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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


vous n'avez pas envie d'être seul(e) ? La famille atkins-gallagher recherche les enfants de la fratrie

une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
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 je parle trop ? (sofia)

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyJeu 14 Oct - 0:33

je parle trop ?
Depuis quelques années, la musique est devenue un sujet très personnel dans ma vie. Je ne sais pas si c’est le fait de me retrouver seule, ou de ne plus vraiment avoir d’occasions de jouer devant de larges audiences, mais lorsque je me place à mon piano, c’est en général un moment privilégié, presque intime. Le fait de me retrouver ainsi, à jouer pour Charli, me donne l’impression de m’ouvrir un peu plus à elle. Et curieusement, je ne ressens pas de malaise particulier, ni de pression particulière. Juste l’envie d’être ici avec elle, et un certain bien-être qui m’apaise à mesure que le temps passe. D’une certaine façon, le fait de m’improviser professeure pendant quelques instants est aussi un moyen de faire durer ce moment, que je n’ai pas particulièrement envie de voir s’arrêter. Mais à la fin de notre leçon de piano, je finis par céder à mes pulsions, et je lui offre un premier baiser sur la joue, que je justifie par son assiduité et sa patience. Sa réaction me fait sourire, et en même temps, j’ai bien du mal à imaginer un univers où je ne lui rendrais pas une évaluation positive. Mais je ne suis probablement pas une très bonne professeure, et encore moins avec elle, alors que mon jugement est biaisé par le nœud qui se serre dans mon estomac à chaque fois que mon regard croise le sien. C’est d’ailleurs tout naturellement que je vais lui donner un deuxième baiser, cette fois sur les lèvres. Ma justification est bien maigre cette fois, mais je suis à court d’excuses, et probablement à court de volonté aussi. La jeune femme ne s’en offusque pas et au contraire, vient prolonger ce baiser, en y mettant plus d’insistance, et un peu plus de frénésie à chaque seconde. La main qu’elle place derrière mon cou maintient mon visage près du sien, et je me retrouve prisonnière de son emprise, sans aucune volonté de m’en échapper. A mon tour, je vais attraper le coin de son visage, avant de glisser mes doigts à l’arrière de celui-ci, jusqu’à la base de ses cheveux. Je suis prête à abandonner toute volonté de rester raisonnable, quand le son du piano résonne finalement, et nous interrompt brusquement. La jeune femme s’éloigne un peu, et j’en fais de même, essayant de retrouver une certaine contenance après ce nouveau moment d’égarement. Elle annonce qu’elle ferait mieux d’y aller, et je hoche la tête plutôt rapidement. « Oui... Tu devrais faire ça. » Je ne suis même pas sûre de qui j’essaie de convaincre avec ces mots. D’ailleurs, suis-je convaincante ? Probablement pas. Mais elle ne l’est pas beaucoup plus, alors que nos regards se croisent de nouveau, oscillant entre nos yeux et nos lèvres respectives. Elle m’explique qu’elle n’aura plus envie de partir si elle ne le fait pas maintenant. Et je ne peux pas lui en vouloir, je n’ai pas non plus envie qu’elle s’en aille. « Tu n’es pas obligée de partir... » Encore une fois, mes paroles ont dépassé ma pensée, et je me retrouve prise au piège, les yeux accrochés à ces lèvres qui m’attirent inévitablement... Mais je parviens à m’arrêter, juste avant de céder de nouveau. « Mais tu as raison, c’est plus sage. » Comme pour marquer ma résolution, je me lève, établissant de nouveau une distance raisonnable entre nous. Ce moment m’a rendu fébrile, et je suis trahie par mes mains qui ne savent plus où se placer. Je finis donc par croiser les bras, qui est la seule position dans laquelle j’arrive à tenir sans m’agiter. « Si tu me préviens la prochaine fois, je pourrais mieux m’organiser. » Ou au moins, confirmer que j’ai un peu plus de temps à lui accorder, ou que je suis un peu moins fatiguée qu’aujourd’hui. « Je suis désolée, je sais que tu voulais me faire une surprise. Mais avec mon planning, c’est compliqué... » Nous avons déjà eu cette conversation, je ne sais pas pourquoi je reviens là-dessus. Mais qui sait, peut-être que c’est moi qui lui ferais une surprise la prochaine fois ? Mh, probablement pas. « Tu veux garder un peu de gâteau ? Il est très bon, mais je ne suis pas sûre de pouvoir le finir. » Visiblement, je n’ai pas vraiment envie de la voir partir tout de suite, même si je sais que c’est la chose à faire. « Plus sage », oui. Selon qui exactement ? Je n’en ai pas la moindre idée.
charli & sofia
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Charli Lindström
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○ âge : vingt-quatre ans (née le douze janvier deux mille).
○ statut : célibataire. revenue à ses grands classiques : s'amuser sans s'attacher.
○ métier : étudiante en cinquième et dernière année de communication et management sportif. elle a une année de retard.
○ quartier : dans une villa luxueuse à south bay, avec sa mère.
○ orientation sexuelle : bisexuelle. elle l'a rapidement su et ne s'en cache pas.
○ sujets abordés : troubles alimentaires.
○ informations en vrac : elle a vécu dix-sept ans en suède. ≅ à la mort de sa grand-mère, elle a été accueillie par sa mère, à island bay. ≅ elle est boulimique depuis plusieurs années. ≅ elle est suivie par une psychologue. ≅ lors de ses crises, il lui arrive de faire des malaises. ≅ elle joue de la batterie. ≅ elle aimerait voyager. ≅ elle pratique divers sports : du basket-ball, de la natation, de la course à pied et parfois du rugby. ≅ elle apprécie cuisiner. ≅ c'est une indécise.

