(HOT) De mal en pis… ou de mieux en mieux - sigus

De mal en pis.. ou de mieux en mieux.
Siloë&Angus

Tu désirais te retrouver avec le jeune homme. Tu désirais ne faire qu’un avec lui. Rien que cela. Tu avais terriblement envie de lui et tu te disais que cela était du au fait que, vous vous étiez chercher pendant un moment tous les deux. Il se trouvait en toi et tu te sentais beaucoup mieux pour le coup. Tu gémissais alors qu’il commençait à se mouvoir en toi, lentement. Tu avais envie de plus, qu’il continue et soit plus rapide. Tu avais besoin de lui. Finalement, c’est ce qu’il fit puisqu’il commençait ses vas et viens plus rapidement. Tu sentais son corps se tendre alors qu’il venait de jouir en toi. Rapidement. Il ne semblait pas s’attendre à cela. Tu ne lui en voulais pas mais tu avais besoin de lui oui. Tu avais envie qu’il te soulage. « Ca va t’en fais pas. » Tu lui disais avec un sourire avant de l’embrasser. Tu le laissais faire alors que tu t’accrochais à lui. Tu gémissais plus fortement en sentant ses baisers et ses caresses. Oh, tu n’allais pas tenir longtemps non plus. Finalement, ses mots causaient ta perte et tu venais à jouir. Tu enfouissais ton visage dans son cou que tu embrassais et mordillais. « Angus.. » Tu te sentais bien, ici, dans ses bras. Tu te sentais en sécurité également et tu aimais ce que vous aviez fait tous les deux. Tu restais contre lui et tu ne voulais pas qu’il te quitte. Loin de là. Jamais. Tu avais encore envie de lui et tu venais embrasser ses lèvres. « S’il te plait.. continues. » Tu lui soufflais alors. « N’arrêtes pas. » Que tu lui lançais.

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Siloë&Angus

Mais quel con ! Quel con ! Bon sang, quel mec fait ça avec la fille avec qui il couche ? Tu t’en veux énormément, pris dans le feu de l’action tu as laissé tes envies passer sur tout le reste. C’est pathétique, tu te trouves pathétique en réalité. Bon, tu essayes de garder la tête haute et de montrer le meilleur de toi, tu t’occupe d’elle. De son corps, et ton but ultime et de lui procurer le plus de plaisir possible. ça tu peux faire et tubas te reprendre. Tu t’occupes de sa poitrine, délicieuse, puis tu descends toujours plus au sud, où tu te charges de lécher sa peau et de la mordiller à chaque endroit que tu désires. Tu ronronnes contre elle, glissant ta tête entre ses cuisses pour la faire gémir et lui rendre l’orgasme que tu n’as pu lui donner. tu la vénères comme si c’était la plus belle femme de tous les temps (et elle l’est tu le sais) puis tu la sens gigoter entre tes caresser et tu aimes cela. C’était délicieux, d’autant plus lorsqu’elle venait à se tendre sous tes caresses. Elle rapprochait ton visage du sien, alors que tu l’embrassais tendrement. Ce n’était rien comparé au reste et ce désir fulgurant de la tête contre toi. Tu souriais de ses mots avant de glisser tes mains sur son corps afin de la caresser, d’imprimer chaque détail de sa jolie silhouette. Tu embrassais ses lèvres, soufflant contre ces dernières. « Je n’y comptais pas… » Sans le vouloir, tu la sentais se tortiller contre toi, réveillant de nouveau ton sexe. Tu grognais légèrement avant de défaire de son étreinte, cherchant un nouveau préservatif, à mettre. tu souriais légèrement avant de te placer en elle et de pousser doucement. Tu gémissais de plaisir avant de déposer plusieurs baiser sur son visage. « Et maintenant je vais prendre le temps de te faire l’amour. » Lui soufflais-tu doucement alors que tu roulais des hanches contre elle, sentant cette sensation délicieuse d’elle sur toi. Tu collais ton corps au sien, avant de rouler sur le dos afin qu’elle te chevauche, tes mains glissant sur sa poitrine que tu adorais tant. Tes mains voulaient la sentir, tu te redressais pour chercher ses lèvres, mordillant sa peau à chaque vague de plaisir en toi.

