eating is religion ; pv.helsie

Mon tempérament m’oblige à toujours faire attention à ce que je peux dire ou faire et cela, en toute circonstance. J’ai bien conscience que c’est une perte de temps, qu’une fois de temps en temps, je ne risque vraiment rien à dire ce que je pense une bonne fois pour toutes. Mais voilà, j’ai beau le savoir, je ne le fais pas, parce que je ne peux pas me retenir de penser que c’est mal, que ce n’est pas bien, que je pourrais faire du tort aux autres en ne pensant qu’à moi. Je ne suis pas quelqu’un d’égoïste, voilà tout. Même si, pour autant que je sache, penser à moi et à ce que je pense vraiment ne fait pas de moi une personne égoïste, je n’arrive pas à penser autrement. Je suis chiante et puis c’est tout. Que l’on ne vienne pas me le reprocher, je le sais ! C’est comme cette fois ou j’étais victime des mesquineries d’une collègue de travail et que je ne voulais pas le lui dire, encore moins le lui faire payer. C’est une autre quoi qui l’a pousser à l’eau pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais, si les faits m’ont soulagées quelques minutes parce que cette fille ‘lavait bien cherché après tout, ça n’a duré que quelques minutes. Bien vite, la culpabilité a prit le dessus et lorsque ma « sauveuse » à quitter la fête, je suis aller voir ma collègue pour m’excuser. Enfin bref, c’est loin tout ça ! Mais, bizarrement, ça me revient en mémoire alors que Zoë revient avec un changement de menu. Pas de poisson pour ce soir donc. Tant mieux. Je ne déteste pas, mais tant mieux. On nous sert diverses boissons, j’opte pour de l’eau plate. Il fait bien trop chaud dans le restaurant, alors, ça me fera du bien. « Oui ! Mais, à la base, je ne voulais pas seulement rester derrière un bureau. Je voulais voir du pays, être au cœur de l’action. » que je réponds. C’était vrai. Mais, des faits indépendants de ma volonté m’ont fait revoir la totalité de mes plans. Et finalement, je ne regrette rien. Voyager, ce n’est pas fait pour moi.

♛ eating is religion

catapulted, finally made to go. parabolic, fighting a stranglehold. tear me from it, fears were manifold. terraform it, i was an embryo. it might be a little while, but maybe we’ll realign soon. made to reassign, but find me a little time too. half euphoric, fixing the ratios. teleport me, pushing the envelope. all ironic, given the way she slowed. you’re iconic, given the way you froze.

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Pendant que sa voisine de table lui répond à propos de son métier, Zoë se demande si elle devrait ou non prendre les plats qui vont leur être servis en photo. C'est vrai, elle s'est peut-être occupée de l'aspect pictural des menus ainsi que de la promotion, mais elle peut aussi se charger de faire vérifier au public si ce qui est annoncé dans le menu est réellement servi tel quel ! Elle pourrait même proposer l'une de ses images à Helsie... Etant donné qu'elle travaille dans la section culinaire de son magazine, l'une des photographies de Zoë pourrait l'intéresser. La brunette ne cracherait pas sur un petit contrat supplémentaire pour arrondir sa fin de mois !

- Je vois. Dites-moi, par hasard, vous comptez illustrer l'article que vous allez faire sur le restaurant ? demande-t-elle innocemment, avant de pointer du doigt son sac à main derrière elle en ajoutant : "Parce que si c'est le cas, je peux vous proposer mes services !"

Zoë n'a pas peur faire preuve d'un peu de culot. Après tout, ça l'a toujours beaucoup aidée dans sa vie, jusqu'à présent ! Être emplie de peurs n'est pas des plus agréables, mais ce n'est pas le cas de Zoë. Elle a appris à se montrer avenante et sociable. En tant que photographe et travaillant désormais majoritairement avec de l'humain, elle n'aurait pas vraiment eu le choix...

Au même moment, le serveur revient avec un grand plat qu'il pose au centre de la table, après en avoir retiré le bouquet de fleurs décoratif.

- Quel festin ! commente Zoë en imitant ses voisins de table et en décollant légèrement ses fesses de sa chaise pour se saisir d'un premier amuse-gueule.

