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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 Tu me fatigues ! [Luker]

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MessageSujet: Re: Tu me fatigues ! [Luker] (#)   Tu me fatigues ! [Luker] - Page 2 EmptyMer 30 Nov - 13:59

❝ Tu me fatigues ! ❞
Parker & Lukas

Je m’attends à ce que Lukas soit de mauvaise humeur lorsque je la retrouve et c’est pour cette raison que je l’entoure de mes bras, venant embrasser son cou comme pour me faire pardonner alors qu’au final, ce n’est pas de ma faute si on vient de croiser une de mes ex. « Ouais, regarde, ça ce serait parfait. Il serait tout près de nous durant quelques mois. Tu vois ? » Je hoche la tête et continue de jouer de mon nez dans son cou. « On peut le prendre ? Ca me rassurerait… » « Oui, si ça peut te rassurer on prendra ça aussi mon ange. » Je ne m’éternise pas, je commence à fatiguer et j’ai envie de rentrer. Elle ne rechigne pas à ce que nous rentrions après avoir passé commande de toute notre petite liste. Tout arrivera en début de semaine, et ça m’emmerde un peu parce que je sais qu’elle s’évertuera à tout monter avant que j’arrive, même avec son handicap éphémère et son ventre qui prend une envergure impressionnante de jour en jour. Nous arrivons à la maison et je laisse Lukas déposer les petites choses que nos avons acheté qui n’arrivera pas la semaine prochaine, quant à moi, je m’écroule dans le canapé en souriant. Presque avec difficulté, je retire mes chaussures et grogne presque de sentir à nouveau cette douleur dans mon dos. Ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Je soupire et Lukas me rejoint assez rapidement et se positionne au dessus de moi derrière le dossier du canapé, passant ses mains autour de mon cou. Je baille un peu et la laisse m’embrasser dans la nuque. « Tu veux monter t’allonger mon cœur ? Ou faire une sieste ici, toutes les deux ? Je descends la couette. » « Hum, oui, je crois que j’ai bien envie d’une sieste. » Les baisers de ma moitié glissent dans mon cou et ses mains s’aventurent sous mon chemisier. « En plus les enfants ne rentrent pas avant au moins le milieu de la nuit… » Sa voix est sensuelle comme elle sait l’être. En temps normal, cette voix, ses baisers, ses mains sur ma peau m’auraient donné envie d’elle en une fraction de seconde. Et pourtant, ce n’est présentement pas le cas. « Mon amour, j’ai vraiment envie de dormir. Ce matin c’était toi, et maintenant c’est moi qui ai un coup de pompe… » Je bloque ses mains des miennes et me tourne pour venir attraper tendrement ses lèvres des miennes. « Tu veux bien aller nous chercher une couette et on dort, vraiment ? » Je comprends que je la frustre un peu, mais ce matin c’était l’inverse. Décidément, on n’est pas très synchro ces derniers temps. Et puis je me rends compte que je lui demande de remonter à l’étage alors qu’elle a mal à la jambe. Alors je me lève presque d’un coup. « Rectification. Je monte chercher la couette, et tu n’as qu’à te choisir un film sur Netflix. » Je l’embrasse à nouveau et me lève pour aller à l’étage chercher notre couette. Au passage, je me change et enfile une tenue plus confortable, un pantalon en coton fin et légèrement ample et un débardeur sans soutien-gorge. Je redescends avec la couette et sens comme une légère baisse de tension. Je la balance donc sur le canapé et file à la cuisine pour récupérer une petite poignée d’amandes que je grignote en revenant vers le canapé. « Tu as trouvé ton bonheur ? » Je me laisse à nouveau tomber dans le canapé et m’allonge au niveau de la méridienne en installant correctement les coussins et la couette. Lukas n’aura plus qu’à venir se coucher contre moi si elle veut dormir aussi. Je me laisse sombrer en quelques secondes à peine alors qu’elle était en train de me parler, ou de me proposer des films, ou j’en sais rien en fait. Mais je sombre dans un semi-coma qui j’espère sera réparateur.
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MessageSujet: Re: Tu me fatigues ! [Luker] (#)   Tu me fatigues ! [Luker] - Page 2 EmptyJeu 1 Déc - 23:46

