What you do to me ∆ Billy & Jo' ∆ Hot

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« What you do to me »

Billy & Johanna

Tous ses sens frétillent. Le jeune homme croule sous l’envie qui grandit à chaque seconde, à chaque fois que sa peau effleure la sienne. Son corps vibre, il n’en peut plus d’attendre plus longtemps. En train de déboutonner les jeans de Jo, celle-ci l’arrête brusquement dans son geste, l’empêchant d’accomplir sa tâche qu'il exécutait avec ardeur. Pensant un instant que Jo ne désire pas aller plus loin, le jeune homme est traversé d’un frisson d’horreur. Non pas parce qu’il n’allait pas avoir ce que son corps demande si fervemment, mais parce qu’il s’attend un instant à être celui mis en plan, ce qui le plongerait dans une humiliation horrifiante. Toutefois, il n’a pas le temps de s’attarder davantage à cet état d’esprit qui le déstabilise; il est entrainé en un rien de temps vers une camionnette garée tout près. Jo ne perd pas de temps pour prendre les rênes et pousse le jeune homme à l’arrière du véhicule dont les portes sont étrangement déverrouillées. « L’idée de l’arbre ne t’allume plus? », lui lance-t-il avec un sourire moqueur. Billy perd son sourire, ce dernier étant frappé d’un spasme d’excitation provoqué par les mains de Jo qui se rapprochent dangereusement de son intimité. Complètement abandonné au toucher habile de la jeune femme, il perd tous ses moyens. Dans un soupir, Billy souffle un « putain » presque inaudible. Rapidement, son chandail se trouve à valser ailleurs dans la camionnette, découvrant ses muscles bien découpés. Le t-shirt de Jo lui aussi retiré, Billy ne peut s’empêcher de regarder sa volumineuse poitrine. Son corps était comme la Mona Lisa; un oeuvre d’art dont on ne se lasse pas de regarder. Heureusement pour Billy, il est permis de la toucher; il veut être l’inquisiteur de sensations qu’elle n’a jamais ressenties avant.
Lorsque leurs lèvres se scellent à nouveau, le jeune homme bascule un peu son corps sur le côté, emmenant Jo dans son mouvement. Rapidement, il se trouve sur elle; à son tour de prendre contrôle du jeu. Ses yeux naviguent au-dessus de son corps aux formes voluptueuses. Il ne peut s’empêcher de poser ses lèvres sur sa poitrine dont la peau frémit sous ses baisers passionnés. Gardant Jo sous son sort charnel, il en profite pour déboutonner ses pantalons. Ses essais pour lui les retirer par lui-même étant vains, il lève les yeux vers elle, quelque peu découragé. « Va falloir que tu m’aides, ils sont collés sur ta peau », lui lance-t-il en rigolant légèrement. Il ne pouvait attendre davantage que ses jeans ne constituent plus une barrière séparant leur intimité.
La jeune femme n’arborant maintenant plus qu'une simple culotte, Billy en profite pour lui donner un avant-goût du plaisir qui l’attend. De ses doigts agiles, il titille l’envie de Jo qui, comme la sienne, n’attend que l’on s’en occupe pleinement. Non sans arrêter son petit jeu, Billy reprend possession de sa bouche qu’il embrasse avec passion et violence, un mélange qui fait frémir son corps jusqu’aux moindres de ses membres.

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What you do to me
Billy & Jo'

