Easy girl (to get mad) ft Selena Gomez

Sophia Bennett

kill'em with kindness

les informations en vrac

Donnez à un grand-père brésilien une grand-mère russe et vous obtiendrez deux générations plus tard, une néo-zélandaise › Née à Wellington au sein d’une famille aisée › cadette d’une fratrie de cinq enfants › c’est une femme indépendante, mais très caractérielle › vous savez, le genre de femme à qui il ne faut rien refuser ou › surtout ne jamais T.R.O.M.P.E.R › avis aux amateurs › depuis l’enfance elle voulait devenir journaliste › dénoncer les autres, visiblement, c’était sa passion › bien que ses frères soient trop protecteurs, elle s’entend plutôt bien avec eux › mais son idole, c’est sa grand-mère › Madame était une grande couturière russe, et l’héritage familiale dépend beaucoup d’elle contrairement à ce que ses parents essayent de lui faire croire › elle est partit vivre à Londres lorsque sa grand-mère est décédée › elle  a étudié l’art à l’université, puis s’est orientée dans la mode selon les conseils de  sa défunte grand-mère › a travaillé en tant que stagiaire au prestigieux magazine de mode Urban British à Londres › s’est faite embauchée en tant que rédactrice de sa propre rubrique mode  à vingt-trois ans › suite à une « légère » (se référer à l’histoire, je sais que vous êtes curieux venez lire) faute au travail, tout Londres la déteste et a tenté de ruiner sa vie › ou du moins c’est ce que le magazine avait en tête– elle est venue s’installer à Island bay il y a deux ans et demi › Officiellement diplômée en art, elle est désormais peintre à la recherche d’inspiration › le journalisme et la mode lui manque beaucoup, alors elle a décidé de créer un blog sur la vie d’Island bay dans lequel tous les gossip y seraient répertoriés › mais personne n’est au courant, se  serait bête de se faire détester dans une seconde ville › c’est une femme d’ambition qui veut avant tout dénoncer les injustices sociales et surtout, les adultères, messieurs gare à vous › oui car il faut le préciser, elle a un certain féminisme aiguë en elle, bien qu’elle feint être assez mature  et objective sur le sujet › elle ne s’attache pas au premier regard, il lui arrive même souvent de ne rien voir au bout du cinquième mais c’est parce qu’elle connaît son cœur › celui d’une femme blessée qui n’arrive plus à faire confiance › elle est par contre, d’une rancœur maladive et d’un culot sans fin › pour obtenir ce qu’elle veut, elle serait capable de tout et n’importe quoi › quoi que › elle est constamment à la recherche de ragot › sa curiosité risque de lui causer quelques ennuis

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris> selena gomez </pris>  

   

l'histoire de ma vie

don't cheat on me, you'll regret it

11 janvier 2013

C’est avec joie et grand-plaisir que nous accueillons dés ce mois-ci la nouvelle rédactrice de mode de notre magazine. Son petit nom, vous ne l’oublierez pas. Sophia Bennet, petite russo-brésilienne bien sympathique (et fort jolie messieurs !) a désormais prit les rennes de ce qui vous guide chaque mois dans vos fashion choix. Issue d’une prestigieuse famille, cette jeune femme va changer votre vision de la mode. Artiste dans l’âme, faites lui confiance et le monde enviera votre style. Son talent et sa détermination font d’elle une future journaliste renommée, alors n’oubliez surtout pas ce nom, Sophia Bennett, vingt-et-un an seulement, et pourtant le monde à porter de mains !


8 février 2016

Info ou Intox ?

Notre bien-peu regrettée rédactrice Sophia Bennett a été aperçue ce samedi soir en état d’ivresse dans les rues de Londres. Il semblerait que depuis sa chute mirobolante du magazine, elle ne trouverait plus aucun sens à sa vie. La croqueuse de diamant était une fois de plus accompagnée d’un nouvel inconnu, cela dit propriétaire d’une Porsche rouge flamboyante, et semblaient tous deux se dirigés dans l’un des hôtels les plus prestigieux de la ville. La diablesse aurait-elle trouvé une nouvelle cible, et surtout, un moyen peut-être de gagner de l’argent ? Prenez garde messieurs, la brune sauvage cherche désespérément un moyen de se faire remarquer, et votre argent sera son premier objectif. Il faut toujours ce méfier des brésiliennes. Surtout lorsqu’elles sont russes.



