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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 sorry doctor. (beth)

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MessageSujet: Re: sorry doctor. (beth) (#)   sorry doctor. (beth) - Page 2 EmptyJeu 26 Jan - 21:31

sorry doctor
Gaby and Beth

« On voit vraiment que c’est ta passion, c’est admirable ce que tu fais pour les gens. C'est comme ci tu consacrais ta vie pour la leur, c'est beau. » Ce garçon me cerne beaucoup plus vite que ce que j’aurai souhaité et cela m’inquiète fortement. C’est vrai que je passe ma vie à sauver celle des autres. Même quand je rentre chez moi, je pense souvent à mes patients, je me remémore les séances et je cherche de nouvelles manières de les sauver. Je sais qu’on ne doit pas mélanger la vie professionnelle et la vie privée mais personnellement, je n’ai jamais réussis à faire le part des choses. Je lui explique ensuite mon envie de me spécialiser en tant que psychologue judiciaire. Un choix bien défini, qui me suit depuis toujours. Je ne me vois pas ailleurs, je sais que c’est ma place, au près de ceux que j’ai connus. Je vois alors Gaby écarquiller les yeux, peut-être choqué par le choix de patient. « Woah. » Je ne sais pas s’il est impressionné ou choqué. J’aimerai lui expliquer que dans mon métier, chaque patient est impressionnant. Je veux dire, une petite fille violée peut toucher beaucoup plus qu’un criminel. Enfin, ce n’est que mon point de vue évidemment.  « Tu as l’air fragile quand même. » J’avoue que sa phrase me surprend, je ne m’attendais pas du tout à ça. J’ai même tendance à prendre cette phrase très mal. Je ne suis pas fragile, je suis passionnée. « Enfin je veux dire, des criminels quoi. C’est dingue de s’intéresser à eux comme ça. » C’est vrai, nous sommes très peu à s’intéresser à cette population, mais il en faut. Ce n’est pas parce qu’ils ont fais des choses affreuses qu’ils n’ont pas le droit aux soins et aux pardons. Il reprend quelques secondes plus tard. « J’imagine qu’on ne peut rien pour ces gens là, en prison, mais tu veux les comprendre j’imagine ? Comprendre leurs actions, tout ça. » Je veux les comprendre mais je veux la sauver aussi. « Non, ce n’est pas ce que tu crois. » lui répondis-je avant qu’il me repose une question. « Pourquoi tu t’intéresses aux criminels ? J’imagine qu’il y a une origine sur tous, et je serais curieux. C’est rare de s’intéresser à ces gens.» Je le trouve vraiment trop curieux. Je ne lui raconterai jamais le parcours qui m’a mené ici, ni l’origine de mon envie d’être psychologue judiciaire, j’en serai incapable. Avant de répondre à cette question, je préfère me préciser sur celle d’avant. « Tu sais, ils peuvent être sauvé. C’est difficile à croire mais toutes ces personnes ont un cœur et une âme. S’ils en sont arrivés à là, c’est pour une très bonne raison. Souvent, il suffit de découvrir l’origine de leur crime pour leur faire reprendre raison. » Je ne sais pas s’il peut me comprendre parce que nous n’avons pas la même vision de ces gens. Quand on n’est pas dans le métier, on n’a pas la même façon de penser. Moi, je suis convaincue que tout le monde à un bon comme un mauvais coté. Peut-être qu’un jour, Gaby comme moi serions capable du pire, sans s’en rendre compte. « Mais honnêtement, je ne sais pas d’ou m’est venue l’idée de travailler avec les criminels. Depuis toujours, j’ai cette convection que ma place ce trouve là-bas et quand j’ai commencé mes études en psychologie, mon choix s’est confirmé. Ça ne s’explique pas, c’est en moi. Parce que je sais que tout le monde à une chance. » Je garde mon air sérieux, repensant à mon passé et au fait que jamais je ne pourrai parler de la réelle origine de ce choix de carrière. Exténué de parler de moi, je décide changer de sujet. « Je pourrais te poser la même question, pourquoi cette envie d'être dans l'informatique ? » Je ris en posant ma question. Ce n'est pas pareil mais moi même j'ai du à comprendre pourquoi on voudrait travailler avec des ordinateurs.
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MessageSujet: Re: sorry doctor. (beth) (#)   sorry doctor. (beth) - Page 2 EmptyVen 27 Jan - 18:54

