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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


vous n'avez pas envie d'être seul(e) ? La famille atkins-gallagher recherche les enfants de la fratrie

une rencontre lors d'un stage et la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur passion pour le sport, pour le reste ils sont diamétralement opposés
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 Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon]

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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 0:11


Wow. Directeur de département dans une société financière c’est… Impressionnant. Et ça explique aussi comment il peut se payer un penthouse, carrément. (Rires) Je connais des filles de l’université qui voudraient coucher avec lui juste pour ça : parce qu’il a de l’argent en veux-tu en voilà. Moi je ne suis pas pareil. La seule chose qui m’intéresse chez lui est son âme. Je trouve déjà qu’il en a une bien belle. D’autant plus pour un mec qui travaille dans la finance. En général les gens qui font ce genre de travail sont prétentieux, égoïstes, malpolis. Tellement qu’ils préfèrent carrément appeler leurs riches amis pour les ramener chez eux, plutôt que d’accepter d’être raccompagnée dans la mini d’une interne. Pas que j’ai déjà fait l’expérience pour le savoir, hein. Je me contente juste du stéréotype qu’on se fait. Je suis contente de découvrir qu’il n’y correspond pas. Ça me permet d’entrer chez lui sans gêne. Il y a beaucoup de déchets de boissons. J’essaye de me frayer un chemin parmi ceux-ci pendant qu’il fait l’état des lieux. J’observe la décoration avec attention. J’ai l’impression d’être dans l’appartement d’une série américaine. Cette pensée me fait brièvement sourire. Brendon m’annonce que les amis qui ont mit un tel bordel dans son appartement sont essentiellement des collègues de boulot. Des employés même. Je lui offre un sourire compatissant en retour. Je n’imagine pas ce que ça peut faire moralement de ne pas avoir de vrais amis. Car je suppose que c’est ce qui le fait soupirer. Que ce n’était pas des personnes externes à sa vie professionnelles. _ Je fête tous mes anniversaires avec uniquement mon meilleur ami. Je lui confie souriante comme pour le réconforter. _ En général on se commande une pizza et on finit la soirée à jouer à la Wii. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus génial mais moi ça me convient parfaitement. _ Hum. Non merci. Pas d’alcool. Je reprends à sa demande sur ce que je désire boire. _ En bonne British qui se respecte je vais plutôt choisir un thé. S’il te plait. Je sais que je suis un gros clichée vivant mais je ne vais pas changée pour essayer de l’impressionner. Soit je lui plais ainsi. Soit je ne lui plais pas. J’espère que je lui plais plus que je ne lui déplait. Je me dirige vers le salon pour prendre place dans le sofa. Brendon m’indique de ne surtout pas me déchausser au cas où un bout de verre m’attendrait bien sagement dans un coin. Je fais attention où je marche. J’observe même l’endroit où mon patient c’est blessée avec attention. Ça pue la bière à plein nez. C’est une horreur pour moi qui n’aime vraiment pas cette odeur. _ Si tu veux je peux t’aider à ranger se soir ? Je lui propose spontanément. _ A deux ça devrait aller vite et tu n’aurais plus à t’en soucier demain. Enfin… Je m’assois sur le sofa. _ C’est comme tu préfères encore une fois. Je comprends que tu sois fatigué et que tu puisses ne pas en avoir envie. Il ne faut pas que j’oublie qu’il a eu un anxiolytique et qu’il subit le contrecoup de ces nerfs. Il n’a surement pas la force de ranger. Depuis quand t’es maniaque ? Je ne le suis toujours pas. Je veux juste l’aider parce qu’il est sympa - mignon - et que j’ai envie de l’aider. De l’embrasser surtout. Alors là c’est du domaine du rêve. Jamais il ne m’embrassera. D’ailleurs il m’offre ce thé juste pour me remercier d’être aussi gentille avec lui. C’est tout. Et ce n’est pas grave ! J’ai souvent des coups de cœur qui n’aboutissent à rien. Je suis habituée à être déçue.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 0:59


Je lève un regard doux en direction d’Aubrey. Je ne suis pas un fan des fêtes impliquant de la boisson et des gens qui s’invitent chez soi. Voilà pourquoi je suis bien content que toutes ces personnes se soient sauvées après que l’ambulance soit repartie avec moi. Je suis content que rien de précieux ne manque à première vue. Mon argent et mes biens qui valent le plus chers ne sont pas à portée de main ou bien sous clé donc je n’ai pas à m’en faire pour cela. Je vais tout de même faire un inventaire plus sérieux dès demain. Je dois aussi vérifier que rien n’a été endommagés par ces indésirables. Alors, lorsqu’Aubrey me parle de son genre de fête, je l’envie. « Tu sais, j’aurais aimé mille fois mieux être avec toi et ton meilleur ami à manger une pizza et à jouer à la wii pour mon anniversaire qu’avoir ce que j’ai eu. Et j’aurais voulu cela même sans l’incident qui m’a conduit à l’hôpital. » Je suis sérieux. J’aurais aimé un truc tranquille et avec des gens que j’aime. Pas avec mes employés qui se cherchaient un prétexte pour fêter chez moi. Je lui propose quelque chose à boire. Évidemment que je ne m’attendais pas à ce qu’elle choisisse l’alcool. C’était uniquement pour la faire sourire. J’obtiens plutôt un rire alors qu’elle m’assure qu’elle est typiquement britannique avec son thé. Je vais lui chercher dans l’armoire ma boîte comprenant différentes variées de thé de qualité que je réserve pour certains de mes collègues directeurs qui en apprécient particulièrement lorsque nous avons des réunions extraordinaires dans le penthouse. Je lui laisse donc choisir le sachet qu’elle préfère avant de demander d’un clic à ma machine à café de lui verser une simple tasse d’eau chaude. Dès que c’est prêt, je lui donne dans les mains afin qu’elle prépare son thé. Je lui sors également du lait et du sucre, au cas où. J’ai également de la crème ou du miel si jamais elle a besoin d’autre chose pour son thé. Pour ma part, je sucre légèrement mon café avant d’en boire une grande gorgée. Je l’observe alors qu’elle s’aventure dans le salon. Elle fait attention où elle marche et cela me décourage encore plus d’avoir à tout ranger demain. Mais je n’ai pas vraiment le choix. Je commence à m’approcher d’elle qui s’est assise sur le sofa lorsqu’elle me propose spontanément de m’aider à tout ranger. Je m’arrête et la fixe, surpris. Je finis par lui sourire. « Tu ferais vraiment ça ? Je veux dire, tu n’es absolument pas obligé de te proposer. Je ne t’ai pas fait monter pour faire pitié. Je peux m’occuper des conneries de mes collègues. » Je marque une pause, hésitant. « Sauf que si tu veux vraiment m’aider, je ne dis pas non. Honnêtement, ça me décourage tellement d’avoir à nettoyer leur bordel que ton aide est vraiment appréciée. » Je bois une nouvelle gorgée de café. Je dépose ma tasse sur le comptoir. Je me penche pour saisir dans l’un des armoires du bas deux grands sacs de poubelle. Je lui donne l’un d’eux avec un tel sourire que je pourrais en avoir mal aux joues. J’ai envie de lui dire à quel point elle est génial mais je me retiens. « Hum, le plus gros est concentré dans le salon. Il n’y a rien dans la chambre heureusement. Ni dans la salle de bain. Il y a quelques trucs sur le balcon. Du coup, je propose qu’on commence par ramasser tous les déchets et ensuite on pourra tout nettoyer. Merci encore. » Je m’approche et je viens embrasser d’un bref baiser sa joue. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. Je m’éloigne ensuite pour aller m’occuper de ramasser les déchets du balcon. Fréquemment, je vais jeter des coups d’œil à Aubrey. Juste pour m’assurer que tout va bien de son côté.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 1:06