○ posts : 2239
○ points : 285
○ pseudo : nsn.
○ avatar : abigail cowen.
○ DC : andrea, celeste, elliott, riley, romi.
○ crédits : lionheart-ress.
○ inscrit le : 27/04/2021
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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyVen 15 Oct - 22:24

✯ ❋ ✯ ❋ ✯
je parle trop ?
(sofia & charli)

La raison de ma venue ici n'a plus de raisons d'être et ça, depuis qu'elle m'a embrassé un peu plus tôt dans la soirée. Maintenant, je n'ai plus envie de mettre le moment sur la plage derrière nous, j'ai juste envie qu'il se produise de nouveau. Encore et encore. C'est bien pour cela qu'assise à côté d'elle, je finis par me rapprocher d'elle et par l'embrasser une nouvelle fois. Rapidement, ce baiser diffère des autres : il traduit le désir que j'ai pour elle. C'est peut-être risqué de partir par là, ça l'est sûrement même. Heureusement, si l'on peut vraiment dire cela, nous sommes ramenées à la réalité grâce à ma maladresse. Je retrouve un semblant de raison et envisage un départ. Comme elle me l'a dit un peu plus tôt, elle travaille demain et je ne voudrais pas que sa nuit soit écourtée à cause de moi. Néanmoins, Sofia me dit que je ne suis pas obligée de partir. Serait-ce une invitation pour rester ? Pas la plus sage, c'est vrai, mais la vraie question est de savoir si nous le sommes vraiment. Avec l'emploi-du-temps de Sofia, ce n'était sûrement pas la meilleure des idées de venir ce soir. Cependant, ça, je ne pouvais pas le savoir avant de venir. Il y aura d'autres fois, j'en suis sûre et ces fois-là, nous nous organiserons un peu mieux. « On devrait peut-être se faire le rendez-vous. Comme c'était prévu au départ. Au refuge ou même ailleurs. » C'est peut-être cette solution la plus simple. Maintenant que les choses ont été mises à plat et que nous avons toutes les deux connaissances de nos envies, nous sommes un peu plus libres. Avant que je n'ai eu le temps de me lever et de préparer mon départ, la jeune femme me propose de garder une part de gâteau. « Non c'est bon, merci. Je te rappelle que je fais attention à ma ligne. » Je fais référence à notre discussion lors de l'alerte au tsunami, où elle m'avait proposé une barre chocolatée. « Ça te fera un en-cas pour demain, entre deux patients. » C’est dommage, prendre encore un peu de gâteau, c’était l’occasion parfaite pour prolonger un peu ma présence ici. Cependant.. il n’y a pas que cette sucrerie. « Mais je devrais peut-être boire mon thé. Si tu le fais à ma place, tu vas devoir te lever deux fois plus cette nuit pour aller aux toilettes. » Si j’ai suggéré de partir, c’est pour lui laisser le temps de se reposer. Lui imposer plusieurs réveils cette nuit serait donc un comble. Je me relève et nous repartons en direction de la cuisine. Durant cette séance improvisée de piano, nos tasses ont eu l’occasion de se refroidir un peu. Je récupère la mienne entre mes mains et commence à boire un peu de ma boisson. Concentrée dessus, je deviens étrangement calme. Mon regard ne quitte que très rarement la brune face à moi. Je ne saurais exprimer ce que je ressens à cet instant précis. Elle a un effet sur moi qui me rend un peu sceptique. C’est agréable et je serais bête de vouloir que ça s’arrête, mais en même temps, j’ai peur de tout faire foirer. De finir par prendre mes jambes à mon cou et de partir. D’ailleurs, partir, c’est ce que j’étais censée faire. Pourtant, je n’en ai plus envie et je cherche un moyen de repousser ce moment. « Tu me fais visiter ? » Je repose ma tasse sur le plan de travail et glisse ma main dans la sienne pour la suivre. Comme une vraie agente immobilière, Sofia me fait découvrir l’endroit où elle vit. Je jette des coups d’œil curieux un peu partout, à la recherche d’éléments qui pourraient m’en dire un peu plus sur elle. Après avoir parcouru une grande partie de sa maison, nous arrivons dans ce qui semble ressembler à la partie nuit de l’habitation. Je m’arrête au plein milieu d’un couloir et tire sur sa main que je tiens toujours pour la faire se retourner vers moi. Le sourire dessiné sur mes lèvres en dit déjà beaucoup sur mes intentions. Je viens plaquer la brune contre l’un des murs et colle mon corps contre le sien. Les baisers entre nous reprennent, comme tout à l’heure, et après plusieurs minutes comme cela, l’une de mes mains se fait un peu plus baladeuse. Naturellement, elle se glisse sous le haut de Sofia, sans pour autant trop s’aventurer : je n’ai pas eu l’autorisation pour ça, je ne voudrais pas qu’elle trouve cela déplacé. Avant que ce ne soit trop compliqué à faire, je sépare mes lèvres des siennes, de seulement quelques centimètres. « Je n’arrange pas mon cas. » Il est certain que maintenant, partir relève de l’impossible. « Mais je mourrais d’envie de faire ça depuis tout à l’heure. » De tout ça, de ces baisers, d’être proche d’elle. Et dire que je voulais oublier tout cela au départ.

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    “On veut se tirer vers le haut mais on fait tout l'inverse. Je sais pas si on obtient vraiment la paix en faisant la guerre.”