❝ Tu me fatigues ! ❞
Parker & Lukas


« Oui, si ça peut te rassurer on prendra ça aussi mon ange. » Après un fin caprice, j’obtiens qu’on le prenne tout de suite. Je suis une enfant, une enfant qui va en élever un autre, et je plains déjà Parker, c’est pour dire ! Mais elle sait comment je fonctionne, certaines petites choses lui échappent et lui échapperont sans doute toujours, mais sa plus grande qualité, c’est de les accepter sans chercher à comprendre. Elle me prend comme je suis, et se fout du reste, ce n’est pas le genre de personne qui se fait à ce qu’elle pense être juste ou pas, elle fait ce qu’elle pense devoir faire, et basta. Et si elle doit défendre ma cause devant le monde entier sans même la comprendre, elle le fera, par amour.
En rentrant, je lui propose une petite sieste, pas que je sois fatiguée, mais elle, elle l’est clairement. Et je dois dire que ça me fait plaisir de voir qu’elle se pose, que je vais pouvoir en profiter, pour un moment câlin, et peut-être même un peu plus… à ce que je crois… « Hum, oui, je crois que j’ai bien envie d’une sieste. » J’entame alors une méthode toute séductrice pour me rattraper de tout à l’heure, en caressant son corps, de mes mains baladeuses. « Mon amour, j’ai vraiment envie de dormir. Ce matin c’était toi, et maintenant c’est moi qui ai un coup de pompe… » « OK… Alors on se contentera de dormir. Mais je t’aime quand même. » Lui souriant en volant un baiser dans son cou. « Tu veux bien aller nous chercher une couette et on dort, vraiment ? » «Seulement si j’ai le droit de m’endormir et de me réveiller dans tes bras. C’est à prendre ou à laisser ! » Montant déjà pour aller chercher la couette. Mais elle m’arrête en plein vol, tu parles, elle a fini par capter que je n’étais pas en état de faire des folies. « Rectification. Je monte chercher la couette, et tu n’as qu’à te choisir un film sur Netflix. » « Mais je peux le faire ! De toute façon t’aime pas toujours ce que je choisis. » Non, et c’est vrai. Nous n’avons pas les mêmes goûts. J’adore les films policiers, les trucs un peu trash et les comédies romantiques des années 90. Parker, elle est sans doute plus sensible, en tout cas différente.

Elle redescend avec la couette et se sert une poignée d’amandes. Elle a un vrai souci de fatigue, et de tension, je ne comprends pas où elle puise cette énergie mais pourtant se sentir crevée en pleine journée n’est pas d’elle. Elle part très tôt le matin, rentre tard le soir. Elle prend à peine le temps de vivre même si je sais que tout ça changera quand le bébé sera là. Quand notre petitou pointera le bout de son nez et qu’elle aura d’autres priorités, en tout cas je l’espère. « Tu as trouvé ton bonheur ? » « Si je te dis Fightclub, tu cries pas ? » On ne sait jamais ! De toute façon elle n’en verra sans doute pas la moitié. Je me glisse tout contre elle sous la couette et soupire de plaisir. C’est un bonheur de pouvoir s’affaler là, sans remords, sans jugement. Larver, tout simplement. Je couve, j’ai le droit ! Je lui parle, sans réponse, sans rien qui ne suive derrière si ce n’est son souffle apaisé. Ah ben voilà, j’ai fini par la perdre, je le savais. Je me contente simplement de remonter la couette sur son épaule et de m’endormir moi aussi à la moitié du film.

Je me réveille quelques heures plus tard, à peine deux, mais j’ai l’impression d’avoir dormi deux vies. Parker dort encore et je préfère ne pas perturber son sommeil. J’attrape ma béquille et me réfugie sur la terrasse pour fumer une clope, sans qu’elle ne me tombe dessus, et tenter de lire les catalogues bébé, mais c’est long sans elle, et ça n’a aucun intérêt. Autant je sais m’occuper quand elle n’est pas là mais quand elle l’est et qu’elle n’est pas à moi je trouve le temps horriblement long ! Quand la nuit tombe, toujours pas de Parker. Elle est partie pour la nuit ou comment ça se passe ? Elle n’a pas dîné. Sur les coups de 22 h, je me décide tout de même à aller la réveiller. Je me pose tout près d’elle, et l’embrasse délicatement dans le cou. « Mon amour, il est 22 h, j’ai faim. » Si elle peut se lever qu’on partage le plat de pâtes que je viens de faire. Au pesto, elle est végétarienne, alors je fais attention à ne pas mettre de viande dans les sauces ou quoi que ce soit de similaire. Oui, c’est relativement folklo, mais on trouve notre bonheur comme ça, en tout cas moi je trouve le mien. Plus d’une demi-heure qu’elle ne bouge pas et moi j’ai déjà fini mes pâtes ! Deux fois ! Je retourne près d’elle et tente de la faire bouger. «Allez bébé, tu serais mieux là-haut. Si les enfants te voient là ils vont penser qu’on s’est engueulées. » Kenzo va s’inquiéter, et Noa ne passera pas par la maison, elle a la pool house pour elle toute seule et les fins de soirées, elle les passe là-bas, pour éviter de se faire cramer par maman quand elle a trop bu. Je vais toujours vérifier qu’elle aille bien et qu’elle soit dans son lit, mais je n’en dis jamais un traitre mot à Parker.
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MessageSujet: Re: Tu me fatigues ! [Luker] (#)   Tu me fatigues ! [Luker] - Page 2 EmptySam 3 Déc - 22:56