Mais que s’est-il passé en trois ans, allez-vous me demander. Il est curieux de voir à quel point la vie de quelqu’un peut changer du tout au tout en l’espace d’un instant. Un geste, une parole, un regard, et tout peut vous échapper. Disons que c’est une sorte de résumé de la vie de Sophia. La demoiselle s’est faite embaucher dans le plus prestigieux magazine de Londres, Urban British. Mignonne aux yeux des patrons, et peut-être un brun innocente, ils étaient passionnés par son talent et sa généalogie. En effet la grand-mère de Sophia, russe, était une couturière de renommée internationale et l’héritage de la jeune fille n’en est pas moins grandiose. Il est vrai que celle-ci possède un talent inné pour la mode, mais ce n’était originellement pas ce qu’elle avait prévu de faire. Elle était auparavant une amatrice d’art, et principalement de peinture, c’est pour cela qu’elle s’était orientée dans cette section. Mais suite au décès de sa grand-mère avec laquelle elle tenait un lien très particulier, elle a décidé de réaliser son rêve : se faire embaucher dans un magazine de mode. Ainsi peu de temps après avoir commencé ses études, Sophia obtint un stage à Londres chez Urban British, et finit par être engagée. Elle aurait pu être une journaliste de renommée mondiale et faire raviver le nom de sa grand-mère dans le monde entier. En effet, elle aurait pu. Si elle n’avait pas connu cet homme.

Lui, se présentait comme le véritable prince charmant. Elle l’avait rencontré en sortant du travail, vous savez une histoire de bousculade, quelques mots d’excuses pour un chemisier tâché, des numéros de téléphones échangés puis quelques rendez-vous plus tard, il devenait officiellement le premier homme Londonien à entrer dans sa vie. Il lui avoua peu de temps après son poste au sein du magazine. Fils chéris de la créatrice même de Urban British, il avait son poste assuré et voulait faire de Sophia sa muse, l’égérie du magazine et peut-être même la future rédactrice en chef de sa propre rubrique. Elle avait l’impression de vivre dans un rêve, et comme vous vous en doutez, ça ne dur jamais. De retour au bureau après avoir oublié ses clés de maison, Sophia découvrit son amant dans les bras de sa propre collègue, qu’elle considérait comme l’une de ses meilleures amies. Ses propos étaient clairs, il ne faisait que jouer avec la brunette et pouvait lui faire croire ce qu’il voulait. Son but, comme tous les autres évidemment, l’héritage et la renommée qu’il obtiendrait en épousant peut-être la petite fille d’une grande couturière. Elle s’était sentie trahie, perdue, seule. Mais elle n’avait pas réagi comme beaucoup l’aurait fait. Elle était rentrée chez elle, et avait murement réfléchis. Il lui avait brisé le cœur, mais il était hors de question qu’elle verse une larme pour un homme pareil. Elle avait cogité toute la nuit, elle avait erré dans les rues de la ville puis, à l’aube, s’était rendue au bureau.


BREAKING NEWS 6:30 am

Le bien aimé fils à maman de la propriétaire de Urban British serait-il de ces hommes qui ne tiennent pas ses promesses ? En couple secrètement depuis bientôt un an et demi, le gendre parfait serait en fait un véritable Don Juan de ses dames. Dans les bureaux de Urban British, nombreuses sont celles qui avouent être passées dans le lit du jeune homme. Voulait-il réellement épouser sa fiancée ou n’était-il simplement intéressé que par l’héritage de sa demoiselle. Est-ce qu’un homme infidèle peut ne serait-ce qu’accomplir une chose par lui-même dans la vie, à part enfanter bien sûr. Ne pensez-vous pas qu’un besoin de combler sa femme par d’autres femmes marque son incapacité à gérer quelque chose dans la vie ? Et oui, nous parlons bien du futur héritier de votre magazine préféré. British, certes, mais en aurait-il oublié le reste ? Avis à ces messieurs qui restent certains que leur petit secret est bien gardé, tout se sait.  Xoxo


