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| Sujet: daphne - i've lost my faith (#) Lun 15 Fév - 9:33 | |
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Daphne Daichi Adler do you remember the time ? les informations en vrac nom ○ Alder de son père, éminent avocat londonien. prénoms ○ Daphne par lui, Daichi par elle. Kannon quand vient le temps d'être une artiste. âge ○ 37 ans (29 Janvier 1984) lieu de naissance ○ Londres, la belle capitale anglaise. statut civil ○ célibataire depuis sa rupture avec Augustus il y a douze ans de cela, amourachée d'un artiste volage ensuite, sans plus. orientation sexuelle ○ bisexualité nébuleuse du nom de pansexualité. métier/études ○ diplômée du barreau anglais, et l'équivalent d'une licence en droit, diplômée également des Beaux-Arts de Paris et de New York, elle finit artiste-peintre. groupe ○ Lost in my mind. avatar choisi ○ Sonoya Mizuno bilingue japonais et anglais ○ nom d'artiste Kannon en hommage à la déesse japonaise de la discorde, elle peint les yeux fermés quand elle n'a pas de modèles à regarder ○ a gagné en renommée dans le milieu artistique après sa rupture avec Augustus, vie très difficile après la désillusion, ses toiles névrosées ont attiré l'oeil ○ elle déteste son père, il ne lui a jamais rien apporter à part de la privation et un manque de confiance extrême envers les êtres masculins ○ trouble de la personnalité borderline non diagnostiquée, surdouée à la personnalité ambivalente qui refuse de se faire traiter par une thérapeute. ○ harceler durant sa scolarité, elle a toujours ignoré les critiques et a développé une impulsivité curieuse : se raser le crâne sur un coup de tête ne lui a posé aucun souci ○ percée aux oreilles, ne laissant plus tellement respirer le cartilage, et également à la poitrine ○ déteste tout ce qui est lié à l'espoir, que ce soit le vert ou les discours positivistes ○ passionnée de musique classique et de poésie, elle a une voix de mezzo-soprano sans véritablement l'utiliser ○ ouverte d'esprit, les Beaux-Arts lui ont appris à élargir ses horizons artistiques, elle adore la pop culture autant que les oeuvres plus "classiques" ○ apparence de femme pompeuse qu'elle arbore parfois, elle est en réalité très généreuse et fait pas mal de dons en plus d'offrir ses connaissances juridiques à des associations qui en ont besoin ○ son fils de sept ans est mort dans un accident d'hélicoptère avec son père -artiste volage qui n'a même pas été présent la grande partie de sa vie-, depuis elle continue de vivre comme s'il était là : parler, sortir, l'emmener à l'école, elle voit son ombre chimérique quasiment tous les jours et vit avec ○ Haru, son fils, était d'ailleurs issu d'un déni de grossesse ○ passé de junkie, elle a failli faire une overdose il y a vingt ans de ça, calme retrouvé avec Augustus, elle est retombée dans ses travers suite à leur rupture. au lieu des drogues fortes, elle se concentre sur le cannabis et ne fume jamais en public ○ adore le thé blanc et les lupins, elle cuisine sans gluten en utilisant plutôt de la farine de riz ○ addict au culte de la beauté de son pays d'origine, elle s'octroie massage facial et crème solaire à tout va, ça lui évite les rides même si elle reste incroyablement pâle en été - si vous voulez tout lire en détails:
I. sweet rose, sharp spines. Frimousse au sobriquet angélique, à la voix aussi douce que les mélodies au piano de Debussy, la caboche est pourtant aussi dure que la pierre et les paroles tranchantes débitées à la seconde ne laissent pas de répit. Elle est de ces gamins que l’on dit difficiles, nature intangible acquise à l’heure du premier cri distordant l’espace-temps, dû à la discorde permanente dans le foyer. Daphne n’a jamais changé, pas même sous les disputes ou les privations d’amour du paternel. Tête brûlée à l'intelligence décuplée, deux classes sautées lors de la primaire. Encore aujourd’hui, elle a cette ambivalence grisante, cette personnalité amphibie, qui vous fait danser et vous emmêle les pinceaux. Tantôt vile séductrice, plus tard entité névrosée. Des psychologues lui diagnostiqueraient sûrement un trouble de la personnalité borderline, séquelle éternelle de sa vie. Sauf qu'elle n'ira jamais consulter, trop indépendante pour s'enchainer à un thérapeute.
