[18] i love the things you hate about yourself » james

I love the things you hate about yourself
Feat Jillian

J'étais allongé de tout mon long dans mon lit, encore dans les bras de Morphée. Je sentais ma compagne bouger des ses songes à côté de moi. Je n'avais pas pardonné totalement à la belle blonde qui me faisait office de ... Je ne sais même pas quoi au final ! Nous avions décidé de tenter de sauver les meubles, il était indéniable que nos corps s'attiraient, que nos cœurs n'étaient pas remit de la rupture, alors j'acceptais de faire une effort de lui laisser une seconde chance. Mais la blondinette savait pertinemment qu'elle ne devrait pas fauter cette fois-ci. C'est le point de non retour, la fin si elle me trahit une fois de plus. Et moi j'espérais ne pas tomber sur cette Iris, j'avais pas trahis Jillian puisque j'avais pas dis oui pour me remettre avec elle mais bon... Je la sentis vraiment bien bouger cette fois-ci, un coup d’œil rapide au radio réveil devant moi, il était tout juste neuf heures du matin, on pouvait pas profiter de cette escapade pour des grasses matinées. Nous avions en effet décidé de voir Island Bay pour un week-end, histoire de vraiment donner une chance à nos retrouvailles. Puis bon je ne pouvais décemment pas m'extirper du boulot pendant des jours et des jours. Sean avait besoin de moi, d'autres personnes aussi mais j'aimais bosser avec lui. Je me tournais alors sur le dos, yeux ayant peine à s'ouvrir. Les rayons du soleil perçaient mes rideaux, la jeune femme n'ayant pas trouvé de logement je l'avais accueillis chez moi. Normalement, Jill allait dans la chambre d'amis, mais... Soyons honnêtes, la blonde a passé les trois quarts de ses nuits dans mon lit en ma compagnie. « Bon matin toi » Me dit-elle entres deux baisers, le matin j'étais pas super coopératif si je n'avais pas bu mon café « Lut' » répondis-je d'une vois mal éveillée, la bouche pâteuse comme pas possible.

La jeune femme finit par se rendre dans la salle de bain adjacente de ma chambre, afin de faire je ne sais quoi. Je grommelais n'ayant vraiment pas envie de sortir de ma torpeur. Mais la tornade blonde finit par revenir plus vite que je ne l'aurai voulu, moi qui m'attendais à ce qu'elle aille se doucher. Elle remonta alors sur le lit, tout en m'encadrant de ses jambes. En clair, elle était assise sur moi tout simplement. « Il faut se lever ! » Ses mains froides se plaquèrent sur mon torse, celui-ci se contracta directement à cause du contact. « Oh purée tu es froide ! » Se fut comme un électrochoc, bizarrement j'étais très bien réveillé d'un coup. Elle se pencha caressant mon torse de ses lèvres, des frissons me parcoururent de la tête aux pieds. Un soupire de contentement s'évapora de mes lèvres entrouvertes puis me redressant ses mes avants bras je la questionnais d'un ton taquin « Que fais-tu au juste ? » Depuis que la jeune femme vivait chez moi c'était ça. Nous nous cherchions, nos nous titillions puis au bout d'un moment ça finissait en scène de sexe éprouvante pour nos deux corps.

© ACIDBRAIN

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Feat Jillian

Me lever allait s'avérer plus compliqué que je ne le pensais. Ma grasse matinée je la voulais, ce qui selon ma blonde de... Petite amie ?? Sommes nous réellement redevenu un couple ? Je ne sais pas vraiment où j'en suis même si je lui laisse une seconde chance. Bref, visiblement la blondinette ne comptait pas me laisser de sitôt profiter de mon sommeil puisqu'elle vint se poser sur moi. Ses mains gelées me firent l'effet d'un coup de jus, contractant le moindre mes abdominaux. « Oh pardon! » Riait-elle les mains quelques minutes devant sa bouche pour faire une moue désolé. Puis ses lèvres vinrent arpenter les méandres que dessinait mes abdos. Je frissonnais tout à fait réveillé suite au coup de glaçon d'il y a quelques minutes. Je repris alors mes esprits me redressant sur mes avant-bras afin de la questionner sur ses agissements. « Ai-je droit de donner des baisers sur l'homme que j'aime ? » Je fis une mine indignée, bien sûr qu'elle le pouvait mais en règle général ce genre de baiser ne s'arrêtaient pas à mon poitrail si vous voyez ce que je veux dire. Je me contentais alors de l'observer, celle-ci finit par se lever ouvrant les rideaux en entier, la lumière irradia la pièce m'irritant les yeux. « Jillian bon sang ! » Dis-je en fermant les yeux instinctivement dans une grimace qui ne devait pas être sexy du tout pour le coup.