Brendon est tellement adorable. Il ne me connaît pas et pourtant il affirme déjà qu’il aurait aimé un anniversaire en notre compagnie. Je trouve ça génial. Tellement que je lui offre un immense sourire en retour. _ Je suis certaine que tu t’entendrais bien avec Marty. J’annonce très spontanément avec engouement. _ Il est aussi interne en médecine et c’est un garçon très gentil. Un peu plus réservé que moi qui bavarde énormément mais aussi attentionné avec ces patients. Hum. Okay. C’est bon les éloges là. Si je continue il va croire que j’aime secrètement mon meilleur ami et ce n’est pas ce que je veux. _ Enfin, il n’est pas mon meilleur ami pour rien quoi. Je rie brièvement, nerveusement. En faite j’ai peur qu’il se soit déjà convaincue que j’aime Marty. Ce qui n’est pas le cas. Je l’aime bien comme un frère mais pas comme un potentiel petit ami. D’ailleurs, pour l’avoir souvent vu en sous-vêtement dans l’appartement je peux vous assurez que je n’ai jamais ressentie un soupçon de désir à son encontre. Je ne suis pas certaine que je pourrais en faire autant avec Brendon. Je pense que s’il se promenait en petite tenue devant moi je serais bien tenté de lui sauter dessus. Et pas au sens figuré, hein. Je me jetterai vraiment sur lui pour… (Raclement de gorge) Bref. Là n’est pas le sujet. Ce qui est intéressant est le choix de thé que m’offre Brendon. Je sourie bêtement. Un peu comme un petite fille devant un bocal remplie de bonbons. Je me décide à en opter pour un au bout d’une longue minute. _ Tu es un grand consommateur de thé ? Je lui demande curieuse tandis que sa machine me sert une tasse d’eau chaude. En général les gens optent entre le café et le thé comme s’il y avait deux camps distincts, qu’on ne pouvait pas se mélanger. Ce que je fais moi-même. Peut-être lui aime t’il autant l’un que l’autre ? J’écoute sa réponse tout en me dirigeant avec ma tasse dans son salon. Je fais attention à sa demande aux éventuels bouts de verres qui jonchent le sol. En faite, je comprends totalement son découragement. Il y a tellement de désordre dans toute la pièce à vivre qu’il lui faudra bien deux jours pour en venir à bout. Surtout s’il a des horaires de dingue. Du coup c’est naturellement que je lui propose mon aide. D’autant plus que ça me fait plaisir de l’aider alors j’acquiesce directement lorsqu’il s’assure que je suis sérieuse. Je le suis. _ Je sais ne t’inquiète pas. Je lui assure doucement, toujours souriante. J’ai bien compris que son invitation à boire un verre n’avait pas d’autres buts que celui de me remercier pour tout ce que je fais. D’ailleurs je n’attendais pas forcément de gratitude de sa part. J’aime rendre service. _ Et si je te le propose c’est parce que j’ai vraiment envie de t’aider. Je marque une pause. _ Je vois bien que ça te décourage d’avance vu l’ampleur de la tâche, et je te comprends. Du coup je me dis que à deux ça irait plus vite. Puis comme ça demain tu n’auras plus à te soucier de ça. Je finis de le convaincre d’accepter. J’en suis très contente. Je bois une gorgée de mon thé au lait pendant qu’il sort des sacs poubelles de son placard. Quand il m’en tend un, je dépose ma tasse pour pouvoir me mettre au boulot. J’accepte qu’on commence par les déchets. Ça me semble logique. J’acquiesce donc sans perdre le sourire qu’il impose naturellement à mon visage, avant qu’il ne dépose furtivement ses lèvres sur ma joue. Je frissonne très légèrement. Il a beau fuir par crainte peut-être que je lui reproche ce geste spontanément, moi je sais que je n’en ferais rien. Au contraire. Ça m’encourage à me mettre au travail. J’ai même l’impression que mon cœur fait des bonds de joie dans ma poitrine. C’est très bizarre. Enfin bref. Au bout de quelques minutes j’ai déjà bien avancé dans le salon. On commence à y voir un peu plus claire. Je découvre une canette de bière brisée sous des paquets de chips entassée alors que j’attaque la dernière section de la pièce. Je le découvre assez douloureusement en faite. Un bout vient de m’entailler superficiellement le haut de mon annulaire droit. _ Aïe. Au flux de sang qui s’échappe de la plaie que j’observe, je sais que ce n’est pas grave. Un peu de désinfectant et bientôt ma peau cicatrisera toute seule. _ Brendon ? Je l’appelle aussitôt alors qu’il est toujours sur son balcon. _ Tu aurais du désinfectant s’il te plaît ? Je viens de me couper légèrement avec un petit bout de verre caché sous un paquet de chips. Ces « invités » étaient vraiment excessivement maladroits
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 1:51


