Axel ♠ l'homme viril.

Axel Nathanaël Kermer

le paresseux appelle chance le succès du travailleur

les informations en vrac

› Cadet d'une famille de trois enfants, Axel ne s'entend pas avec son aîné. Par contre, la benjamine est la seule avec qui il a gardé contact. A ses yeux, il n'y a qu'elle. Considérant les autres comme décédés › Des parents courageux, mais qui ne connaissent pas le principe de l'éducation. Il ne les aime pas, eux qui l'ont longtemps jalousé de ses réussites. Il n'y a qu'une raison à cela : le travail fourni › Les siens sont au courant de son homosexualité, qu'il assume parfaitement. Une raison de plus qui a creusé le fossé les concernant. Famille homophobe, Axel n'existe plus pour eux également › N'aime pas les surnoms, il trouve cela inutile. Ses amis, et même son mari l'appelle par son prénom. Cela évite bien des disputes, inutiles › Pas facile d'assumer une différence pointée du doigt pas la société. Refouler sa sexualité jusqu'à l'âge de vingt-trois ans, il se disait curieux lorsqu'il couchait avec des hommes et niait toutes traces de différences. Il a eu quelques petites amies, et des relations sexuelles avec la gente féminine. Insatisfaction perpétuelle jusqu'à la libération, son coming out › Une seule et unique relation sérieuse ; Evan. Rencontré à l'âge de vingt-quatre ans, cet autre venait d'avoir dix-huit ans. Et pourtant, ça a fonctionné. Cela fait trois ans qu'ils se sont dis oui, liés par un anneau « jusqu'à ce que la mort vous sépare » à la Mairie. Mariage homosexuel, autorisé par la loi › Peu de temps après leur union, Evan a reçu une offre d'emploi qu'il ne put refuser. Partir aux Etats-Unis pour un poste à responsabilités dans une grosse entreprise d'import-export. Prendre des dispositions face à cette nouvelle vie. Vivable au début, acceptable par après. Relation à distance qui commence à peser à Axel, dérangé bien que n'osant le dire à son mari qui semble épanouit. Ils gardent contact via plusieurs applications, dont skype et snapchat › En possession d'une licence Marketing et d'un master Communication et Médias, Axel a reçu une bourse pour ses études et a travaillé dans un snack simultanément afin de subvenir seul à ses besoins, sans l'aide de ses parents qui, de toute façon, n'avait pas les fonds nécessaires. Il vivait également en collocation, dans l'une des résidences universitaires de Wellington › Stages en entreprises. Un étudiant qui s'est rapidement fait remarquer par ses compétences et la passion de la communication, de la publicité. Après ses études, il a reçu une réponse favorable pour un contrat d'une année dans une grosse entreprise de publicité New Yorkaise. Acceptant, il a utilisé ses économies pour se rendre en Amérique. Etudiant assidu, il a appris les ficelles du métier là-bas. Les débuts furent difficiles, autant dans sa vie privée que professionnelle mais c'est cette année qui lui a donné les clés nécessaires, qui lui ont permis d'ouvrir sa propre agence une fois revenu en Nouvelle-Zélande. C'est également là-bas qu'il a rencontré Evan, qui l'a suivi jusqu'ici pour leur permettre de construire quelque chose avant de retourner aux Etats-Unis pour une soi-disant durée déterminée › Amateur de Whisky, il apprécie boire un verre bien souvent en fin d'après-midi ou en début de soirée. Moment de relaxation dans des journées rapides, stressantes. Ce qu'il apprécie par-dessus tout, c'est un agréable verre de bourbon. Un spiritueux pour lequel il peut dépenser, afin de se faire plaisir › Provenant d'un milieu modeste, Axel possède une qualité importante : la valeur de l'argent. Aucune dépense inutile, il n'apprécie pas l'opulence. Oui, il en profite mais il n'achète pas ce qu'il n'a pas besoin. Homme généreux, il n'hésite également pas à donner aux plus démunis. Il vit également normalement, cuisinant lui-même et faisant ses courses entre autre. Seules services qu'il s'offre : une femme de ménage qui vient toutes les semaines et encore, il fait parfois lui-même. Un jardinier vient également, travailleur qu'Axel aide volontiers quand il est chez lui puisqu'il aime ça, le jardinage › Seul depuis presque trois ans maintenant, puisque Evan est retourné aux Etats-Unis pour travailler. Solitude difficile à vivre, il a acheté un premier chien il y a de ça deux ans et demi. Un rottweiler femelle prénommée Coca. Travaillant énormément, il en a acheté une deuxième quatre mois après afin qu'elles soient deux et puissent jouer ensemble, se tenir compagnie,... Second chien de même race, qui elle s'appelle Aoki. Deux chiens qu'il aime par-dessus tout, ses princesses › Se qualifier de cordon bleu serait prétentieux. Malgré tout, Axel cuisine bien. Incapable de réaliser de grandes choses, il sait suivre une recette et varier ses repas sans entrer dans des productions compliquées. De toute façon, il aime la cuisine simple. Les grands restaurants, c'est principalement pour des repas d'affaires. De son côté, et lorsqu'il mange seul, il préfère de loin les petits endroits où l'on peut manger un bon spaghetti pour pas très cher › L'authenticité. Axel est resté un homme simple malgré sa renommée. Pas de prétention, pas d'hypocrisie. Il est toujours le même qu'à ses débuts, avec une certaine maturité en plus. Connu pour sa spontanéité et sa bienveillance envers ses employés, il se refuse de devenir une caricature d'un PDG qui s'y croit trop. On lui connaît également une autodérision et un humour bien présent, chose qui plaît bien souvent › Agréable. Gentil. Il reste quelqu'un d'exigeant avec ses employés mais également avec lui-même. Axel n'apprécie absolument pas les choses mal faites. Si l'on commence, on termine et cela doit obligatoirement être bien fait. Il n'hésite pas à faire recommencer une campagne de publicité ou une reconfiguration de la communication interne d'une entreprise depuis le début par exemple. C'est soit bien fait, soit pas fait. L'exigence, l'excellence. Il les vénère. N'étant tout de même pas un mauvais patron, il n'hésite pas à participer et à apporter son aide si quelque chose ne va pas, tout comme payer des formations à ses employés afin de les améliorer. Licencier quelqu'un, il le fait qu'en de rares cas, préférant l'apprentissage à l'exclusion. Mais cela arrive, tout de même. Certains cas sont, pour ainsi dire, désespérés › ...

