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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
oct. 2024
8° - 17° // températures stables, mais vent à venir
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun
c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés

elles sont soeurs et n'ont pas connaissance du lien qui les unis
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 Je t'avais bien dit qu'on se révérait. Ft. Balthazar

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MessageSujet: Re: Je t'avais bien dit qu'on se révérait. Ft. Balthazar (#)   Je t'avais bien dit qu'on se révérait. Ft. Balthazar  - Page 2 EmptyMer 26 Avr - 21:26

La première réponse de Dakota, parlait de confiance. Normalement, Balthi était quelqu'un de naïf, de généreux et il faisait confiance bien trop facilement ; mais avec elle, c'était différent. Il avait besoin d'un peu plus de temps pour cela, après tout, ils ne se connaissaient pas vraiment. Il n'eut d'autre réponse qu'un sourire, et checka avec elle, quand elle répondit par un poing dans sa main. C'était un truc de jeuns et il était dépassé, mais ça montrait aussi une facette d'elle qu'il commençait à connaître : sa violence. Cette fillette était dure, elle avait de la violence en elle, pas au sens où elle était prête à se battre contre tout le monde, mais dans le sens où il avait la sensation qu'elle avait de la colère contre tout, et souvent, n'importe quoi. Ce qu'il avait vite comprit -souvent malgré lui- mais qui faisait aussi tout le charme de cette gamine. Très rapidement, la jeune fille l'appela « centenaire » à croire que ça allait devenir son surnom officiel avec elle. Il lui demanda quand même de sortir son téléphone et puis lui dicta son numéro. « Ca t'évitera de te pointer à l'improviste à mon travail quand tu auras envie de me parler » plaisante t-il. Et puis elle le laissa là, partant prendre son bus. Il ne la poursuivit pas, la laissant partir, la regardant jusqu'à ne plus pouvoir. Cette gamine était surprenante. Il sourit, puis tourna à son tour les talons pour repartir vers sa moto. Il marcha un long moment avant de la retrouver, il s'installa dessus, mettant son casque et passant son bras sous la lannière de celui que Dakota avait porté un petit peu plus tôt. Il alluma sa bécane et se mit en route de la villa où il vivait. Après un assez long trajet, il rentra chez lui. Il gara sa moto dans le garage avant de finalement entrer dans leur grande maison. Claüs et Nikki étaient dans le salon, en train de se chamailler devant la tv, sûrement pour choisir un film à regarder. Il les salua d'une voix chantante, retirant sa veste en cuir qu'il accrocha au porte manteaux de l'entrée. Il alla à la cuisine chercher des bières, pour finalement se laisser tomber sur son canapé, lourdement, en soupirant. Son colocataire lui demanda comment s'était passé sa journée, il répondit alors « mouvementée » ses colocataires lui demandèrent pourquoi. « La gosse avec qui je suis resté coincé sous l'éboulement est venu me voir au travail, elle est... surprenante. Compliquée aussi » rigola t-il en apportant sa bière à ses lèvres pour en boire une grande gorgée. Il se tourna alors vers Nikki pour lui dire « je savais pas que les filles adolescentes étaient SI compliquées en fait, faut faire gaffe à tout ce qu'on dit, c'est dingue comment vous pouvez partir au quart de tour » rigola t-il. Sa colocataire lui répondit sur le même ton, quand il leur demanda ce qu'ils comptaient faire ce soir. Un film, c'était bien ça l'objet de leur dispute enfantine. Balthi se mit à rire, quand son téléphone sonna. Max. Il sourit en décrochant, s'excusant auprès de ses colocs. « Hé mec, ça va ? » lança t-il. Max voulait sortir voir le match en ville, ce soir. Balthi hésita, il était un peu crevé, surtout qu'il revenait du centre ville. Mais son ami eu raison de lui. Une petite soirée donc. Ok. Il raccrocha, lançant à ses colocs qu'il repartait en ville. Il embarqua sa bière dans sa chambre, pour aller prendre une douche et se changer. Balthi n'imaginait pas une seule seconde que ce soir, il allait rencontrer Lou. Une femme sublime avec laquelle il allait bientôt vivre une superbe histoire, mais ça, moi seule le sait à ce moment très précis.

FIN
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