C'était pas la peine de penser que j'allais être tranquille ce matin, la jeune femme me rejoignit tout en déboutonnant la chemise qu'elle m'avait piqué pour dormir. Je tentais de regarder ses prunelles plutôt que sa poitrine qui se dénudait devant moi comme le reste de son corps par ailleurs... Mon dieu, je sais pertinemment où on allait comme ça pour ce matin moi. Sauf que le cul seul ne suffirait pas à faire qu'on se retrouve ? On sait que sexuellement on s'accorde mais le sexe ne fait pas tout dans un couple même si ça y contribue. « Je te redonne tes biens » Je déglutis alors difficilement, mon cœur battait à tout rompre et PaulPaul était déjà au garde à vous. Quoi ?! Merde je suis un homme hein je vous rappelle ! « Trop aimable » répondis-je simplement le rouge aux joues. Ses lèvres finirent par se poser sur les miennes, mes mains allaient à la conquête de ce corps parfait mais trop tard. Jill avait déjà filé vers la salle de bain laissant la porte entrouverte tout en ce mettant à chanter. « Bon ben je crois que ça ne signifie qu'une chose » dis-je dans ma barbe...

Je me levais alors péniblement, penaud, les pieds traînant au sol. Je quittais mon bas de pyjama puis mon boxer et entrais dans la salle d'eau. « Tu ne m'as même pas proposé une bonne douche ? » dis-je faussement outré tout en allant collé mon corps au sien, l'eau chaude coulant sur ceux-ci. J'embrassais le creux de son cou puis avouais mauvais joueur « Tu as gagné je ne ferai pas ma grasse matinée ! » Ma main alla donc prendre le gel douche pour entreprendre de laver ma… Jillian ! Je commençais alors par son dos puisque j’étais derrière elle.

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Avoir ma grasse matinée allait s'avérer compliqué, puisque la jeune femme se leva afin d'ouvrir en grand les volets, provoquant en moi un râle de mécontentement. Je ne suis pas frai comme un gardon directement, moi il me fallait le temps de me réveiller convenablement. C'est d'ailleurs pour cela que je mets mon réveil à sonner plusieurs fois avant de daigner me lever. Puis, elle commença à me chercher, je savais ce qu'elle désirais et mon corps était à l'unisson du sien remplit de désir pour ce corps parfait. Cependant, bien que nous soyons de superbes amants l'un pour l'autre, le sexe n'était pas ce qui allait tout arranger. J'espérais vraiment que la blondinette en avait prit conscience, elle partit alors dans la salle d'eau d'une démarche à en faire tomber plus d'un. Ses longs cheveux blonds légèrement ondulé dansaient sur son dos pendant que celle-ci se dandinait devant moi. Puis, elle disparut mais sa voix enchantait encore mes oreilles ... Ou pas ! Voilà qu'elle se mettait à chanter. Bien que je l'aime, j'ai toujours eu du mal à l'entendre chantonner. J'ai cependant jamais eu le cœur de lui dire qu'elle chantait un peu faux. Je finis alors par me lever penaud et un peu boudeur je dois bien l'avouer mais si elle m'embêtait, elle me supporterait jusqu'au bout. J'ôtais mon bas de pyjama ainsi que mon boxer pour la rejoindre sous la douche. Je lançais un pique taquine tout en collant mon corps chaud au sien.