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Jake Gyllenhall ›</pris> axel kermer

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

LES KAKA LES SOSOS LES KAKA LES SOSOS LES KASSOS. Terminer de boutonner sa chemise. La fête est pour bientôt, réunion de famille pour l'anniversaire de Bradley Kremer. L'aîné des trois enfants, le connard. Le cadet et la benjamine, Shiloé, ne s'entendent pas avec ce grand-frère ressemblant trop à leurs géniteurs, deux énergumènes qu'ils n'apprécient guère. Ils sont courageux, qualité qu'il faut leur laisser. Ils reste néanmoins des cas sociaux, deux personnes qui ont raté l'éducation de leurs enfants. Axel le voit de cette façon, lui qui semble apprendre bien plus que du Marketing à l'université de Wellington. Des professeurs qui l'ont remis à sa place, des fréquentations qui lui permettent de devenir un jeune homme correcte. Les débuts furent difficiles, bien qu'il a toujours été bien-élevé comparé à ces personnes avec qui il partage un lien de sang. Hélas. Quitter sa chambre estudiantine vêtu correctement. Malgré l'occasion non-désirée, le jeune homme a fait un effort vestimentaire. Ses oraux de l'année dernière, sa première année, lui ont demandé un certain investissement. Costume correctement découpé, chemise cintrée et une paire de chaussures autre que de simple Converse. Tenue qu'il a décidé de porter aujourd'hui, afin de prouver à ses parents qu'il est capable de se débrouiller seul, sans aucune aide de leur part. Bien que possesseur d'un permis de conduire depuis l'âge de dix-huit ans, il n'a pas encore investi dans une voiture, préférant épargner. Les transports en communs lui permettent de se déplacer partout en ville, bien qu'il reste principalement dans le centre névralgique de la capitale. Son job étudiant se trouve là-bas, et lorsqu'il ne gagne pas d'argent il est présent sur le campus de l'université afin de suivre ses cours, étudier ou encore flâner dans les espaces vert proposés aux étudiants. Descendre à l'arrêt le plus proche de cette maison qui l'a vu grandir, sans pour autant s'épanouir. Le regard fuyant, Axel scrute toutes ces vieilles façades. Quartier modeste de Wellington, il ne se sent pas à sa place. Vêtu correctement, il roule des yeux à cette pensée qui lui traverse l'esprit : les rares moments où les citoyens de ces rues portent ce genre d'accoutrement, c'est pour les enterrements. Le reste du temps, les jeans et baskets sont de mises pour les garçons tandis que les filles ressemblent davantage à des prostituées, ou des garçons manqués. Stéréotype des quartiers chauds, celui-ci ne sort pas du lot. S'arrêter devant cette maison. Une porte et une fenêtre. Les cris retentissent. Son père se fait encore remarquer, lui qui est connu pour ne pas savoir parler doucement. A la limite du hurlement, voilà comment il converse. Désagréable personnage. Réajustement de la veste, une grande inspiration suivie d'un puissant soupir. Prise de courage, quelques heures qui seront longues à partager avec des personnes que l'étudiant ne souhaite plus côtoyer. Un jour il coupera les ponts, il s'en persuade. Cette famille qu'il déteste, image de tout ce qu'il déteste. Un pied devant l'autre, lenteur inconsciente. La main sur la poignée, le grincement de la porte. Le voilà directement dans le salon, un regard sur ces personnes autour d'une table située derrière le dernier fauteuil en piteux état. Sourire attristé, l'après-midi cauchemardesque peut commencer, illustrée par les haussements de voix de son père à sa vue. « V'la mon gamin, l'intello de service ! »