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyDim 17 Oct - 22:36

je parle trop ?
La présence de Charli a un effet sur moi que je ne m’explique pas. Entre la confusion qui règne dans mes pensées, et les sensations qui m’envahissent à chaque fois que sa peau rencontre la mienne, je suis incapable de raisonner de façon cohérente à sa proximité. Plusieurs fois au cours de la soirée, nous avons essayé d’échapper à cette attraction, mais celle-ci nous a rattrapé à chaque fois, un peu plus forte et virulente. Contre ma propre volonté, je finis pourtant par m’éloigner en établissant une distance physique suffisante, qui nous permet de reprendre un semblant de conversation. Durant celle-ci, la jeune femme suggère que nous ayons un véritable rendez-vous, au refuge ou ailleurs. D’un hochement de la tête, j’approuve son idée. C’est peut-être ce dont nous avons besoin, et ce sera sûrement plus simple maintenant que les bases sont établies entre nous. J’ai l’impression que cette histoire de refuge date d’il y a une éternité, mais ce n’est probablement qu’une conséquence de mon emploi du temps surchargé. D’une certaine façon, cela remet les choses en perspective : cela ne fait pas si longtemps que nous nous connaissons, et nous avons encore beaucoup de choses à découvrir l’une sur l’autre. Comme par exemple, la raison pour laquelle elle me parle encore de faire attention à sa ligne, ce qui me semble bien superflu, mais ce n’est pas un sujet que j’ai envie d’aborder pour le moment. Je suis un peu déçue de la voir décliner ma proposition, qui n’était qu’un stratagème pour retarder son départ, mais voilà qu’elle propose de finir son thé, ce qui me va tout autant. « C’est gentil de te soucier de la qualité de ma nuit. » C’est une piètre excuse, et nous en avons toutes les deux conscience. Et puis, pour être honnête, je ne pense pas que la quantité de thé bue sera le seul facteur déterminant à la qualité de ma nuit. Déjà, il faudrait que je parvienne à m’endormir, ce qui me semble être un objectif difficilement atteignable au vu de mon état. Et ça ne va pas aller en s’arrangeant, puisque nous revenons vers la cuisine, où nous nous attelons toutes les deux à finir nos boissons. Ce moment de calme me permet de remettre un peu d’ordre dans mes pensées, même si je ne peux m’empêcher de m’interroger sur celles de Charli, et la question qu’elle m’a posée un peu plus tôt. Qu’est-ce que ça veut dire ? Je n’ai pas l’impression d’être beaucoup plus avancée que tout à l’heure sur la question. Mais je dois me faire à l’idée de ne pas savoir, pour une fois. Visiblement, la rousse ne se pose pas autant de questions, et finit par demander une visite de la maison. Il est vrai qu’avec tous les événements, j’ai failli à mon devoir d’hôtesse. « Avec plaisir ! » Et sa main dans la mienne, nous commençons le tour de ma demeure familiale. Entre la cuisine et le salon, elle