La blonde prit alors mes bras pour encercler sa taille, mes mains dans les siennes du coup. « Oh .. je te laissais dormir moi! » Je ne pus m'empêcher de pouffer de rire avant de rétorquer « Ah ben oui ça se voit » Je pris alors le gel douche afin d'entamer sa toilette, je frictionnais son dos puis ses épaules, puis le creux de son dos, puis ses fesses oui oui ben quoi ? Une fois mes mouvements arrivés à leur terme, la demoiselle se tourna face à moi, je plongeais alors mon regard dans le sien « Bon matin! » Je souriais avant de lui répondre « Salut toi ! » Avec un petit sourire en coin tout en observant son corps dénudé face à moi. Elle avait vraiment rien à jeter, j'avais le don pour trouver des filles canons mais elle... Jillian les dépassait toutes, même cette Iris complètement timbrée et pas si canon que ça. Une de ses mains se posa sur ma joue, une autre entreprit un voyage plus bas sur ma hanche. La jeune femme m'attira encore plus à elle, d'ailleurs Jill finit dos à la paroi de la douche. Ses lèvres virent alors se plaquer sur les miennes dans un baiser fiévreux, mon corps frémissait malgré l'eau chaude qui coulait toujours sur nous. Ma langue alla alors s'aventurer dans la caverne d'Ali Baba, le souffle court, le désir montait d'un cran. La main auparavant sur ma hanche finit sur mon engin que Jillian commençait à astiquer, bien que... Il n'en avait pas vraiment besoin. Je stoppais alors le baiser, front posé sur le sien « Ah mademoiselle veut jouer à ça hein ?! » une de mes mains se plaqua sur un de ses seins titillant son téton et l'autre descendait lentement à son intimité, très lentement, caressant la moindre parcelle de peau des bouts des doigts. Jillian et moi nous étions comme ça, certains penseraient que nous sommes des nymphomanes mais nous sommes très tactile et c'est ainsi. Je sais que le moteur premier de mon désir pour elle c'est l'amour. Nous faisions un acte d'amour, du moins pour moi. J'arrivais enfin à la toison d'or, je fis glisser mon doigts sur son clitoris, le caressant du bout des doigts puis me ravisais « Hum je ne sais pas si tu mérites, tu as pas été sage j'ai pas eu ma grasse mat' » répondis-je en riant, mes cheveux devant les yeux dû à l'eau qui ruisselait sur nous.

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La jeune femme m'avait cherché par le biais de ses gestes, sachant pertinemment quoi faire pour émoustiller l'homme que j'étais. Elle et moi nous étions comme ça depuis que nous étions ensembles, nous brûlions de désir l'un pour l'autre, sentiment qui naissait par l'amour que nous ressentions. Nous n'étions pas de simples personnes qui aimaient le sexe avec notre partenaire, nous nous prouvions notre amour. Alors oui le sexe est pas essentiel dans un couple mais il a sa part. J'aimais couché avec elle, je n'ai aucune honte à le dire, aucune honte non plus à la prendre dès que j'en avais envie et réciproquement bien sûr. Jamais je ne forcerai la femme qui est avec moi pour lui faire l'amour. Bref, je finis par la rejoindre rapidement dans la douche ayant compris son petit manège. Nos mains finirent rapidement par déraper dans des endroits exclusivement dédié au sexe. Mais je la cherchais alors en lui disant qu'elle n'avait pas été assez sage pour avoir une gâterie, après tout je n'avais pas pu faire ma grasse matinée. Elle sortit alors de la douche enroulant une serviette autour de son superbe corps, je dois avouer avoir été très frustré sur le coup mais je la connaissais par coeur. Elle me cherchait ni plus ni moins. « Tu as bien raison. Je dois faire mes preuves ! » La blonde n'avait pas tord du tout, elle devait faire ses preuves, me prouver entre autre qu'elle ne se ferai pas la mal une fois de plus un beau matin au réveil.