"L’idée de l’arbre ne t’allume plus ?" Je grogne légèrement. Dieu sait que l'idée de l'arbre me plaît encore, plus que ça même. Si on si ça avait été l'été, s'il ne faisait pas si froid, si on ne risquait de se faire surprendre... Mais ce n'est pas le cas. Je suis certes un peu déçue mais, au stade où j'en suis, la seule vue de Billy suffit à m'exciter au possible. "Ohhh, tais toi." Je me mets alors à explorer son corps de mes mains, avide. "Putain." Il me semble l'entendre jurer mais je ne peux pas le confirmer à cent pour cent. De nouveaux nos lèvres se trouvent. Il n'y a rien de tendre dans ce baiser, il est violent, passionnée. Et bordel, j'adore ça. Dans mes veines, mon sang se transforme en lave. Mon coeur bat la chamade quand il m'entraîne avec lui au sol. Il est maintenant sur moi, je sens son corps partout contre moi, j'en ai le souffle coupé. Je frisonne lorsque je sens son regard, il me regarde comme personne ne l'a fait au paravant. Oh mon dieu, ça me fait un effet fou ! Je crois mourir quand ses lèvres capture mon sein. Je gémis de façon incontrôlée. Ses mains se dirigent maintenant vers mon pantalon qu'il tente d'enlever sans jamais réussir. "Va falloir que tu m’aides, ils sont collés sur ta peau." Je ricane alors qu'en parallèle, je m'active pour l'y aider. "Pas si douée au final, hein ?" Je le taquine, un sourire mutin aux lèvres. Enfin, j'arrive à me défaire de mon jean que je lance au loin sans ménagement. Le peu de contrôle qu'il me restait s'évapore à la seconde où il pose ses doigts sur mon intimité. Je crois défaillir. J'en hoquète de surprise. J'ai soudain très chaud. Je n'arrive à croire que ça arrive vraiment. Il m'embrasse fougueusement et sa main m'effleure de nouveau. Cette fois-ci mon dos se cambre complètement. "Oh mon dieu Billy..." Je n'aurais pas cru pouvoir un jour ressentir autant de plaisir. J'halète, incapable de respirer normalement. Ses doigts décrivent des cercles sur ma culotte, il joue avec le feu sans encore aller plus loin. Ça me rend folle, littéralement. Je gémis de plus en fort, me mordant la lèvre inférieur pour essayer de me contrôler, en vain. Je me demande alors s'il peut me faire jouir à travers ma culotte. Jamais ça ne m'est arrivée mais j'ai le sentiment, qu'avec lui, tout peut se passer. Peut-être que c'est à cause de l'alcool. Ou du besoin de prouver que je peux être aussi audacieuse et attirante que lui. À moins que ce ne soit la faute de ses caresses. Je pourrais accuser aussi toutes les émotions qui envahissent ma poitrine ou le désir qui s'accumule entre mes cuisses. Peut-être que c'est un tout. Ça n'a pas la moindre importance. Mon cerveau s'est mis en veille. La seule chose dont j'ai conscience, c'est que je veux lui faire sentir le même plaisir que je ressens en ce moment. Je veux qu'il gémisse sous mes caresses, je veux qu'il dise mon nom alors qu'il perd tout contrôle... J'en ai tellement envie... Je bouge sans réfléchir aux conséquences (au point où j'en suis, ça ne peut pas être pire de toute manière). J'inverse nos postions, me retournant brusquement, l'entraînant au passage, pour me retrouver au dessus de lui à mon tour. Cette fois-ci, c'est moi qui suis au commande. C'est la première fois que je fais quelque chose dans le genre. À l'accoutumé, je suis plus passive, je dois l'avouer. Mais là, Billy me donne envie d'être audacieuse, de faire des choses que je n'ai jamais faite jusqu'à présent. Il me donne envie de faire passer son plaisir avant le mien. Je le prends ainsi en main à travers son jean, il est dur, à l'étroit derrière la fermeture éclair. Je le fixe un moment, le regard voilé par le désir. Je fais glisser ma main vers le haut, suivant sa longueur assez impressionnante. Mes mains savent quoi faire instinctivement. Je l'ai déjà fait, quelques fois seulement, mais j'image que c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. J'ouvre un à un les boutons de son jean, puis baisse la fermeture avec précaution. Je glisse mes doigts à l'intérieur de ses vêtements et les enroule autour de sa peau chaude et dure pour le sortir. Sa peau est rougie, douce comme de la soie, j'en suis émerveillée. Pendant quelques secondes, le simple fait de le sentir contre moi me laisse toute chose. Je remonte de sa base jusqu'à son extrémité. Mon ventre se contracte. Alors, prise de folie, je l'embrasse de nouveau. Une première fois sur la bouche, une deuxième fois dans le cou, une troisième sur son torse et enfin... Le goût salée de sa peau danse sur ma langue alors je bouge lentement la main vers le bas, pour l'explorer, pour le prendre en bouche. Je me sens alors très nerveuse, n'ayant que peu l'habitude de faire de telles choses. J'ai peur de ne pas lui plaire, de faire quelque chose de travers. Ainsi, je rive mes yeux aux siens, pour sonder son regard, son appréciation.