CODAGE PAR AMATIS

Spoiler:

J’explique plusieurs choses à propos de mon métier, mais, la jeune femme à côté de moi ne s’attarde pas d’avantage. Tant mieux. Je n’aime pas spécialement parler de moi, de ma vie, de mes choix. J’ai tellement peur de tout, que lorsque l’on me pose des questions, j’ai l’impression d’être une condamnée à mort à quelques minutes de la fin. Une fin de préférence rapide et indolore. Mais, c’est sans doute trop demandé. Bref, je disais donc qu’elle ne s’attardait pas d’avantage sur le sujet, pour ma plus grande joie. A la place, elle me demanda si je comptais illustrer l’article que j’avais l’intention d’écrire pour Vogue avec une deux photographies. Je supposais, sans en être complètement certaine que s’était une façon déguisée de proposer ses services. J’enviais son audace et son courage. Car, encore une fois, jamais je n’aurais été capable de faire une telle chose. J’aurais eu bien trop peur. Saleté de peur qui m’empêchait d’avancer au quotidien, de vivre, tout simplement. Cette peur teigneuse qui faisait fuir la plus part des gens dès le moment ou j’en expliquais les raisons. Comme si, le simple fait de savoir poussait les gens à prendre leurs distances vis-à-vis de moi. Je n’étais pourtant pas un monstre. Le monstre c’était celui à cause de qui j’étais devenue ce que j’étais. Mais, je n’étais pas psychologue, j’ignorais donc ce qui pouvait bien se passer dans la tête des gens. « Oui ! Mais par contre, ce n’est pas à moi que revient la décision du choix du photographe. Je peux vous laissez les coordonnées de ma rédactrice en chef si vous le souhaitez ! » lui répondis-je. Moi, j’avais seulement le droit de me taire et de faire mon travail. Tout simplement parce que je me laissais faire. Une autre que moi aurait très certainement le droit de passer outre l’avis de la chef, mais ce n’était pas mon cas. Un serveur apporte un plat rempli d’amuse-gueule. « Encore ? » ne puis-je me retenir de dire, plus pour moi-même que pour mes compagnons de tablée. Toutefois, j’en attrape un, mais, par maladresse, je le laisse tomber dans mon verre d’eau.

Spoiler:

Je n’ai pas le temps de dire que je peux repêché le petit four ; j’ai l’habitude d’avoir des passagers clandestins dans mes verres d’eau ; que déjà, Zoë a appeler un serveur pour qu’il change mon verre. « Je ne suis pas très douée ! » pouffais-je. Il faut le dire aussi, d’ordinaire, je me serais servie avec les mains, mais ici, au milieu de tous ces inconnus, dont certains ont l’air d’avoir un balai coincé dans les fesses, je préfère ne pas m’y risquer. Je n’ai pas l’habitude d’être traiter de la sorte, qu’on me remplisse mon verre d’eau, ce genre de chose. Là, c’est limite s’ils ne vont pas se plier en quatre pour me couper ma viande. Je déteste ça ! J’indique alors à la jeune femme que je ne vois pas d’inconvénient à utiliser les photographies qu’elle aura prise de cette soirée, mais qu’il faut que ma rédactrice en chef soit d’accord. Si ça ne tenait qu’à moi, il n’y aurait pas le moindre problème, mais je ne suis pas celle qui prends les décisions, je ne suis que celle qui les applique. Enfin, ma rédactrice en chef, ce n’est pas celle du Diable s’habille en Prada, on est bien d’accord ! Ce n’est pas un pitbull qui aboie sur tout ce qui bouge et qui respire ! Une chance, parce que pour quelqu’un comme moi, ça serait vite devenu l’enfer tant je ne sais pas me défendre ! Je secoue donc positivement la tête avant de me saisir de mon téléphone portable, car je ne connais pas ses coordonnées par cœur. En même temps, on ne peut pas m’en vouloir de ne pas les connaitre, puisque je ne suis pas fichue de me souvenir de mon propre numéro de téléphone ! Une fois mon verre changé, je peux enfin m’occuper de donner les coordonnées de ma patronne à Zoë. Je me saisi de son téléphone et après quelques secondes à tenter de comprendre comment est-ce que ça marche ; il se trouve que j’ai un vieux mobile et pas un smarphone ; l’affaire est réglé. « Et voilà ! Elle s'appelle Sophia Papadopoulos ! » que je dis en lui rendant son téléphone. Pour certaines personnes, il s’agit de leur bien le plus précieux ; ma patronne par exemple ; et je me demande s’il en est de même pour elle.