Je souris alors qu’elle affirme que je m’entendrais bien avec son meilleur ami qui est également interne en médecine. Je n’ai étrangement aucun doute là-dessus. Je place en haute estime l’intuition d’Aubrey. En fait, je réalise que j’ai déjà tellement confiance en cette femme pourtant inconnue que je l’ai laissé monter chez moi. Ce n’est pas dans mes habitudes d’inviter quelqu’un dans mon appartement sans en connaître davantage sur lui. Pourtant avec elle, je viens de carrément en faire la seule exception à la règle. C’est fou quand on y pense. Je lui apporte ma boîte contenant une grande variété de thé afin qu’elle puisse en choisir un. Dès qu’elle fait sa sélection, je souris alors qu’elle pense que je suis un consommateur de cette boisson. « Non, je préfère le café. J’ai cette boîte pour des invités qui sont généralement des collègues de direction. Le thé est étrangement idéal pour des réunions décisionnelles. » Les cigares aussi le sont. Je me mords presque la langue pour ne pas penser au fait que je suis toujours en manque de nicotine. Saleté, je n’aurais pas du recommencer la dernière fois. Boire mon café m’aide à distraire mes pensées du goût absent de la fumée de cigarette. Je regarde d’abord Aubrey progresser dans le salon en désordre avant de moi-même m’y aventurer. Elle me propose son aide pour tout nettoyer et franchement, je suis tellement reconnaissant que je ne sais même plus comment l’exprimer. C’est de la générosité pure qu’elle me démontre, encore une fois. Je suis aussi spontané qu’elle car je viens l’embrasser sur la joue. Oups. Je décide de nous faire nous séparer pour ranger une plus grande surface en même temps. Je prends mon sac de poubelle et je vais sur le balcon. Je la regarde régulièrement. Un peu trop souvent. Elle travaille bien et vite, elle est donc évidemment plus rapide que moi. Je termine de ramasser les déchets du balcon lorsque l’anglaise m’appelle. Je retourne à l’intérieur en l’observant, presque inquiet. Elle s’est coupée avec du verre. Je m’approche aussitôt et je constate sa blessure. J’inspire à travers mes dents, comme si j’étais celui qui souffrait. « C’est pas notre journée. » Je dis finalement en me forçant pour ne pas rire. « Attends-moi, je vais te chercher ça. » Je me dirige vers la salle de bain et j’attrape la bouteille de désinfectant. Je lui apporte ainsi qu’un sparadrap et qu’une boule de ouate. Je lui demande de s’assoir. C’est à mon tour de jouer au médecin. Je vois déjà qu’elle a le réflexe d’appuyer sur mon doigt pour couper la circulation sanguine. J’imbibe la ouate du désinfectant liquide et je viens la poser presqu’une minute sur sa coupure avant de la retirer doucement. Je couvre le bout de son annulaire blessé avec le sparadrap. « Voilà. Il va falloir éviter de mouiller le pansement. » Je lui conseille très sérieusement. Il ne me suffit que de la regarder deux secondes supplémentaires avant de rire. Je me rends d’un seul coup compte que nous sommes proches. Je veux dire, vraiment. Physiquement. Ma tête a penchée vers l’avant alors que je riais et en la relevant je croise ses yeux qui sont à peine à quelques centimètres des miens. Mes prunelles glissent vers ses lèvres instinctivement. Oh merde. Merde. Attend. Ne fait pas… Ok. Je prends le risque. Je porte mon corps doucement vers elle, ma bouche se rapprochant toujours plus de la sienne alors que je garde mon regard dans ses yeux magnifiques.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 1:55