UN KALEIDOSCOPE DE FORTES PULSATIONS CARDIAQUES WELCOME TO NEW YORK. L'émerveillement. Des étoiles dans les yeux qui ne disparaissent pas au fur et à mesure que les mois passent. L'Amérique, la Grosse pomme ; New York City. Les premiers mois, moment difficile mais pas insurmontable. Axel a utilisé toutes ses économies pour venir ici. Un contrat d'un an dans une grosse boîte de publicité, la chance d'une vie pour un jeune diplômé. L'apprentissage est constant, les tuyaux et autres astuces se font de plus en plus nombreuses. Des rencontres qui s'enchaînent, dans la vie privée et professionnelle. Un carnet d'adresse qui se remplit de façon exponentielle. Et il y a eu ce garçon. Ce beau brun d'à peine dix-huit ans, croisé dans un bar, avec sa fausse carte d'identité afin d'avoir l'âge de consommer de l'alcool. Evan. Longue conversation autour d'un verre, ils finissent la soirée en échangeant leur numéro respectif. Durant plusieurs jours, aucune nouvelles des deux côtés. Moment agréable à l'appartement, partagé avec deux filles. Une obligation afin d'avoir un logement correct, sans pour autant dépenser une fortune. Il faut dire que le premier mois, Axel le paya en retard puisqu'il venait d'arriver. En possession de peu d'argent, il leur a expliqué sa situation actuelle. Jeune diplômé, expatrié pour une année sûre, et c'est lorsqu'il mentionne le nom de l'agence qui l'a recruté qu'elles ont accepté. Salaire plus que correcte, le soucis d'une avance devint, en un instant, futile. Assis dans le salon avec les deux filles, son portable sonne. Un message, envoyé par un certain Evan. Image instantanée, celui qui est à peine majeur. Converser toute la soirée, se voir quelques jours plus tard. Rencard ? Aucune idée. Pas d'échange intime, simplement des mots qui s'envolent autour de quelques verres un jeudi soir. Se quitter, pour se retrouver le lendemain. Même rengaine. Passer du temps ensemble ; des heures, des jours, des semaines. Et le voilà. Premier baiser. L'enfant apprend l'amour et tout, et tout devient beaucoup plus flou. Le voir flâner, est-il en train de penser à cette histoire ? A moins qu'il s'imagine grand ? Lui qui est encore si jeune, à peine sorti de l'adolescence. Une histoire qui se déroule, qui vaut de l'or. Première relation sérieuse pour deux protagonistes du même sexes. Homosexualité, des sentiments partagés qui furent prononcés un soir, sous les arbres bourgeonnant de Central Park illuminé par ce ciel pastel, crépuscule. Un baiser partager. Le coeur qui s'emballe, les papillons dans le ventre. Trois mots, sept lettres. Ils furent tout d'abord prononcé par Axel, des étoiles dans les yeux face à l'image de cet être qui a investit sa vie. « Je t'aime »