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Tu n’en voulais pas à Angus. Loin de là d’ailleurs. Tu savais que cela pouvait être compliqué pour lui après tout. Cela faisait plusieurs années qu’il n’avait rien fait. Enfin.. rien dans le sens où il n’avait pas couché. Vous aviez fait des choses tous les deux. Cependant, tu désirais tout de même le sentir, qu’il continue de t’embrasser et de caresser. Tu désirais ressentir ton orgasme toi aussi. Ce que tu finissais par avoir au bout d’un moment. Tu l’embrassais avant de sourire à ses mots. « Tant mieux. » Tu n’avais pas envie qu’il arrête après tout. Non. Tu voulais le sentir encore et qu’il te fasse l’amour. Tu le vis mettre un nouveau préservatif. Finalement, peut-être bien que cette boîte pourrait vous servir. Tu gémissais en le sentant en toi. « Je n’attends que ça.. » Tu lui soufflais avant de sentir de nouveau son corps contre le tien, en toi. Tu gémissais en sentant ses mains alors que tu venais à l’embrasser. Tu caressais également son torse, ses fesses et ta main venait se glissée entre vous deux. « Angus.. » Tu soufflais alors. Tu aimais le sentir en toi. Tu aimais ce qu’il te faisait et tu frissonnais d’ailleurs. Tu ne voulais pas que cela s’arrête. Loin de là. Tu avais besoin de lui. C’était bon, délicieux et tu espérais lui provoquer le même effet. Tu finissais par sentir ton corps et tu venais à mordiller son oreille avant de lui souffler. « Viens avec moi.. s’il te plait.. » La première fois, il avait eu son orgasme trop tôt. De ce fait, tu voulais que cette fois vous soyez ensemble, en accord. Ne faire qu’un.

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Corps contre corps, souffle contre souffle. Tu appréciais la sensation qui glissait sur toi avec délicatesse. Tu voulais qu’elle puisse avoir un orgasme, surtout après tes quelques petites défaillances. C’était délicieux et tu aimais la sentir se tendre de la sorte. tu appréciais cela d’elle puis soudainement tu voulais la prendre de nouveau, tu voulais faire plus qu’un avec elle, afin de pouvoir vivre ce truc, ce truc bien unique que vous pouviez avoir tous les deux. Tu penches la tête et tu embrasses ton cou alors que tu la glisses sur toi, avec une sensation délicieuse. Elle est parfaite, tu sens son corps se mouvoir sur le tien et tu désires la tenir contre toi. tu entends ses gémissements et tu aimais cela, et ça t’excitait encore plus. Tu gémissais un peu plus fortement en entendant ses gémissements, et tu gémissais à mon tour en sentant ses dents mordiller le lobe de mon oreille. Mmmhhh c’était délicieux, et tu essayais de ne pas perdre la tête à ses paroles. Tu te redressais afin de coller ton front contre le sien, ton souffle se heurtant au sien, tes mains entourant son corps collant ta poitrine contre son torse. « Viens… viens avec moi… » Puis tu lâches prises, complètement, tu ne contrôles plus rien, tu la plaques contre le lit, la dominant de tout ton corps et tu pousses en elle afin qu’elle puisse ressentir tout ce qu’elle devait ressentir, avant d’atteindre ton paroxysme. Tu venais à gémir plus fort te perdant en elle, passionnément. Tu embrasses ses lèvres, haletant, essayant de te reprendre, avant de souffler délicatement. « ça valait le coup d’attendre… » Oh oui, tu le pensais, c’était d’un délice sans non, et tu cachais ton visage dans son cou, embrassant ta peau avec délicatesse, tendrement… sensuellement.