Ah. Un consommateur de café. Je suis un peu déçue. Ça m’aurait bien plu que nous ayons tout deux cette même passion pour le thé. Enfin tant pis. Je ne vais pas quitter son penthouse pour si peu. Ça ne change d’ailleurs rien au fait que j’aime sa présence et que je suis disposée à l’aider à nettoyer tout ce foutoir qu’on mit ces « invités ». Une idée qui lui plaît bien. Il m’embrasse sur la joue après m’avoir donné un sac poubelle. Je sourie de toutes mes dents. Je suis contente de ce rapprochement physique. Ce n’est surement rien à ces yeux mais ça suffit amplement à faire battre plus vite mon petit cœur. Je m’active à ramasser les déchets aussitôt, comme si ça me motivait presque. Tellement que je suis plus efficace que lorsque je nettoie chez moi. J’ai quasiment terminé la première partie du ménage quand un bout de verre craquelle la peau de mon annulaire droite. Aïe. Saleté. Ces invités sont vraiment des brutes pour faire autant de casse. Le pire est peut-être qu’ils aient pu cacher ça sous des paquets de chips vides. Enfin ce n’est pas grave. Un peu de désinfectant et bientôt il n’en paraitra plus rien. J’appelle Brendon pour m’assurer qu’il ait ce qu’il faut. Il me rejoint immédiatement pour observer mon doigt. Il grince des dents par compassion pour ma douleur. Ça va. C’est supportable. Le tout serait d’éviter une infection surtout. _ Effectivement. Je confirme avec amusement. _ Ce n’est pas notre jour. Où peut-être que ça l’est mais pas comme on l’imagine. On a peut-être de la chance dans notre malchance. Je veux dire que sans coupure pas d’urgence. Pas d’urgence pas de rencontre. Pas de rencontre pas de… Enfin vous avez saisie le truc. Brendon s’absente le temps d’aller chercher ce qu’il faut dans ce que je suppose être sa salle de bain. Je patiente comme il me le demande. Je me concentre sur mon doigt sur lequel j’appuie pour arrêter le flux de sang qui s’échappe de la plaie. Mon patient revient. Nos rôles s’inversent dès qu’il me demande de m’asseoir. Je sourie en sentant chez lui une forme de plaisir se dégager à être le médecin tout d’un coup. Je dois avouer que ça ne me déplait pas non plus. Je le laisse docilement soigner ma coupure. Il y met beaucoup d’attention. Je me dis qu’il ferait aussi un bon docteur. Après avoir mit un pansement sur mon annulaire, Brendon se permet une remarque sérieuse sur le fait de ne surtout pas le mouiller. Ça me rappelle moi il y a une bonne demi-heure maintenant. Nous éclatons de rire presque aussitôt. _ Bien docteur. Je lui assure amusée, avant de prendre conscience que nous sommes physiquement très proche. J’ignore lequel de nous deux est responsable d’une soudaine proximité mais une chose est sûre : je n’ai pas envie de me reculer. Lui non plus visiblement. Ses yeux s’attardent sur mes lèvres. Je déglutis ma salive. Je sens mon cœur battre à une allure folle dans ma poitrine. J’ai envie de l’embrasser. Lui aussi montre un signe plus qu’évident qu’il désire m’embrasser. Je me penche spontanément vers lui pour briser les derniers centimètres qui nous tiennent éloignés l’un de l’autre. Je sens son souffle chaud contre mes lèvres. Mes prunelles demeurent toujours accrochées aux siennes. God. Je crois qu’il m’excite comme jamais aucun homme n’a pu le faire sans m’avoir au préalable touché, même subtilement. La douceur de ses lèvres entrent en contact avec les miennes. Je m’entends soupirer d’aise. Le baiser ne demeure pas sage très longtemps. Nos bouchent s’entrouvrent naturellement pour guider nos langues l’une vers l’autre. Je ferme les yeux dès qu’elles se touchent, se caressent, se lovent. God ce que c’est… bon. Ma respiration s’intensifie. Je me colle d’avantage à lui pour sentir sa chaleur m’envelopper. On devrait s’arrêter. J’ai déjà envie de lui ôter son pull, de découvrir le goût de sa peau, de… Non. Il ne faut pas que j’aie de telles pensées. Mes instincts primaux sont entrain de dicter ma conduite. En faite ils les dictent même depuis que nos yeux se sont croisés à l’hôpital. Je le ressens à notre échange buccal. C’est passionné, enfiévré. Ça n’a rien d’un petit baiser innocent en passant. C’est un début de préliminaire confirmé. Il faut qu’il soit la raison sinon je ne réponds plus de rien.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:02


Alors que je m’approche, je remarque qu’elle converge également dans ma direction. Elle a tout autant envie de ce baiser que moi. Je ne peux plus empêcher mon corps de le réclamer après cette constatation. Une douce pression est présente sur mes lèvres alors que je ferme les paupières sous la sensation agréable. Rapidement, le désir grandit sans précédent. J’ouvre la bouche et je pousse ma langue à l’intérieur pour rencontrer la sienne. Je porte mes mains à son visage que je viens caresser tout en savourant notre échange passionnel. Oui, de la passion. Je ne peux pas le décrire autrement. On ne se connait même pas qu’on est littéralement en extase face au corps de l’autre. C’est si irréel et pourtant parfaitement naturel. Je finis par me reculer suffisamment pour obtenir une confirmation dans son regard qui s’ouvre à nouveau. Je veux m’assurer que ce qu’elle veut est vraiment ce que j’ai envie aussi. Il n’y a même pas une once de doute dans ses prunelles. Le voir me fait sourire alors que j’expire. La seconde suivante, je me saisis à nouveau de ses lèvres. Je viens porter le poids de mon corps sur le sien et je me retrouve ainsi à être à demi étendu sur elle. Je l’embrasse avec une faim qui n’est jamais assouvie. Cela me pousse à faire descendre mes mains sur sa taille et à glisser mes doigts afin de toucher la peau chaude de son ventre. Je remonte tranquillement, n’étant stoppé dans mon exploration que par la rencontre avec son soutien-gorge. Je continue donc jusqu’à atteindre son dos. Je poursuis à la même vitesse en remontant un peu. L’attache de son soutien-gorge se rompt alors que nos bouches se quittent pour un peu d’air. J’expire quelques coups près de son oreille avant de remonter toujours plus son haut pour qu’elle me permette de lui retirer. Je le lance au loin avant de me pencher pour embrasser sa poitrine désormais dénudée. Je garde Aubrey tout contre moi, appréciant qu’elle s’agrippe aussi facilement à mon corps. Je n’ai donc aucune hésitation au moment de me redresser avec elle dans mes bras. Je me dirige vers ma chambre, caressant sa gorge de ma bouche en chemin. Je me guide à l’instinct, faisant en sorte que je réalise trop tard que nous sommes arrivés au lit et que je nous fais chuter subitement sur le matelas. J’écrase ainsi un peu son corps de mon poids. Au lieu de m’excuser, je ris. « Oups. » Je dis entre deux baisers. Je m’empare toujours plus férocement de ses lèvres, sentant de plus en plus clairement la bosse qui grandit dans mon pantalon. Impatient, je porte mes mains à ma ceinture et je la détache facilement avant de la faire atterrir plus loin. Mes mains ne peuvent quitter bien longtemps sa peau brûlante toutefois. Elles la désirent tout autant que moi.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:13