Lorsque je dis à Beth que j’imagine qu’on en peut rien pour les personnes en prison, elle me reprend rapidement. « Non, ce n’est pas ce que tu crois. » Je continue de parler, en lui demandant pourquoi elle s’intéresse autant aux criminels. Je vois rapidement que ma question la gène. Je suis vraiment trop curieux, et je me sens un peu mal maintenant. Après tous, elle reste à la base ma psychologue, et nous nous parlons depuis moins de deux heures. Elle reprend la parole, et je l’écoute attentivement. « Tu sais, ils peuvent être sauvé. C’est difficile à croire mais toutes ces personnes ont un cœur et une âme. S’ils en sont arrivés à là, c’est pour une très bonne raison. Souvent, il suffit de découvrir l’origine de leur crime pour leur faire reprendre raison. » Je hoche la tête. Si Beth n’a pas vraiment tord, j’ai malgré tous du mal à imaginer ce qu’elle me dit. Je sais qu’il y a une raison à tout, mais de là à ce que les criminels les plus horribles aient un cœur, je n’en suis pas si sûr. Après tous, comment pouvons nous dire qu’un mec qui viole les femmes et les tues ensuite ou les tortures à un cœur ? C’est impossible. Si ils en avaient à l’origine, je pense qu’il y a une limite à ne pas dépasser, que les criminels dépassent, peut être malgré eux. Je décide de garder mon point de vue pour moi. « Mais honnêtement, je ne sais pas d’ou m’est venue l’idée de travailler avec les criminels. Depuis toujours, j’ai cette convection que ma place ce trouve là-bas et quand j’ai commencé mes études en psychologie, mon choix s’est confirmé. Ça ne s’explique pas, c’est en moi. Parce que je sais que tout le monde à une chance. » Je regarde Beth. Cette fille est vraiment incroyable, et son sens de l’altruisme est vraiment étonnant. Je décide de lui dire, en espérant lui faire plaisir. « C’est dingue, à quel point on sent ta passion quand tu parles… C’est vraiment fais pour toi, enfin, je ne te connais pas beaucoup mais à première vue, ton métier me parait évident. » Je lui souris, tandis qu’elle décide de changer de sujet pour repartir sur ma personne. « Je pourrais te poser la même question, pourquoi cette envie d'être dans l'informatique ? » J’écarquille les yeux, n’aillant aucunes idées premières pour mon envie d’être programmeur. En fait, c’est une histoire de toujours, l’informatique et moi. Ca me détend, je suis presque né avec, et puis c’est une évidence en fait. « Heu, je sais pas trop. C’était une évidence pour moi. » Je décide de poursuivre, afin de me confier sur cette passion. « Coder, c’est ma passion, et c’était naturel pour moi de partir là dedans. Je suis un gosse de la nouvelle technologie, alors je pense que ça joue aussi. » Je respire. « Pendant les moments difficiles, le codage m’aide, ça me détend, et m’a toujours accompagné pendant les épreuves de la vie. Je ne me voyais pas faire autre chose. » Je lui souris, alors que mon téléphone vibre, m’annonçant un message de mon patron, qui me demande d’être là dans une demi-heure pour commencer le boulot car un de mes collègues est malade. Je panique et me lève, tout en me tournant vers Beth. « Je suis désolé je dois y aller, je commence à bosser dans trente minutes. » Je commence à partir, et lui fais un signe de la main. « Je repasserais à l’occasion à l’asso, et au pire, mon numéro était dans le dossier si tu veux ! » Je termine ma phrase, puis commence à courir, car je suis toujours à Island Bay, et que je dois encore aller chez moi rechercher des affaires, pour ensuite aller travailler à Wellington.

fin
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