II. stranger than a stranger. Monstre, tarée, weirdo. Elle est la fille là-bas que l’on pointe du doigt et de qui on dit qu’elle est étrange, bizarre, depuis petite. La cour d’école bondée de gamins riches s’est bien occupée de lui rabâcher sa différence au primaire. La bridée qui dénote a fait parler d’elle, a poussé les harceleurs en devenir à s’octroyer de plein droit son goûter, ses devoirs brillants, lui coller des chewing-gums dans les cheveux pour épater la galerie. La bridée ne parle à personne, ne donne pas raison aux bourreaux qui viennent à peine de quitter les couche-culottes. À l’aube du secondaire, Daphne débarque un matin, le crâne entièrement rasé après une nouvelle plaisanterie capillaire de ses camarades. Seule, elle a saisi la tondeuse de son père et a tapissé le sol de la salle de bain de ses mèches châtains. Impulsivité qui swingue dans les veines, parfaite incarnation d’une artiste perchée qu’aucune règle n’arrête. Garçonne un jour, femme fatale le lendemain, les limites n’existent que pour les chimères. D’ailleurs, elle a les oreilles quasiment entièrement percées, et la poitrine également.
III. light a blunt up with the flame. Sinistre dans la rétine, cataclysme dans les paumes. Le cœur parle mais les lèvres s’entêtent à avaler la souffrance. La contre-attaque synaptique actionne les mains dans cette rage créatrice empruntée à Basquiat. Le néo-expressionnisme mêlé au fauvisme précurseur de Van Gogh, les pinceaux donnent vie aux émotions enfouies. De son nom d’artiste Kannon, déesse japonaise de la discorde, pseudonyme choisi sans aucun hasard pour s’extirper du patronyme paternel, elle expérimente la vie sur la toile en s’aidant de ses courants picturaux favoris à l’image de l’impressionnisme ou du pointillisme. Explosion de saveurs et de savoir. Émotions parlantes, coups de crayon sur la toile sans un regard. Kannon, elle dessine les yeux fermés quand elle n’a pas de modèles. Croquis brouillon, pensées désordonnées et myocarde perturbé qui guident le poignet. Selon elle, ça lui permet de donner libre cours à ses démons intérieurs.
IV. whisperers await for us. Foutu espoir, conte pour gamin gavant. Il n’y a rien de pire que l’espoir, ce truc qui grandit dans la poitrine et réchauffe les muscles avant de disparaître subitement, laissant un vide étouffant derrière. Véritable aversion, Daphne ne supporte plus les discours positivistes, les personnes remplies d’espoir pour tout et rien, depuis la mort de son fils. Faux espoirs impossibles avec elle, elle ne croit plus rien, bloquée dans l’espace-temps chaotique. Rares sont les personnes qui peuvent calmer les flots tumultueux de son âme. Il ne faut jamais lui dire que tout ira mieux, qu’il faut continuer de garder espoir pour avancer, ni même porter de vert. Couleur de l’espérance qui lui fait défaut, elle l’utilise avec dégoût dans ses peintures simplement pour le bien de ses toiles réalistes.
V. nothing compares, nothing matters like that. Âme artistique, gamine touche-à-tout qui s’est perdue au conservatoire pour étudier le piano. Passion pour la musique classique, douce mélodie pour son coeur et symphonie inspirante dès qu’elle prend le pinceau. Elle a d’ailleurs une très belle voix de mezzo-soprano jamais utilisée, hormis lorsqu’elle écoute de l’opéra tout en faisant son art. Endocarde empreint de poésie, aux Beaux-Arts elle a étudié en profondeur Baudelaire, tourment des âmes partagées en guise d’appel. Cependant, son poème préféré reste El Desdichado de Nerval, élu de son cœur pour la bataille décrite entre le malheur et le pardon.
VI. pop culture was in art, now art’s in pop culture. Esprit aérien, Daphne a les valves ouvertes à tout. Ambiance conservatrice du classicisme à la décadence de la pop culture, elle s’adapte à toutes les tendances et apprécient les œuvres de tous les arts, quel que soit leur style ; sens critique élargi grâce à la culture offerte par les Beaux-Arts de Paris, et de New York. Elle adore Game of Thrones et encore plus les deux opus de Mamma Mia.
VII. hands up. Pourquoi s'embêter à se déplacer par ses propres moyens quand le patriarche blindé a toujours tenu à ce qu’elle use d’un chauffeur ? Garde du corps en prime, pour lui éviter de se faire kidnapper par un criminel enfoncé par son père au tribunal, peut-être. De fait, Daphne ne sait pas conduire, elle n’a jamais voulu avoir la responsabilité de tenir sa propre vie entre ses mains avec ce volant, et encore moins celle de quelqu’un d’autre, que ce soit dans l’habitacle ou sur la route elle-même. Boule craintive dans le ventre, manque d’envie, elle n’a jamais cherché à passer le permis, et ne prend que des taxis ou compte sur ses amis depuis qu’elle vit loin de la demeure des Adler.
VIII. the devil wears prada. Allure chic, presque pompeuse et orgueilleuse. Daphne se fiche pas mal des classes sociales. Haute, basse, moyenne, le portefeuille ne définit pas la personne. Pendant son adolescence, la silhouette avait cette fâcheuse tendance à se frayer un chemin jusqu’aux quartiers malfamés de la capitale anglaise, beaucoup pour emmerder le paternel mais surtout parce qu’elle trouvait les gens bien plus agréables, éloignés des jugements hautains de la haute classe. C'est d'ailleurs comme ça qu'elle a rencontré ses deux meilleurs amis : Jay et Joshua qu'elle a continué d'aider depuis sa cage dorée quand le crime leur collait aux baskets. Généreuse, elle a même tendance à souvent faire des dons, que ce soit en liquide ou avec ses œuvres. Elle use de ses connaissances juridiques pour les offrir à des associations en tout genre, âme esseulée qui refuse de voler les espoirs des autres.
IX. bad habits die old. La mort de son fils reste gravée dans son crâne, myocarde brisé en deux, la plaie encore à vif. Ectoplasme du gamin qui venait d'avoir sept ans qui se balance devant la rétine, Daphne ne réalise pas son décès. Deuil bloqué dans le déni, elle garde la routine qu’elle avait, le conduire au rugby ou bien à l’école. Souvent elle discute avec l’entité chimérique, attitude délurée pour les passants et ses proches.
X. purple rain in veins. Consommation excessive durant l’adolescence et le début de sa vie d'adulte ; adrénaline accrochée au coeur, endocarde surdosé. Elle a failli faire une overdose à l’aube de ses dix-neuf ans, chance miraculeuse d’être née avec une bonne étoile ou d’avoir su appeler l’ange gardien à temps. Pluie violette qui a coulé en un torrent destructeur. Elle s’est sevrée, pendant de longues années, sans jamais réussir à décoller totalement sauf pendant une dizaine d’années, quand elle a enfin réussi à se poser avec Gus. Plus besoin de drogue avec lui, l'accalmie tapissait son coeur. Puis, la mort dans le myocarde qui ne présage rien de bon revient, les démons du passé entrainent à nouveau l’ancienne addict en cherche de drogues plus douces, de quoi apaiser sans semer le chaos. Un calme sans la tempête, consommatrice discrète de l’illégal cannabis, jamais elle ne fume en public.
XI. cooking like a chef, i’m a 5 star Michelin. Faiblesse pour une boisson, thé blanc qui compose à moitié son corps, cellules souches imbibées par le nectar. Petit déjeuner, déjeuner, dîner, goûter, tout y passe. La théine remplace son eau tout comme la farine de riz remplace la farine de blé. Partisane du sans-gluten, elle évite d’en ingérer, quitte à devoir faire ses propres gâteaux et pains. Addiction particulière à noter : bouche qui ne peut se passer des lupins depuis un séjour au Portugal, graine bienfaitrice reconnue par le peuple ibérique.
XII. made in Japan. Produit hybride entre accent pompeux et charabia incompréhensible pour les occidentaux, Daphne manie aussi bien la langue de Shakespeare que la nippone. D’ailleurs, ses origines se reflètent sur sa façon de vivre. Matriarche de bons conseils lui a toujours intimé de s’hydrater la peau tout en pratiquant un tas de massages faciaux. Comme beaucoup d’asiatiques, Daphne reste très pâle, épiderme toujours protégée du soleil pour rester jeune et fraîche. Attitude sûrement clichée aux yeux de beaucoup, elle s’en moque et est bien ravie de faire plus jeune que son âge. À noter qu'elle ne fait jamais de sport, ligne naturellement entretenue par la génétique.