Ses mains caressent mon visage. Je soupire d’envie contre sa bouche. God. Nous allons le faire. Nous allons réellement le faire. C’est presque insensé. Enfin, je dis ça mais il reste toujours un pourcentage de probabilité qu’il se ressaisisse. Qu’il me dit que ce n’est pas une bonne idée ou… je ne sais pas qu’il me respecte trop pour ça. Quel mec dirait un truc pareil ? Je n’en sais rien. Vraiment. D’ailleurs je ne sous-entends pas qu’il n’est pas un mec bien s’il ne nous interrompt pas, hein. Je cherche juste une raison qui pourrait nous encourager à faire preuve de raison. À ne pas céder à nos instincts primaux. On ne se connaît pas vraiment après tout. En dehors d’un métier, d’un prénom, d’un âge, qu’est-ce qu’on sait de l’autre ? Rien. Si ça se trouve il a une petite copine ? Oh fuck. Ça ne serait pas bien de lui faire ça à cette pauvre fille. […] Rôôô puis ça n’est pas mon problème. Je le désire trop pour jouer la conscience dans cette aventure. Si la sienne ne marche pas, tant pis pour sa dulcinée. Je compte bien assouvir mes désirs avec lui se soir. Qu’il en ait envie est un bonus en plus non négligeable. Je lui laisse immédiatement prendre les commandes en m’allongeant sous lui, pendant que nos bouches se dévorent avec passion. Ses mains se faufilent sous mon haut. J’en fais de même. Je découvre sous mes paumes la peau douce de son torse joliment dessiné. J’ai envie de lui ôter son pull pour l’admirer plus librement que tout à l’heure à l’hôpital. Or, pour le moment je n’en ai pas le loisir. Il est occupé à m’ôter l’attache de mon soutien-gorge ainsi que mon haut à manches longues. Je l’y aide volontiers. Je soupire d’extase quand ces lèvres s’emparent de ma poitrine offerte. Oh god. L’excitation monte d’un cran au dessus. Il me fait un effet de dingue. Jamais je n’avais ressentie ça aussi puissamment. Tandis que je m’accroche à lui par réflexe, il se redresse pour me porter dans sa chambre. Sa bouche s’aventure dans mon cou. Je lui offre en soupirant d’excitation. Ma peau frissonne tellement que j’ai le sentiment d’avoir une décharge électrique dans tout mon corps. Tout d’un coup, nous tombons dans son matelas. J’éclate de rire. Il est tellement craquant avec son oops. Je lui pardonne immédiatement de m’avoir légèrement écrasé dans la chute. D’ailleurs, je lui fais savoir dans les baisers que nous échangeons. Il se sépare de sa ceinture. Je lui ôte son pull dès que ces mains sont de nouveaux sur ma peau. Je glisse ma bouche sur ses pectoraux que j’embrasse, lèche, mordille. Sa peau frissonne sous mes attentions. J’aime ça. Mes mains quant à elles, elles ne restent pas inactives. Au contraire, elles se chargent de me délester de mes bottines qui tombent bruyamment au sol. Normalement, pas de danger de coupure dans cette pièce. Une fois fait, elles viennent s’occuper du pantalon de Brendon qu’elles déboutonnent. C’est le moment de savoir si monsieur Elder était sincère sur la taille de son pénis. De ce que je sens sous le tissu de son sous-vêtement qui le comprime, mon patient n’a pas exagéré. Je me mords la lèvre inférieure de désir alors que je sourie d’une façon malicieuse. Je remonte ensuite ma bouche à la sienne. Je l’embrasse à perdre haleine pendant qu’une de mains se glissent coquinement dans son sous-vêtement. Je le caresse avec langueur, m’appropriant son sexe comme si nous n’étions pas amants pour la première fois.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:33

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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:34


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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:45





Mon front est posé au niveau de son diaphragme, écoutant ses mouvements respiratoires encore forts. Je ferme les yeux alors que ses doigts se perdent dans mes cheveux. Je suis bien sur elle, à sentir sa chaleur se mélanger à la mienne. J’expire de quiétude alors que je me sens à ma place sur son ventre doux. Je soupire à quelques reprises encore, toujours aussi bien à mesure que les minutes passent. Je finis par réaliser que je devrais peut-être lui parler. Il y a quelques heures à peine on ne se connaissait pas. Je ne sais même pas si en théorie il y a encore un code déontologique qui s’applique pour elle. J’ai obtenu mon congé de l’hôpital, donc je ne crois pas. Sauf que tout de même, est-ce qu’il y a un minimum d’heure avant de pouvoir baiser un ex-patient ou pas ? Allez, parle ! « Je ne m’attendais pas à ça, pour être honnête. Mais je suis vraiment heureux qu’on l’ait fait. Et j’aimerais vraiment que tu restes pour la nuit, s’il-te-plaît. Est-ce que tu es attendue quelque part de bonne heure demain matin ? Parce que moi je sens que je vais faire une grâce matinée. » Je glisse ma tête contre son ventre pour croiser son regard. J’espère qu’elle peut rester avec moi tout ce temps. On n’est pas un couple, mais on vient de partager un truc spécial.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:49


Je ferme les yeux. Je savoure notre étreinte en reprenant ma respiration, mon calme. Je me sens totalement apaisée prés de lui. En faite, la seule chose qui vient gâcher tout ça est le fait que j’ignore totalement ce qu’il est bon ou non de faire maintenant. Avoir couché ensemble aussi spontanément va peut-être lui laisser entendre que je suis le genre de nana adepte au one night, non ? Si c’est le cas, il va être délicat de lui expliquer que je suis plutôt du genre collectionneuse de relations bancales. Surtout que ça peut le faire flipper l’idée que je puisse attendre plus de lui. Est-ce c’est le cas ? Est-ce que j’attends de lui qu’on tente une relation ? Aucune idée. Plus je réfléchis et plus je me sens totalement confuse. C’est quelque chose de nouveau je dois dire. Je n’ai jamais été aussi déboussolée après une relation sexuelle avec un homme. Peut-être que ça vient de lui ? Ou de moi ? J’y réfléchie lorsque Brendon prend la parole. Il m’avoue ne pas s’être attendu à une telle tournure. C’est rassurant. Ça signifie qu’il n’est pas un salaud qui avait tout manigancé pour m’emmener dans son lit. Vous imaginez si ça avait été le cas ? God, ce que j’aurais été une proie tellement facile. Il me dit qu’il est vraiment content qu’on l’ait fait. Je sourie spontanément. Moi aussi je suis vraiment contente. Et je le suis encore plus lorsque j’entends sa demande de rester avec lui pour la nuit. _ Non, je n’ai rien de prévu demain matin. Je l’informe à sa question. _ Je peux me permettre de rester et de ne pas m’enfuir comme une voleuse aux aurores. Je n’aurais pas aimé le faire de tout façon. Quant à réfléchir à son invitation c’est inutile. Je n’ai pas envie de le quitter maintenant. _ Je dois juste prévenir mon meilleur ami, qui est aussi mon coloc’, pour qu’il ne s’inquiète pas. Marty pourrait aller jusqu’à lancer un avis de recherche sans signe de vie de ma part. Vaut mieux éviter. Je réfléchis où se trouve mon téléphone brièvement quand je me rappelle où je l’ai oublié. Fuck. Il est dans la voiture. _ Ça ne te dérange pas que je t’emprunte ton téléphone ? Je lui demande aussitôt, souriante. _ Mon portable est dans ma voiture et je n’ai pas très envie d’aller le chercher maintenant. Dans un sens je suis contente qu’il n’était pas dans ma poche de jean comme d’habitude. Il aurait moyennement aimé d’être jeté au sol avec les vêtements. Brendon m’indique la localisation de son fixe. Je quitte le lit pour enfiler mes bottines. Je sais. C’est bizarre. Mais c’est une mesure de sécurité vu que le verre n’est pas notre ami ce soir. Je m’empare du combiné dès que je le trouve. Je compose immédiatement le numéro de Marty que je connais sur le bout des doigts. Il décroche au bout de trois sonneries. _ Hey Marty c’est Aubrey ! […] Non aucun problème, t’inquiètes. Je t’appelle surtout pour te signaler que je ne rentre pas dormir en faite. […] Oui demain matin mais je ne sais pas encore l’heure. […] D’accord. Bonne nuit. Bisous. Je raccroche. Marty n’est heureusement pas curieux. Je n’ai donc pas besoin de lui expliquer pourquoi je ne rentre pas. De retour dans la chambre, j’ôte mes bottines pour me glisser sous les couvertures où Brendon est allongé. Il a les yeux fermés. Peut-être dort t’il ? Dans le doute je lui murmure un « bonne nuit » avant de lui déposer un fin baiser sur ses lèvres. Ensuite, je m’allonge sur mon dos où je clos mes yeux. Le sexe m’a épuisé. Je m’endors presque instantanément avec un sourire épanoui au visage.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 2:59


