den nattliga promenad. † svane.

 

den nattliga promenad.
crédit/ tumblr † w/"svane ♡"

Quand tu acceptes de me suivre, même si je vois que tu n’es pas trop enthousiaste mais je sais que ça en fera pas de mal, et puis si l’on à envie de parler faire mais aussi de rire aux éclats on sera bien plus tranquille. Une fois que je suis sortie de ta chambre, je suis aller jusqu’à la mienne pour enfiler quelque chose de plus chaud. Je garde mon jogging sur moi, un tee-shirt aux manches légèrement plus long mais surtout je mets un pull avec une poche kangourou. J’aime tellement le mettre parce que je me sens tellement bien dedans. Quand je t’entends frapper à ma porte pour me dire que tu es prête. Je viens alors ouvrir doucement celle-ci pour te voir. Je viens alors sortir de ma chambre, on se dirige vers la sortie j’enfile alors mes baskets puis je te fais signe de me suivre. Je prends mes clefs, j’ouvre discrètement la porte on entend presque pas le cran de verrou. J’ouvre lentement la porte puis je te laisse sortir la première une fois dehors, la porte refermée je mes mets clefs dans mes poches et je commence à marcher doucement. Je viens doucement respiré l’air frais, en souriant doucement. Je reste à t’es côté en suivant ton rythme mais c’est moi qui guide. « Respire l’air pure que peut nous offrir ce temps. » je dis en prenant doucement une voix de sage. Gardant mes mains dans ma poche de devant, tout en souriant. On ne marche pas spécialement longtemps pour arriver dans le parc que l’on à pas loin. Je fais une petite moue en te regardant le portillon était fermé. « On va passer au-dessus tu veux de l’aide ? » je dis en souriant. après j’aurais pu l’ouvrir mais, je ne vais pas montrer mes talents tout de suite. Mais surtout je ne te laisse pas spécialement le choix, vue que je passe en premier pour atterrir dans le parc. Je viens te tendre mes bras. Comme pour te dire que tu peux sauter par dessus et que je serais là pour te rattraper. Je sens que ça ne manquera pas, que tu te jettes limite dans mes bras et qu’on évite tout les deux que tu te fasse mal. Mais je te vois quand même assez hésitante, je passe mes mains sur mes hanches en te regardant. « Je paris que là ou je vais t’emmener tu ne connais pas le coin mais surtout tu vas trouver ça jolie. Après on aurait pu prendre la voiture et aller ailleurs, je connais plein de petit coin, mais promis, ce coin là je t’y emmènerais une prochaine fois. » je te dis en souriant. « Je te rattrpe je te le jure, tu verras que tu ne te fera pas mal du tout ! » je viens alors tendre à nouveau mes bras pour que tu puisses avoir confiance, mais surtout je ne vois pas pourquoi je te laisserais tomber. Je te fais sortir c’est aussi pour que tu profite, mais aussi que tu t’amuses. J’ai soudainement une image en tête qui me vient. « Tu sais, c’est un peu comme des adolescents qu’ils veulent faire une fête et qui doivent passer par dessus le portillon pour entrer dans l’endroit des plus tranquilles. » et c’était pas faux, ici on est vraiment tranquille et personne ne viendra nous demander de nous taire parce qu’on fait trop de bruit.

 