évolution du personnage 1984 - 1999, Londres ○ enfance et scolarité.Daphne grandit à Londres dans un quartier riche, école rempli de gamins de riches. Ses capacités cérébrales lui valent la réputation d'intello, et elle saute même deux classes durant le primaire. 1999 - 2003, Oxford ○ LLB (droit) + Bar.Pour faire plaisir à papa, elle se lance dans le droit sans grande conviction, elle abandonne d'ailleurs avant le pupille pour se concentrer sur l'art. 2000-2003, Paris ○ Les Beaux-Arts.Elle obtient de son père le droit d'alterner entre la capitale anglaise et française pour s'offrir une part de ce qu'elle aime : l'art. 2003-2008, Island Bay ○ Augustus.Atterrissage en Nouvelle-Zélande, jolis Tage dégotée dans une galerie réputée de la capitale. C'est là qu'elle fera la connaissance d'Augustus, premier petit ami qui fait véritablement battre son coeur, lui donne envie de croire un peu dans les mâles. Finalement, l'illusion se brise quand il opte pour le zoo et sa meilleure amie, plutôt que pour elle. 2008-2010, Paris ○ Fin des Beaux-Arts.Après sa déception amoureuse, elle décide de se perdre dans l'art et reprendre son cursus pour décrocher son DNSAP avec mention et tableau d'honneur. 2010-2012, New York ○ Toujours l'art.Cette fois, ce sont les Beaux-Arts de New York qui lui ouvre leurs portes. Ce sera là-bas que sa notoriété explosera, le mélange des genres pour peindre la névrose qui plait. Elle y rencontrera d'ailleurs un artiste de qui elle s'amourachera. Amourette stupide. 8 Novembre 2013 ○ Naissance de son fils Haru.Idylle qui l'a foutu en cloque, déni de grossesse invisible jusqu'au jour J, le père qui a fichu le camp en apprenant la nouvelle. La bouille délicate de son enfant la projette dans le rôle de mère avec un plaisir curieux pour celle qui ne pensait plus pouvoir fonder de famille. Septembre 2019 - maintenant ○ Retour à Island Bay.Elle veut offrir à Haru une vie paisible, alors elle revient à ses sources en Nouvelle-Zélande pour le premier degré de la scolarité de son fils. 9 Novembre 2020 ○ Mort de son fils.Il est revenu dans sa vie, a demandé de voir son fils pour lui faire passer le meilleur des anniversaires. Il a vaincu, mort qui les a emporté tous les deux. Séquelles de la disparition d'Haru qui reste gravé dans le coeur et dans le crâne.
Dernière édition par Daphne Adler le Mer 12 Mai - 9:58, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: daphne - i've lost my faith (#) Lun 15 Fév - 9:33 | |
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les hommes Augustus Fletcher ex-copain, ancien pilier de sa vie ○ le premier homme qui lui a donné confiance dans les mâles, jusqu'à leur séparation. ce fût très dur, elle l'a mal vécue mais elle est toujours là, jusqu'à même revenir à Island Bay sans vouloir le croiser pour autant, jusqu'à ce que le zoo la rattrape. Joshua (pnj) best friend 4ever ○ elle l'a aidé, il l'a aidée, un trio devenu duo. ils sont très proches et s'enquièrent toujours de l'état de l'autre pour garantir le bien-être de l'autre. inséparables, la vie les a érodés ensemble sans jamais les séparer. Derek Haynes égarement bienfaiteur ○le conseiller juridiquement, puis le croiser dans un parc, se perdre sous les couettes sans savoir où aller. une erreur malheureuse ou bienfaitrice, elle ne sait pas vraiment. elle ne cesse de le recroiser et le passé se ressasse. pseudo du personnage TYPE DU LIEN ○ description du lien. pseudo du personnage TYPE DU LIEN ○ description du lien. pseudo du personnage TYPE DU LIEN ○ description du lien.
Dernière édition par Daphne Adler le Mer 12 Mai - 10:12, édité 2 fois |
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