[18] i love the things you hate about yourself » james

Ces derniers temps, je pensais beaucoup à mes parents. L'anniversaire de ma mère approchait à grand-pas et le simple fait d'y penser me rendait particulièrement nostalgique. Durant les dernières années, je n'avais probablement pas été la meilleure fille du monde. Je venais à Island Bay seulement lorsque j'avais besoin de quelque chose, ou à Noël. De plus, il m'arrivait rarement de leur lâcher un simple coup de fil. Il n'y avait aucune raison à cela, j'étais simplement victime d'un peu d'égoïsme dans les cinq dernières années je dirais. Depuis que j'avais réussi à vendre leur maison, ainsi que tous les meubles qui leur appartenaient, j'avais réussi à tourner quelques pages, mais reste t-il que l'ensemble de la situation était particulièrement difficile. Par chance, j'avais emménager avec James, ce qui me permettait de passer des meilleurs nuits, pour .. toutes les raisons que vous et moi pensons. Cependant, il était encore trop tôt pour que mon amoureux de plaigne de mon ménage, mais je sentais que ça ne saurait tarder vraiment.

J'avais pris place sur James, afin de l'embrasser amoureusement et être un peu mieux installée. Mes mains venaient de s'aventurer dangereusement sous son pull, histoire de caresser ses abdominaux. Le contact de sa peau brûlante faisait extrêmement de bien à mes mains. Vu la température extérieure, mes doigts commencèrent à geler un tout petit peu, j'étais donc particulièrement satisfaite de me réchauffer et sur la peau de James en plus. Cependant, à peine je venais d'établir le contact entre nos deux peaux, que mon conjoint se mis immédiatement à frissonner. « N'enlève pas mes mais, je me réchauffe. Juste deux petites secondes! »  Je leva un sourcil, laissant afficher un sourire de satisfaction, légèrement enfantin. Je savais que cette tête gagnait particulièrement le coeur de James et je l'utilisais à bon escient.

Laissant ma main s'aventurer dans son pantalon, je venais de caresser sa virilité, qui gonfla sous le plaisir. Je passa le bout de ma langue sur ma lèvre, avant de la mordiller sensuellement. J'aimais l'effet que je créais sur mon partenaire, elle était presque instantanée. Fière de l'avoir un peu «teaser», je me reposionna un peu mieux, posant mes mains de chaque côté de sa tête. James se hissa alors avec un peu de mal vers moi, afin de déposer un baiser dans mon cou. Taquin, il me demanda alors pourquoi ma main terminait toujours dans son pantalon. Je me redressa alors, adoptant un visage à la fois joueur, mais tout aussi innocente. « Parce que ce qui a à l'intérieur, m'intéresse » Je laissa une pause, afin de l'embrasser puis, me redressa de nouveau. « Tu es bien équipé, ce n'est pas de ma faute ! » dis-je dans un rire digne d'une gamine.

Je me releva alors, balayant les feuilles qui avaient collées après mon pantalon. Je tendis alors mon bras, aidant James à se relever. J'attendis qu'il soit à ma hauteur, avant d'entourer mes bras autour de son cou et de l'embrasser amoureusement. Je recula alors mon visage, mais gardant la même position. « Alors James Hammond, que souhaitez-vous faire de cette magnifique journée ? » dis-je alors tout en replaçant une de ses mèches de cheveux, qui tombait devant son visage.

La mort des parents de Jillian était encore récente, la jeune femme y pensait régulièrement. Je en suis pas dupe de plus je la connais plus qu'elle ne se connait elle-même. Puis des fois, la nuit je la surprends en train de parler dans son sommeil, je suis sûr que la blonde l'ignore. Je la revoyais sourire depuis que nous sommes de nouveau ensembles et qu'en plus elle vit chez moi. Mais la douleur de sa perte ne partira pas de suite, le coeur a besoin de temps pour cicatriser. La demoiselle prit rapidement place sur moi afin d’exercer son charme une fois de plus sur ma personne. Je l'embrassais avec autant de fougue qu'elle, ses mains finir sous mon pull ce qui me fit frissonner. Sa peau froide me donnait comme des coups de jus mais bizarrement cela ne me dérangeait pas tant que cela, je me sentais revigoré sur le coup. « N'enlève pas mes mais, je me réchauffe. Juste deux petites secondes! » Mes mains en bas de son dos, je rougis quand la jeune femme me regarda avec son air enfantin, plein de malice. « Tu as de la chance que je sois toujours en chaleur » dis-je en riant, je savais pertinemment qu'elle ferait le rapport avec l'autre sens de ma phrase.

Sa main ne se contenta alors pas de mon torse mais descendit un peu plus bas, s'infiltrant dans mon pantalon à la recherche de ma virilité qu'elle trouva rapidement. Me titillant du bout des doigts, je la sentis alors grandir et grossir à ce simple geste, ravalant un râle de plaisir. Elle avait un tel pouvoir sur moi c'est affolant ! Elle se repositionna alors normalement, ses deux mains autour de ma tête, je souriais tout en la questionnant. Pourquoi diable sa main finissait-elle toujours dans mon pantalon « Parce que, ce qui y a à l'intérieur, m'intéresse » Ses lèvres finirent une fois de plus sur les miennes avant qu'elle n'ajoute « Tu es bien équipé, ce n'est pas de ma faute ! » Je riais joyeusement, ravi de savoir que mon engin lui plaisait outre mesure. « Et bien merci... Je crois ! » répondis-je simplement en allant mordre sa lèvre inférieure.

Jillian finit par se lever lissant sa robe tout en enlevant ses feuilles qui s'étaient agglomérées sur la matière. Elle m'aida à me relever, une fois à sa hauteur ces bras encerclèrent ma taille puis un long baiser amoureux arriva à la fin. Je mordillais puis suçotais sa lèvre inférieure « Alors James Hammond, que souhaitez-vous faire de cette magnifique journée ? » Un sourire coquin naquit sur mes lèvres, une de mes mains descendit sur sa fesse la serrant doucement « Grâce à madame j'ai une envie irrépressible d'elle dans toutes les positions possibles... » Je repris un peu de contenance afin de lui répondre avec plus de sérieux « Que penserai-tu d'une simple balade, puis après nous pourrions acheter quelque trucs et pique-niquer. Puis par la suite aller se voir une film ou commander un film pour l'hôtel ? Mais tu as peut-être une meilleure idée ma chérie ? »