Après rapidement rentrer les coordonnées de ma réactrice en chef dans le téléphone de Zoë, je le lui rends. J’ignore si j’ai rempli le tout correctement car je n’ai jamais été des plus douées avec ce genre de gadgets. Je suis comme mon père, je part du principe qu’un téléphone portable sert avant tout à téléphoner et donc, par conséquent, je déteste les smartphones. J’ai du mal à comprendre comment on peu autant être accro à un écran aussi petit ! Mais, je suppose que je n’ai pas besoin de le comprendre, juste de l’accepter. Il faut vivre avec son temps, comme on dit ! « Oui, elle a des origines grecques ! » indiquais-je, car la jeune femme me disait que ma chef avait un nom plutôt singulier. Elle est mariée. Je crois d’ailleurs que c’est son troisième mariage ; elle les use ma parole ! ; mais elle a toujours gardé son nom de jeune fille. Elle est assez connu dans le milieu et je sais que j’ai de la chance de travailler pour elle. Pourtant, dans le fond, je me moque bien du nom de ma rédactrice en chef, après tout, que je bosse pour elle ou pour une autre, le résultat est le même à la fin, j’ai de quoi payé mon loyer. Bref, tout ça pour dire que le fait que Sophia Papadopoulos soit ma chef n’a aucune importance pour moi. La table est ensuite débarrassée de son plat vide d’amuse-bouche ; auquel j’ai à peine touché ; puis, on nous sert l’entrée, un plat à base de poisson, qui a l’air fort appétissant. Sans en être tout à fait certaine, je pense qu’il s’agit d’un filet de Saint-Pierre. Je n’en ai mangé qu’une seule fois, au mariage d’une cousine lorsque j’avais dix ans et j’avais trouvé ça délicieux. « Bon appétit ! » dis-je à mon tour avant d’attaquer mon assiette. Je ne m’étais pas trompé, il s’agit bien d’un filet de Saint-Pierre, je me souviens du gout, car à l’époque, je n’avais jamais rien manger d’aussi bon.

Je ne sais pas si je suis timide, car je ne me perçois pas comme telle. Je sais que je suis naturellement méfiante et nerveuse, ce qui explique sans doute beaucoup de choses. Et il y a aussi que, même si je suis contente d’être là et de pouvoir manger un bon repas, je sais que je suis là à cause de mon travail, pas parce que j’y ai été invité ou que j’avais envie de m’y rendre. Je n’avais juste pas le choix. Et croyez-le ou non, ça change la donne ! Je représente le journal. Certes, c’est mon prénom et mon nom qui sont écrit sur la petite étiquette, joliment écrite, posée à côté de mon verre, mais les patrons savent que je suis là pour représenter ma rédactrice en chef, pas pour moi-même. De toute façon, je crois que pour moi-même, ça n’aurait pas été possible. Je ne suis pas assez influente. Personne ne me connait autour de cette table et c’est très bien comme ça. Je goute à mon plat, que je suppose être l’entrée et il est très bon. Ce restaurant a de l’avenir. Cela dit, je ne suis pas vraiment difficile. Je pars du principe que si ça se mange, c’est que c’est bon ! « C’est délicieux ! » dis-je, à mon tour. Les autres convives restent silencieux. En fait, en dehors de Zoë, et un tout petit peu de moi, c’est relativement calme. Du coup, je me sens moins réservée. Pourtant, je suis loin d’être totalement asociale ! Enfin, c’est comme ça, je suppose. Comme je l’ai dit, je ne pense pas être timide, disons que je sais rarement quoi dire à des gens que je connais à peine. La jeune femme me demande alors si j’ai été envoyé à cette inauguration par ma patronne ou si ce sont les propriétaires du restaurant qui m’ont conviés. « Par ma rédactrice en chef. Je ne suis pas assez influente pour qu’on puisse me convier quelque part ! » que je réponds, presque obligée de me justifier, alors que ce n’est pas ce que l’on me demande. Mais c’est vrai, ce n’est pas les patrons qui m’ont invités. D’ailleurs, quand je suis arrivée, j’ai dû présenté ma carte d’identité, parce que le type chargé d’accueillir les invités ne savait pas qui j’étais. Alors que le couple devant moi ; et qui se trouvait d’ailleurs à notre table ; n’avait pas eu besoin de le faire. Je suppose donc que contrairement à moi, ils sont plus ou moins connu dans la ville. Ou alors, peut-être qu’ils sont amis avec les patrons ? tout est possible, en effet.

Je suis très gourmande. Et je mange de tout. Alors, je ne pense pas être très objective sur ce point. Et puis, je suis loin d’être le genre de personne a oser dire lorsque ça ne vas pas avec le contenu de mon assiette. Je me rappelle très bien d’une fois et j’étais aller manger au restaurant avec quelques collègues de travail ; les rares avec qui j’étais capable de m‘entendre et d’avoir une « vrai » conversation. J’avais commander un plat de poisson, de la lotte pour être précise et ce n’était pas assez cuit. Je n’avais pas oser le signaler. J’avais terminé mon assiette avec difficulté, mais je ne voulais pas la gaspiller. Le gaspillage était d’ailleurs quelque chose que j’avais bien du mal à tolérer. Quand j’étais enfant, j’étais très proche de ma cousine et je me souviens qu’au petit déjeuner, elle remplissait son bol de lait à ras bord, alors qu’elle ne le buvait pas ! Dès qu’elle avait terminé de tremper ses petits pains, le contenu du bol finissait dans l’évier ! Et cette amie de mon père qui était venu manger au restaurant avec nous ; je le soupçonnais d’avoir des sentiments pour elle mais c’est loin d’être le cas, cette est femme est impossible à vivre. Entrée, plat et dessert au menu. A chaque fois, elle a laisser le contenu d’une cuillère dans l’assiette, sous prétexte qu’elle calait. Pour une bouchée, je trouvais ça franchement gonflé de sa part et mal poli, qui plus est. Mais, je n’ai rien dire, parce que j’ai un gros défaut, je ne sais pas ouvrir ma gueule. « Pas vraiment. Ce que je veux dire, c’est que je ne connais pas beaucoup de monde ! Je suis du genre … phobique de l’humain ! » avouais-je. De toute façon, c’était inévitable étant donner la tournure que prends la conversation. « J’ai trente ans ! » répondis-je, étonnée. Peut-être me croit-elle plus jeune que je ne le suis réellement. Non pas que trente ans, ça soit vieux. Je n’ai aucun problème avec mon âge.

