What's my happy ending ? Dying...

Nil

Le suicide ! Mais c'est la force de ceux qui n'en n'ont plus, c'est l'espoir de ceux qui n'y croient plus, c'est le sublime courage des vaincus !

les informations en vrac

nom › Toskàv. prénoms › Nilo. âge › 38 ans. lieu de naissance › Moscou, Russie. statut civil › Célibataire. orientation sexuelle › 100% hétéro. métier/études › Professeur de photographie. groupe › Lost in my mind. avatar choisi › Hayden Christensen.

♦ Je suis tombé dans l’alcool et la drogue aussi naturellement que mon père a sombré dans la décrépitude. Je ne voulais pas lui ressembler, non. Tout sauf cela. Mais les plus grands psychologues vous diront que plus on essaie de s’éloigner d’un modèle, plus on y ressemble… Aujourd’hui, je me déteste autant que je le hais. C’est sans doute ce qui m’a conduit plus d’une fois au suicide. Tentatives que j’ai toujours loupées, d’ailleurs…  ♦ Je suis un passionné par la photographie. C’est d’ailleurs là ce qui m’a toujours fait tenir debout. Ce sont les seules études que j’ai tenté d’entreprendre, et que, par chance peut-être, j’ai réussies. ♦ J'ai fait seize ans de prison pour le meurtre de mon père, et porte aujourd'hui pour je ne sais combien de temps un bracelet électronique à ma cheville gauche pour mesurer mes déplacements qui doivent être plus que limités. Autrement dit, on me garde dans un périmètre où je ne pourrai plus fuir pour échapper à mon destin. Mais quel destin ? ♦ J'ai tendance à faire de mauvaises rencontres, les attirant sans doute comme un cheval attire les mouches en plein mois d'été. Je couche avec un tas de femme, toutes plus magnifiques les unes que les autres, mais c'est sans lendemain. Mon coeur est déjà pris... Nous restons alors bons amis, ou nous nous oublions. Généralement certaines peinent à me lâcher. Cela devrait me flatter, au fond, mais j'ai une estime de moi tellement basse que je doute de tout. Y compris de mon physique et de mon charme qui, pourtant, ne m'ont parait-il jamais fait défaut. ♦ Je suis d'un tempérament plutôt chaud et réactif. Si d'ordinaire je me méfie de tous et de toutes, ayant l'habitude de traîner auprès de personnes peu fréquentables pour la plupart, j'en viens vite aux mains lorsque la situation dégénère. Je ne supporte pas que l'on me critique, ayant entendu trop d'insultes à mon égard de la part de qui veut bien les formuler. Et, par dessus tout, il ne faut pas que l'on s'attaque à la mémoire de ma mère, ou bien que l'on me compare à mon père. Là, je perdrai tous mes moyens et entrerai dans une colère des plus noires, dans une violence des plus remarquables. ♦ J'ai tendance à vouloir être un protecteur de la gente féminine. Il en a toujours été ainsi, tandis que, depuis mon plus jeune âge, je prenais soin de ma défunte mère. Je respecte entièrement les femmes, les traite pour la plupart comme des princesses, quitte à être faible face à elles, voire à être manipulé. Ça, généralement, je le ressens, et je quitte alors la fille qui essaie de broyer mon âme. Mais ceci tout en douceur, même si mon coeur saigne à l'intérieur. ♦ J'ai été diagnostiqué schizo-affectif durant mon emprisonnement où j'ai été intensément suivi psychologiquement, c'est-à-dire un grand bipolaire possédant des traits d'une schizophrénie engendrée par la drogue mélangée à l'alcool. Mon humeur est totalement instable, passant de quelque chose de positif et de bon pour moi à un tempérament colérique et agressif totalement destructeur. Je prends du lithium, du Xeroquel, et d'autres thymorégulateurs - c'est-à-dire régulateurs de l'humeur - qui jouent aussi sur les hallucinations qui m'asseillent. Je crois souvent voir ou entendre le fantôme de ma mère et de mon père, ainsi que des hommes ou des femmes que je ne connais pas. Ils se manifestent la plupart du temps par des ombres noires, furtives, qui me plongent dans une angoisse sans nom. J'ai intégré le fait que ce ne sont que des hallucinations, et ainsi qu'ils sont entièrement faux, mais lorsque je les vois, j'y crois pourtant. ♦ Je suis professeur de photographie à l'université de Wellington. Job que j'ai obtenu grâce à un ami expert en truquage et création de faux diplômes et de vieux diplômes. Je possède en réalité un master en photo, mais ça n'est pas assez pour enseigner en fac. Il faut au moins avoir un doctorat, que j'ai obtenu de la part de cet ami qui m'en a créé un sur mesure, et qui est passé d'une main de maître auprès de la direction. Pourvu que cela ne se sache jamais... ♦ Je viens souvent me recueillir au cimetière de Wellington, où j'ai économisé tout l'argent que j'avais quitte à ne plus rien avoir pour qu'elle ait une petite plaque à son nom, là où elle a été enterrée. Je n'ai pas pu assister à son enterrement, car je passais devant le juge ce funeste jour-là, pour le meurtre de mes deux parents. Alors que je n'avais assassiné que mon père. Mais ça, personne ne l'a jamais cru, et j'ai payé pour eux deux. ♦ J'ai le comportement œdipien par excellence, selon la psychologue criminelle qui me suivait. Après tout, comme le disait Freud, j'ai tué mon père et trop aimé ma mère. Non pas d'un amour incestueux, bien sûr, mais comme je vous l'ai dis, j'aime trop les femmes...

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Meilleur ami et dealeur › entre 27 et 55 ans ~ masculin

Je recherche un dealer digne de ce nom, secret, qui ne divulgue pas mon identité. Qu'importe qu'il soit fréquentable ou une vraie racaille,
du moment qu'il me respecte. Après tout, je l'aide pas mal à gagner sa vie, en bon client que je suis. Nous nous lierons d'amitié au fil du temps - un temps d'ailleurs relativement court - et je saurai voir en lui quelqu'un de confiance, en qui je pourrai me confier et réciproquement.
Il apprendra mon secret sur le meurtre de mon père dont je suis l'origine, et sur le bracelet électronique que j'ai autour de la cheville depuis ma sortie de prison. Il sait également les penchants que j'aurai pour mon étudiante Riley, et se trouvera être de bons conseils pour essayer de me détourner de la jeune fille. Conseils que je n'entendrai pas, à son plus grand désespoir...