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« What you do to me »

Billy & Johanna

Le jeune homme ne peut s’empêcher de sourire lorsqu’il l’entend gémir son nom, ce qui le fait interrompre momentanément le langoureux baiser qu’ils échangent. Il la sent perdre tous ses moyens sous lui, s’abandonner à ses mouvements qui la font sortir de son monde. Chaque gémissement qu’elle laisse échapper fait monter en lui un désir qu’il ne peut plus contenir. Il n’a envie que d’aller plus loin, de sentir qu’ils ne font qu’un. Désirant l’agacer davantage, il se penche près de son oreille et lui souffle: « Je vais te faire crier ». Peut-être cela semble-t-il prétentieux, mais Billy a la fervente intention de lui faire vivre la meilleure baise de toute sa vie. Alors qu’il s’apprête à descendre ses petites culottes pour s’adonner avec plus de dédication à sa tâche, la jeune femme prend les commandes. Sa soudaine prise de contrôle déconcerte le jeune homme quelques instants. Toutefois, cela ne le déplait pas, voyant qu’elle zieute avec gourmandise son entre-jambe qui exhibe une imposante courbe. Sans plus attendre, la jeune femme empoigne de sa main son intimité qui ne demande qu’à être prise en charge. Un frisson parcoure le corps de Billy. D’un regard complice, il l’observe descendre sa bouche plus bas, non sans prendre soin de baiser chaque parcelle de son torse, pour atteindre son érection qui n'aspire qu’à être enveloppée de ses douces lèvres. La sensation exquise provoquée par le contact entre sa bouche et son intimité lui soutire un grognement. Billy dépose sa main sur sa tête pour l’accompagner dans son plaisir grandissant qu’elle contrôle avec excellence. « Bordel », laisse-t-il échapper en fermant ses yeux. Cela fait un bail que Billy n’a pas été pris en bouche et le jeune homme ne peut cacher le bien que cela lui fait. À contre-coeur, il se releve pour s’asseoir, amenant Johanna dans son mouvement. Ne voulant pas continuer ainsi - car on s’entend, il veut sentir plus que ses lèvres sur son sexe -, il dépose à nouveau ses lèvres contre les siennes et s’attarde à son propre jeans qui n’attend qu’à être retiré. Il exécute la tâche rapidement; les pulsions n’étant la seule chose qui a possession de son esprit et de son corps à ce moment. Son caleçon disparait au même moment que ses jeans, laissant le jeune homme dans sa simple tenue d’Adam. En l’espace de quelques instants, la jeune femme se retrouve plaquée au sol à la merci de Billy qui se place au-dessus d’elle. Affichant un sourire amusé, il lui retire ses culottes, dernière couche avant que les deux ne soient complètement nues, près à concrétiser leurs envies primitives. Entourant ses jambes autour de ses hanches, le jeune homme s’approche d’elle et emprisonne sauvagement ses lèvres. Alors qu’une main soutient son poids, l’autre s’attarde à son sein qu’il caresse tendrement. Il met fin au baiser pour la regarder dans les yeux, n’attendant que son approbation. Non sans dévier son regard du sien, le jeune homme atteint le summum de l’intimité, s’arrachant par le fait même un grognement de plaisir.