a déjà vu l’essentiel du rez-de chaussée, mais nous en refaisons le tour avant d’emprunter les escaliers menant à l’étage, puis un long couloir où sont situées les trois chambres de l’habitation. Pendant une seconde, je lance un regard inquiet sur la porte du fond, que je n’ai aucune envie d’atteindre - ce n’est pas que j’ai quelque chose à cacher, mais plutôt que je n’ai pas envie d’en parler maintenant. Mais nous n’avons pas atteint la porte de ma propre chambre que la jeune femme me tire sur la main, m’obligeant à me retourner vers elle. Et sans vraiment comprendre ce qu’il se passe, je me retrouve coincée entre un mur, et son corps plaqué contre le mien. Ses lèvres retrouvent les miennes, et je me sens de nouveau emportée dans un tourbillon de sensations qui me font perdre pieds. Lorsqu’elle marque une pause, en annonçant vouloir faire cela depuis tout à l’heure, je suis aussitôt envahie par un sentiment de frustration et, déjà, de manque. Un sourire entendu apparaît sur mes lèvres, alors que je lui réponds dans un souffle : « Ne t’arrête pas. » Est-ce un ordre ? Une requête ? Je ne sais plus, sûrement un peu des deux. Nos baisers reprennent, et je me laisse aller pendant quelques minutes, ne pensant à rien d’autre que le contact de ses lèvres, et de ses mains sur ma peau. Ce n’est que lorsque je manque de perdre l’équilibre qu’un sursaut de lucidité me gagne. « Attends. » Je profite de ce petit moment de répit pour reprendre mon souffle, et calmer les battements de cœur qui résonnent jusqu’à mes oreilles. « Je ne fais jamais ça... » Ce n’est pas un reproche, mais j’ai besoin de donner du sens à ce qu’il se passe. « ... Et je travaille demain... » Maintenant, je cherche juste un raisonnement logique, une bonne raison de m’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. « ... Et on devrait attendre d’être sûres, de ce qu’on veut... » Plus je parle, plus ma voix semble lointaine, effacée par l’urgence et le désir qui reprennent l’avantage, par-dessus ma propre volonté. « ... Et je ne fais jamais ça. » J’en viens à me répéter, de façon assez peu convaincante. Mais malgré mes mots, je ne peux détacher mon regard des lèvres de la jeune femme, qui m’attirent inévitablement. Perdue dans ma propre confusion, je me laisse aller à la seule chose qui me paraît naturelle sur le moment, à savoir : lui donner un nouveau baiser. Durant celui-ci, un nouvel élan me pousse à lui attraper la main, pour l’entraîner quelques mètres plus loin, où nous passons l’entrée de ma chambre. Une fois à l’intérieur, je referme la porte derrière moi, et m’adosse à celle-ci tout en faisant face à la rousse. Je ne sais pas qui j’ai voulu tromper en croyant m’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Il est déjà trop tard.
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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyLun 18 Oct - 23:09