ET PENDANT QUE TU T'ARTICULES MOI JE SOUPIRE ET TOI TU ME ADIEU. Parcourir son corps une dernière fois, graver cette scène mentalement. Profiter de l'instant, luxure. Plaisir charnel terminé, le bras d'Axel autour du cou de ce jeune trentenaire qu'il aime tant. Ce même garçon qui va le quitter demain, sortir physiquement de sa vie pour rejoindre sa ville natale. Deux hommes nourris à l'ambition. Evan a accepté un poste lié à l'import-export à New York. Une multinationale, un tremplin non-négligeable pour sa carrière. Quelques mots ont été libérés, conversations sulfureuses entre les amants. Axel ne peut lui refuser cela, lui-même qui s'est rendu là-bas il y a plusieurs années. Une ville qui lui en a appris des choses, une ville qui lui a appris la vie. Les voilà, eux qui se laissent aller à l'une de leur dernière discussion en tête à tête. Réelle. Un soupir, profiter. Difficile, la tristesse l'envahit. Penser le futur dans un moment peu propice. « Ca va être étrange sans toi ici... Moi, seul dans cette grande maison. » Baiser déposer sur la chevelure de ce mari tant aimé, cet homme nu qui se trouve dans ses bras. « Ne plus t'avoir auprès de moi. Ne pas pouvoir te toucher, ça va vraiment me manquer... » Caresse du bout des doigts, frôlement de cette épaule qui est sienne sans être un membre de son corps. L'homme lui appartient, Axel est également sien. Deux êtres fidèles qui vont se séparer, difficulté à surmonter. Persuasion. Ils se persuadent que leur amour ne changera, eux qui sont ensembles depuis bientôt dix ans. Cette voix s'envole dans l'air, Evan. « Tu verras, tout se passera bien Axel. » Réconfort. Un mouvement du corps de sa part. Le trentenaire se retrouve assis sur le bas ventre de son partenaire plus âgé. Sourire aux lèvres, ces doigts imitent la marchent sur ce torse à la pilosité visible. Echange de regards, de sourires complices. « Et comme prévu, on se verra lors de tes déplacements à New York et je tenterai de rentrer dès que je le pourrai ! » Il tente de parler. Lèvres entravées par cet index. « Et mes parents ont insisté. Les fêtes de fin d'année, tu viens les passer chez eux. Tu leur plais, monsieur le grand publicitaire ! » Un éclat de rire résonnant dans leur chambre, l'un des nombreux endroits qui paraîtra vide dès demain. Soupir du réconforté qui laisse ses mains glisser le long de ces bras. Empoigner les biceps du beau Evan. Le regarder intensément, amoureusement. « Et qui saura trouver les mots lorsque tu ne seras pas là ? » Question pertinente qui trouve rapidement réponse.  « La technologie chéri, la technologie ! » Tape amusée sur la joue d'Axel. Le dominant du moment se penche vers son mari. Baiser volé, suivi de quelques mots prononcé avec le sourire. « J'ai pas mal d'heures de vol Axel. » Rapide regard vers le réveil digital de la part d'Evan. « On démarre d'ici deux bonnes heures pour l'aéroport... » Le malicieux, qui sait ce qu'il veut. Nouveau moment de luxure qui démarre entre les amants, prit dans la spirale d'une dernière nuit torride avant cette séparation liée à l'ambition.

ET JE BALISE EN FAIT JE N'EN SUIS PLUS TRES SUR J'NOUS IMAGINE. Bientôt trois ans, trois longues années que ce mari est parti vivre aux Etats-Unis pour sa carrière. Les débuts furent correctes, se voir quelques jours tous les deux-trois mois. Un an-et-demi comme cela, avant que les choses ne changent. Limiter les visites. Cinq mois qu'ils ne se sont pas vus physiquement. S'apercevoir à travers un écran, étrangeté technologique qui plait de moins en moins à Axel. Un besoin de le toucher. Tactile. Un manque qui se fait ressentir, pulsion masculine qu'une main commence à ne plus pouvoir assouvir. Modernisation de l'entreprise qui n'aide pas. Jeanine, l'ancienne assistante personnelle du PDG a été virée il y a un bon mois et demi. Femme plus âgée, compétente mais peut assidue suite à de nombreuses absences liées à sa vie privée. Vieille fille entourée d'animaux, avec une mère malade et un frère qui intrusif. Il l'a rencontré, ce garçon qui venait voir son aînée à son bureau fin de lui demander de l'argent. Au revoir, adieu. Offre d'emploi lancée sur le marché, recherche d'un nouveau visage pour ce poste. Une pluie de candidature, une lecture des réponses faites par le patron. Lui taper dans l'oeil, un jeune homme doué en dessin au physique agréable. Nathan Lane. Faisant partie du top cinq, il l'a rencontré ainsi que quatre autres personnes. Un appel, une signature de contrat qui ne tarde pas. Axel a besoin d'une personne à ce poste, ne pouvant gérer seul le travail demandé à sa fonction. Nathan. Un choix judicieux ? Peut-être pas. Axel se déconcentre rapidement à sa vue, laissant glisser son regard sur cette silhouette un brin trop agréable. Se reprendre en main, ne pas se laisser aller à la bêtise. Continuer de vivre, de se rendre tous les matins dans les bureaux de son entreprise, située à Wellington. Travailler, voyager au travers des continents. L'Amérique, espérer avoir un créneau pour voir Evan, qui s'évanouit petit à petit de son esprit suite à son absence. L'Australie également, et de temps en temps le vieux continent. Europe, et son Londres tant apprécié par Axel. Kermer Worldwide Media, agence de publicité à la réputation prestigieuse dans les pays anglophones. Un travail de titan derrière une image plaisante. Le PDG est heureux de ce qu'il a construit, démarrant de rien. Un certain bagage lui fut demandé, chose qu'il possédait suite à cette année passée à New York lorsqu'il était plus jeune. Une vie de construite, qui semble tout de même bancale à certains niveaux. Et si le coeur venait à se lasser de cette situation liée à la distance ? Ambition présente, l'âge apporte une envie de stabilité absente. Le changement pourrait être en marche...