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What you do to me
Billy & Jo'

"Je vais te faire crier." Ces simples mots ont l'effet d'un électrochoc sur moi, tout mon être frissonne, impatiente de découvrir s'il en est vraiment capable. Quelque chose me dit qu'il n'aurait aucun mal à le faire, il me fait tellement d'effet putain. C'est presque s'il ne me ferait pas oublier mon nom, c'est pour dire. Quand je décide de prendre la situation en main, il semble satisfait. Je le sens à la façon dont il me touche, à la façon qu'à sa main d'accompagner le mouvement de ma bouche contre son intimité. Plus le temps passe, plus j'accélère la cadence. Je veux qu'il s'abandonne totalement au plaisir que je lui fait ressentir. "Bordel." L'entendre jurer ainsi me donne des ailes, j'aime qu'il soit à la merci du plaisir que je lui donne. J'adore ça en fait. J'allais accélérer de nouveau la cadence quand Billy se relève pour s'associer, m'entrainant au passage avec lui. Perplexe, je fronce les sourcils, me demandant si je n'ai pas fait quelque chose de mal. Il me rassure lorsqu'il s'empare de mes lèvres, je ne peux retenir un soupir de contentement. J'aime qu'il m'embrasse, il a une façon si particulière de le faire, je me sens perdre pied à chaque fois qu'il le fait. Multitâche, alors que ses lèvres sont encore sur les miennes, il retire son jean et son caleçon à une vitesse impressionnante. Je n'ai pas le temps d'apprécier la vue de son corps nu devant moi bien longtemps, rapidement je me retrouve à nouveau à même le sol, Billy au dessus de moi. Je sais qu'en tant que féministe affirmée, je devrais vouloir être au dessus mais, pour être honnête, le fait d'être à sa merci de la sorte m'excite terriblement. Ma culotte vient alors elle aussi à disparaître et je me retrouve entièrement nue sous lui. Au moment précis où sa bouche capture la mienne, je sens le désir m'enflammer. Rien ne s'arrange quand sa main titille mon téton avec ferveur. "Billy..." Je ne peux m'empêcher d'exprimer mon approbation en gémissant son nom. Sa bouche quitte alors la mienne. Son regard se rive au mien, grisant mélange de désir sexuel et d'émotion charnelle. Il semble attendre mon approbation. Comme si je pouvais lui refuser quoique ce soit en ce moment ! "Ne me fais plus attendre, je t'en prie." Je le supplie presque. Je le veux en moi et tout de suite. Alors qu'il me pénètre d'un coup de reins, je pousse un cri. Il m'emplit entièrement soudant nos deux corps l'un à l'autre. Je sens palpiter ma féminité. J'ondule du bassin, poussant un râle quand je trouve le rythme qui me sollicite toute entière. J'écrase ma bouche contre la sienne alors que ma main se pose sur ses joues. Nos corps se ruent l'un vers l'autre à un rythme de plus en plus effréné. Une somptueuse vague de plaisir déferle en moi. Il m'affole complètement, je dois bien l'admettre.

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« What you do to me »

Billy & Johanna

Ses lèvres sont faites prisonnières de son emprise charnelle. Elle rompt momentanément le baiser pour le supplier de ne plus la faire languir. "Ne me fais plus attendre, je t'en prie », lui lance-t-elle. Billy ne la fait en effet pas attendre, soudant leur corps dans une danse sensuelle. Le jeune homme baise fougueusement ses lèvres avant de porter les siennes à son oreille gauche qu’il mordille doucement. Alors que l’une de ses mains, appuyée sur le plancher de la camionnette, soutient son poids, l’autre valse sur la hanche de Johanna, s’accompagnant dans leur rythme effréné. L’entendre jouir sous lui lui provoque un spasme de plaisir indescriptible, si bien qu’il ne peut s’empêcher de souffler son nom à son tour. L’habitacle témoignant de leur échange passionné, le jeune homme ne peut s’empêcher de remarquer les grincements du véhicule, qui, il espère, n’attireront pas l’attention des passants. Mais en réalité, il s’en fout. Les policiers peuvent bien les surprendre et les foutre à l’amende, rien ne peut l’arrêter. Son appétit sexuel était tel qu’il a besoin de continuer, de nourrir ses envies autant que celles de Jo. Son corps lui envoie des décharges électriques; il veut être électrocuté, dévasté par l’ultime plaisir qu’il convoite avec ardeur.
Décidant d’afficher un peu d’audace, le jeune homme interrompt momentanément ses mouvements qui devenaient de plus en plus saccadés. « Retourne-toi », lui souffla-t-il en baissant sa tête près de son oreille. Lorsque Johanna s’exécute, Billy l’invite à s’accrocher au banc devant elle. Il veut la dominer, la dominer toute entière afin d’atteindre ce sentiment de plénitude ultime. Se positionnant derrière elle, il dépose ses mains sur son doux fessier. Doucement, il redonne un souffle à leur élan de passion, la prenant d’un coup de bassin. Si on lui avait dit un jour qu’il prendrait Johanna en doggy dans une camionnette, il ne vous aurait jamais cru. Et pourtant, voilà ce qu’il fait. Il ne peut se le cacher; c’est horriblement bon. L’acte suscite un grognement de sa part. « Fuck », lâcha-t-il. Au stade où ils en sont, les gros mots ont leur place; les fonctions cognitives étant abandonnées à leurs besoins primitifs. Billy ferme les yeux, se concentrant sur l’atteinte de satisfaction ultime que Johanna n’aura pas de difficulté à lui procurer. Billy guide la danse, augmentant le rythme de leurs ébats endiablés. Le plaisir est désormais le seul maître de son corps, le dénuant de toute rationalité. Il est déconnecté du monde, transporté dans un univers parallèle où Johanna et lui sont seuls, enivrés par une euphorie animale.