Je souriais puis sortis à mon tour de la douche enroulant une serviette autour de ma taille, puis je partis du côté de la chambre. « C'est vrai et si tu as bien étudié tu auras une récompense » rétorquais-je avec un sourire taquin tout en frôlant les superbes fesses cachées par la serviette de ma compagne. J'ignorais encore si on était redevenu un couple, c'était encore un peu vague, complexe entres nous. Nous savions que les sentiments, le désir étaient encore là mais... Est-ce qu'on pourrait vraiment récupérer la confiance. Je m'allongeais alors sur le lit m'amusant à défaire sensuellement ma serviette tout en la regardant fiévreux « Ah on est bien mieux comme ça » dis-je en fermant les yeux complètement à poils devant Jillian.

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La jeune femme me laissa sur ma faim tout en sortant de la salle de bain, serviette autour de son corps élancé. Entre nous c'était toujours ainsi, nous nous cherchions sans cesse. Sûrement pour rendre nos ébats plus émoustillants, mais également pour réellement faire comprendre à l'autre qu'on le désirais ardemment. Je finis alors par la suivre mettant moi aussi une serviette autour de mon bassin, puis je lui avouais que si elle révisait dur vis à vis de ses erreurs, elle aurait une récompense de taille sans jeux de mot. « Une récompense ? Je ferais mieux de me remettre aux études immédiatement alors! » Elle rigola tout en se positionnant sur un fauteuil au coin de la chambre. Quant à moi je partis m'allonger sur le lit tout en ôtant ma serviette pour l'ennuyer cela va de soit. Bras sur mes yeux je l'entendis alors me dire « Monsieur veut se venger, non? » un sourire taquin naquit sur mes lèvres puis tournant la tête vers la belle blonde je lui répondis « Dieu seul le sait » Bien évidemment je n'étais pas croyant, j'étais complètement athée, pour moi si Dieu existait il ne laisserait pas la misère et la violence s'abattre sur Terre.

Elle continuait alors de me titiller en étalant sensuellement sa crème nourrissante sur ses jambes puis remontant à ses cuisses. Je me mordis la lèvre inférieure pour ne tout simplement pas laisser agir mes instincts de mec désireux. « Tu te sens mieux ? » Je ne sais pas vraiment ce que je devais comprendre par là mais Jillian se leva alors, tout en se dirigeant vers moi elle ôta sa serviette mais je ne pus observer son corps dénudé que quelques secondes. Oui car sa serviette atterrit alors sur mon visage, je sentis alors son corps se mettre sur le mien. Puis je recouvris la vue quand elle enleva ce bout de linge de ma figure. « Je t'aime James, tu sais ? » D'un côté je voulais la croire mais d'un autre côté j'avais peur, peur de finir encore seul comme une merde chez moi après que la femme que j'aime m'ait lâchement abandonné. Ses lèvres virent rejoindre les miennes dans un tendre baiser, mes mains allèrent se plaquer dans son dos, je le dis enfin à voix haute « Alors promets moi de ne pas m'abandonné une fois de plus. » Je déposais alors un baiser sur son épaule en m'étant relevé sur mes avant bras, puis j'allais murmurer à son oreille « Et je t'aime aussi tu le sais... Tu l'as toujours su... »

Jill bougea sensuellement son bassin qui se trouvait juste sur ma virilité, celle-ci ne mit pas vraiment longtemps pour gonfler, je ravalais alors un râle de plaisir. Je plongeais alors mon regard azuré dans le sien, je la dévorais littéralement du regard. Son toucher sur ma joue me procurais des frissons tout le long de mon corps, je fermais les yeux à ce contact. « Ai-je le droit de t'appeler mon petit-ami ? » Je l'observais surpris par sa demande, avait-elle réellement prit conscience que nous deux ça ne pouvait pas se finir, avait-elle réellement réalisé qu'elle n'avait pas à avoir peur, qu'elle pouvait rester avec moi ? « Si tu te comportes comme tel oui ! » Je l'embrassais avec passion mes mains agrippant ses longs cheveux blonds que j'avais préalablement détachés. Je préférais de loin pouvoir caresser sa chevelure d'or. « Je te l'ai déjà dit tu es à moi ! » Je plantais mon regard sérieux dans le sien, oui rien qu'à moi et celui qui la touchait encore une fois je... Je préfère même pas imaginer ce que je lui ferai.