✯ ❋ ✯ ❋ ✯
je parle trop ?
(sofia & charli)

Il faut croire que j’avais une idée derrière la tête en lui demandant une visite guidée de cette maison. Je ne voulais peut-être pas me l’avouer, mais je me suis rapidement retrouvée rattrapée par mes envies. Ce qui change de tout à l’heure, c’est l’intimité de l’endroit. Ici, nous sommes seules, vraiment seules. Même si l’un de ses voisins décide de venir frapper à sa porte, j’ai un doute sur le fait qu’on pourra l’entendre. C’est sûrement ce détail qui me fait pousser des ailes. Généralement, je suis du genre entreprenante, pourtant avec elle, j’ai peur d’aller trop loin, d’aller trop vite. C’est pour cela que je finis par mettre un terme à notre baiser, lui laissant ainsi l’occasion de tout arrêter si elle le veut. Néanmoins, ce n’est pas exactement ce qui se passe. À l’inverse, Sofia me demande de ne pas m’arrêter. Naturellement, un sourire se dessine sur mes lèvres et très vite, les baisers reprennent entre nous. Je ne sais pas vraiment où nous allons, mais une chose est sûre, il n’y a pas d’autre endroit où je désire être ce soir. Je n’ai plus de raison d’interrompre ce moment, surtout après ce qu’elle a dit. Mais peut-être qu’elle s’est un peu emportée, puisqu’elle s’éloigne un peu, visiblement remplie de doutes. Elle enchaîne des explications, que j’essaye d’assimiler à tour de rôle. Elle ne fait jamais ça ? Pour le coup, je ne suis pas certaine de voir où elle veut en venir. Sa première fois ? Non, j’en doute. Sa première fois avec une femme ? Je ne pencherais pas non plus sur cette option. Mais peut-être que je me trompe, elle seule peut répondre à ce genre de question. Lorsqu'elle évoque son travail, le lendemain, je ne peux m'empêcher de rigoler légèrement : cette excuse, je lui ai sorti un peu plus tôt et pourtant, je suis encore là. Il reste alors la dernière de ses phrases. Est-ce que nous devrions attendre d'être sûres de nous pour poursuivre ? Si je me pose des questions sur ce que l'on pourrait être l'une pour l'autre, où cela pourrait nous mener, je n'en ai aucune concernant mon désir pour elle. Et je pense que mes gestes jusque-là le montre assez bien. Visiblement à court d'arguments, Sofia en répète un qu'elle a dit un peu plus. Elle ne fait jamais ça. Si c'est ce qu'elle veut, je ne la forcément pas. Pourtant, de nous deux, c'est elle qui vient de nouveau poser ses lèvres contre les miennes. Après ça, elle attrape l'une de mes mains et m'attire avec elle à l'intérieur d'une pièce. Une chambre sûrement. Elle referme la porte derrière elles et s'adossent contre celle-ci. Je n'en ai que faire de la pièce, mon attention se porte uniquement sur la brune. Mon regard planté dans le sien, je fais glisser mon gilet le long de mes bras. Lorsqu'il arrive à mes poignets, je fais en sorte de le retirer complètement. Une couche de vêtements en moins, c'est la moindre des choses. Sans vraiment m'en rendre compte, je pince ma lèvre inférieure entre mes dents. Si je ne parle plus depuis plusieurs minutes, mes gestes le font pour moi. Je finis par me rapprocher d'elle et mon corps se colle de nouveau contre le sien. Rapidement, nos échangent reprennent, comme si ça devenait vital pour nous. La douceur de ses lèvres contre les miennes me fait complètement fondre et ce n'est pas qu'une façon de parler : à mesure que les secondes passent à ses côtés, la température de mon corps augmente. Mes mains se glissent de nouveau sous le haut de Sofia, là où elles étaient un peu plus tôt. Mais cette fois-ci, je ne m'arrête pas à ça : mes doigts attrapent le morceau de tissu et lui retirent. Mes lèvres, contraintes de se séparer des siennes, se glissent jusqu'à son cou. J'y dépose plusieurs baisers, avant de lui murmurer quelques mots à l'oreille. « Tu es sûre ? » Je lui laisse le temps de la réflexion, je m'éloigne même un peu d'elle pour lui permettre d'avoir les idées claires. Enfin c'est ce qu'on pourrait croire au début, mais ce que je m'apprête à faire ne va pas vraiment dans ce sens. Mon regard retrouve le sien et ne le lâche plus. Je retire seule mon T-Shirt et je veux qu'elle me regarde. « Si tu ne fais jamais ça, je ne voudrais pas que tu le regrettes plus tard. » Je suis honnête, pourtant mes gestes ne le montrent pas. Ils sont loin de vouloir que nous nous arrêtions là. J'attrape l'une de ses mains et je l'incite à venir se poser sur ma peau, très proche du dernier bout de tissu qu'il me reste en haut.