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Je n'aime pas ce temps. alors que je t’avais dit de respirer l’air pur, mais ce ton un peu bougon me fait doucement rire, ouais c’est sur que ça m’amuse quand même un peu. Puis quand je vois ton sourire, je remarque alors que tu es d’accord pour sortir en pleine nuit. De toute façon je suis là, quoi qu’il arrive je suis et je suis là pour te protéger. Une fois arriver devant le portail clos, je viens te dire qu’on doit passer par dessus pour y aller. Passer au-dessus ? Tu rigoles, j'espère ? Sourire aux lèvres, non je ne rigole pas vue que je viens passer par dessus. Puis je te tends quand même mes bras pour te montrer que je suis là pour te réceptionner. Je n'ai pas peur de passer par dessus cette grille ou de me faire mal. Juste que ... Mon casier judiciaire est vierge, et j'aimerai qu'il le reste. Je viens rouler des yeux quand tu me dis ça, un point, un pique même j’ai envie de dire, le pique qui fait mal sur mon passé. Je te regarde et souffle un simple. « Merci pour cette référence quand même. » mais je ne me vexe pas spécialement en faite, en réalité, je passe outre parce que plusieurs fois j’ai entendus des remarques désobligeante sur le fait que je sois partie en prison mais surtout je remarque que tu ne la pas fait exprès, tu ne la pas dis pour me vexer. C’est pour ça que j’attends les bras tendus vers toi, pour te réceptionner. Ce ne te fera pas de mal d’être une petite rebelle un peu. Très bien Monsieur Bailor. Je vois déjà que tu as une mauvaise influence sur moi. Un sourire un peu fière de moi sur le visage. Je te laisse alors escaladé la grille mais aussi je viens alors te réceptionner comme prévue, pour que tu ne te fasse pas plus de mal que tu peux avoir. Personne il n’y avait personne, réellement personne autour de nous. Je t’avais garder encore un peu dans mes bras, les mains dans ton dos au niveau de tes omoplates, non je n’ai pas envie d’avoir de geste déplacé envers toi. mais quand je te sens t’éloigner rapidement. Je te laisse faire. Si on se fait pincer, je porterai toute la faute sur toi. D'accord ? Je me mets à rire quand tu me dis ça. « Pas de soucis je dirais que je t’es séquestrer avec moi ici. » Alors que je te fais un signe de me suivre. Le parc était assez grand et c’était pas trop mal. Je le connais par coeur en réalité. Une fois qu’on aille tourner à droite puis deux fois a gauche, je pousse quelques branches d’arbre tombante pour arriver dans un petit coin que très peu de monde connait. Un coin calme mais surtout remplis d’herbe, un coin un peu surélevée qui donne vu a la petite fontaine qui est face a nous. Cette fontaine on on à une sorte d’enfant avec un vase ou l’eau s’écoule de là. « Alors ? » c’était quand apaisant mais aussi calme, très calme. Un peu éloigné malgré tout mais aussi de vieux souvenir me remonte à la surface. Je souris doucement gardant mes bras croisés sur mon torse en observer l’horizon, pour l’instant je ne dis plus un mot, pensif malgré moi.

 