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Tu voulais te retrouver avec Angus. Tu voulais qu’il soit encore en toi, ne faire plus qu’un avec toi et qu’il te fasse jouir de nouveau. Tu voulais profiter de son corps. Tu savais que tu avais le temps pour cela mais bon, tu désirais quand même le faire avec Angus. Tu le sentais venir en toi, encore et encore. Tu décidais de ce fait de continuer de l’embrasser et le caresser. Tu voulais qu’il vienne pour toi. Finalement, à ses mots, tu sentis ton corps se tendre davantage et tu te laissais aller à ton orgasme, une fois encore. Tu jouissais alors que tu l’embrassais, gémissant fortement. « Angus.. » Tu soufflais alors que tu sentais encore ton corps chaud et transpirant. Tu sentais les battements de ton corps qui avaient redoublé de cadence. Tu ne regrettais rien pour le coup et il ne semblait pas non plus. « Vraiment ? Je veux dire.. tu as aimé ? » Bon d’accord, tu te posais un peu trop de questions. Tu n’y pouvais rien, tu désirais vraiment savoir. Cela se verrait ou sentirait si ça n’avait pas été le cas ceci dit. « Mais oui.. ça valait le coup. » Tu lui disais alors que tu étais encore dans son lit mais tu n’avais pas vraiment envie de bouger. Après cela, tu ne souhaitais pas le quitter et Connor n’était pas là. « Je peux rester ? » Tu lui demandais alors finalement. Tu espérais bien qu’il dirait oui. Tu te doutais que tu allais avoir des courbatures le lendemain.

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C’est un don de soit incroyable et tu en as tout à fait conscience. C’est d’une intensité folle, d’une sensualité absolue et tu aimes encore plus la sensation de son corps se tendre de plaisir en même temps que le tien. Vous avez trouvé ce moment unique et tu désires par dessus tout le retrouver. Mais pour le moment, tu dois te reprendre et prendre soin d’elle. Tu souriais à ton prénom soufflé contre ton oreille, il n’y avait jamais rien de mieux que cela. Cette sensation délicieuse, d’être entièrement complètement. Tu cherches tes mots, tu cherches cette sensation, alors que tu te retires d’elle, enlevant ce préservatif que tu poses quelque part sur la table basse. Tu reviens vers elle, ce sourire et tu la prend afin de la coller contre toi, désireux de revenir dans ce petit nuage poste baise. Tu souris, cela avait fait longtemps et la sensation de frustration n’était plus pesante, au contraire elle était délicieuse et tu aimes cela, plus que tu ne devrais tu savais. Tu fonçais les yeux, doutait-elle encore ? « Tu sais Siloë, lorsqu’un homme a du plaisir, ça se voit. » Tu la taquinais tu savais qu’elle allait avoir deux merveilleuses rougeurs sur ses joues. Tu riais légèrement avant de reprendre son sérieux, soufflant cette fois-ci. « C’était délicieux, et j’ai beaucoup aimé. C’est plutôt à moi de te demander si tu as aimé. » Elle confirmait que ça valait le coup d’attendre et tu ne pouvais que confirmer ses mots. Tu avais attendu, la frustration fut énorme, la sensation aussi mais bon sang que c’était délicieux. Tu la serrais encore plus près de toi. Elle lisait dans tes pensées ou quoi ? Tu avais soudainement l’impression que c’était le cas. Bon sang, comment pouvait elle faire cela ? Tu ne te redressais légèrement, ta main caressant la peau de son ventre, délicatement. « Bien sur, je ne voulais pas te laisser partir. On est trop bien là. » Lui avouais-tu avant d’ajouter. « Tu veux manger quelque chose ? » Ta main remontait sur son épaule pour revenir à sa nuque, j’attirais son visage par le menton pour pouvoir l’embrasser avec douceur.

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Tu te mis à rougir en entendant les mots d’Angus. Bien sûr que le jeune homme avait les mots pour te faire rougir. Oui, il le savait très bien en plus de cela. C’était vrai que cela se voyait qu’il avait envie mais bon.. on ne savait jamais. « Je pouvais.. enfin, je préfère savoir. » Tu lui disais avec un sourire. Toi, en tout cas, tu avais aimé ce que vous aviez fait tous les deux. Tu lui avais dit d’ailleurs. « Je peux te retourner la phrase tu sais.. ça se voit mais oui.. c’était délicieux. » Tu lui disais en rougissant de nouveau. Tu restais contre Angus, n’ayant pas vraiment envie de le quitter pour le coup. Tu ne voulais pas le laisser dormir tout seul. Enfin.. tu ne te voyais pas aller dormir dans ton lit à quelques mètres de sa chambre alors que Connor n’était pas là. Tu voulais rester ici. Tu souriais quand il te disait qu’il se sentait bien. Tant mieux car c’était ce que tu désirais. « Merci. » Tu disais avant de venir l’embrasser. Si tu avais faim ? Ton ventre venait de gargouiller pour te le rappeler et tu te mis à rire. C’est vrai que tu étais rentrée et qu’il y avait eu ce problème avec l’évier puis.. voilà quoi. « Un peu mais je crois que tu n’as pas pu finir le repas ? » D’accords, tu n’étais pas la fautive c’était l’évier. « On peut commander ou grignoter quelques trucs. » Tu lui proposer alors, bien que tu n’avais pas trop envie de bouger d’ici, de ce lit alors que tu te sentais bien aux côtés du jeune homme.

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Tu fronçais les yeux, elle pouvait quoi ? Siloë manquait cruellement de confiance en elle, et tu avais besoin de la rassurer. Si tel était le cas, alors tu voulais que ce soit comme cela. Tu la serrais un peu plus contre toi, espérant que ça se passe au mieux pour elle qu’elle comprenne que tu étais effectivement là pour elle et que c’était délicieusement bon. Oh tu n’étais pas naïf tu savais que les femmes pouvaient parfois ne pas aimer ce qui se passaient et simuler pour que ça se termine. Certes, tu ne pensais pas à cela, pas vraiment, elle avait, tu l’espérais, aimé cela. Elle s’était tortillée sous toi, elle avait gémit et surtout tu avais espérer que cette fois-ci, la deuxième, elle avait eu son orgasme au même titre que tu avais eu le sien. « Oui ça l’était. » Tu penses pouvoir rester ainsi quelques temps, apprécier sa chaleur contre ton corps, son corps contre le tien. La tendresse du moment. Tu ne voulais pas qu’elle s’éloigne mais tu voulais savoir si elle avait faim. Après tout, vous vous étiez trouvé tous les deux attirés l’un par l’autre. « Effectivement. » Tu te redressais légèrement dans le lit puis tu écoutais ses mots et d’un seul coup une pensée revint vers toi. C’était bien beau de vouloir grignoter un truc et commander mais au fond… Bon sang, vous n’aviez pas régler le soucis de la cuisine. Tu prenais sa main. « On va commander quelque chose et voir ce qu’on peut réparer, il doit y avoir de l’eau partout. » Tu grimaces à cette pensée. Tu te lèves et tu prends un boxer que tu enfiles dans ta commode avant de proposer un de tes t-shirts à Siloë. Vous devez essayer d’arranger les choses un minimum. tu te levais directement la cuisine ou tu sentais de l’eau. Dans ton imaginaire embrumé tu avais imaginé avoir les pieds dans l’eau au niveau des chevilles, finalement tu clapotais juste ouf… tu demandais. « Alors quel dégât ? » Tu ne voyais rien tu avais besoin de ses yeux à elle.