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyMer 20 Oct - 2:14

je parle trop ?
Je ne fais jamais ça. Me laisser emporter par mes envies et mes pulsions, au détriment de la raison. J’ai l’habitude d’être considérée comme quelqu’un de très sérieuse, studieuse, fiable et prévoyante. Je ne suis pas contre un peu d’improvisation de temps en temps, mais ce n’est clairement pas mon point fort. Alors, me retrouver dans cette chambre avec Charli me rappelle à une partie de ma personnalité, et de ma vie, laissée en suspens depuis de nombreuses années. Mon regard glisse sur sa peau, en même temps que le gilet qui descend le long de ses bras, et je sens le nœud dans mon estomac qui commence à descendre, et répandre sa chaleur un peu plus bas. Cette sensation est encore accrue lorsque je la vois se mordre la lèvre inférieure, et je finis par l’imiter. Par mimétisme, et par envie aussi. Après ce moment, qui a duré bien trop longtemps, trop loin d’elle, elle revient de nouveau coller son corps au mien et je retrouve le goût de ses lèvres. Plus le temps passe, et plus je suis incapable de réfléchir. Mais je n’ai plus envie de réfléchir, je n’ai plus envie de calculer le moindre de mes faits et gestes. Au contraire, j’ai envie de laisser mon corps s’exprimer, à travers mes mains, mes actions, et à travers les baisers que nous échangeons. Si j’ai l’impression de ne plus avoir l’habitude, lui, sait ce qu’il fait. Et ce qu’il veut, aussi. Mes bras qui se lèvent, lorsque Charli me retire mon haut. Mon cou qui se découvre lorsqu’elle s’approche pour y déposer quelques baisers. Tout cela semble venir d’un mécanisme bien huilé, dont je n’ai pas vraiment le contrôle. Un frisson me parcourt l’échine quand elle vient me murmurer quelques mots à l’oreille. Si je suis sûre ? Probablement pas, mais je n’ai plus envie de réfléchir à la question. Et en même temps, cela fait bien longtemps que je n’ai pas été aussi sûre de moi. De vouloir être exactement là où je suis, à faire exactement ce que je suis en train de faire, et avec exactement celle avec qui je suis. Je ne lui réponds pas forcément, mais le regard et le sourire que je lui adresse le font pour moi. Mon regard qui, d’ailleurs, glisse de nouveau sur son corps alors qu’elle retire encore une couche, avant de revenir s’ancrer au fond de ses merveilleux iris. « Je prends le risque. » Vais-je le regretter ? Peut-être. Je n’en ai pas la moindre idée. Mais pour le moment, je suis mon instinct qui me pousse à rester auprès d’elle. À me rapprocher même, alors qu’elle attrape ma main pour la poser sur sa peau, dont la température est au moins aussi élevée que la mienne. Dans d’autres circonstances, j’aurais pu m’inquiéter, mais nous savons toutes les deux que ce n’est pas la fièvre qui nous fait cet effet-là. Après un nouveau sourire, je laisse mes lèvres effleurer délicatement le creux de son cou, alors que mes doigts s’aventurent sous le dernier bout de tissu qui lui reste. flirtant gentiment avec les coutures. Nous ne sommes pas très loin de mon lit, et je décide tout simplement d’aller m’asseoir au bord de celui-ci. Mais je n’ai pas envie de rester loin de la jeune femme trop longtemps, alors avec insistance, je la rapproche de moi en glissant mes doigts dans les boucles de son jean. Je peux maintenant me laisser aller à explorer sa peau, de mes lèvres. Pendant ce temps, mes doigts s’appliquent à lui retirer la dernière pièce qui lui recouvre le torse, avec dextérité. Lorsqu’elle en est débarrassée, je vais déposer quelques baisers sur la zone nouvellement découverte, avant de faire une pause, pendant laquelle je prends le temps de la regarder. Si elle avait encore un doute, le désir qui se traduit dans mes yeux devrait suffire à la rassurer sur mes intentions. « Et dire que j’avais prévu de me coucher tôt... » Avec un petit sourire, je m’amuse de la situation. Mais je m’occuperais des conséquences plus tard. Pour le moment, je glisse une main dans mon dos, et retire le dernier vêtement qu’il me reste, histoire que nous nous retrouvions sur un pied d’égalité. Et lorsque je relève les yeux vers Charli, il n’y a plus la moindre confusion dans mon regard. A sa place, elle peut y lire de la curiosité, de la détermination, et surtout, le désir inavoué de lui appartenir.
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○ sujets abordés : troubles alimentaires.
○ informations en vrac : elle a vécu dix-sept ans en suède. ≅ à la mort de sa grand-mère, elle a été accueillie par sa mère, à island bay. ≅ elle est boulimique depuis plusieurs années. ≅ elle est suivie par une psychologue. ≅ lors de ses crises, il lui arrive de faire des malaises. ≅ elle joue de la batterie. ≅ elle aimerait voyager. ≅ elle pratique divers sports : du basket-ball, de la natation, de la course à pied et parfois du rugby. ≅ elle apprécie cuisiner. ≅ c'est une indécise.

