contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
Sujet: Re: let's play a love game (kylian) (#) Mar 15 Nov - 18:49
❝ let's play a love game ❞ zola & kylian
Désormais assis sur le rebord de la tour, je laisse pendre mes jambes dans le vide, regardant au loin le magnifique paysage qui nous est offert. Le silence s’empare de la scène mais il est loin d’être désagréable. Lorsque je remarque que Zola a froid, je lui propose de lui prêter ma veste et n’attends pas sa réponse pour lui mettre sur les épaules et la laisser l’enfiler. « Tu es sûr ? Je ne peux pas vraiment refuser, ce serait dommage que je tombe en hypothermie. » Nos rires s’entremêlent est c’est fortement agréable. Je me moque un peu d’elle en la taquinant sur sa nouvelle allure, mais c’est plus mignon qu’autre chose, et elle l’a bien saisi. Je ne suis pas du genre à me moquer dans le mauvais sens du terme. « Nous sous-estime jamais le pouvoir d'un pingouin. Jamais. » Je ris à nouveau, amusé et agréablement séduit par notre complicité. Je lui demande quand même si elle veut rentrer, après tout, elle a peut-être vraiment froid. « Je n'en ai pas la moindre envie. » me dit-elle en murmurant d’une voix étonnement suave. Mon regard se perd dans le bleu de ses yeux, éclairés simplement par les reflets de cette lune sublime. L’instant est digne d’un dénouement de comédie romantique, et je me laisse aller, sans plus penser si à Rylee ni à Tara ni à personne d’autre. C’est juste Zola et moi ce soir, et je compte bien en profiter. Je suis comme ça, il y a des moments où mon cerveau se déconnecte, où je ne réfléchis plus et où je me laisse aller totalement. Et c’est ce genre de moment qui est en train de se passer. Après lui avoir avoué que j’ai très envie de l’embrasser, je viens approcher mon visage du sien, espérant qu’elle ne me mette pas un vent monumental en me disant que le jeu nous rattrape et que ce n’est pas une bonne idée. Mais heureusement, sa main vient glisser dans ma nuque et elle brise le dernier espace entre nous pour accepter mon baiser. Un instant de flottement, j’aspire son souffle, les yeux toujours clos, et je les réouvre à peine pour vérifier qu’elle ne regrette pas son geste. Et pour mon plus grand plaisir, nous nous rapprochons une nouvelle fois pour un nouveau baiser des plus agréables. Clairement, nous sommes en train de nous faire prendre à notre propre jeu. Une fois ce nouveau baiser rompu, je viens plaquer mon front contre le sien, frôlant son nez du mien, et je laisse échapper un petit rire tout à fait adorable. « Si Rylee savait ça… » Je me mords la lèvre inférieure et sens la jeune femme frissonner à nouveau. « Je vais te raccompagner chez toi, t’es congelée ! » Je frictionne à nouveau ses bras et me relève, l’aidant à descendre pour finalement toucher terre. Je verrouille le cadenas de l’échelle et cache à nouveau la clé alors que nous retournons vers ma moto. Silencieusement, je m’amuse à frôler sa main du bout de mes doigts pendant que nous marchons et nous arrivons vite à ma moto. « Tu te sens de monter à nouveau dessus ? Si je te laisse ma veste ? Ou je t’appelle un taxi… » J’avoue que la 2ème solution m’emballe un peu moins, mais je lui laisse le choix. Peut-être que si je la ramène elle m’offrira un dernier verre chez elle ? Je ne pense pas nécessairement à passer le reste de la nuit avec elle même si l’idée m’a effleuré l’esprit pendant que mes lèvres embrassaient les siennes, mais je ne veux pas non plus qu’elle imagine que je ne pense qu’à ça.
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Sujet: Re: let's play a love game (kylian) (#) Lun 28 Nov - 18:30
let's play a love game
kyla
Ce baiser était absolument divin, parce qu'il était imprévisible. En début de soirée, il était question de faire tourner Rylee en bourrique en feignant d'être tombés sous le charme l'un de l'autre. Mais une rare complicité s'était rapidement instaurée entre Kylian et moi, tant et si bien que notre petit jeu de séduction ne prit pas fin au départ de sa soeur. Si nous nous en étions tenus à ce qui était prévu au départ, nous aurions quitté ce bar et serions rentrés chacun de notre côté, avec le souvenir d'une bonne soirée entre amis. Mais nous nous étions retrouvés là, seuls face à l'océan. Certes, le climat était propice au rapprochement, mais il n'y avait pas que ça. Nous partagions la même vision du monde ce soir, et j'avais l'agréable sensation de connaitre Kylian depuis des années. Naturellement, comme si le destin nous avait poussé à nous retrouver ici, nous nous embrassâmes. Un baiser tendre et intense. « Si Rylee savait ça… » Un rire discret s'échappe de ma gorge tandis que j'hausse les sourcils. « Elle réserverait déjà l'église. » Si elle venait à apprendre ça, elle serait certainement hors de contrôle. Nous voir mariés, son frère et moi, serait certainement l'apothéose. J'imaginais déjà, avec sa petite frimousse excitée, qu'elle nous sauterait dans les bras en hurlant qu'elle savait que nous étions faits l'un pour l'autre. Cette idée m'amusait, même si nous n'en étions absolument pas là. Je frissonnai légèrement. « Je vais te raccompagner chez toi, t’es congelée ! » Kylian me frictionna le dos avant de prendre les devants. Nous nous retrouvâmes de nouveau devant cette moto, tandis que je gigotais sur place pour me réchauffer. « Tu te sens de monter à nouveau dessus ? Si je te laisse ma veste ? Ou je t’appelle un taxi… » Bonne question. La raison supposait que j'appelle un taxi, mais la tentation me poussait à accepter cette dernière chevauchée. « Tu connais mon adresse. » dis-je avec un petit sourire en coin en grimpant sur son bolide. Une fois encore, je ne suivais sûrement pas la voie de la raison, mais comme tout le monde le sait, "le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder".