What's in your head, Zombie...D. Morisson

   

devon morisson

“Celui qui désire, mais n'agit point, engendre la peste.”

   
   

les informations en vrac

   la partie anecdotes ○ Devon adore boire du vin blanc - Il aime être bien habillé - Il a été photographe de mode pendant  cinq ans avant de tout arrêter à la naissance de Louis - Le seul homme qu'il a aimé est Cheyenne, il n'a jamais connu d'autres hommes - Il aime aller courir tous les matins au moment de l'aurore - Il parle trois langues différentes, l'anglais, le français et l'italien - lors de sa rupture avec Isobel il est retourné vivre chez ses parents - Devon adore le rugby - En plus de la photographie, il aime dessiner et peindre - Le second prénom de Louis est Allan, Isobel a refuser de donner le prénom de son frère à son fils - Devon respire le bonheur, il est très positif, assez rêveur - Il aime jongler avec ce qu'il a sous la main - Dev' n'a jamais été pudique quand il se retrouve tout seul - il collectionne les cartes postales - Devon est très protecteur envers sa famille et surtout son fils, c'est son petit soleil personnel - C'est un grand fan de métal - Il a toujours refusé de parler des derniers mots de son frère - Il adore manger de la pizza au petit matin - il sait très bien cuisiner - parfois un peu maniaque - a peur des araignées et des serpents, il c'est évanouis en plein shooting avec un python à Milan. - Devon adore William Blake


   

les indiscrétions sur le joueur

     
   

Code:

<pris>○ julian morris</pris> devon morisson

   

   

l'histoire de ma vie

Plus c'est Devon, moins c'est sérieux

   « Le cliquetis de l’appareil cliquetait inlassablement, il tenait seulement un sac retombant sur ses hanches et au loin il observait cette magnifique créature. Le photographe lui aboyait des ordres, auxquels il répondait sans broncher. Isobel le fixait avec ce regard pénétrant, le foudroyant sur place, cette douce créature se déhanchait avec plaisir, sachant que lui seul comptait dans ce monde. Il n’aurait jamais imaginé venir sur New York. A la fin de la séance elle vint vers lui et l’embrassa. Ce baiser lui rappelait comment il l’avait rencontré sur un shooting, la voyant en détresse sur sa chaise de maquillage, les larmes aux yeux. Le photographe avait été infecte avec elle, lui se pointa, avec un latte machiatto vanille acheté dans un starbuck du coin. Et à ce moment il su que c’était sa future femme. »

« Université de Wellington, la sonnerie actait la fin des cours, il courait pour prendre son poste de Barman, a cinq heures du matin il devait être au port pour la livraison de poisson et décharger sur les docks pour reprendre ses cours le lendemain à huit heures tapantes. Pourquoi il était passionné de photos ? Pourquoi trouver une logique à la passion ? La passion est innée et naturelle. Ils sont trois enfants, ses parents peuvent l’aider, mais le matériel coûte extrêmement cher. Il arrivait à travailler ses cours entre deux pauses. Cette époque de sa vie était d’une intensité, si antinomique avec sa vie actuelle. »

« Dev’ se fige, il la voie dans son lit, un sourire mesquin sur les lèvres, Louis dort profondément dans son berceau. Liam s’avance, évoquant une erreur, il ne l’avait pas voulu. Encore pire que de voir son meilleur pote à poil, c’est de le surprendre au pieux avec sa femme. Isobel, qui soit disant avait tout quitté pour sa vie de famille, qu’elle était devenue une banale assistante de direction pour lui. Elle avait repris la cocaïne, il ne pleura pas. Il prit Louis avec lui, s’enfermant dans son mutisme. La porte claqua, et la prochaine fois qu’il reverrait Isobel ca serait devant le juge des affaires familiales. »

« Sa mère l’appelait, scandait son nom alors qu’il était perché dans son arbre. Le repas était prêt et lui adorait contempler le ciel depuis sa branche, les formes mosaïques des feuilles découpaient le ciel bleu. Un bonheur innocent comprimait sa poitrine de petits garçons, il avait envie de peindre ce qu’il contemplait à l’instant. Son frère Allan l’appela aussi, il était l’heure de manger. Certes il avait faim, mais pourquoi s’arracher de cette œuvre d’art pour juste assouvir un instinct qu’il pourrait rattraper plus tard. Plus tard il se promettait d’être artiste, Sissi grimpa jusqu’à sa branche et le secoua. « Elizabeth je t’ai déjà dit de ne pas monter avec ton grand frère », finalement elle se lova contre lui et il la serra. »