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J'acceptais de donner une deuxième chance à Jillian mais au fond de mon cœur j'avais peur d'être encore lâchement abandonné. La jeune blonde était sur moi, nous étions tous les deux dénudés, nous savions pertinemment ce qui allait se passer. Je lui demandais alors de me promettre une chose, ne pas me quitter à nouveau. « Jamais. » Je voulais tellement la croire, son regard plongé dans le mien ne semblait pas refléter d'hésitation mais ... Je ne sais pas, je doutais un peu quand même. Mais je ne voulais pas non plus vivre dans la peur d'un nouveau rejet, je souhaitais tenter le tout pour le tout avec cette femme qui était pour moi la femme de ma vie. Je suis arrivé à New York quand j'avais vingt-ans, période à laquelle je l'ai rencontré, nous sommes sortis très vite ensembles et cela a été explosif. Dans le sens où nous étions très fusionnels et surtout très tactiles. Nous couchions régulièrement ensembles, dans toutes les positions et tous les endroits possibles. Bon ouais certains diraient que nous sommes un peu nymphomanes et peut-être. Mais je savais que je couchais avec elle par désir qui résultait de l'amour qu je ressentais pour elle. « J'ai envie de te faire confiance... » Oui, notre relation n'était vouée à l'échec que si j'étais réticent, je devais lui pardonner, passer à autre chose. Je lui annonçais alors que moi aussi je l'aimais, mais qu'elle le savait depuis toujours. Ma figure finit entre ses mains, nos front collés l'un à l'autre, nous nous observions. Un sourire illumina son visage, dieu que cette femme était magnifique.

Elle bougea alors son bassin, réveillant le désir qui ne s'était pas totalement éteint, un râle de plaisir sortit de ma gorge sans que je le prémédite. Elle me questionna alors souhaitant savoir si elle pouvait me donner le diminutif de petit ami à nouveau. J'acceptais mais la jeune femme devrait alors se comporter comme tel et bien évidemment ne pas m'abandonner dès que je lui dis ce que je ressens. Mais j'avais vraiment l'impression que quelque chose en elle avait changé. Je détachais ces cheveux, préférant voir cette cascade tomber sur ses épaules, encadrant son visage de part et d'autre. La demoiselle alla éparpiller milles baisers dans mon cou, je frissonnais de tout mon être, mes mains dans le creux de son dos à la naissance de ses fesses, je caressais sa peau du bout des doigts. Elle releva la tête vers moi m'observant de ce regard amoureux, tout en me faisant comprendre que je devais me rallonger. J'obéis alors un sourire au lèvre, ne la quittant pas du regard.

C'est elle qui brisa ce moment en descendant son mon torse pour le harceler de baisers légers comme des papillons. Ses mains allèrent vagabonder sur mon torse, dessinant le moindre de mes abdominaux, je savais que ce corps lui plaisait. Peut-être serait-elle à même de m'en vouloir si je prenais du poids. Enième regard sensuel pour moi, ma virilité gonflait rapidement, le désir brûlant mes entrailles. Il n'y avait qu'elle me faire cet effet là. C'est ce qu'on appelle communément l'amour Hammond, ironisa ma conscience. Jillian n'était pas toutes ses femmes que j'avais prises, non elle... C'était MA Jill. Sa poitrine au niveau de ma virilité frottait celle-ci sensuellement. Je me mordis la lèvre pour ne pas déjà râlé de plaisir, la demoiselle connaissait le pouvoir qu'elle avait sur moi. Mes mains dans ses cheveux se serrèrent un peu plus à chaque vague de chaleur qui m'enivrais le bas ventre. Ses lèvres passèrent au niveau supérieur, celles-ci déposaient des baisers fiévreux à la base de mon gland, je me cabrais de désir pour elle. Si ça ne tenais qu'à moi je la prendrait de suite sans préliminaires, mais ça ne serait pas drôle. Sa bouche ne se contenta alors pas de ça, elle prit alors en otage ma virilité, sa langue jouant avec mon sexe ne faisait que le durcir davantage. Je relevais alors sa tête après cinq minutes de fellation. « Tout doux la tigresse » dis-je le souffle court en passant au dessus d'elle avec une élégance digne d'un félin. J'entrepris alors de déposer des baiser sur le bord de sa mâchoire, la commissure de ses lèvres, son cou, descendant toujours plus bas. Je titillais alors ses tétons durcit par le plaisir, mordillant, léchouillant ceux-ci alors que ma main était partit à la conquête de cette toison d'or auparavant touchée. « Moi aussi je sais jouer. » Le regard fiévreux, je jouais avec son clitoris le caressant du bout des doigts, ce petit bout de peau gonfla par le plaisir procuré. Puis se fut ma langue qui alla titiller la partie intime de ma conjointe, tantôt en gestes rapides, tantôt en gestes lents.