Comment décrire mon état en ce moment ? Déjà, je me sens juste bien. Rassuré surtout qu’elle peut et veut visiblement rester avec moi pour la nuit. Je n’aurais pas apprécié être abandonné dans un lit vide. Je sens donc un immense poids quitter mes épaules comme si tout ce temps j’avais crains de la perdre après un rapport aussi jouissif. Le fait qu’elle veut rester signifie entre autre qu’elle a aussi beaucoup apprécié ce que nous avons vécu. Cela me pousse à me détendre un peu plus. Elle m’informe toutefois qu’il lui faut prévenir son meilleur ami qui est également son colocataire. Il est évident que je ne souhaite pas non plus qu’il s’inquiète. Je hoche donc la tête contre son ventre pour lui indiquer qu’elle peut emprunter mon téléphone résidentiel. Si je me souviens bien, le dernier endroit où je l’ai mis est dans le salon, sur le dessus du foyer. Lorsque j’ai procédé à ma rapide inspection des lieux à mon retour de l’hôpital, le combiné était toujours à cette place. Je lui indique donc sa localisation d’une voix un peu fatiguée. Je me redresse ensuite avec regret afin qu’elle quitte ma chaleur et s’extrait du lit. Je viens m’étendre complètement sous les draps. Je soupire de désagrément alors que le tout me semble tellement froid sur ma peau. Je roule sur mon flanc gauche en me blottissant contre un oreiller. J’entends vaguement la voix d’Aubrey au loin. Dès qu’elle revient, je suis encore plus détendu. J’ai conscience de ses gestes afin de me rejoindre sous les draps. Elle vient embrasser mes lèvres avec un « bonne nuit » agréable. Je souris et d’une voix à peine audible je lui réponds : « Bonne nuit. » Je ne sais même pas si elle a réussi à l’entendre. Je viens l’enrober doucement de mes bras et je reprends ma place sur son corps alors que je sens qu’elle est déjà endormie. Je ne tarde pas moi-même avant de me laisser emporter par ma fatigue.



Penthouse de Brendon, 5 mars 2011

À mon réveil, j’ai un terrible mal de crâne. J’ai également la sensation d’un manque beaucoup trop fort pour me laisser paisiblement poursuivre ma grâce matinée. Foutu sevrage de nicotine ! Pourquoi il faut que ça arrive maintenant ? Je veux juste être bien avec Aubrey, à poursuivre mes caresses sur sa peau toujours aussi douce. Sauf qu’à un moment donné je ne peux plus le supporter et je me lève à contrecœur. Je vais gober deux aspirines dans la salle de bain en grognant sous l’étourdissement et l’impression que j’ai envie de me jeter devant un train. Je viens me prendre le visage à deux mains alors que je reviens vers le lit. Je refuse de laisser cela me gâcher mon moment. Je retrouve la chaleur de la jeune femme. Dès que les médicaments commence à m’apporter un semblant de soulagement, je viens embrasser d’abord son bras, puis son épaule et enfin son cou en faisant glisser mon nez sur sa peau en chemin. Je réussis à la réveiller d’une agréable façon, venant poser mon front brûlant contre sa joue alors qu’elle s’éveille à peine. « J’ai arrêté de fumer hier. Mauvais timing, disons. Du coup, est-ce que tu connais un truc pour calmer le manque, docteur ? » Je lui demande avec ma voix rauque du matin.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 3:06