« Son téléphone sonnait, le nom de la nounou clignotait sur son écran, le feu en face de lui passait en rouge mais son regard ocre et doré était fixé sur son téléphone. Pas le temps de freiner, il rentre dans la voiture devant lui. Le bruit de métal froissé raisonne dans la rue en même temps que ce crissement désagréable, une odeur de caoutchouc brulé lui donna la nausée. L’homme en face de lui descendit de sa voiture, légèrement plus jeune. Sa journée commençait vraiment mal, il était déjà assez difficile de retourner chez ses parents mais qui plus est ne pas avoir de coin gagné pour donner à manger à son fils. Isobel se moquerait certainement de lui. « Hey gros con tu peux pas regarder avant de freiner ! » Lui qui avait une sainte horreur de la vulgarité c’était sortis tout seul. Très vite le ton monta alors qu’il était en tort. Il ne comprenait pas ce qui arrivait, sur le moment cet homme le troubla. Un homme, le troubler, c’était risible, un homme pouvait être beau mais pas attirant. C’est cet accident, il c’était cogné la tête et avait perdu la raison. Il observa sa montre, s’il manquait son rendez-vous chez le banquier, il était foutu. Dev s’excusa et demanda si c’était possible de se retrouver vers cinq heures pour remplir le constat. »

« Il était enfin diplômé, il avait réussis, Liam était avec lui. Ils se connaissaient depuis leur première année. Ils étaient tous les deux passés par la section arts de la Victoria University. Lui avait décroché un stage photo chez un photographe de mode, sa vie pouvait enfin commencer. »

« Quatrième rendez-vous, il approcha sa main, caressa sa joue, trouvant l’excuse bidon d’une miette égarée et déposa ses lèvres sur les siennes. »

« Sissi arriva, un gros pot de glace dans la main et une bouteille de vin. Qu’il est chouette d’avoir sa sœur. Il fixa les posters de ses chanteurs préférés, il avait un ours entre les bras. « Toi aussi il te manque ! » Il lui souria tandis qu’elle venait s’allonger à coté de lui. Ca faisait combien de jours qu’il n’avait pas quitté cette chambre ? »

« Il avait demandé en mariage Isobel, quelques jours plus tard elle tombait enceinte. Cette grande femme blonde allait devenir sa femme, ils avaient décidés de retourner à Wellington pour fonder leur famille. Lui avait trouvé un poste dans un cabinet comme photographe employé, ce qu’il lui convenait. Et elle envisageait un poste de reconversion, il en était finis de Milan, Paris, Rome, New York….une nouvelle vie débutait. »

« Un regard complice échangé avec Cheyenne, les cartons étaient rangés par pièce, le dernier allait dans la chambre de Louis. Qui d’ailleurs était en pleine crise de caprice, il fut étonné de voir Cheynne s’approcher du petit garçon pour le calmer. Dev avait eut conscience en emménageant sous le même toit qu’il allait faire partie intégrante de la vie de son fils, son compagnon devait trouver sa place. Ainsi il n’intervint pas, s’occupant de vider les premiers cartons. »

« Face à la plage il souriait, il avait couru une trentaine de minutes, le corps en sueur. Son cœur était accéléré. Depuis peu la raison se perdait, son homme devenait un colocataire, il rentre de plus en plus tard, ils n’ont rien fait depuis une éternité. Pourtant au fond de lui il sait qu’il l’aime, un mois…pourtant l’écrin est toujours caché dans le fond de son placard. Il ne voulait pas le sortir comme un cataplasme sur l’effondrement de sa relation. »

« Allan dans son lit d’hôpital, du haut de ses quinze ans le regardait. Lui en avait que dix, il ne pleurait pas, il lui faisait un petit spectacle ridicule avec ses ours en peluches. Son frère se tourna vers lui, la respiration difficile, il lui prit la main. Entre deux souffles, il lui fit faire une promesse. « Reste heureux Devon, toujours heureux, reste ce petit garçon ensoleillé, va au bout de tes rêves pour moi ! » Le petit garçon s’allongea et le serra dans ses bras, prenant garde aux tubes. Il le serra, comme s’il pouvait tenir son âme dans ses bras. Allan dormait désormais, ses paupières étaient closes, la pompe s’actionna, il semblait apaiser. Il l’observait, les larmes brulantes dévalant sur ses joues. « Je te le promets ! ». La leucémie avait gagné. Allan dormait paisiblement, les yeux clos pour l’éternité. Il fallut vingt minutes au personnel hospitalier et ses parents pour réussir à le décrocher. S’il ouvrait les bras, l’âme d’Allan partait et ça c’était impossible. »

« Les couples, les familles et les mariages s’enchainent derrière son objectif. Il gagne bien sa vie désormais. Les mannequins en devenir veulent leurs books. Ses prix ne sont pas excessifs. Il l’avait souhaité cette vie, il l’affectionnait…. »

bravo, tu es validé

○ je crois sincèrement que je ne pouvais pas mieux tomber pour Devon. Il est encore mieux que ce que j'avais imaginé avec l'histoire du petit Allan et tout... Merci mille fois d'avoir choisit mon scénario, je sens qu'on va bien s'amuser toi & moi et je me répète mais ton style d'écriture est juste parfait :p PS : Cheyenne non plus n'est pas très pudique :p

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