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A faire des bêtises et cochonneries avec Angus, tu en avais oublié la cuisine. L’évier. Oh, vous aviez réussis à arrêter l’eau c’est vrai. Cependant, la cuisine devait être encore dans un piètre état. Oui, vous n’aviez pas pu nettoyer tout cela. Il était préférable de le faire avant que les choses empirent. Et surtout avant que Connor rentre. Tu poussais un grognement quand il te disait que vous deviez aller réparer. Tu le savais mais tu n’avais pas pour autant envie de le faire maintenant. Mais bon. « Oui je crois.. on va nettoyer. » Tu prenais le t-shirt d’Angus avant de l’enfiler sur toi. Tu récupérais également ta culotte que tu enfilais. Même s’il ne te voyait pas, tu n’étais pas de celles à se balader nue. Tu te rendais finalement à la cuisine, lieu du désastre. Il y avait encore de l’eau sur le sol. Tu ne savais pas trop comment vous alliez faire pour le coup. « De l’eau sur le sol puis remettre la cuisine en ordre. » Tu soupirais alors, balançant tes cheveux en arrière. « On va devoir essayer d’enlever l’eau enfin il doit y avoir un moyen puis laisser sécher. » Tu prenais le téléphone fixe. Tu avais faim et s’il fallait se mettre au boulot, autant avoir quelque chose à se mettre sous les dents. « Je propose que l’on commande d’abords. Qu’est ce que tu veux qu’on mange ? » Tu n’avais pas de préférence particulière donc peu importe pour toi ce que vous décideriez de prendre.

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Tu ne voyais rien, tu sentais uniquement l'eau sous tes pieds et tu supposais combien tout devait être bien humide. Trop humide, merde vous aviez merdé. Peut-être que s'envoyer en l'air n'était pas LA solution à faire aussi rapidement, en tous les cas, tu faisais en sorte que ce soit arrangé avant l'arrivé de Connor. Il allait péter un câble et ne pas comprendre pourquoi vous aviez mis autant de temps à vous charger de cela. Bon sang, tu ne pouvais pas lui dire que tu t'étais occupé de sa soeur. Tu refoulais cette pensée, pas le moment de laisser ton cas de conscience venir tout foutre en l'air. « Bon, je vois... » Tu réfléchissais te demandant comment faire, passer la serpillière était surement la bonne idée, mais tu savais également que ça allait vous prendre beaucoup de temps. Mais vous n'aviez clairement plus le choix. Tu tentais de trouver autre chose, alors qu'elle te proposais de commander et ensuite de s'y mettre elle avait raison. Vous devriez faire une chose pareille. Tu te mordillais la lèvre avant d'ajouter tes mains sur les hanches. « Tu as raison, hum, sushis ça te convient ? » Lui demandais-tu alors que t'approchait du placard où était ranger le matériel pour le ménage. « Je vais m'occuper d'éponger le plus possible. Je risque d'être mouillé, ne me saute pas dessus tout de suite. » Tu la taquinais bien évidemment, qu'elle te saute dessus t'était plutôt agréable comme idée mais tu ne voulais pas en abuser. Tu ajoutais cependant. « Tu crois qu'on a l'option aspirer l'eau avec l'aspirateur ? » Ce serait surement une bonne idée, tu aurais aimé que ce soit le cas, ce serait tellement plus simple en faite pour vous deux afin d'arranger tout ça.

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Tu te demandais comment faire les choses. Comment tu allais pouvoir retirer toute cette eau. Tu avais l’impression que c’était impossible à faire. Tu savais bien qu’il devait y avoir une solution mais là.. c’était compliqué. En plus de cela, Angus ne voyait pas, même s’il pouvait sentir l’eau. Tu décidais avant tout qu’il fallait commander le tout pour le repas. Peu importe quoi. « Oui c’est parfait. » Tu lui disais alors que tu prenais le téléphone. Vous passiez alors commande puis tu attendais qu’ils livrent. « Dans vingt minutes ce sera là apparemment. » S’il n’y avait pas de retard ou quoique ce soit. Tu ne savais jamais. Tu levais les yeux au ciel aux mots d’Angus. Vraiment ? Tu ne crois pas qu’il s’était plaint de cela d’ailleurs. Loin de là. « Eh, d’une tu n’as rien dit et de deux.. tu peux aussi le faire. » Tu lui tirais la langue même s’il ne voyait pas. Tu ne savais pas s’il pouvait le sentir mais peu importe. Tu te mis à rire en entendant ses paroles. « Ce serait bien.. dans vingt ans peut être ? » On ne savait jamais avec tout ce qu’ils inventaient, la nouvelle technologie et tout. Tu ne savais pas. « Je pense qu’on va devoir enlever le maximum avec les serpillères et le seau. » Tu lui disais avant de sortir le seau et prendre deux serpillère. « Tiens, le seau est contre le plan de travail. » Tu disais pour qu’il sache.

