contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
○ métier : Gardien de cimetière. (et d'autres petits boulots ici et là)
○ quartier : #001 airstream, près de la plage.
○ orientation sexuelle : pan.
○ informations en vrac :
bilingue anglais/italien. ∞ possède un vieux scooter de marque vespa. ∞ vit dans un airstream style vintage. ∞ a déjà été fiancé et marié. ∞ collectionne les enseignes néons. ∞ est doué dans les jeux d'arcade et participe parfois à un rpg/jeu grandeur nature. ∞ connaît par cœur les répliques de Rambo. ∞ adore les films d'action. ∞ et les petites balades sur la plage avec sa chienne, Hela. ∞ un grand fan de la glace, qu'importe la saveur. ∞ pas très sportif. ∞ aime se venger et faire les 400 coups, même à son âge.
○ posts : 677
○ points : 50
○ pseudo : earthquakes.
○ avatar : joe keery.
○ DC : plein de personnes.
○ crédits : lionheart.
○ inscrit le : 12/05/2018
ONGLET 2
Sujet: Re: baby, we both know. (#) Mar 27 Nov - 22:36
Pourquoi obéit-elle comme si c'était son père ? Même son père n'avait pas ce droit, il a préféré l'abandonner lâchement, parce qu'il avait déjà d'autres enfants, une autre femme que sa mère, un pauvre type plein aux as qui ne pensait qu'à sa gueule quoi. Ce n'est pas étonnant que la gamine préfère jouer les rebelles plutôt que d'obtenir des réponses et l'amour d'un père absent, aussi parce qu'il est mort, mais ça, c'est une autre histoire. Elle s'est forgé elle-même, pas eue besoin d'une figure paternelle pour cela, ce n'est peut-être pas la meilleure des éducations qu'elle a obtenue, mais quand même, elle s'est trouvée un boulot. Livia a tout de même réussi à faire des études, certes, elle n'est pas la fille parfaite, sur qui on doit prendre exemple, mais ça, c'est le dernier de ses soucis. Et là, elle se retrouvait à suivre Colt, l'accompagnant jusqu'à son appartement, alors qu'il n'a aucunement besoin d'elle pour monter des escaliers et ouvrir une porte. Une fois à l'intérieur, une question lui brûle les lèvres, elle ignore si elle veut vraiment l'entendre, mais peut-être qu'un peu au fond. Liv fronce les sourcils, elle n'est pas certaine que sa réponse soit véritablement positive, elle s'en doutait un peu. Elle secoue doucement la tête à sa question. Est-ce qu'elle lui en veut ? Il y a des moments que oui, elle aurait souhaité qu'il l'empêche de partir, de prendre la fuite, mais ça s'est passé autrement. Elle est partie et il semblait avoir accepté la décision ou du moins, il l'a laissé filer sans rien ajouter. Elle ne s'est pas retournée, parce qu'elle avait déjà tout réfléchi, elle ne savait seulement pas comment s'y prendre, partir sans nouvelles, c'est la solution la plus facile, mais sûrement la plus brusque. « Non. » Finit-elle par lui répondre. Bien sûr, qu'elle ment, mais la fierté en prendrait un coup, aussi, elle ne souhaite pas débattre sur son départ, pas dans l'immédiat. Elle se recule de quelques pas. « Le garage te fera signe quand ta voiture sera prête. » Elle tourne les talons sans se retourner, elle décide de partir, elle a besoin de se retrouver, de se demander si tout cela n'est pas un rêve, des rêves comme celui-ci, sur son retour, elle en a déjà fait pas mal, mais rien n'était réel jusqu'à maintenant.