Hmmmm. J’aime les réveils en douceur. Ça me met toujours d’excellente humeur. D’ailleurs ça se voit direct à mon visage puisque je sourie bien avant que mes paupières ne se décident à s’ouvrir. Ce matin elles ne se font pas prier. Je les ouvre rapidement sous les délicieux petits baisers matinaux que me prodigue mon amant de cette nuit. Il me faut toutefois quelques secondes pour bien me resituer. J’observe la décoration qui m’entoure pour m’y aider. La chambre à Brendon. Le penthouse. La baise d’enfer de la veille. En voilà un souvenir bien plaisant. Je sourie de plus belle tandis que sa voix rauque parvient à mon oreille. Je grimace légèrement à ces mots. L’arrêt du tabac n’est jamais agréable de ce que j’en ai vu. Ça me désole de découvrir qu’il se sente aussi mal. Brendon aimerait que je lui conseille quelque chose pour calmer le manque de nicotine. Il n’y a hélas aucune solution miracle à cela. De plus ce qu’il va traverser dépend de beaucoup de paramètres qui lui sont propres. Certaines personnes vont se sevrer facilement quand d’autres vont éprouver plus de difficultés. Bref. Je n’ai pas de cas typique pour m’aider malheureusement. _ Hé bien… je réponds d’une voix encore endormie. _ En dehors de patchs de nicotine qui pourraient t’aider à surmonter le manque, il reste l’option de t’occuper l’esprit constamment. Je tourne mon visage vers le sien pour le regarder droit dans les yeux. _ Genre en faisant du sport ou en travaillant beaucoup. Je marque une pause. _ Et surtout ne compense pas en te jetant sur autre chose comme la nourriture par exemple. Ça ne serait pas l’idéal. Dans le cas de la nourriture, il pourrait prendre beaucoup de poids. Ce n’est pas mieux pour sa santé. _ Tu avais l’habitude de fumer beaucoup ? Je l’interroge sérieusement. En faite je suis entrain de me demander si un arrêt aussi abrupt n’est pas la pire idée qu’il ait pu avoir. Je comprends que quand on veut s’arrêter de fumer ça paraît être l’option parfaite en théorie. Mais pour quelqu’un ayant une forte consommation ça ne l’est vraiment pas. Il faudrait peut-être qu’il y aille par étape. Qu’il diminue les cigarettes jusqu’à l’arrêt complet. Hum. _ Tu devrais peut-être diminuer ta consommation avant l’arrêt complet si tu fumais énormément. Je suggère avec douceur. _ Ton corps subirait le sevrage d’une façon moins brutale et tu te sentirais beaucoup mieux. Enfin… Je m’interromps. _ C’est la seule option que je connaisse qui puisse te permettre de ne pas trop souffrir du manque. Je suis désolé de ne pas pouvoir lui être plus utile. J’aimerais pouvoir connaître une solution miracle qui le guérirait de son addiction d’un claquement de doigt or… il n’y en a aucune. Et le voir comme ça me brise le cœur. Je viens quérir ces lèvres d’un tendre baiser comme si cela pouvait partiellement chasser le mal qui le ronge. C’est stupide, n’est-ce pas ? Oui. Ça l’est. Mais je ne peux pas m’empêcher de vouloir lui prodiguer plus de douceur pour l’aider à surmonter sa crise de manque. Je me tourne complètement vers lui tandis que je m’empare de son visage de mes mains. Je caresse ces joues affectueusement. Ne quittant ses lèvres que pour nous permettre de respirer entre deux baisers langoureux.  
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 3:16


Je laisse ma tête appuyer sur la sienne alors qu’elle s’exprime en s’éveillant. Ce n’est pas la première fois que j’arrête de fumer. Je connais les symptômes du sevrage. Sauf qu’on dirait que j’oublie comment ça fait mal à chaque nouvel arrêt. Ça doit faire environ cinq ou six ans qu’à chaque nouveau jour d’anniversaire je me dis qu’il est temps d’arrêter. Désormais c’est presque devenu une tradition. Et ça serait vraiment super si pour une fois mes souffrances me menaient à un arrêt permanent. Aubrey est peut-être la clé. Elle sait comment fonctionne le corps. Elle connait peut-être une solution pour enfin réussir à me débarrasser de cette mauvaise habitude. Je suis un peu déçu de voir qu’elle ne me propose rien de nouveau. Les patchs de nicotine ne fonctionnent pas dans mon cas. Je n’ai pas assez de discipline pour les gérer comme il se doit. M’occuper l’esprit pourrait marcher mais pas dans les premiers jours. Durant environ une semaine je vais avoir envie de tuer tellement le manque va me rendre dingue. Aubrey s’intéresse à ma consommation, alors que je l’observe avec des yeux à demi-fermés à cause de mon mal de tête. « Hum, j’ai commencé à fumer à 19 ans. Au début, j’étais à un paquet de cigarettes par jour. Depuis environ deux ans et demi je dirais, j’ai réduis à un demi-paquet par jour. » Ce qui est moins mais tout de même assez pour vous foutre la vie en l’air. « J’ai déjà essayé les patchs et la gomme et ça ne marche pas. » Je soupire en retrouvant une proximité avec son visage. Elle me conseille de ne pas arrêter aussi brutalement et tout ce que je trouve à répondre à cela est un soupire sonore. Ses mains attrapent mon visage et elle vient m’embrasser. Je me laisse aller à ses baisers avec plaisir, oubliant momentanément mon mal. Ses doigts dessinent des cercles sur mes joues alors que j’ouvre les yeux. « Ça, ça réussi à me distraire. » Je dis en ricanant avant de m’emparer plus vigoureusement de sa bouche. Je me retrouve sur elle, sentant déjà mon désir revenir aux galops. Je ne m’arrête que lorsqu’il y a une vibration soudaine. Je me redresse d’un coup, fronçant les sourcils. Ça vibre encore. « Ne bouge pas. » Je lui demande avec un baiser bref sur les lèvres avant de me mettre à marcher à quatre pattes sur le lit. Je me penche afin de mettre la main sur mon pantalon. Je sors de ma poche mon téléphone. Je réponds après avoir vu qui appelait. « Hey Fabio ! Tu es en retard comme toujours, mon anniversaire c’était hier. » Je le laisse parler tout en rejoignant Aubrey, m’assoyant à côté et portant une main pour caresser ses cheveux. « Non, c’est Ben qui a suggéré aux autres de faire ça chez moi. Ils ont foutus un bordel pas possible. Sinon, tu as des nouvelles des finances ? » Je lève les yeux au ciel avant de faire des sons de temps à autres pour indiquer que je comprends ce qu’il dit. Comme ça devient trop long, je décide de couper-court à la conversation. « Écoute, mon vieux, je vais te laisser. J’ai un super mal de tête en ce moment et je… oui, c’est ça, je tente encore d’arrêter cette année. » Il finit par me souhaiter bonne chance. « Merci ! On se revoit lundi. Oh et n’oubli pas que j’ai besoin de ton rapport conforme cette fois si tu veux que je l’approuve. » Il rit tellement fort que je suis sur qu’Aubrey l’a entendu. « À plus ! » Je lui dis avant de raccrocher et de me recoucher en venant appuyer mes paumes sur mes yeux. « Je déteste les actuaires. Ironique, puisque j’en suis un. » Je dis en souriant. Fabio est le seul ami de l’université avec qui je suis toujours appelé à travailler. Et dire que j’aurais pu être à sa place. Inspirant un grand coup, je tourne la tête vers la jeune femme. Je fais glisser mes mains de mon visage mais je garde les yeux clos. « Tu manges quoi le matin d’ordinaire ? » Ma voix est faible, comme si j’allais m’endormir, ce qui me semble être le cas.
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MessageSujet: Re: Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] (#)   Do you like the person you've become ? [Aubrey & Brendon] - Page 2 EmptyMar 6 Fév - 3:20