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Les mots étaient dit mais, pour le coup je ne t’en veux pas, combien de fois j’ai du l’entendre à la sortie de prison. Combien de fois des proches ont pu me blesser en faisant cette référence. Alors que je te vois baisser la tête, mais aussi marmonner : J'suis désolée ... je me pince doucement les lèvres en te regardant, je viens doucement laisser un petit sourire s’afficher sur mes lèvres, que te montré que ouais certes ce n’était pas très plaisant mais que ce n’est pas pour autant que je l’ai mal pris. « Tu boudes ou tu viens ? » Je dis doucement en riant un peu, faut bien faire ça pour te montré que non, je ne suis en colère ni rien d’autre pour le moment. Alors que je te regarde escaladé la grille, mais je t’écoute aussi. Tu sais, j'ai jamais eu une heure de colle. Je laisse un petit sourire sur mes lèvres en te regardant. « Mademoiselle était une petite fille sache a ce que je vois. » c’est sur que comparé a moi ce n’était pas du tout ça. Mes parents arrêtaient d’aller au réunion juste pour entendre ce qu’ils savaient déjà. que j’ai du potentielle mais que je mets en oeuvre dans mes conneries… ça toujours été comme ça de toute façon. Alors que tu étais enfin avec moi, les menaces ne marche pas car c’était plutôt moi qui voulait te couvrir si c’était le cas, mais ça m’étonne que ça puisse arriver a un moment donné. personne ne vient voir si quelqu’un est entrer ou non. Je marche tranquillement jusqu’à l’endroit je sais que tu me suis puis une fois arriver, je te laisse découvrir le fait, découvrir le paysage, mais aussi la raison pour à quel je tes fait emmener ici. C'est magnifique ... J’ai qu’un simple sourire qui s’affiche sur mes lèvres, ce sourire assez satisfait de moi que tu aimes beaucoup l’endroit mais aussi se sourire heureux que tu puisses être bien quand même, ça se voit mais aussi ça se ressent. Ce qui peut-être malgré moi un peu le contraire, des souvenirs trop houleux remonte à la surface mais ce n’est pas pour autant que je le montre. Le silence était présent, mais ce n’était pas désagréable bien au contraire. Alors que je sens ta tête sur mon épaule, je viens doucement déposer la mienne sur la tête après avoir, machinalement déposer un baiser au sommet de ton crâne. Rien n’est perturbateur pour le coup, c’était plus qu’agréable et en réalité ça me change pas mal les idées. Je suis aussi contente que tu sois présente avec moi ici. J'suis sûre que t'es pas cap d'aller te baigner dans la fontaine. je viens tourner la tête vers toi quand je sens que tu la redresse mais aussi mes yeux s'écarquiller quand tu me dis ça. « Oui je ne suis pas cape ! il fait un froid de canard et je suis sur que l’eau est genre ultra froide ! » je dis rapidement sur la surprise, car oui, oui je ne m’attendais pas à ce que tu me dis ça en faite. « De toute façon si je fais ça, je viens de chercher et je te mets à l’eau aussi pour le coup. » j’ai un petit sourire en coin malicieux, car oui, tu pouvais courire, si je veux te porte je le ferais sans soucis de toute façon, rien ne m’en empêchera.

 

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Beaucoup de chose peut nous échapper et à ce moment là c'était quelque chose de blessant mais je te fais rapidement comprendre que ce n est pas grave vue que sur le ton de l'humour je te demande si tu boude ou pas. En voyant ta grimace mais aussi en entendant ta réponse je ne peux rigoler en réalité. Je t'obserce escaladé la grille mais je te rattrape quand même à l'arrivée; oui je fais attention à toi malgré tout. Une fois fait mais aussi ta confession faite je te taquine quand même un peu mais tu ne m'en dis pas plus et surtout je n'insiste pas en faite. Pourquoi faire ? Te rappeler que tu as louper des tas de choses peut de temps avant que le fait de jouer au délinquant si je peux dire peut nous provoquer des sensations assez amusante et éprouvante à la fois. Mais aussi c'est comme ça que l'on se découvre une autre facette de nous. Je suis quand même content que tu me suive mais aussi que la vue te plait. Alors que nous sommes la à être au calme, ta tête sur mon épaule la mienne sur la tienne : oui je l'avoue , malgré tout ta présence me fait du bien. C'est aussi pour ça que je me suis permis ce baiser. Au moment où tu me lance se défis je suis choquer et c'est réaliste pour le coup. T'es sérieux ? je viens te faire un oui de la tête. Je le suis être sincèrement même. Et c'est moi la petite fille sage ? je me mets doucement à rire quand tu me dis ça mais aussi je te regarde faire quand tu enlève ta veste. Puis tu t'avance vers la fontaine. « Jane revient tu vas être geler ! » Je dis doucement, mais non tu ne m'écoute pas pour le coup. Tu as voulu jouer les délinquants, il faut assumer maintenant. je me mets à nouveau à rire en m'approchant un peu de toi, je lève doucement les yeux au ciel quand tu me dis ça mais je suis amuser ouais vraiment amuser. Au contraire ça me fait du bien. C'est au moment où tu te retrouve un petit culotte et tee-shirt devant que je me permets d'observer discrètement tes courbes féminines. Alors, tu te vas vraiment me laisser là toute seule ? C'est alors que je me mets à rire aux éclats, je me souviens de la grimace que tu viens de faire. Je viens alors retirer mon pull ainsi que mon tee shirt, puis mon jogging. A mon tour je me retrouve en boxer, un long frisson me parcourt le corps, puis je te rejoint dans l'eau, je grimace à mon tour. « Je suis peut-être le délinquant mais c'est qui qui m'entraine la ? » je dis en riant, puis c'est la que je m'approche de toi doucement. Les frissons ce voit nettement sur mon corps. « Et maintenant tu fais quoi ? Tu trempe le reste ou tu as peur toi ? » je dis en souriant. C'est la que je prends une grande inspiration pour trempé le reste de mon corps en laissant une petite grimace se faire. Une fois relever et mouillé je m'approche à nouveau de toi, prêt à te prendre dans mes bras pour te mouiller comme deux enfants, mais aussi à jouer avec l'eau. Comme deux adolescent qui sont juste la pour emmerder l'autre. Mais tu m'as lancer dans la connerie je vais surement la finir si tu ne joues pas le jeu.