❝ Tu me fatigues ! ❞
Parker & Lukas

Je suis soudainement épuisée, je n’ai envie de rien, et même les mains baladeuses de ma femme n’ont pas le pouvoir de me réveiller. C’est bien que ça ne va pas fort. « OK… Alors on se contentera de dormir. Mais je t’aime quand même. » J’esquisse un sourire, plus pour la forme qu’autre chose. Je lui demande d’aller chercher la couette, ce à quoi elle me répond : « Seulement si j’ai le droit de m’endormir et de me réveiller dans tes bras. C’est à prendre ou à laisser ! » Cette fois je lui souris. « Tu sais que tu auras toujours le droit de t’endormir et te réveiller dans mes bras. » Mais au moment où je prends conscience que je viens de lui demander de monter à l’étage alors qu’elle n’est pas encore ‘réparée’, je change d’avis et vais moi-même chercher la couette, lui demandant de choisir un film qu’elle pourra regarder le temps que je dors. Si jamais elle ne veut pas dormir. « Mais je peux le faire ! De toute façon t’aime pas toujours ce que je choisis. » Je hausse les épaules et lui réponds en haussant un peu la voix puisque je suis déjà en haut. « Choisis ce que tu veux de toute manière je vais en voir cinq minutes à tout casser.» Et c’est le cas. Lukas choisis fight club et j’aurai pu grimacer, mais je m’endors même avant de voir les noms des acteurs au générique de début. S’en suit des heures de sommeil, un début de nuit, clairement. Lukas essaie de me réveiller alors que j’ai dormi quasiment toute la fin d’apres-midi et le début de la soirée. « Mon amour, il est 22 h, j’ai faim. » Je grogne un peu et me retourne pour continuer à dormir. Je n’ai pas envie ni de me lever, ni de faire à manger, ni même de manger. Je suis partie pour ma nuit, qu’elle me laisse tranquille. Après un certain temps, Lukas tente à nouveau de me réveiller. « Allez bébé, tu serais mieux là-haut. Si les enfants te voient là ils vont penser qu’on s’est engueulées. » Je soupire largement. « Mais n’importe quoi… tu pouvais pas juste me laisser dormir ? » Et voilà. Mauvais poil bonjour. Je grogne encore et me lève, la gueule enfarinée et les sourcils froncés. Je vois pas grand chose mais tant pis. Je me lève, fébrile, la couette enroulée sur moi en guise de grotte, et je monte les escaliers en mode zombie. Elle s’occupera de ranger et tout éteindre, je n’y pense même pas. Une fois dans la chambre je me laisse tomber sur le lit, tente de remettre la couette droite, ou presque, et me rendors presque illico. Je n’entends pas Lukas monter, ni même rejoindre notre lit conjugal.

Au matin, c’est sur les coups de dix heures que j’ouvre les yeux, chose qui arrive rarement. Très rarement. Je ne dors jamais autant. Lukas dort toujours, ce qui en soit est habituel, et je me redresse un peu pour récupérer mon téléphone et checker mes mails, mais même ça je n’en ai pas envie. Je repose mon téléphone sur la table de nuit en soupirant, et finis même par me rendormir. C’est à peu près en même temps que Lukas que je me réveille finalement, il est quasiment midi. Je m’étire un peu et remarque le regard halluciné de Lukas. « Hum. Je crois que j’avais besoin de sommeil.» Ça ne me ressemble pas, c’est même inquiétant quand on me connaît. « Je me suis réveillée y’a deux heures et puis finalement je me suis rendormie. » Après quelques dizaines de minutes Lukas me dit qu’elle a faim et je grimace. « J’ai pas envie de faire à manger, tu veux pas qu’on commande un truc ? Enfin pour toi surtout, moi j’ai pas faim. » J’ai sauté un nombre incalculable de repas, j’ai presque la nausée et je me sens faible. « Tu as prévu quelque chose à faire aujourd’hui ? J’ai envie de rien… » Ça s’annonce mal, très mal même…
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MessageSujet: Re: Tu me fatigues ! [Luker] (#)   Tu me fatigues ! [Luker] - Page 2 EmptyDim 4 Déc - 14:10