Je vois. Fumeur depuis l’âge de 19 ans. Hum… Si je calcule rapidement ça fait… treize ans. Et son rythme de consommation a diminué de moitié il y a tout juste deux ans. Fuck. Ce n’est pas vraiment bon signe pour son sevrage ça. Je tente bien de lui fournir un conseil qui me semble avisé au vu de son passif mais son soupir m’indique qu’il le rejette d’un revers de main. C’est dommage. Je pense que ça aurait pu l’aider vu que les patchs et les gommes de nicotine n’ont pas fonctionnés sur lui. (Soupire) Il ne reste plus que la distraction. Je suis dévouée à lui occuper l’esprit autant que le corps pour les quelques heures qu’il nous reste s’il le désire. Je commence d’ailleurs directement en lui offrant de tendres baisers ainsi que des caresses à ces joues. Il adore ça. Moi aussi. Il m’avoue en riant que ça le distrait. J’éclate de rire. _ C’est parfait alors. Je rétorque avec amusement. _ On peut poursuivre le traitement dans ce cas. Je suis très sérieuse. J’ai envie qu’il continue d’oublier son mal en m’embrassant. Ce qu’il fait avec vigueur, ne cessant de décupler mon désir de lui. Il retrouve naturellement sa place sur moi. Je l’y accueille avec plaisir. D’autant plus quand je sens son début d’érection au niveau de mon bas ventre. Mes mains parcourent sa peau, envieuse de lui faire l’amour, alors que nos langues se lovent toujours plus passionnément l’une à l’autre. Tout d’un coup, une vibration résonne dans la pièce. Cela me perturbe. Lui aussi. Il interrompt notre échange buccal pour se focaliser sur le bruit. Je gémis de frustration. A la seconde vibration, je sais déjà que je peux faire une croix sur une nouvelle partie de jambe en l’air. La réalité nous rappelle. Je le laisse me quitter à regret pour prendre l’appel. Je n’écoute que d’une oreille distraite ce qu’il se dit. En faite, comme une petite fille, je boude un peu jusqu’à ce que mon amant me redonne un peu de son attention. Je me redresse pour déposer mes lèvres à même son oreille libre, son cou. Je me délecte du goût de son épiderme, espérant ainsi devenir plus intéressante que ce fameux Fabio. Je sais. Je ne devrais pas l’empêcher de faire son travail. Or je suis sur ma faim moi. J’ai envie qu’on se câline encore un peu. Est-ce trop demander ? (Soupire) Visiblement oui. Le mec au téléphone est plus important que moi. Je laisse donc Brendon tranquille dans sa conversation téléphonique, en reprenant immédiatement ma position couchée dans le lit. Je fixe pensive le plafond. Je m’inquiète un peu de l’importance de mes envies pour cet homme d’affaire. Je n’ai jamais eu autant de désir sexuel pour un autre avant aujourd’hui. J’ai peur d’être tombée amoureuse de lui. Enfin. Qu’est-ce que j’en sais de l’amour. Rien. Si ça se trouve ce n’est que physique. (Réfléchit) Oui. Ce n’est que physique. Je sors de mes pensées au rire que j’entends dans le portable. Wow, ce mec à vraiment la voix qui porte. Je n’imagine pas le tympan de Brendon là. Je l’observe s’allonger. Apparemment, c’est mort pour qu’on remette ça lui et moi. Ce n’est pas grave. T’es sûre ? Je suis un peu déçue c’est vrai mais je comprends qu’il ne soit pas en état. En plus on ne s’est pas garantie qu’on remettrait le couvert au petit matin alors… Bah je vais me contenter de ce qu’on a vécu hier soir. Je sourie à sa remarque sur les actuaires. Je comprends ce qu’il veut dire. Je déteste les médecins alors que je vais en devenir un. Chercher la logique. _ Les beaux hommes comme toi. Je réponds taquine à sa question sur ce que je déjeune le matin. _ Non. Plus sérieusement je prends un déjeuner typiquement anglais mais… je marque une pause. _ T’embêtes pas pour moi. Je vois bien que tu vas mal et… bref je vais te laisser te reposer. J’ai l’air de fuir et c’est un peu le cas. Je ne veux pas amplifier ce sentiment qui m’étreint le cœur, me rendant déjà beaucoup trop accro à lui. J’embrasse donc furtivement sa joue, de sorte qu’il ne sente aucun malaise, avant de quitter le lit pour chercher mes affaires éparpillées au sol. Si je me souviens bien le reste est dans le salon. C’est donc là-bas que je me rends pour les récupérer, avant de me rhabiller complètement. Lorsque je suis prête, je lui dis avec sincérité. _ Désolé de ne pas avoir pu t’aider à ranger complètement ton appartement. Je marque une pause. _ Je peux repasser plus tard si tu veux ? Je ne sais pas si c’est une bonne idée en faite. Il se peut que je sois à nouveau tentée de coucher avec lui et… Non je ne veux pas le contraindre à devenir un amant régulier. _ Enfin vu que le plus gros du travail est fait ça devrait aller. Je me tais. Vaut mieux que je lui laisse vraiment le choix maintenant que je lui ai proposé. J’attends donc souriante sa réponse. Ensuite, je pourrais partir.
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