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Tu aurais pu te contenter de passer du temps avec Siloë, c’était une belle perspective. En tous les cas, tu l’imaginais pas du tout comme cela. Mais vous deviez faire ce qui semblait être le plus juste et le plus approprié au vu de la situation, nettoyer. Enfin, avant vous deviez commander. Tu voulais te restaurer, puisque tu avais faim. Tu fermais les yeux un moment l’écoutant attentivement passer un coup de fils pour la commande. « C’est parfait ! » Tu trouvais cela parfait, ça vous laissait l’occasion de pouvoir arranger un minimum les choses. Tu te redressais en entendant ses paroles, une moue sur le visage. Tu savais qu’elle avait raison, mais tu préférais réagir de cette manière. C’était plus drôle, tu le savais. Tu penchais légèrement la tête. « Serait-ce une invitation ? » Lui demandais-tu, curieux de connaitre l’expression de son visage, juste en entendant ces mots. Tu savais qu’elle te taquinait. tu te dirigeais vers le seau, elle venait de te guider afin que tu saches où ils se trouvent. A taton, tu appréciais cette simplicité que vous aviez d’être ensemble et tu aimais cela aussi. Tu ne voulais as trop réfléchir, c’était plutôt cool tous les deux, tu devais bien l’avouer. « Je m’occupe de ça alors. » Tu t’accroupissais et tu ramassais comme tu pouvais le plus d’eau possible afin de rendre la pièce présentable. tu l’entendais faire exactement la même chose. Tu souriais avant de lui avouer assez naturellement. « J’aimerai bien te voir. » Tu souriais légèrement en disant cela avant de te redresser et de t’approcher d’elle, tel un prédateur, que tu pouvais être. « Je sais que tu portes mon t-shirt, et j’imagine sans mal que tu dois être hyper sexy. » Tu n’avais aucun doute dessus, et tu cherchais du bout des doigts le t-shirt qu’elle portait afin de l’attirer contre toi.

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Tu te trouvais dans la cuisine avec Angus. Vous aviez donc commander à manger. Bon, quelque chose de rapide et de bon à manger. Tu n’avais pas envie de te prendre la tête. De plus, il fallait que vous vous occupiez de nettoyer la cuisine donc bon. C’était déjà suffisant. « Une invitation ? Ah Angus tu es déconcertant ! » Tu lui disais avant de lever les yeux au ciel. Tu avais envie qu’il te saute dessus. Oui. Surtout après que vous ayez coucher ensemble mais d’un autre côté, il te disait tout l’inverse. Tu tentais de te changer les idées et de t’éloigner de lui pour nettoyer la cuisine. Chose que vous deviez faire avant que les choses ne s’aggravent. Tu prenais la serpillère et tentait de nettoyer le tout. Tu étais aidée d’Angus. Cela allait un peu mieux. Il y avait moins d’eau mais quand même. Bon, ce n’était pas encore parfait mais vous avanciez. Tu te tournais finalement vers le jeune homme. Quoi ? Tu le vis s’approcher de toi et.. tu commençais à le connaître, connaître ce regard. Il ne s’approchait pas de toi ainsi par hasard. « Angus.. » Tu lui soufflais. Tu frissonnais une fois encore à son contact et tu savais bien qu’il devait le sentir. « Je.. oui je le porte mais je croyais qu’on devait nettoyer. » Il ne portait que son boxer et tu pouvais le sentir. Tu posais une main sur son torse. « Le livreur va bientôt arriver en plus.. » Alors bon, vous n’alliez pas vous sauter dessus et laisser le livreur dehors. Quoique, ce serait drôle.