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What you do to me
Billy & Jo'

Je sens sa présence qui m'emplit, une sensation de plénitude qui me fait frissonner jusqu'aux orteils. Le plaisir ne cesse de monter par vague. Il se met à bouger, à s'enfoncer en moi de plus en plus profondément, de plus en plus fort. Mes muscles se tendirent autour de lui. Un sentiment merveilleux m'envahit tandis qu'il ondule contre moi et que ses mains continent d'explorer mon corps. Quand je regarde, je lis dans ses yeux une intensité que je n'aurais jamais cru pouvoir ne serait-ce qu'entrevoir. Cela m'arrache un léger gémissement que j'essaie de contenir en me mordant la lèvre inférieure. Alors que je pensais qu'il ne pouvait pas me surprendre d'avantage, il me prouve le contraire. "Retourne-toi." Sa voix est rauque quand il susurre ces mots à mon oreille. Je pousse un petit cri étranglé. Ses paroles devraient me scandaliser pourtant, au contraire, elles m'excitent plus que de raison. J'en tremble tandis que mon coeur s'accélère de manière incontrôlée. Alors, je fais ce que je n'aurais jamais cru possible, fébrile, je me retourne, plaçant mes bains sur le banc en face de moi. Quand je sens celles de Billy se poser mes fesses, mon coeur manque un battement. Je frémis. D'un mouvement du bassin, il m'emplit entièrement. Je sens ma féminité palpiter. Je pousse un râle quand il trouve le rythme qui me sollicite toute entière. À chaque coup de reins, il me tire vers lui d'une façon délicieuse. Ses mains me maintiennent en place pour mieux me labourer. C'est si animal, si incontrôlé, ça n'a rien à voir avec ce que j'ai pu vivre jusqu'à présent, absolument rien. Mon hoquet de plaisir se perd dans son grognement guttural. "Fuck." L'entendre jurer ainsi ne fait qu'accentuer mon plaisir. Je sens qu'il s'abandonne autant que moi à ce moment et j'adore ça. Jamais de toute mon existence, je n'aurais cru vivre quelque chose d'aussi intense. Jamais je n'aurais cru pouvoir ressentir ce que je ressens en ce moment. Je comprends pour la première pourquoi le sexe plaît autant. C'est tellement bon que ça me fait presque mal. Éperdue de plaisir, je ferme les yeux pour mieux profiter des sensations. En haletant, j'accompagne les mouvements de Billy tandis que des sensations sauvages m'envahissent. Je ne contrôle plus rien. Mes mains agrippent furieusement le banc alors que je le sens s'enfoncer plus profondément en moi. Mon corps tout entier se tend. Des muscles de mes doigts jusqu'à ceux de mes orteils. Billy est au commande et c'est terriblement bon de lâcher prise, de me donner complètement à lui. Je ne pense plus à rien d'autre qu'à lui. Il emplit mes pensées. J'ai encore du mal à croire que je vis ce moment avec lui. C'est tellement surréaliste. Tellement inattendue. C'est spontanée, primal. Et c'est sans doute ce qui le rend si bon. J'ai l'impression que je ne serais plus jamais la même après ça, j'ai la sensation de comprendre enfin cela signifie d'être femme. S'il continue comme ça, je vais mourir. C'est déjà le cas. Je crie, perdue dans les sensations qui m'anéantissent alors que me corps se contracte, se liquéfie. Le plaisir monte en moi comme une tornade et je renverse la tête en arrière lorsque j'atteins le paroxysme. Mes jambes tremblent, mes mains s'ouvrirent se renferment contre le banc. D'étranges bruits résonnent dans la camionnette. Il me faut quelques secondes pour réellement qu'ils s'échappent de mes lèvres. "Oh mon dieu..." C'est tout ce que j'arrive à dire, je suis comme sonnée, perdue dans les sensations qui m'assaillent.