❝ Tu me fatigues ! ❞
Parker & Lukas


« Tu sais que tu auras toujours le droit de t’endormir et te réveiller dans mes bras. » Je le sais, oui, mais j’ai besoin de l’entendre. Qu’elle me le répète pour m’en rassurer, et ça me fait plaisir de savoir qu’elle a compris le principe. J’en affiche beaucoup comme ça, une tranquillité d’esprit, une assurance sans failles, mais il n’en n’est rien. Je suis encore morte de trouille à l’idée de redevenir maman pour la seconde fois, mais Parker fait ce qu’il faut. Elle comprend que j’ai besoin d’entendre que ça ira, qu’on sera de bons parents, qu’il ne manquera de rien. Je ferais tout pour que ce soit le cas, mais je ne suis pas suffisante et le souvenir de Wyatt, que je le veuille ou pas, reste au fond de moi. Il ne me ronge pas, mais il plane au-dessus de ma tête. Il m’arrive plus facilement de regarder la petite photo de nous trois, Shay, notre fils et moi, que je cache dans mon portefeuille. J’ose la sortir à présent, et la regarder sans m’effondrer ni avoir envie de tout casser autour de moi. Je considère ça comme un progrès notoire. Parker fait partie de ma vie, elle est même toute ma vie maintenant, nous avons une nouvelle vie à présent, mon ex-femme et moi. Peut-être était-ce écrit comme ça, je n’en n’ai pas la moindre idée. « Choisis ce que tu veux de toute manière je vais en voir cinq minutes à tout casser.» C’est souvent moi qui choisis. Je suis une vraie accro à la télé. Elle beaucoup moins. Elle me laisse choisir le programme presque à chaque fois. En plus de ce que je peux regarder la journée. Mon addiction à toute forme d’écran la dépasse, mais il ne me reste que ça vu que je n’ai pas encore le droit de courir après les méchants. Ça me manque, elle ne sait pas comment !

Effectivement, elle ne fait pas un pli, elle a l’air exténuée. En même temps, ça lui apprendra à se lever à 5 h du mat pour foutre le way dans la baraque. Quoi qu’à la laisser dormir, c’est bien ce qui risque de m’arriver demain matin ! Mais je n’ai pas le cœur à la réveiller avant qu’il ne soit vraiment temps pour elle de monter. Elle ne peut pas passer la nuit sur le canapé, il est confortable mais elle est toute recroquevillée. « Mais n’importe quoi… tu pouvais pas juste me laisser dormir ? » Je me doutais qu’elle serait de mauvais poil, mais peut-être pas autant. Elle a le droit à ses humeurs, j’ai les miennes aussi. « Je voulais que tu sois mieux, viens, on… » Monte. Je crois qu’elle monte, en effet. Je la suis du regard et la laisse faire, sans chercher à nouer un nouveau dialogue, elle n’en n’a pas envie pour le moment. On discutera demain, elle a besoin de repos. Je m’occupe de ranger un minimum le salon et de tout éteindre avant de monter. Les volets roulants sont fermés, les baies vitrées aussi, tout va pour le mieux. Je me glisse tout contre elle sans qu’elle ne s’en rende compte et m’arrange pour que ses bras m’entourent.
Au petit matin, en tout cas mon petit matin à moi qui avoisine les 11 : 30 am, j’ouvre un œil pour vérifier l’heure et me tourne vers Parker, que je sens encore à mes côtés. « Hum. Je crois que j’avais besoin de sommeil.» Je lui souris, me tourne comme je le peux et viens poser ma tête sur son épaule en l’entourant de mes bras. J’ai besoin de la sentir près de moi, de même que mon fils qui commence à s’agiter, sans doute. « Je me suis réveillée y’a deux heures et puis finalement je me suis rendormie. » « Tu vas devenir la femme parfaite, fait attention, je pourrais y prendre goût. » Embrassant son épaule nue. Je crois qu’elle n’est pas d’humeur à en faire plus, mais je me contente de ce qu’elle a à proposer. Je reste comme ça quelques minutes, et mon estomac se met à grogner. « [color=#009999]J’ai faim. » Ou la phase la plus prononcée depuis des lustres par moi-même. Si on devait les compter, on prendrait peur ! « J’ai pas envie de faire à manger, tu veux pas qu’on commande un truc ? Enfin pour toi surtout, moi j’ai pas faim. » « Ca fait quand même deux repas que tu sautes. Et tes raviolis d’hier midi ne comptent pas comme un vrai repas. » Je caresse doucement son ventre, tout plat, musclé, Dieu que je me sens nostalgique ! « Tu as prévu quelque chose à faire aujourd’hui ? J’ai envie de rien… » « Tu sais bien que je prévois jamais rien. Mais on n’est pas obligées de faire quoi que ce soit. Si tu préfères qu’on reste ici… » Aventurant mes lèvres dans son cou, puis entre ses seins. Mais je me stoppe net dans mon élan. « Il vient de bouger… Attend, donne-moi ta main ! » Je la prends pour la poser sur mon ventre, cherchant l’endroit où il vient de donner un coup. Ça se fait rare, mais ce matin il est particulièrement agité. « Tu le sens, là ? » Un regard perdu au fond de la pièce pour mieux sentir les coups de mon petit bonhomme. Je ne suis au moins pas grosse pour rien.
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