 

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Bizarre mais agréable sensation que je ressens a ce moment ou l’on est que tout les deux, silencieux et installé comme ça, mais ce silence est rapidement brisée par...par toi et ton envie que je me baigne dans la fontaine, une fontaine gelée à cette époque. Alors que je te vois y aller sans aucune hésitation mais surtout quand tu ne m’écoutes pas quand je te dis de ne pas le faire parce que oui, tu peux tomber malade autant que moi a se moment là. c’est une fois que tu es dans l’eau que je me mets à rire et à mon tour retiré une grand partie de mes vêtements pour qu’ils soit sec quand je le remettrais a la sortie de l’eau. Mais sans aucun doute, j’avais parcouru ton corps un fraction de seconde, un homme je suis mais respectueux je le suis encore plus, c’est pour ça que je ne t’es pas regarder avec insistance parce que je sais que ça peut mettre mal à l’aise. Alors que je viens te rejoindre à mon tour en grimaçant, je n’ai pas spécialement remarqué ta gêne alors que je suis torse nu devant toi. Mais je peux voir que tu es bien et que malgré la petite fille sage que tu m’as décrire tu ne l’ai pas tant que ça. J'apprend vite. Fais attention, l'élève peut rapidement dépasser le maître. je me mets doucement à rire. « Rassure toi, l’élève ne dépassera pas le maître que je suis. » fort heureusement, je n’ai pas envie que tu fasses la moitié des conneries que j’ai pu faire à ton âge. Mais ce qui est sûr c’est que je peux être fier de certaine chose mais d’autre. C’est alors que je lance un seconde défis, ou je me trampe entièrement, même mes bouclettes sont elles aussi bien mouiller. Je passe mes mains dans mes cheveux pour les placer en arrière et je viens alors m’approcher de toi et te lance ce défis. Tu m’as fais venir dans l’eau, alors pourquoi pas jouer jusqu’au bout. Mais si tu ne le faisais pas j’allais te mouiller comme je le pouvais et tu pouvais clairement le comprendre quand je suis face a toi, non loin de ton corps avec le mien. D'accord, d'accord. J'y vais. Un, deux ... Deux et demi ... Et ... Trois ! Je souris quand tu comptes, comme les enfants en faite, quand ils essayent de faire quelque chose mais surtout qu’ils font tout pour retarder la chose. C’est au trois que je te vois disparaître dans l’eau. Puis je te suis du regard. Le contact de tes mains sur mes jambes puis mes hanches me provoque une drôle de sensation. Cette sensation que je n’ai pas ressentie depuis des années. C’était agréable mais a la fois gênant. Je ne sais pas trop comment l’expliquer. Quatre ans qu’une femme ne m’a pas touché alors oui ça peut être agréable et dérangeant a la fois. Mais quand tu me fais rapidement face, je viens toujours te suivre du regard. Tu avais raison, je suis gelée. je me mets doucement à rire avec toi, puis quand ton corps se colle au mien, je viens doucement entourer tes hanches de mes bras pour te serrer contre moi, laissant mes mains se déposer doucement dans ton dos. Comme si ça allait nous réchauffer tout les deux, mais non, trempé comme on est je pense que ça ne va pas servir à grand chose. « Je te l’ai dis. » je dis en souriant, te gardant quand même contre moi en gardant aussi mon regard plonger dans le tien. Puis avec douceur je viens doucement retiré t’es mèches mouillés de devant ton visage. C’est agréable d’être ainsi, mais je sens rapidement la gêne arriver, comment me comporter avec une femme, faut peut-être que je réapprenne. « Ca te dit de sortir ? Puis, tu sais quoi, j’ai mon pull, je peux carrément te prêter mon tee-shirt il est pas aussi mouillé que le tien. » je dis avec une pointe d’humour mais surtout je sens sous ms doigts qu’il te coller a la peau.