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Nettoyer, aspirer, décaper, voilà ce que vous deviez faire pour rendre cette cuisine praticable. quand tu repensais à tous les dégâts qu’avait provoquer un simple tuyau tu te disais que les drames pouvaient vite arriver mine de rien. Tu fermais les yeux, essayant de te concentrer sur l’essentiel même si concrètement c’était toujours très difficile pour toi de faire une chose pareille en sachant que Siloë était près de toi, et presque nue. Quoi ? Tu n’étais qu’un homme, un homme qui avait découvert les plaisirs, la joie de côtoyer son corps, intimement. « Pourquoi le suis-je ? » Lui demandais-tu conscient qu’elle allait te dire la raison. Quoique l’étais-tu finalement ? Tu ne savais pas vraiment, tu étais aussi perdu mais c’était agréable. Très agréable. Tu souriais légèrement avant de nettoyer comme tu pouvais. ça avançait certes, pas énormément mais assez en tous les cas pour avancer un peu et nettoyer ce qu’il y avait à nettoyer. Vous alliez y arriver après tout. Mine de rien, tu t’approchais de Siloë peut-être une idée derrière la tête après tout, elle restait si près de toi, que tes pensées pouvaient s’entrechoquer brusquement. Elle soufflait ton prénom, tu souriais assez fier de l’effet que tu provoquais chez elle. « Siloë… » Elle frissonnait, tu pouvais le sentir et tu étais heureuse de cela. Te collant un peu plus contre elle, tu souriais légèrement, appréciant cette sensation, cette agréable sensation. « Il n’est pas interdit de faire une pause. » Lui avouais-tu alors que tu la soulevais subitement pour la déposer sur le plan de travail. Tu glissais tes mains sur ses cuisses les remontant en même temps que son t-shirt. « Il n’est pas encore là, tu sais et puis… » Tu embrassais son cou, jusqu’à revenir à ses lèvres, tes mains dessinaient des ronds sur ses cuisses provoquant de léger gémissement que tu adorais tant. Ah Siloë ! « … ton corps me manque déjà… » Lui soufflais-je naturellement.

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Tu ne savais pas comment faire avec Angus enfin.. il était totalement déconcertant. Tu commençais à le connaître et, désormais, tu savais que cela allait être difficile de résister. Ce n’était pas très facile déjà alors là.. « Tu sais très bien. » Et de ce fait, tu n’avais pas besoin de le lui dire puis.. tu ne voulais pas. Enfin, il te faisait assez rougir comme cela. Tu continuais donc de nettoyer. Enfin, ce fut jusqu’à ce qu’Angus se rapproche de toi, provoquant un effet immédiat sur toi et ton corps. Il prononçait ton prénom et se collait contre toi, provoquant un nouveau frisson. « Je sais mais.. » Tu n’eus le temps de rien dire que tu te trouvais sur le plan de travail et tu sentais ses mains, ses lèvres. Tu gémissais une fois encore. « Angus.. » Tu basculais la tête en arrière afin de lui donner libre accès à ton cou. Tes jambes venaient finalement l’approcher de toi. Ses mots allaient te faire céder mais en même temps, comment résister quand il disait ce genre de choses ? « Tu devrais aller chercher ce qu’il faut alors.. » La boîte était restée dans la chambre et, il ne portait que son boxer sur lui. Tu glissaitsses mains à l’intérieur de son boxer, venant à caresser ses fesses. « Ne me laisse pas seule longtemps.. » Tu lui soufflais avant de l’embrasser et de le laisser aller chercher ce qu’il fallait. Son corps te manquait également et finalement, vous étiez bien décidés à renouveler la chose, à un autre endroit de l’appartement. Tu ne pourrais t’empêcher d’y penser en voyant ce plan de travail, désormais.