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Zoë hoche la tête lorsque Helsie lui mentionne qu'elle est phobique du genre humain, puis elle se met à sourire. Si elle-même avait été de cette trempe, elle aurait été pas mal embêtée au vu de son choix de carrière. Helsie, en revanche, peut se targuer de ne pas avoir à y faire face trop souvent. A moins que la nourriture soit considérée comme humaine...

- Je vois ! conclut-elle à ce propos.

Elle apprend dans la foulée que sa voisine de table est déjà trentenaire, ce qui la surprend beaucoup. Elle hausse les sourcils, en commentant :

- Eh bien, vous ne les faites pas...

Elle non plus, elle sait qu'elle ne fait pas son âge. On lui donne souvent la vingtaine, alors qu'elle s'approche peu à peu des trente ans. Le reste du repas se déroule plutôt calmement. Zoë continue de discuter avec Helsie, elle apprend doucement à la connaître, même si le tout reste très superficiel. Lorsqu'elles arrivent au dessert, Zoë sent que la fin de la soirée approche. Les propriétaires réapparaissent depuis les cuisines pour faire leur discours de clôture, remerciant toutes les personnes présentes d'avoir bien voulu répondre présent à l'invitation. Lorsque les applaudissements cessent et que les assiettes sont vidées, il est temps pour Zoë de s'éclipser, et de rentrer dormir. Elle a des photos à traiter, et devra se lever tôt demain matin pour s'y atteler, afin de les poster avant midi.

- Eh bien, Helsie, j'ai été ravie de faire votre connaissance. J'espère vous recroiser un jour ! Tenez, ma carte, fait Zoë en prenant l'une de ses cartes de visite dans son sac à main. "N'hésitez pas !" conclut-elle.

CODAGE PAR AMATIS

Spoiler:

Ce genre de soirées, c’est précisément l’aspect de mon travail que je déteste le plus. Être obligée de sourire et d’être polie face à des gens que je ne connais pas et que je n’ai pas forcément envie de connaitre, c’est loin d’être facile pour moi. Fort heureusement, la plus part du temps, lorsque je dois décortiquer et critiquer un restaurant ; pas dans le sens négatif du terme on est bien d’accord ; je suis seule. Je n’ai donc pas besoin de faire la conversation et c’est très bien. Le repas passe vite en général et je n’ai plus qu’à m’occuper de mon article. Mais, parfois, je suis contrainte d’allée à des inaugurations et il y a beaucoup de monde. Et oui, dans ce genre de cas de figure, c’est difficile pour moi. Moi qui suit phobique de l’être humain. Une situation que peut de monde semble capable de comprendre, mais, lorsque je l’évoque devant Zoë, elle semble ne pas en faire cas. Tant mieux, car je n’avais envie de lui expliquer les raisons du pourquoi de cette phobie. Même après pas loin de vingt ans, c’est toujours aussi délicat pour moi d’en parler. Je crois que, je ne m’en remettrais jamais. La soirée se termine tout de même assez vite. « Oh, merci ! On me le dit assez souvent ! » avouais-je, comme elle me dit que je ne fais pas mes trente ans. Tant mieux en un sens, car ce cap avait été assez difficile à passer. Je me sentais « vieille » alors que je ne l’étais pas. Pas encore. Et la perspective de vieillir seule ne m’enchantais guerre. Car c’est évident que c’était ce qui m’attendais. Qui voudrait d’une fille qui a peur des hommes ? Comme je le disais, la soirée c’est terminée de façon plutôt calme et après les remerciements d’usage de la part des nouveaux patrons, il est temps de se quitter et de prendre le chemin de la maison. Je suis fatiguée, la journée à été longue et éprouvante. « Moi de même ! » répondis-je, chaleureusement en prenant la carte de visite qu’elle me tendait. Malgré ma phobie, j’ai été ravie de faire sa connaissance. La personne qui aurait du initialement occupé sa place n’était peut-être pas aussi ouverte d’esprit.

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