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyJeu 21 Oct - 16:54

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyVen 22 Oct - 3:12

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○ âge : vingt-quatre ans (née le douze janvier deux mille).
○ statut : célibataire. revenue à ses grands classiques : s'amuser sans s'attacher.
○ métier : étudiante en cinquième et dernière année de communication et management sportif. elle a une année de retard.
○ quartier : dans une villa luxueuse à south bay, avec sa mère.
○ orientation sexuelle : bisexuelle. elle l'a rapidement su et ne s'en cache pas.
○ sujets abordés : troubles alimentaires.
○ informations en vrac : elle a vécu dix-sept ans en suède. ≅ à la mort de sa grand-mère, elle a été accueillie par sa mère, à island bay. ≅ elle est boulimique depuis plusieurs années. ≅ elle est suivie par une psychologue. ≅ lors de ses crises, il lui arrive de faire des malaises. ≅ elle joue de la batterie. ≅ elle aimerait voyager. ≅ elle pratique divers sports : du basket-ball, de la natation, de la course à pied et parfois du rugby. ≅ elle apprécie cuisiner. ≅ c'est une indécise.

○ posts : 2239
○ points : 285
○ pseudo : nsn.
○ avatar : abigail cowen.
○ DC : andrea, celeste, elliott, riley, romi.
○ crédits : lionheart-ress.
○ inscrit le : 27/04/2021
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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyDim 24 Oct - 21:59

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyMar 26 Oct - 1:25

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○ âge : vingt-quatre ans (née le douze janvier deux mille).
○ statut : célibataire. revenue à ses grands classiques : s'amuser sans s'attacher.
○ métier : étudiante en cinquième et dernière année de communication et management sportif. elle a une année de retard.
○ quartier : dans une villa luxueuse à south bay, avec sa mère.
○ orientation sexuelle : bisexuelle. elle l'a rapidement su et ne s'en cache pas.
○ sujets abordés : troubles alimentaires.
○ informations en vrac : elle a vécu dix-sept ans en suède. ≅ à la mort de sa grand-mère, elle a été accueillie par sa mère, à island bay. ≅ elle est boulimique depuis plusieurs années. ≅ elle est suivie par une psychologue. ≅ lors de ses crises, il lui arrive de faire des malaises. ≅ elle joue de la batterie. ≅ elle aimerait voyager. ≅ elle pratique divers sports : du basket-ball, de la natation, de la course à pied et parfois du rugby. ≅ elle apprécie cuisiner. ≅ c'est une indécise.

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MessageSujet: Re: je parle trop ? (sofia) (#)   je parle trop ? (sofia) - Page 2 EmptyJeu 28 Oct - 9:15

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