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« What you do to me »

Billy & Johanna

Le jeune homme se sent près, si près de cet état de satisfaction ultime qu’ils escaladent depuis le début de leurs ébats. Ses mains tiennent toujours fermement les hanches de Jo alors qu’il poursuit ses mouvement à un rythme effréné, augmentant la cadence de plus en plus. Il est toutefois surpris d’être parvenu si facilement à envouter Jo, et ce, qu’avec une simple position. Il s’attendait à ce qu’elle décide de prendre le dessus, coûte que coûte. Tous deux semblent être des têtes dominantes, autant dans leur vie professionnelle que privée, et même plus particulièrement au lit. Et cela est sans noter qu'ils n'arrivent jamais à s'entendre sur rien; suffit d'une partie de jambes en l'air pour qu'ils deviennent une parfaite équipe! Ainsi, la voilà qui semble être assaillie de puissantes sensations qui attaquent son corps de la façon la plus délectable. Il aime ça, Billy, la voir perdre tous ses moyens sous ses caresses, aussi bestiales sont-elles. Ça lui fait lui-même perdre la sienne de la voir ainsi, aussi réceptive à son toucher. Ses jouissements qui déchirent le silence de la nuit lui provoquent une euphorie, le transportent dans une autre dimension. Même s’il sait qu’il se sentirait étrange le lendemain, lorsqu’il repensera à cette nuit, il ne peut s’empêcher de se dire que c’est la chose la plus folle et pourtant la plus satisfaisante qu’il ait fait; coucher avec Johanna est définitivement une chose qui aurait dû avoir été sur sa bucket list. Les sensations qu’elle lui provoque sont inédits; l’électricité qui accapare l’air est d’une puissance indescriptible.
Billy ne peut s’empêcher de laisser échapper un gémissement lorsqu’enfin, il rejoint Johanna dans son nirvana. Leurs souffles haletant sont tout ce qui est perceptible dans la camionnette. Le jeune homme se laisse tomber près de Johanna, complètement essoufflé par l’intensité de leur relation intime. Billy n’ose pas briser le silence, sachant qu’il est assez doué pour ruiner l’ambiance. Il n’a pas envie que l’embarras s’installe, que l’un ou l’autre ne commence à sentir les regrets les envahir comme un puissant tsunami. Car il sait que cela arriva d’une manière ou d’une autre, mais il ne veut pas que ça arrive maintenant. Il veut prolonger le moment à tout prix. Alors lorsqu’il remarque près du siège une bouteille de vin encore scellée, un sourire béat prend forme sur son visage encore luisant de sueur. Il étire son bras, attrape la bouteille et la dévisse, bien heureux de voir qu’elle ne requiert pas de tire-bouchon. Il en prend une gorgée, une très grosse gorgée, puis la tend à Johanna, toujours le même sourire affiché dans son visage. Il la laisse boire elle aussi puis se penche vers son oreille et lui dit: « On recommence? ».

FIN

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