Comme vous vous en serez douté, l’article n’est pas passé inaperçus. Personne au bureau, donc personne pour le supprimer de la rubrique internet du magazine. En quelques heures celui-ci était placé en tête des recherches sur internet, et les journalistes s’étaient évidemment entassé devant l’immeuble du Urban British magazine afin de démasquer cet héritier. Tout le monde comprit rapidement d’où venait cet article, et les répercussions en furent tellement mauvaises que Sophia dût quitter Londres. Le magazine avait publié des articles sur la jeune femme, et s’était arrangé en quelques semaines pour que Londres entier la déteste. Affichée partout, celle-ci dût retourner dans sa ville natale pour laisser les choses se calmer. C’est ainsi qu’elle se retrouva à Wellington, puis Island Bay afin d’y trouver un peu de calme.

• Aujourd’hui, selon le Urban British magazine elle serait
  
  Une femme dépravée, peut-être devenue alcoolique. Elle aurait menti sur ses origines et ne serait en fait qu’un charlatan qui aurait eu pour but de ridiculiser le magazine. Elle aurait sûrement engendré des enfants à des dizaines d’hommes pour obtenir de l’argent, et elle aurait déménagé en les abandonnant pour une femme. Aujourd’hui elle vivrait dans les caraïbes ou quelque chose comme ça.
  
  Selon les ragots de madame Hugdson (la nourrice la plus bavarde de tout Island Bay)
  
  Elle serait une peintre sans le sou, à la recherche d’inspiration qui ne vient pas. Paraîtrait qu’elle fréquenterait des hommes parfois, mais personne n’en sait vraiment plus. Elle aurait emménagé à Island Bay parce qu’elle ne voulait plus vivre avec ses parents. Une fugue sûrement, après tout elle ne doit avoir que dix-huit ans cette gamine ?
  
  Selon les commères de la ville, ce ne serait qu'une jeune fille profitant de l'argent de papa-maman pour ne rien faire. Elle aurait fuit les études, enchainerait les hommes et dépenserait à tout va sans se soucier de rien. Pourquoi ne retournerait-elle pas vivre à Wellington cette garce ?
  

En vérité, Sophia profite simplement du calme de la ville pour recharger ses batteries. Ces dernières années furent quelque peu mouvementées, alors elle fait en quelque sorte un break. Elle a repris la peinture et adore venir les matins admirer les paysages pour s’inspirer. Mais le journalisme lui manque énormément, elle a voulut créer un blog-journal pour faire vivre un peu la communauté, et lorsqu’elle s’est rendue compte que bon nombre des habitants se posaient des questions sur elle, elle a décidé de leur montrer ô combien des ragots peuvent aller loin en créant un Gossip Blog. Secrètement elle y répertorie ce qu’elle a vu, sans que personne n’en sache la source. Evidemment tout cela ne doit pas se savoir, Londres est déjà bien suffisant pour se faire détester. Sa famille habite à Wellington, et est très inquiète quand aux repercusions que pourrait avoir le magazine Londonien sur leur fille. Un point important à ne pas oublier, elle vient d'une famille aisée, la réputation est tout de même quelque chose d'important dans le milieu.

Elle est aujourd'hui une petite journaliste quotidienne d'un magazine de la région. Elle ne cherche ni à se faire remarquer ni à se faire connaître, mais elle n'hésite pas à aborder des sujets sensibles pour faire réagir la population. Parfois elle se fait payer par certaines femmes ou certains hommes afin d'enquêter sur leur conjoint, et prendre des photos pour en rédiger un article si besoin. L'adultère, ça la passionne, mais vos secrets, encore plus. Rien de tel pour alimenter un gossip blog, hm ?