 

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Des soirées comme celle-ci j’en passerais des tas en réalité, c’était plutôt sympathique mais aussi très amusant en réalité. Surtout que je retourne un peu en enfance s’en mentir, des choses comme ça je ne les aurait pas faites avec des personnes de mon âge et encore moins. c’est pour ça que je m’amuser mais aussi quand tu me parles que l’élève va dépasser le maître ça me fait bien rire. Ah ouais ? Tu me sous-estimes tu sais. Je fais alors un petit oui de la tête quand tu me dis ça, bien sûr que oui, puis vue l’écart d’âge tu ne pourrais pas me rattraper en réalité et je n’ai pas envie en faite. Une fois que tu te lance et que tu plonge dans l’eau avant de remonter contre moi, avec t’es mains sur ma peau, c’était très agréable malgré tout et aussi une sensation… inexplicable, d’un seul coup j’ai les mots de Jake en tête que je ne dois pas m’accrocher à une femme, à nouveau mais c’est trop tard j’ai envie de dire. Alors que nous sommes l’un contre l’autre à en profiter malgré tout essayer de se réchauffer mais d’où ce contact est assez agréable. C’est de la, où c’est moi qui brise ce petit moment de tranquillité mais aussi ce moment agréable que l’on partage. , pour te demander qu’on sorte sinon on sera réellement malade. On devrait sortir, en effet. Je souris doucement puis je te suis quand même d’assez prêt par peur de… de rien du tout, que tu tombes ? Ca m'étonnerait fort, mais bon je le fais quand même. J'aurai probablement dû faire comme toi. je me mets doucement à rire quand tu me dis ça. « On ne pense pas toujours a tout tu sais ! » je dis pour te taquiner, il le faut bien. Je ramasses alors mon pantalon ainsi que mon pull et ma veste aussi. Si j'veux être au sec, il va falloir que je me déshabille entièrement. Alors ... Je me mets à sourire et te fais un petit signe que j’ai bien compris, même si en réalité, je t’avais observer juste avant mais je te respect et je viens alors me mettre dos à toi, alors que je suis entrain d’enfiler mon pantalon puis mon pull j’attends que tu aies finis, je ne veux pas me retourner avant que tu aies finis pourquoi ? Par respect quand même puis si tu m’as demandé de me retourner c’est que tu veux garder une certaine pudeur. C'est bon, j'ai terminé. Quand tu me dis ça, je viens alors doucement me retourner et te fais face, ça ne ce voit pas une seule seconde que tu as mon tee-shirt mais c’est pas plus mal tu es au sec et je suis bien content quand même. J’allais te taquiner à nouveau mais tu prends plus rapidement la parole que moi. Tu veux rentrer ? Je fais un oui de la tête. « Histoire d’aller se réchauffer mieux que ça, je veux bien oui. » je te dis en souriant puis c’est de la que je prends doucement ta main pour que l’on puisse faire le chemin inverse, repasser par dessus la barrière et rentrer tranquillement a l’appartement. Certes un pas plus rapide qu’a l’arriver mais au moins on sera bien au chaud a l'appartement sous une couette. Ce qu’on n’hésite pas à faire.