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Jillian était une femme qui savait ce qu'elle voulait, encore plus pendant nos ébats. Pendant que nous couchions ensembles, elle pouvait se montrer un peu plus sauvage, mais c'est une partie d'elle que j'appréciais. Nous étions en osmose totale, nous savions ce que l'autre désirai, ce qu'il aimait. Nous avions beaucoup apprit l'un sur l'autre, je me rappelle cependant de notre première fois qui avait été un peu maladroite. Mais pourtant tellement bonne, c'es là que j'ai de suite su ce que la blondinette aimait par dessus tout, bien sûr j'ai appris davantage de choses avec les années. Nous étions de gros amateurs de sexe, attention que envers l'un et l'autre. Je savais que je la désirais, mais j'avais conscience que si j'avais autant envie d'elle c'est parce que mon amour pour elle était incommensurable. Les mains de Jillian cheminaient dans les méandres de mes abdominaux, plus les années passaient plus mon corps s'était développé. Disons que cela était nécessaire que je garde une forme physique via mon métier. Elle s'attarda par la suite sur mon sexe qui avait gonflé à cause du désir qu'elle me procurait, ses lèvres experte jouaient avec mon gland, sa langue savait émoustiller le bout de mon sexe au maximum. Puis se fut à mon tour de la chevaucher, mes mains malaxèrent ses seins, mais visiblement pas assez vigoureusement puisque les mains de Jill m'aidèrent avec plus de poigne. Je descendis par la suite à son intimité, titillant son clitoris qui gonflait lui aussi à cause de l'excitation grandissante. La jeune femme frissonnais, cela n'était pas du au froid car la pièce était emplit d'une chaleur moite émise par nos corps en ébullition.

Elle serrait et caressait mes cheveux pendant que je m'attelais à ma tâche, c'est à dire lui procurer le plus de plaisir. Ce qui marchait, je sentais son corps se cabrer sous mes coups de langues plus ou moins puissants, les gémissements ne faisaient que me donner encore plus envie d'elle. Puis, elle me fit comprendre de me relever afin de passer son pouce sur mes lèvres entrouvertes, j'en profitais pour mordiller celui-ci haletant. « Je t'aime tellement James Hammond » Ses mots me firent frissonner, depuis qu'elle avait commencé à me dire ses fameux trois mois, elle ne s'arrêtait plus. « Je t'aime aussi Jillian... Tellement... » Je l'embrassais fougueusement puis sentis son bassin rejoindre le mien dans un claquement. Son intimité humide de désir appelait à la pénétration. Je préférais cependant prendre mes précautions cette fois-ci. Je pris alors dans la table de chevet un préservatif puis l'enfilais. « Super zizi en action» dis-je en riant tout en retournant près d'elle. Puis je la mit ventre contre le matelas afin de pouvoir la pénétrer violemment tirant sur ses cheveux pour avoir accès à son cou où je laissais un magnifique suçon « A moi » sussurais-je à son oreille léchant celle-ci pendant que je donnais un coup de bassin plus violent entrant un peu plus en elle.

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