ma part c’est tout le temps. Je viens de mentir ouvertement a Jake tout simplement en lui disant que je ne prépare rien du tout mais surtout que j’ai soi-disant arrêter mes conneries. Mais je sais qu’il ne me croit pas mais aussi qu’il à beaucoup trop de doute et qu’il me connait par coeur alors je fais profil bas avec lui. Je vais moins le voir et ça, je sais que ce n’est pas une bonne chose en faite. Alors que je suis dans ma chambre, la chambre de la coloc là ou je ne me sens pas super bien pourquoi ? Jane est pas loin, les autres je n’ai pas du tout de relation avec eux. Mais je pense plus que c’est le fait que Jane ne soit pas loin. Comment c’est possible qu’une jeune femme de vingt-et-un comme elle peut autant me troubler ? Surement parce qu’elle ressemble trop a Sannah il y a quelques années en arrière, cette jeune femme innocente mais aussi très curieuse qui essaye de survivre dans ce monde aussi. Je viens soupirer, prendre ma veste puis sortir à toute vitesse de ma chambre mais aussi de la coloc, je n’ai pas spécialement envie de voir grand monde aujourd’hui, si je pense qu’une seule personne pourrait me faire oublier un peu tout ça, c’est toi. Alors que j’ai mes mains dans mes poches, je marche tranquillement dans les rues, le col de ma veste relever car le froid est prenant en ce moment. Alors que je suis tranquillement dans les rues essayant de penser a autre chose, qui c’est que je croise a mon grand regret… Sannah. Alors qu’elle essaye de s’approcher de moi : simplement parce qu’on à passer une soirée ensemble il y a quelques semaines et que je suis partie comme un voleur et que je ne veux pas en reparler je fais tout pour l'éviter au maximum. Je prends une ruelle différente d’elle, puis j’accélère le pas pour la semer. Je relève doucement des épaules en soupirant légèrement, laissant la petite fumer de froid sortir de ma bouche, se dégagement chimique entre chaud et froid. Alors que j’arrive rapidement dans ta rue, je m’avance vers ton immeuble, entre a l’intérieur, enfin je passe rapidement quand quelqun sort. Je me dirige rapidement vers ton appartement puis je sonne. En attendant je défais un peu ma veste pour ne plus ressembler à un esquimau. Quand je te vois ouvrir la porte mon sourire vient rapidement s’afficher sur mes lèvres. Le bonheur de te voir ? Bien sûr que oui, toujours je crois. « Ada’ » je dis en m’avançant pour venir te prendre dans mes bras, déposant un baiser sur ta joue, comme toujours. Même si sur papier nous sommes fiancé, en réalité on est de très bon amis et je t’es sortie d’une sorte de pseudo guerre qui allait se préparer entre toi et tes parents si tu leur apprenait la vérité. Pour le coup ça m’amuse beaucoup de jouer le fiancé parfait aux yeux de t’es parents, les photos fictif, mais aussi les amusements quand tu les appels, ça me sort un peu de ce monde stupide ou je n’arrive pas spécialement à remonter la pente depuis ma sortie de prison. Une fois à l’intérieur, comme toujours je retire mes chaussures ainsi que ma veste. Puis si je suis là c’est aussi pour te soutenir et t’aider à suivre la voix que tu as choisi, les femmes et je serais toujours là pour t’écouter et te soutenir. Alors que j’ai déposer ma veste sur le canapé, je viens te regarder en fronçant un peu les sourcils. « Tu fais du ménage a cette heure là toi ? » malgré moi j’ai un petit sourire sur mes lèvres amusés.
Un matin comme les autres, ou presque ft. Sven
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